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France et politique française - Page 2284

  • Affaire Clément Méric : Un procès pour la vérité ?

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    Aristide Leucate

    Le procès d’Esteban Morilllo, Samuel Dufour et Alexandre Eyraud qui s’ouvre aujourd’hui devant la cour d’assises de Paris sera-t-il le procès de la vérité ? Non pas celle, condamnée d’emblée par la bien-pensance intello-médiatique, encore moins celle, cadenassée d’avance par un pouvoir politique dont les accointances idéologiques avec l’ancienne mandature jette un voile suspicieux de partialité sur l’institution judiciaire, mais celle, toute nue et diaphane, presque immaculée, des faits et de la socio-psychologie.

    Du fait divers…

    Les faits sont dramatiquement simples. Une querelle de jeunes hommes de vingt ans dans les travées d’une vente privée « Fred Perry » (marque de vêtements très prisée chez les skins de « droite » et de « gauche »), passage Caumartin à Paris qui dégénère et se termine tragiquement lors d’une rixe mortelle entre bandes rivales. La victime, Clément Méric (membre de l’Action antifasciste Paris-Banlieue), qui tentait d’assaillir son adversaire par derrière, s’écroule sous le coup de poing porté par celui-ci, le faisant chuter à terre, sa tête heurtant le bitume.

    Il ne s’agissait pourtant pas de caïds allogènes de banlieues se disputant un territoire de la drogue, mais bien des « antifas » haineux désirant en découdre gratuitement avec des supposés fascistes. Les premiers, activement soutenus par le Front de gauche de Mélenchon, jusqu’au plus haut niveau de l’Etat socialiste, parviennent à retourner la situation en leur faveur et à politiser un évènement, certes terrible, mais journalistiquement éligible au rang des faits divers.

    …à l’engrenage politique

    Alors dirigeant des mouvements Jeunesses nationalistes révolutionnaires et Troisième Voie - tous deux dissous par Manuel Valls, conséquemment à cette malheureuse bagarre – Serge Ayoub (alias « Batskin » dans sa lointaine et turbulente jeunesse) sera auditionné durant 5 heures par la Brigade criminelle. L’engrenage politique est enclenché.

    Les magistrats de l’instruction retiendront la qualification pénale de « coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » (20 ans de réclusion criminelle) avec les circonstances aggravantes qu’ils ont été infligés en réunion et avec usage ou menace d'une arme (en l’occurrence un poing américain, ce que contestent les accusés) à l’encontre de Morillo et Dufour, tandis que leur complice, risque 5 ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende pour violences aggravées.

    Si les faits, déjà âprement discutés devant la Cour d’appel de Paris qui a confirmé les chefs d’inculpation en décembre dernier, ne parviennent toujours pas, à l’issue du procès d’assises, à faire pencher la balance en faveur des accusés, la psycho-sociologie d’iceux convaincra-t-elle le jury populaire de les acquitter ?

    Cette triste affaire est, en effet, à l’image d’une réalité que beaucoup ne veulent plus voir, celle d’une France périphérique jetée en pâture à l’opinion parce qu’elle penserait « mal », tandis que les inoxydables victimes d’un antifascisme fantasmé tiennent toujours le haut du pavé pace que faisant partie du camp du « bien ». Toujours le même spectre du Dupont-Lajoie, abruti de droite, venant hanter les demeures cossues et bohèmes des bourgeois de gauche.

    Si les juges restent insensibles à cette réalité, peut-être le peuple y souscrira ?

    NDLR : à partir de demain, Aristide Leucate suivra le procès pour le quotidien Présent cliquez ici.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Responsable(s) et coupable(s)

