1/ Gilets Jaunes acte 15, comment ça s’arrête ?
2/ Pédophilie au sein de l’église, le Vatican est fait-il assez ?
3/ Proposition d’un ministre, l’impôt sur le revenu payés par tous, la fin d’une injustice ?
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1/ Gilets Jaunes acte 15, comment ça s’arrête ?
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3/ Proposition d’un ministre, l’impôt sur le revenu payés par tous, la fin d’une injustice ?
D’Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine :
[…] Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction. Macron s’en rend-il compte ? Le voilà lancé à corps perdu dans la reconquête de son pouvoir, alors que ses conseillers les plus proches, ceux qui l’ont accompagné dans sa prise du pouvoir, le quittent les uns près les autres et que l’étrange Benalla dont nul ne sait au juste quel était le statut, sinon qu’il était un proche des plus proches, se trouve aujourd’hui en prison, son impunité ne pouvant résister à tant de mensonges et de passe-droits éhontés. Il avait des connivences dans tout l’entourage de Macron, jusqu’au sommet des institutions ! Qu’est-ce donc que la macronie ? Qu’est-ce que l’Élysée sous Macron ? Les sénateurs ont osé poser la question. Le gouvernement, du coup, les poursuit de sa vindicte. La macronie a cassé la société française, elle a procédé par effraction. Toute l’astuce de cette bande, de ses sbires et de ses sicaires, fut de se servir du dégoût des Français pour se hisser eux-mêmes au pouvoir et mieux les rejeter ensuite, et toujours en les culpabilisant.
Pauvres Gilets jaunes ! Que peuvent-ils espérer sinon d’être dénigrés, associés à tous les vices et les crimes ? À quoi sert leur révolte ? À diviser encore plus les Français et sur ces divisions à favoriser une stratégie électorale gagnante où Macron espère rejouer au plan européen la même partie qui l’a porté au pouvoir en France. Voilà des mois que ce stratagème prétendument démocratique est décrit dans ces colonnes ! Il se réalise sous nos yeux. Et peu importe que ce ne soit qu’à 25 % des voix ! L’important est de créer des clivages : progressistes européens et nationalistes rétrogrades !
Le philosophe et académicien Alain Finkielkraut est-il agressé dans la rue par un islamiste et lui-même précise-t-il qu’il sait fort bien le sens de cette agression et qu’il ne convient donc pas de tomber dans le piège de pareille provocation, rien n’y fait. Des partis politiques à bout de souffle, des politiciens cyniques, des journalistes sans foi ni loi qui ont laissé la gangrène de l’islamo-gauchisme dévorer la société française, en profitent pour se refaire une virginité de bon aloi et reprendre leur rôle de professeurs de morale. Avec l’idée maintenant de criminaliser l’antisionisme ! Le sionisme n’est-il pas un nationalisme ? Comme l’islam, un vecteur du nationalisme arabe ? Alors, ces nationalismes devraient donc être sacralisés ? Et seul sera voué à l’exécration par la République le nationalisme français ? Qui ne comprendrait que le problème est mal posé ? Ah, oui, pauvres Gilets jaunes !
Maintenant leur sort sera de servir de repoussoir. Le mécanisme électoral est tel qu’aucune réaction du corps national ne peut aboutir. Seulement, la société se délite. Quant à l’Europe, elle éclate. Les intérêts divergent comme partout dans le monde. Les dernières rencontres internationales ne l’ont que trop montré, que ce soit à la conférence sur la sécurité du 16 février dernier à Munich ou encore à Varsovie. Les États-Unis suivent leur ligne implacablement et l’annoncent imperturbablement. La Chine pareillement. L’Europe n’est qu’une superstructure qui ne vit que pour elle-même et pour ses stipendiés ; elle n’a pas de politique commune ; elle en aura de moins en moins. On en est aujourd’hui à se lancer des insultes par dessus les frontières entre nations-sœurs comme l’Italie et la France. Nul ne sait ce que va faire l’Angleterre ni demain l’Allemagne. Et Macron prétend jouer le dresseur de fauves dans ce cirque ? Il a tout simplement perdu le sens : « Quem vult Jupiter perdere, dementat prius ». Macron, en dépit qu’il en ait, n’est pas Jupiter. Il ferait bien de se méfier.
