Témoignage exclusif d’un employé de la librairie qui a assisté à l’attaque de la Nouvelle Librairie par des antifas : « Certains gilets jaunes se sont interposés. »
France et politique française - Page 2102
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Des antifas casseurs vandalisent la Nouvelle Librairie et jettent des livres !
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Crise franco-italienne : Matteo Salvini dénonce l’hypocrisie de la France sur la question migratoire
Au lendemain du départ de l’ambassadeur de France à Rome, Matteo Salvini a annoncé ne vouloir se fâcher “avec personne” tout en restant très ferme. Il s’est dit prêt à rencontrer Emmanuel Macron, à condition que la France livre à l’Italie “quinze terroristes italiens” qui “boivent du champagne en France depuis des décennies alors qu’ils devraient être en prison en Italie“.
Le ministre de l’Intérieur italien a également déclaré :
Au cours des deux dernières années le gouvernement français, qui nous a appris la générosité et l’hospitalité, a rejeté plus de 60 000 migrants à la frontière franco-italienne. Des femmes et des enfants parfois abandonnés dans la forêt en pleine nuit. A mon avis, ce n’est pas le comportement d’un pays civilisé.
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°534
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Benjamin Griveaux craint la Manif pour tous
Le porte-parole du gouvernement ne craint pas de priver des enfants du droit d’avoir un père, non, il craint La Manif Pour Tous. Benjamin Griveaux a vécu les manifestations côté socialiste, au cabinet du ministre de la Santé, Marisol Touraine…
«Je ne veux pas qu’on revive dans la rue ce qu’on a vécu en 2013. Malheureusement, on n’y coupera pas… Il y a beaucoup d’antis. C’est un mouvement qui est là, qui a fait l’élection de Fillon à la primaire. Et Macron, c’est pas franchement leur tasse de thé.»
Pour preuve : la participation massive de la Manif pour tous à la consultation nationale organisée fin décembre par le Conseil économique social et environnemental (CESE).
Benjamin Griveaux imagine :
«Déjà que les européennes vont être sympas mais là, ça va être de la fake news en ébène massif sur les cellules souches, la recherche sur les embryons ou encore les accusations sur l’eugénisme généralisé. Wauquiez était d’ailleurs assez en avance là-dessus. Quant à LR, ils vous mettent François-Xavier Bellamy en tête de liste, vous avez compris.»
Et il omet l’opposition au sein de son propre parti. Selon les calculs d’un ministre, il y aurait «une quinzaine de députés de la majorité opposés à la PMA».
https://www.lesalonbeige.fr/benjamin-griveaux-craint-la-manif-pour-tous/
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L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Alain Escada, Président de Civitas
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Élections européennes : pourquoi ne pas dire la vérité ?
Les élections européennes (26 mai en France) ne s’annoncent pas franchement passionnantes, et ce, bien que ce soit enfin l’occasion, pour les Français, de sanctionner le Président Macron depuis son élection. Ce dernier, en prévision d’une faible participation, réfléchit à l’idée d’organiser un référendum dans la même période. En attendant, les têtes de liste sont annoncées les unes après les autres (Bellamy pour LR, Aubry pour LFI, Bardella pour le RN, etc.).
Pourtant, l’actuel président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avait affirmé – avec la sobriété qu’on lui connaît – qu’« il ne peut y avoir de choix démocratique face aux traités européens » (dans un entretien accordé au Figaro, en janvier 2015). De fait, élire un maximum de députés souverainistes dans un camembert déjà restreint au Parlement européen (79 sièges pour la France, contre 96 pour l’Allemagne) n’a aucun sens si ce n’est de permettre aux partis politiques d’avoir des élus avec des collaborateurs. Car la politique, c’est d’abord du business.
La liste que certains gilets jaunes veulent porter jusqu’à Strasbourg suinte la combine électorale pour faire baisser le score des rivaux du chef de l’État. Leur tête de liste, Ingrid Levavasseur, ressemble beaucoup à Édouard Martin, un syndicaliste de la CFDT qui faisait le spectacle devant les caméras de télévision dans un bras de fer avec ArcelorMittal durant l’élection présidentielle de 2012. Une fois élu, François Hollande avait su récompenser l’opportuniste en le mettant sur la liste PS pour les européennes de 2014. Rien d’étonnant, alors, que l’aide-soignante ait troqué des convictions pour un plat de lentilles.
Quant à la droite du PACS (Roselyne Bachelot), du « pain au chocolat » (Jean-François Copé) et de « la ration de frites supplémentaire » (Nicolas Sarkozy), celle-ci ne peut pas tenir un discours cohérent face à une politique économico-sociale qu’elle prône depuis la victoire du « oui » au référendum sur le traité de Maastricht (le 20 septembre 1992). Car les thèmes nationaux font gagner tant que les intérêts libéraux font siéger. Dans un territoire sans frontières, le politique compense son manque de souveraineté en se mêlant de ce qui se passe dans la chambre à coucher (loi sur le mariage homosexuel ou celle pénalisant les clients de prostituées) et en limitant les déplacements en voiture dans les zones périurbaines et rurales (80 km/h). Et la grande braderie se déploie sans détour : vente à la sauvette des industries, des routes, des terres, des patrimoines, des murs et des aéroports.