    boussole.jpgLe monstrueux typhon prénommé Jebi, le vingt-et-unième de la saison selon le décompte effectué, frappe actuellement le sud-ouest de l’archipel japonais paralysant les activités humaines; il est décrit comme le plus violent de ce dernier quart de siècle. Au ciel serein succède souvent la tempête et au sein du Mouvement national  nous ne l’ignorons pas, nous qui avons connu nombre d’épreuves et de tempêtes qui auraient été fatales  à des formations aux reins moins solides que les nôtres!  C’est le 26 septembre que nous saurons ainsi si la « justice » confirme ou non  la décision délirante des  juges politisés  Claire Thépaut et Renaud Van Ruymbeke,  de saisir au RN  2 millions d’euros d’aide publique. Soit ici la  poursuite de la cabale, dans l’affaire dite des assistants parlementaires, initiée et mise en place par l’ex président socialiste du Parlement européen, Martin Schultz, avec le relais alors de l’inénarrable Christiane Taubira. La sagesse des anciens nous le rappelle,  La roche tarpéienne est proche du capitole, la roue tourne vite en politique.   Ce n’est pas Emmanuel Macron qui nous dira le contraire, lui qui est passé directement si ce n’est d’un état de grâce, du moins du bénéfice du doute que lui accordait l’opinion au début de son quinquennat, à une défiance caractérisée un an après. Selon la dernière enquête Ifop publiée hier pour Paris Match et Sud Radio, il dévisse de 10 points en un mois. Désormais, moins d’un tiers des Français, 31 % des sondés,  approuvent son action à la tête de l’Etat contre 41% en juillet. Il recule notamment de manière spectaculaire auprès du cœur de son électorat,  à savoir les cadres, les professions libérales et de nouveau chez les retraités…

    La comparaison fait mal, et elle a bien évidemment valeur de symbole, l’ex ministre de François Hollande accuse une cote de confiance moins élevée que ce dernier (32%) à la même période de son mandat en septembre 2013; le tout aussi calamiteux Nicolas Sarkozy, au même stade, en septembre 2008, avait encore la confiance de 41% des Français…

     Le cafouillage gouvernemental auquel nous avons assisté sur le prélèvement de l’impôt à la source ne devrait pas inverser la tendance. Le co-président du groupe ENLNicolas Bay, rappelait  avec raison hier sur France Inter  « le danger d’une mesure qui fragilise le pouvoir d’achat des Français » et surtout  « la priorité » qui consisterait ENFIN, à donner de l’oxygène aux contribuables, à « baisser la fiscalité », dont le caractère confiscatoire, éminemment nocif pour notre économie,  prend un tour de plus en plus insupportable.

    Quant au mini-remaniement qui a eu lieu hier, il n’est pas apte non plus à soulever l’enthousiasme des foules. Le médiatique Nicolas Hulot est remplacé à la tête du ministère de la transition écologique par le président de l’Assemblée nationale,  François de Rugy. Membre de EELV jusqu’en 2015,  l’image d’opportuniste,  de traître à  la cause environnementale  lui colle à la peau. Il est  conspué notamment  pour le rôle actif qui fut le sien au printemps, quand il s’est agi  de passer à la trappe des  amendements visant à inscrire la sortie du glyphosate dans la loi sur l’Agriculture et l’alimentation.

    Autre départ du gouvernement, l’ancienne championne olympique d’escrime Laura Flessel a démissionné précipitamment hier de son poste de ministre des Sports, « pour des raisons liées à sa situation fiscale » selon des sources bien informées. Elle a été remplacée par l’ex championne de natation Roxana Maracineanu, ci-devant conseillère régionale socialiste d’Ile-de-France et notons-le,  partisane  convaincue  de la poursuite  de l’immigration et   de l’accueil des « migrants. »

    Migrants dont l’accès vers l’Europe a été grandement facilité par la situation catastrophique  dans laquelle se débat aujourd’hui  la Libye  depuis la liquidation du colonel Kadhafi menée par le trio Sarkozy-Juppé-BHL.

    Ce que nos  voisin transalpins, qui subissent  de plein fouet les répercussions de la   destruction de l’Etat libyen, ont logiquement  du mal à digérer. La responsabilité de Nicolas Sarkozy  a été implicitement  évoquée  lundi par Elisabetta Trenta ministre  de la Défense du gouvernement italien. D’autant plus que le chaos ne se dément pas dans cette ex colonie italienne, avec la multiplication ces derniers jours  des affrontements entre groupes rivaux qui se sont partagés le pays, l’échec de l’accord de cessez-le-feu, de la   mission de l’ONU en Libye (Manul).   Mme Trenta  a ainsi affirmé sur sa page facebook  que « le président (de l’Assemblée nationale italienne Roberto) Fico a raison : la France, de ce point de vue, a une responsabilité.  » « Évidemment, il est indéniable qu’aujourd’hui ce pays se retrouve dans cette situation parce que quelqu’un, en 2011, a privilégié ses intérêts à ceux des Libyens et de l’Europe elle-même », a-t-elle écrit.