Alors que le grand débat d’Emmanuel Macron se termine dans deux semaines, les Gilets Jaunes, redynamisés par l’acte XV, entendent maintenir la pression sur l’exécutif. Moins médiatisés mais toujours présents, les mécontents s’inscrivent résolument dans la durée.
Politique / Européennes : coup de jeune ou coup de com ?
Dans trois mois les électeurs français et européens seront appelés aux urnes pour élire leurs députés européens… en France le scrutin fait la part belle à une nouvelle génération en tête d’affiche, entre renouvellement du personnel politique et coup de com’ politique.
Santé / Glyphosate, l’arbre qui cache la forêt
Alors que les alertes sanitaires et les plaintes se multiplient contre le glyphosate, le produit de Monsanto est devenu le symbole de la lutte contre les herbicides. Malgré son risque pour la santé, le glyphosate pourrait être l’une des solutions les moins dangereuses.
L’actualité en bref
L'une des premières voix du paysage artistico-médiatique à avoir apporté son soutien aux Gilets jaunes, l'animateur a rencontré un groupe de manifestants avant un spectacle. Il a livré son analyse du mouvement, proposant de «changer de méthode».
Devant le Théâtre de Périgueux, en Dordogne, Patrick Sébastien a rencontré un groupe de Gilets jaunes le 23 février, avant de se produire sur scène. Il a réaffirmé son soutien au mouvement citoyen et à même enfilé le symbolique vêtement sous les applaudissement de la quarantaine de manifestants présents.
Répondant à un journaliste de Sud Ouest, l'animateur a expliqué les raisons de son soutien au mouvement citoyen et a livré son analyse de la situation : «On ne s'en prend pas aux vrais responsables. Parce que ce n'est pas forcément les politiques. Parce qu'il y a une petite caste là [...] qui était là sous Chirac, sous Mitterrand. C'est des banquiers, c'est des hauts fonctionnaires et c'est des mecs des médias.»
Estimant que l'un des principaux enjeux du mouvement était de «dégager ceux-là», Patrick Sébastien a ajouté : «Pour l'instant on va continuer à gueuler.»
Cadeau à 500 millions pour Le Parisien
De 2012 à 2017, Le Parisien a reçu plus de 65 millions de subventions publiques.
Mais cela n’aura pas suffit… Le propriétaire du quotidien, LVMH, a récemment injecté plus de 500 millions d’euros dans Le Parisien.
Zapping
Zemmour a-t-il menti sur l’exode juif en Seine-Saint-Denis ? Les « fact checkers » tentent de le prouver à tout prix, y compris à celui de leur crédibilité.
Autre polémique de la semaine, le « hijab » sportif vendu par Décathlon.
Europe impunité
Europe 1 a fiché illégalement plus de 570 000 personnes souhaitant intervenir sur son antenne. Saisi de ces graves infractions, la CNIL a cependant gardé le silence.
Tweets
Tommy Robinson a vu ses comptes Facebook et Instagram censurés par l’entreprise américaine.
Pendant ce temps, l’Europe continue à se modifier. Dernier exemple en date : la ville d’Anvers.
Greta Thunberg, climato-fanatisme
La jeune suédoise engagée pour le climat est saluée par tous les médias. De la COP24 au bureau de Macron en passant par Davos, la fascination est totale.
https://www.tvlibertes.com/i-media-n239-500me-pour-le-parisien-europe-impunite-climato-fanatisme
LA VÉRITÉ N’EST PAS NÉGOCIABLE...