Tel un directeur des ressources humaines qui divise ses salariés pour mieux régner, Macron promeut une opposition morcelée en micro-partis. Le mouvement de l’ancien socialiste Benoît Hamon, Génération.s, prônant l’inclusion tant au niveau culturel que sociétal ne propose rien de très différent par rapport au macronisme. Il n’est pas surprenant de voir ce parti surreprésenté sur les plateaux télé alors que ce dernier n’a jamais subi l’épreuve du suffrage universel. Les « machins » ne s’arrêteront pas là. Fort à parier que les députés « des Français de l’étranger » prendront plus de places au nom de la désertification des territoires. Dans tous les cas, nos élus continueront de penser international.
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Lettre ouverte aux gilets jaunes : les trois menaces qui planent sur vous
Croyez bien, chers gilets jaunes, que c’est parce que je vous soutiens que je me permets de vous dire franchement ce que beaucoup se gardent bien d’exprimer.Le mouvement des gilets jaunes qui couvait depuis des mois est né en novembre d’un ras-le-bol fiscal qu’une réponse gouvernementale rapide et de même nature eût pu immédiatement neutraliser.Début décembre, il était déjà trop tard. Le mépris de l’exécutif en révéla les racines aussi profondes qu’anciennes, et c’est pourquoi les promesses du Président Macron tombèrent à plat le 10 décembre, malgré les dix milliards d’euros.Chacun a bien compris, alors, que ces dix milliards non prévus au budget alourdiraient d’autant le poids de la dette que nos enfants auront un jour à rembourser. Or, nombre de gilets jaunes ne le veulent pas – à commencer par les retraités qui se battent, justement, pour l’avenir de leurs enfants.Dès lors, la crise a quitté le champ des revendications économiques immédiates pour se porter sur celui, plus politique, de l’examen du consentement à l’impôt et de celui, plus polémique, de l’emploi des fonds ainsi collectés. La demande d’instauration du référendum d’initiative populaire illustre parfaitement cette évolution dans laquelle on pouvait voir ressurgir l’opposition entre France des riches et France des pauvres, entre France urbaine et France périphérique, entre France des gens instruits et France des « demeurés » auxquels les élites imposent ce qu’elles pensent bon pour eux.Au fil des semaines est cependant apparue une autre réalité. Si c’est bien la France d’en haut qui s’arroge le droit de tondre la France d’en bas, ce n’est plus pour lui en restituer le fruit sous forme de services publics mais pour le déverser sur la « 3e France », celle des banlieues, qui sert de petite main aux citadins de la mondialisation heureuse et dont il n’a échappé à personne qu’elle ne s’est absolument pas sentie concernée par le mouvement des gilets jaunes ; il est vrai qu’elle ne paye pas d’impôts et bénéficie de la sollicitude du pouvoir – pour ne pas dire plus.C’est aussi pour cela que la bourgeoisie provinciale et les classes moyennes rejetées hors des villes soutiennent les gilets jaunes, indépendamment des clivages politiques habituels. Car non seulement ceux-là payent toujours plus d’impôts mais, comme les petites gens, ils voient leurs conditions de vie se dégrader continuellement.Trois menaces planent actuellement sur les gilets jaunes :1) La récupération par l’extrême gauche. Elle dispose des structures et des cadres pour cela, mais on la reconnaît à son marxisme latent qui oppose les riches aux pauvres et à son culte des immigrés, dont elle veut faire son nouveau prolétariat.2) Le désamour des classes moyennes que l’on obtient systématiquement en provoquant le désordre (et le gouvernement n’a cessé de l’encourager) ou en perturbant l’économie, ce qui menace leurs économies. Du jour où ils perdront ce soutien, les gilets jaunes auront tout perdu.3) Les manœuvres du pouvoir qui, du grand débat à un possible référendum, tente de reprendre la main en neutralisant le mouvement. Pour le grand débat, rappelons que le rapport final sur les lois de bioéthique disait le contraire de ce que demandaient les participants. Quant au référendum, le Président veut pouvoir afficher publiquement qu’il a consulté le peuple.Pour les gilets jaunes, la porte de sortie consiste à prendre le Président à son propre piège, là où il est le plus faible, là où nous sommes sûrs de gagner : sur l’immigration, en saturant le grand débat avec ce thème et en demandant prioritairement, si ce n’est exclusivement, un référendum sur son arrêt.Ce faisant, les trois menaces tombent en même temps : l’extrême gauche se désolidarisera des gilets jaunes ; les classes moyennes sont, sur ce sujet, à l’unisson avec eux et le Président sait que la majorité des Français pense de même.Mais en quoi l’arrêt de l’immigration va-t-il régler le problème des fins de mois difficiles ? Quand on saura ce qu’elle coûte en dizaines de milliards d’euros par an, il y aura de quoi redonner de l’espoir à beaucoup. Les mesures redistributives prendront, certes, du temps mais il faut garder en mémoire qu’un pays se remet toujours d’une crise économique mais jamais d’une invasion de peuplement qui en change la nature, les valeurs, l’âme (cf. l’Empire byzantin originellement peuplé de Grecs chrétiens transformé, à partir de 1453, en un État peuplé quasi exclusivement de Turcs musulmans).Or, les chiffres sont là : la population issue de l’immigration – très majoritairement musulmane – augmente rapidement, du fait des arrivées et d’une fécondité bien supérieure à la nôtre. Dès lors, quel sens peut avoir ce noble combat en faveur de nos enfants et de notre pays s’il profite, en réalité, aux enfants des autres et à un pays qui ne sera plus vraiment le nôtre ?C’est l’ultime menace qui vous guette : ne pas mettre ce sujet-là au centre du grand débat. Gilets jaunes, ne vous y trompez pas : vous êtes à la croisée des chemins, la France aussi.Croyez bien, chers gilets jaunes, que c’est parce que je vous soutiens que je me permets de vous dire franchement ce que beaucoup se gardent bien d’exprimer.Lucien Paillet pour bvoltaire.fr -
Le Samedi Politique avec Charles Prats – Fraude aux allocs : l’injustice fiscale ?