    Il n’est jamais  agréable de voir la France critiquée à l’étranger mais le constat de Mme Trenta est terriblement juste et Bruno Gollnisch a souligné également plus globalement qu’au Levant, au Machrek, l’aura de la France a aussi beaucoup pâli  du fait de notre alignement  sur Washington  et le calendrier de l‘Otan.  Notons-le cependant,   dans le conflit syrien, la position prise par Emmanuel Macron est tout de même (officiellement)  moins  hystérique   que celle d’un François Hollande.

    A ce sujet c’est peut-être cependant de ce pays  que nous vient un motif d’espoir, en ce sens qu’il arrive quand même parfois   que les bons triomphent et que les méchants soient punis. La Syrie martyrisée, la Syrie outragée, la Syrie ensanglantée depuis 2012 par les milices islamistes,   le jeu trouble et pervers des atlantistes  et de  leurs alliés, sera bientôt  une  Syrie totalement  libérée. L’armée de la République arabe syrienne, appuyée par  les Russes et les Iraniens,  s’apprête  actuellement à mener une ultime  l’offensive dans la  province d’Idlib, dernière portion du territoire, au nord-ouest du pays,  accolée à la frontière turque,  contrôlée par les groupes  djihadistes. Y sévissent encore  notamment les terroristes du groupe Hayat Tahrir Al-Cham, émanation  de l’ex version   syrienne d’Al-Qaida, dont l’élimination devrait aussi  être un motif de joie et de soulagement pour les Européens….

    La nécessité de cette libération totale de la Syrie a été rappelé lundi par les ministres des Affaires étrangères russe et iranien. A contrario  l’ex directeur de la CIA et actuel secrétaire d’Etat Mike Pompeo,  a  déclaré le 31 août   que la Maison blanche   considérerait  une offensive de l’armée syrienne contre les brigades internationales islamistes  à  Idlib comme une « escalade d’un conflit déjà dangereux. » Mais est-il encore audible dans cette région du monde… et plus largement les Européens à la remorque le sont-ils encore?

    https://gollnisch.com/2018/09/05/responsables-et-coupables-2/

  • Jean-Luc Mélenchon : un populiste en peau de lapin qui se dégonfle devant Emmanuel Macron

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    Et Emmanuel Macron qui désigne son vrai ennemi...

    On connaît ce mot cruel de Marie-France Garaud : « Je croyais que Chirac était du marbre dont on fait les statues. En réalité, il est de la faïence dont on fait les bidets ». Après ce qui s’est passé à Marseille vendredi soir sur le Vieux-Port, on se dit que cette terrible sentence pourrait parfaitement s’appliquer à Jean-Luc Mélenchon.

    Profitant de son statut de député des Bouches-du-Rhône, le patron de la France insoumise, désireux de se positionner en premier opposant à Emmanuel Macron qui rencontrait dans la cité phocéenne Angela Merkel, est évidemment venu plastronner sur place. L’après-midi, dans un discours dont il a le secret, il a déclaré qu’Emmanuel Macron était « le plus grand xénophobe qu’on ait ».

    On peut sans doute prêter au Président de la République beaucoup de défauts, mais ce n’est pas celui auquel on penserait spontanément. On pourrait, par exemple, évoquer la loi Asile-Immigration, voulue par Emmanuel Macron, votée cet été, qui, sous couvert d’accélérer les procédures d’asile, risque fort bien d’être un accélérateur d’immigration – en clair, un appel d’air. Ainsi, avant même le vote de cette loi, entre janvier et fin juillet, les demandes d’asile ont augmenté de 16 % par rapport à la même période en 2017. On a donc vu de plus terribles xénophobes ! L’ambiance de Marseille et son sens légendaire du grossissement épique, le soleil qui tape dur sur le bitume, le pastis par dessus, peut-être, l’envie irrépressible de faire le malin au milieu des copains, une fatigue ponctuelle ? L’éventail des possibilités est ouvert, comme on dit joliment.