Pour la troisième année consécutive, les Amis franciliens de Synthèse nationale, présidés par Hugues Bouchu, organisent leur dîner annuel en ce début de printemps. Après Massimo Magliaro, pour les 70 ans du MSI en 2017, et Jean-Marie Le Pen l’an dernier à l’occasion de la sortie du premier tome de ses mémoires, nous aurons le plaisir de recevoir le samedi 6 avril prochain Martial Bild, Directeur général de TV Libertés.
En effet, cinq ans après le lancement de cette magnifique arme de combat qu’est TVL, il nous a semblé intéressant de donner la parole à son directeur. Ce media était inimaginable il y a encore peu de temps. Il incarne désormais, sur le plan télévisuel, la résistance quotidienne aux tenants de la pensée dominante. Preuve en est : depuis le début du soulèvement populaire des « Gilets jaunes », TV Libertés donne une toute autre interprétation que celle de la presse stipendiée aux ordres du Système. Pour TVL, comme pour nous, au moment où Macron veut nous imposer encore plus de lois liberticides, la vérité n’est pas négociable...
D’ailleurs, dans cet esprit, depuis deux ans, un partenariat entre Synthèse nationale et TV Libertés a donné naissance à l’émission politique et culturelle hebdomadaire « Synthèse » sur Radio Libertés (la web-radio liée à TVL). La 100e émission vient d’être diffusée fin février.
Les dîners annuels des Amis franciliens de Synthèse nationale sont devenus le pendant printanier de nos Journées nationales et identitaires du mois d’octobre. Elles sont l’occasion pour nos lecteurs et amis de se retrouver, de s’informer et de soutenir la cause qui leur est chère.
Pour nous, elles sont aussi un véritable encouragement à continuer et intensifier notre combat. Voilà pourquoi nous vous donnons rendez-vous nombreux, le samedi 6 avril à 20 heures, à ce troisième dîner annuel des Amis franciliens de Synthèse nationale*.
Roland Hélie,
Directeur de Synthèse nationale
* ce dîner est ouvert aux Amis franciliens et d’ailleurs bien entendu...
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Difficile de séparer les deux informations : l'une était résumée, le 27 février, par Le Figaro[1] sous le titre Agnès Buzyn tentée par une candidature". Elle accompagne des sondages à répétition, faisant apparaître la future liste du parti ministériel parisien en vue des élections européennes de mai, dont on ne connaît même pas, ni la composition, ni la tête de liste, telle une digue, la seule, face à la hideuse poussée du populisme (pouah) et de sa démagogie mensongère.
Or, on avait largement diffusé le 26 février, une nouvelle, ce jour-là toute fraîche, annoncée sur RTL[2] par le, ou la, "l'un ou l'autre se dit ou se disent", ministre de la Santé, Madame Agnès Buzyn.
Elle consiste en une hausse de 0,5 % de ce qu'on appelle, dans la langue et la logique de l'usine à gaz comptable de l'assurance maladie monopoliste hexagonale, les tarifs des hôpitaux. La première depuis 10 ans.
Premier étonnement léger : contrairement à toutes les augmentations administratives de ce type, qu'il s'agisse du timbre-poste ou des péages d'autoroute, celle-ci est présentée comme une généreuse mesure gouvernementale, malgré sa modestie, et il est recommander de la saluer, de façon presque obligatoire et unanime, comme une bonne nouvelle. "Et flatteurs d'applaudir".
Mais au fait, de cette contribution, apparemment minime, et même inférieure à la dérive du niveau général des prix, ce qu’on appelle dans d’autres circonstances l’inflation, qui doit-on féliciter ?
L'ex-ministère de la Santé, en France, ne gère pratiquement aucun budget propre. Il a été rebaptisé de noms variables, différents au gré de chaque changement de gouvernement depuis 10 ans.
Mme Buzyn, titulaire actuelle de la fonction depuis mai 2017, porte officiellement le titre, à vrai dire étrange, de ministre des Solidarités et de la Santé.