Impôt progressif sur le revenu, CSG, taxes directes et indirectes, le mouvement des Gilets Jaunes a relancé la grande question du consentement à l’impôt. Face à cela, les fraudes sociales et fiscales continuent de grimper.
Comment rééquilibrer les caisses de l’Etat sans taxer toujours plus ceux qui n’en peuvent plus ? C’est la question à laquelle nous allons essayer de répondre avec Charles Prats, magistrat, spécialiste des questions de fraudes (fiscale et sociale) et membre de l’Institut Fiscal Vauban.
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Référendum : 73% des Français favorables, sauf les sympathisants de LREM
Depuis le début de la crise des Gilets jaunes, de nombreux Français estiment que la solution ultime à ce problème pourrait être l’organisation d’un référendum. Ainsi, près des 3/4 des personnes interrogées se disent «favorables» à l’organisation de ce recours au peuple, 27% étant contre cette initiative, apprend-on des résultats d’un récent sondage de l’Ifop pour Le Journal du dimanche.Cependant, les partisans de LREM sont les plus nombreux à se déclarer en majorité «pas favorables» à cette mesure, le taux s’élevant à 53%. […]
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Emmanuel Macron et Edouard Philippe : ils n’en ont plus pour bien longtemps
Selon Bernard Antony :
Les mots se bousculent chez les observateurs et analystes pour désigner le spectacle comportemental que donne désormais presque chaque jour Emmanuel Macron, tel un de ces monarques fiévreux des pièces de Shakespeare parlant durant des heures et des heures, le regard allumé, comme persuadé que, par la magie des chaînes en continu, l’univers l’écoute : frénésie, addiction, narcissisme…
Ce n’est certes pas de la logorrhée, car le personnage monopolise assurément le pseudo-grand débat avec encore un grand étalage de cohérence et de logique.
Mais il parle, il parle, il parle, Emmanuel, autant qu’un Jaurès, la culture classique et le génie oratoire en moins, autant qu’un Castro des premières années, engouffrant vite les questions pour d’interminables réponses dans une fascinante plénitude d’autosatisfaction.
Bien sûr pour chasser son angoisse.
Tant qu’il cause, en effet, il n’écoute pas les mauvaises nouvelles qui tombent de plus en plus comme jadis les balles à Gravelotte.
Celle qu’on voit de moins en moins, c’est Brigitte et quand on l’aperçoit, dissimulant de plus en plus son visage sous une chevelure tombante de griffon ou de bouvier des Flandres, on comprend bien que pour elle aussi l’heure est à l’inquiétude. Mais quand donc s’arrêtera-t-il de causer ?
C’est aussi ce que se demande tout l’entourage gouvernemental et de la République… en marche arrière.
Et voilà qu’on vient d’en apprendre encore de belles sur Benalla. « Quelle scoumoune que ce Benalla », trépigne Macron et désormais avec lui le glabre barbu Edouard Philippe, car la commissaire de police préposée à la sécurité de Matignon a pour compagnon un zigotto totalement compromis dans les coups tordus affairistes de Benalla avec de richissimes Russes aux mœurs financières pas très claires.
Avec ce genre de russes, fussent-ils plus ou moins poutino-compatibles, ça sent vite le roussi !
De surcroît, ce transcendantal imbécile de Castaner a eu l’incroyable maladresse de faire perquisitionner chez Plenel comme naguère chez Mélenchon. Plenel, avec sa bonté de cobra et avec derrière lui toute la solidarité médiatique que l’on sait, ne pardonnera pas.
Les révélations vont se succéder. Macron a toujours la ressource thérapeutique de passer désormais quatre ou cinq heures par jour dans les écoles maternelles de Blanquer.