    Et puis, à l’heure du dîner, rencontre fortuite bien organisée des deux protagonistes dans la rue. Une rencontre historique car elle révèle toute l’imposture de l’opposition en peau de lapin de Jean-Luc Mélenchon. En effet, interrogé devant le Président par un journaliste sur ses propos de l’après-midi, le matamore de la France insoumise, relativise en répliquant d’une onomatopée : « Po, po, po! » Le président intervient alors : « Non, ça m’étonnerait ». Et le journaliste d’insister : « Ah, il l’a dit ! » Mélenchon : « Vous ne pouvez pas le croire ? » « Non, non, non ! », plaisante Emmanuel Macron, sur le ton convenu qui signifie tout le contraire. « Peut-être une légère exagération marseillaise ! », se justifie le député. La vidéo circule sur Internet. Chacun jugera. Finalement, cette scène ramène Mélenchon à ce qu’il est : un clown triste. Une scène, du reste, qui n’est pas sans rappeler le sketch de Coluche, « Le CRS arabe ». En moins drôle. « Non, je dis qu’on a tort de s’énerver, si tu veux, parce qu’on arrive à dire dans la conversation des choses qu’après on regrette, je veux dire. Je regrette, si tu veux. Je me dégonfle ? Oui, je me dégonfle ! »

    En moins drôle parce que dans cette conversation « improvisée », il faut bien écouter ce qu’Emmanuel Macron dit. A cette question d’un journaliste « Votre adversaire, c’est plus le Front National que lui-même [Mélenchon], finalement ? », le soi-disant « président de tous les Français », répond alors : « Ah, j’ai aucun doute ». Et le plus grave peut-être : « On a des confrontations politiques, mais ce [Mélenchon] n’est pas mon ennemi ». Le sous-entendu est clair, sans ambiguïté : en creux, Emmanuel Macron qualifie le Rassemblement National d’ennemi.

    Au final, cette petite rencontre anecdotique est riche d’enseignements que nous laissons à nos lecteurs le soin de tirer eux-mêmes.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/jean-luc-melenchon-un-populiste-en-peau-de-lapin-qui-se-degonfle-devant-emmanuel-macron/

  • Européennes 2019 : Marion, avanti!

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    N’en déplaise aux donneurs de leçons, l’arrivée au gouvernement d’un parti populiste assumé n’est que l’expression d’un choix démocratique rendu possible par un mode de scrutin respectueux des aspirations populaires. Aujourd’hui, les Italiens ont clairement dit « basta ! » aux atermoiements de l’Union européenne en matière de gestion des flux migratoires incontrôlés.

    La dynamique initiée par le leader de la Ligue procède d’un message politique clair : la péninsule n’a plus vocation à recevoir sur son territoire les vagues de clandestins récupérés en mer sans que l’Union européenne assume le traitement de ce nouveau vecteur d’immigration économique aux conséquences sociales et culturelles explosives.

    Une majorité d’Italiens a plébiscité cette initiative parce que confrontée quotidiennement aux conséquences de cette immigration subie et désorganisée. Et les résultats n’ont pas tardé à se faire sentir, puisque la politique volontariste de Salvini a fait chuter le nombre de « migrants » illégaux de près de 80 % depuis sa nomination en tant que ministre de l’Intérieur. Preuve que, lorsqu’on veut, on peut.

    La question migratoire est devenue la préoccupation première des peuples du Vieux Continent et constituera, à n’en pas douter, le thème central des élections européennes de 2019. Un thème transversal qui ne pourra être l’apanage d’un seul parti mais, au contraire, devra constituer le catalyseur d’une grande coalition susceptible de changer la donne au niveau européen avec, pour conséquence, une remise en cause du fonctionnement des institutions de l’Union.

    À ce titre, l’idée proposée par Matteo Salvini de décliner, dans chaque circonscription nationale, une liste affiliée à cette coalition populiste et souverainiste est pertinente. Alors que la Constantinople européenne est assiégée par des individus plus intéressés par son or que par ses avancées culturelles et sociétales, certains se complaisent à disserter sur le sexe des anges, limitant la liberté des peuples aux seules questions économiques et monétaires. Le réalisme commande que l’on se concentre sur l’urgence du moment, étant rappelé qu’une nation se remet toujours d’une crise économique, jamais d’une invasion.

    Une fois les frontières de l’Europe sécurisées et l’ordre rétabli, l’esprit d’entreprise fera le reste, porté par une baisse des dépenses publiques, préalable indispensable à toute reprise économique.