Dans le grand bâtiment de l'Avenue Duquesne est théoriquement domiciliée une petite Direction de la sécurité sociale. Celle-ci dont le sigle (DSS), et les responsables, semblent très peu connus du grand public, coiffe cependant des masses financières considérables, celles de la loi de financement de la sécurité sociale, plus lourde dans les comptes publics que le budget de l'État lui-même.
À sa tête, on trouve Mme Mathilde Lignot-Leloup[3], inspectrice générale des affaires sociales, nommée en 2017, alors âgée de 42 ans, diplômée de l'IEP de Paris, ancienne élève de l'ENA.
Pas trop médiatisée, cette DSS est pourtant chargée de l’élaboration et de la mise en œuvre de la politique relative à la Sécurité sociale : assurance maladie, accidents du travail et maladies professionnelles, retraite, famille, dépendance, financement et gouvernance.
En réalité, la gouvernance d'ensemble de la sécurité sociale, y compris la Santé publique, est pilotée depuis la citadelle de Bercy, et plus précisément par le ministère des Comptes publics.
Les commentateurs agréés nous assurent pourtant qu’il convient de remercier Agnès Buzyn présentée comme le sauveur de l’hôpital public. Une très belle image pour une campagne européenne qui ne dit pas encore son nom.
40 ans après Simone Veil, qui avait fait voter la loi de 1975 sur l'interruption volontaire de grossesse, fut tête de la liste UDF en 1979, et arriva la première avec 27,6 % des suffrages, le nouveau monde semble vouloir imiter l'ancien. Une fois élue, Simone Veil parvint même à devenir présidente du parlement européen grâce aux voix du Mouvement Social Italien...
Le ministère de la Santé mène à tout, à condition d'en sortir.
JG Malliarakis
Apostilles
[1] cf. article "Européennes: malgré de nombreux dossiers en cours, Agnès Buzyn tentée par une candidature"
[2] cf. "Agnès Buzyn, invitée de RTL" avec Elizabeth Martichoux du 26 février 2019.
[3] cf. sur le site officiel de la Direction de la sécurité sociale (DSS) l'annuaire au 14 janvier 2019.
https://www.insolent.fr/2019/03/buzyn-le-scenario-et-la-manoeuvre.html
Club privé des élites dirigeantes françaises (politiques, industriels, patrons de presse, technocrates, banquiers) fonctionnant par cooptation, le club Le Siècle organise chaque mois un dîner au cœur de Paris. L’occasion de tractations et de mises au point pour les membres de cette section française de l’hyper-classe mondialisée.
Aujourd’hui présidé par Patricia Barbizet, Le Siècle préserve le secret autour de ses alcoves. Le peuple ne sera donc pas mis au courant des conclusions des discussions entre Édouard de Rothschild, Serge Dassault, Jacques Attali, Guillaume Pepy, Alain Minc, Denis Olivennes, Stéphane Boujnah, Nicole Notat, Denis Kessler, Claude Tendil, Laurence Parisot, etc. mais gageons que les Gilets jaunes sont bien présents dans les esprits de ces « élites »…
https://www.medias-presse.info/les-gilets-jaunes-sinvitent-au-diner-du-club-le-siecle/105522/
Maurice Szafran, ancien patron de “Marianne”, quitte Radio Classique parce qu’Eric Zemmour arrive sur l’antenne.
“ne serait-ce qu’en raison de ses prochains et inéluctables ‘dérapages'”.
Sic.
“Mais pour le coup, cher Guillaume [Durand, le présentateur], tu passes au stade d’après : l’intégrer à notre collectivité éditoriale, qui, jusque-là, était attachée à défendre les valeurs du libéralisme, de la démocratie et de la République”.
Eric Zemmour sera invité à débattre régulièrement dans la matinale de Radio Classique, présentée par Guillaume Durand. Ce dernier considère que le journaliste est “l’incarnation de la tradition des polémistes français”.
Une raison de plus pour écouter Radio classique, avec l’excellente émission de Franck Ferrand chaque jour.