    La France est, aujourd’hui, à la croisée des chemins, partagée entre un exécutif ultra-minoritaire soumis à la doxa immigrationniste, sourd aux préoccupations populaires et enfermé dans les logiques comptables de Bruxelles, et une majorité en quête de repères identitaires et hostile à cette immigration économique, prémices d’une immigration de peuplement. Son salut pourrait bien surgir du scrutin européen en plébiscitant la constitution d’une liste d’union nationale, capable de s’affranchir des logiques partisanes, porteuse d’une exigence inébranlable en matière de sécurité et d’immigration.

    L’Italie, l’Autriche, la Hongrie, la Pologne, la Tchéquie et la Slovaquie ont clairement affirmé cette ambition vitale : il appartient à la France de rejoindre ce concert des nations libres au sein d’une Europe des coopérations. Il ne reste qu’à peine six mois aux Français pour s’organiser électoralement et prendre une part active dans ce projet d’avenir. L’extrême gauche, les socialistes, leurs avatars de La République en marche et ses satellites centristes ont très clairement affiché leur préférence pour un monde sans frontières et leur soumission à l’islam conquérant. En réponse à ce choix funeste, la constitution d’une coalition attachée aux principes de liberté, d’identité et de souveraineté est une urgence absolue. Reste la question du choix du leader capable de structurer cette ambition pour la porter vers la victoire.

    Il n’y a pas si longtemps, une jeune femme a su montrer des qualités exceptionnelles, forte d’un amour immodéré pour sa patrie, désintéressée sur le plan matériel, capable de rassembler sur une ligne politique claire, aux amitiés transalpines affirmées quand elle n’est pas reçu avec attention aux portes de l’Oural et outre-Atlantique. Si vous voyez ce que je veux dire… « Marion, avanti! »

    Hervé de Lépinau

    http://www.bvoltaire.fr/europeennes-2019-marion-avanti/

  • Xavier Raufer : « La France a un seul problème criminel immense, c’est celui des quartiers hors contrôle »

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    Le criminologue Xavier Raufer revient, pour Boulevard Voltaire, sur l’étude publiée par Le Figaro : « Près d’un millier d’agressions par jour. »
    Pour lui, les quartiers hors contrôle constituent la première menace pesant sur la sécurité au quotidien.

  • La chute du mur

    belier.jpgVendredi, Jawed S. un  Afghan de 19 ans, titulaire d’une carte de résident  en Allemagne, a attaqué au couteau et grièvement blessé  deux Américains  dans la gare d’Amsterdam (Pays-Bas). Une tentative d’assassinat qui est intervenue au  lendemain d’un appel de talibans afghans et d’extrémistes pakistanais à mener le djihad  contre les  Néerlandais. Il s’agissait de répliquer au souhait   du député  Geert Wilders d’organiser un concours de caricatures du prophète Mahomet. M. Wilders a renoncé finalement à son projet. Outre-Rhin, c’est l’énième meurtre d’un Allemand, lardé de coups de couteau par deux réfugiés, un Syrien et un Irakien, samedi 26 août à Chemnitz (Land de Saxe), qui  a crée dans cette  ville d’ex Allemagne de l’Est de grandes tensions. Des manifestations de protestation contre la politique migratoire d’Angela Merkel et les violences commises par un nombre non négligeable d’immigrés, ont été organisés,   auxquels ont participé des membres de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) et du mouvement anti-islamique Pegida. La situation aurait même dégénéré parfois en une chasse à l’étranger ont rapporté certains médias.  Le porte-parole du gouvernement  fédéral, Steffen Seibert,  a condamné officiellement des chasses à l’homme . Réponse de Markus Frohnmaier, député de  l’AfD: « si l’Etat ne peut plus protéger les citoyens, les gens sortent dans la rue et se protègent, c’est simple! » Samedi un nouveau rassemblement se déroulait sans cette ville pour demander l’arrêt de l’immigration sauvage.

    Le quotidien  Libération, utilisant comme à son habitude  la logorrhée gauchiste au service des intérêts du grand capital cosmopolite , titrait mardi dernier sur « le venin xénophobe » qui contaminerait  toute Europe. Mazette!  «Dans l’est allemand , la haine est dans la rue. » Pourquoi?  Et bien nous explique le dénommé Robert Lüdecke, porte-parole de la fondation Amadeu Antonio, qui lutte contre l’extrême droite, la racisme et l’antisémitisme, cela est dû au fait que « la Saxe a une expérience très limitée des minorités et de immigration. On doit cela a son héritage de land d’ex RDA. »  Si l’on suit  ce raisonnement, pour lutter contre le racisme il conviendrait donc de faire venir beaucoup plus d’immigrés, de noyer les de souche sous la masse… Mais les Germains ne sont pas les  seuls dans le collimateur: « En Italie le racisme va crescendo » , en Hongrie,  Viktor Orban  ferait régner « l’esprit de famine » avance le quotidien de Patrick Drahi,  tandis que le chercheur Aurélien Mondon expliquait notamment que la Ligue,  le RN, le Fidesz, Ukip «sont des partis xénophobes avant d’être populistes. » Dans son éditorial, Alexandra Schwartzbrod reprenait  les tics de langage d’un Raphaël Glücksman ou d’un BHL pour asséner doctement que « l’arc du populisme en train de se former entre l’Italie et la Hongrie », « libère la parole et les actes racistes dans un nombre croissant d’Etats membres. »

    La responsabilité de ces réactions, et Bruno Gollnisch déplore et condamne bien évidemment toutes les violences,  n’incomberait pas  à ceux qui ont fait venir massivement des populations non européennes qui ne peuvent ou ne veulent s’assimiler. Non, pour Libé comme pour 95% des gros médias, les coupables sont les salauds d’Européens qui entendent par leur vote  se protéger de la submersion , des violences, de la dégradation de leur cadre de vie,  des attaques contre leur mode  de vie.

    Certes,  la bêtise  et la mauvaise foi sont choses très partagées et le chanteur milliardaire Bono (son portefeuille d’actions s’élèverait à 1,4 milliard d’euros selon le quotidien anglais The Mirror) du groupe irlandais U2,  est lui aussi un grand donneur de leçons citoyennes au nom du vivre-ensemble.  Reçu à  l’Elysée par Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy, François Hollande, et dernièrement par  Emmanuel Macron, invité régulier des raouts du G7 et du G8, des sommets internationaux, la star  n’hésite pas fréquemment,  lors des prestations publiques  de son groupe,  à apostropher l’assistance sur les dangers de l’extrême droite. 

    Il avait atteint le sommet du ridicule il y a quelques années en France en tentant  sur scène de joindre  Jean-Marie Le Pen par téléphone pour lui dire tout le mal qu’il pensait de lui.  Justice immanente? En concert à Berlin  il a été frappé samedi soir  d’une extinction de voix. La veille, il exhortait la veille le public  berlinois lors de son  premier concert dans la capitale allemande  à chasser, à Chemnitz comme ailleurs,  les sympathisants nationaux, populistes, identitaires:  « De tels gens n’ont pas leur place en Europe et dans ce pays », avait-il dit. Ferme-là, ferme-là définitivement comme dirait un célèbre et talentueux  humoriste…

    A Chemnitz, justement la nouvelle manifestation samedi à l’appel notamment de  l’AfD et de Pegida contre l’insécurité générée par immigration massive a rassemblé plusieurs milliers  de personnes.  L’Afp a précisé dans un dépêche que « certains scandaient nous sommes le peuple, reprenant le slogan des manifestants lors de la chute du régime communiste de RDA à l’automne 1989, ou encore Merkel dégage en portant des drapeaux allemands. D’autres défilaient avec de grands portraits de victimes d’attaques perpétrées, selon eux (sic)  par des demandeurs d’asile. » La contre manif d’extrême gauche fut elle un échec en terme de mobilisation , mais « le gouvernement, par la voix du ministre des Affaires étrangères Heiko Maas, a apporté son soutien à cette dernière manifestation (…). L’Allemagne a causé des souffrances inimaginables à l’Europe. Si à nouveau des gens défilent aujourd’hui dans les rues en effectuant le salut nazi (des provocateurs manipulés?; ce ne serait pas la première fois… NDLR) , notre histoire passée nous oblige à défendre résolument la démocratie  », a-t-il écrit sur Twitter.

    Reductio ad hitlerum bien  grossière et écœurante, nous en avons l’habitude,  toujours efficace (?) pour annihiler tout esprit de résistance,  tenter de faire culpabiliser l’indigène qui ne communierait  pas spontanément dans les joies de la société plurielle.

    Dans ce combat là pour le nouveau monde, et dans la perspective des élections européennes de juin 2019, le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux,  a tenté de mobiliser  les troupes progressistes.  Invité hier du  Grand Rendez-vous Europe 1/CNews/Les Echos, il n’a pas évoqué le positionnement immigrationniste du lider maximo de La France Insoumise mais  fait part de sa  «peur que Jean-Luc Mélenchon, qui se dit internationaliste, soit au fond un nationaliste de première catégorie »; celui-ci ne prendrait pas la mesure du danger de la montée des exigences nationales  et identitaires qui menacent l’Europe bruxelloise.

    «Vous avez, en Europe, a-t-il dit,  des forces politiques qui veulent mettre un terme à l’aventure européenne (sic) , à ce que nous avons toujours connu, qui fait que j’ai grandi dans un ensemble géographique de paix et de croissance, évidement avec des difficultés, et confronté aujourd’hui à des défis majeurs auxquels elle n’a pas su répondre. » Ces défis majeurs les nationaux  les connaissent,  y apportent un diagnostic et  des solutions. Nous avons la volonté de les surmonter pour le bien de la France, la survie de notre civilisation commune  et de l’Europe des patries libres.  Oui, nous sommes le peuple et la chute du mur  euromondialiste est inéluctable!

    https://gollnisch.com/2018/09/03/la-chute-du-mur/

  • Le Monde souligne que ce sont les écoles musulmanes hors contrat qui posent problème

    Dans un article consacré au succès croissant des écoles libres, Le Monde souligne :

    "Ce durcissement de la loi est la suite d’une intensification des inquiétudes autour des écoles musulmanes, renforcées par le long feuilleton toulousain de l’école Al-Badr. Le Conseil constitutionnel a certes validé le 1er juin l’article de loi sur lequel s’était appuyée la justice en décembre 2016 pour ordonner la fermeture de cette école pour « enseignement non conforme ». Mais cet avis n’a pas valeur d’obligation de fermeture et, en affirmant attendre des indications pour se mettre en conformité, Al-Badr prévoit de rouvrir à la rentrée. Une situation qui a de quoi agacer les autorités : la loi du printemps vise notamment les écoles de confession musulmane et a été soutenue par le gouvernement, par la voix du premier ministre, Edouard Philippe, comme un outil contre « l’embrigadement » islamiste. Dans quelle mesure ces écoles représentent-elles un danger ?"

    Par ailleurs, Le Monde reconnaît le succès des écoles libres :

    "le secteur connaît un succès non démenti ces dernières années :le nombre de nouvelles écoles hors contrat a été multiplié par quatre en sept ans."

    CaptureEt cela se fait sentir :

    "les écoles publiques, dans le primaire, ont perdu 30 000 élèves en 2017 par rapport à la rentrée 2016. Les écoles privées en ont quant à elles gagné 7 000, dont 5 000 dans le privé hors contrat.En maternelle, ce dernier a gagné 300 enfants de plus, quand le privé sous contrat en perdait 1 300 et le public 2 600."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/le-monde-souligne-que-ce-sont-les-%C3%A9coles-musulmanes-hors-contrat-qui-posent-probl%C3%A8me.html

  • Peyrolles (13) : polygame, il se marie avec une femme de 13 ans, et la menace de « lui couper les pieds »

     Le tribunal d’Aix-en-Provence a condamné un homme, un certain Sabri, à une peine de 18 mois de prison pour violences et menaces sur l’une de ses deux femmes.

     
    Edibe n’a pas revu son fils depuis le 12 août dernier. Après avoir quitté son domicile familial, elle n’a pu prendre que deux de ses trois enfants.

    Son mari, Sabri, et sa belle famille l’on alors menacé: « on va te couper les pieds et tu ne reverras plus ton fils ». Comme le rapporte La Provence, la victime a toujours su qu’il faudrait en passer par là pour s’arracher, enfin, de cette emprise familiale de l’homme qu’elle avait épousé religieusement en Turquie quand elle n’avait que 13 ans.

    Mais il n’y a pas que les violences. Il y a quelques années, en l’absence de grossesse, Sabri a décidé de prendre une seconde épouse. Finalement, il aura trois enfants avec chacune de ses deux femmes.

    Le tribunal a condamné Sabri à une peine de 18 mois, dont la moitié avec sursis et ordonne son maintien en prison. Il a aussi l’interdiction d’entrer en contact avec la victime.

    varmatin.com
    http://www.fdesouche.com/1067753-peyrolles-13-polygame-il-se-marie-avec-une-femme-de-13-ans-et-la-menace-de-lui-couper-les-pieds