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France et politique française - Page 2347

  • Sur l’immigration, la gauche n’a plus les mots

    Luttant mollement contre la désignation des migrants comme boucs émissaires et la définition de l’immigration comme « problème », les partis de gauche semblent avoir renoncé à imposer un autre discours sur la question.

    Lors de la manifestation du 21 février 2018 – la première unitaire depuis 2015 sur le sujet – seuls les associations et collectifs appelaient à se rassembler pour dénoncer le projet de loi « Asile et immigration ». Parmi les participants, plusieurs centaines de personnes, avocats, agents de l’État du secteur de l’asile et associations d’aide aux migrants. Quelques élus, élus locaux ou députés communistes et insoumis, y ont participé mais leur présence est restée marginale. Parce que dans les faits, à part sur quelques plateaux de télés et de radios pour dénoncer mécaniquement « la politique du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb », il n’y a pas grand monde pour promouvoir une politique d’accueil ambitieuse et volontariste.

    La bataille culturelle abandonnée

    Aujourd’hui, c’est la France insoumise qui donne le la, à gauche. Et lorsqu’on observe les grandes campagnes nationales retenues par ses militants pour l’année 2018, aucune parmi les trois choisies ne concerne les droits des étrangers. Et pourtant, alors que la « crise migratoire » s’intensifie en Europe et que l’année 2018 – notamment par l’agenda politique engagé par Emmanuel Macron et cette loi « Asile et immigration » – va sans doute marquer un tournant sans précédent de la politique d’accueil en France, une mobilisation politique, intellectuelle, syndicale, de l’ensemble de la gauche aurait été nécessaire.

    Comme si la gauche avait abandonné la bataille culturelle. La bataille des idées. Celle des convictions. De la pédagogie, à travers de larges campagnes. Ne serait-ce que pour contrer à l’échelle nationale le discours ambiant qui, de l’actuelle majorité en passant par la droite de Laurent Wauquiez et l’extrême droite de Marine Le Pen, ne cesse de répandre des préjugés les plus nauséabonds. Ainsi, comme le relevait Héloïse Mary, présidente du BAAM (Bureau d’accueil et d’accompagnement des migrants) dans La Midinale du 21 février dernier : « La gauche a perdu une grande partie de son influence sur les questions migratoires par peur du Front national et de sa faiblesse idéologique […]. Elle est prise au piège de l’opinion publique. »  (…)

    http://www.fdesouche.com/1063951-sur-limmigration-la-gauche-na-plus-les-mots

  • Jean-Marie Le Pen convoqué par la Justice pour des propos tenus en... 2009 !

    668613750.jpgCaroline Parmentier Présent cliquez ici

    A 90 ans Jean-Marie Le Pen fait encore l’objet d’un acharnement judiciaire aussi grotesque que scandaleux. Il vient d’être convoqué le 17 septembre prochain par le Tribunal de Grande Instance de Paris qui envisage sa mise en examen pour des propos tenus en 2009 lors d’une interview à RTL.

    Interrogé sur l’augmentation des chiffres de l’insécurité en France, notamment celui des violences sur les personnes à l’occasion d’une déclaration du Ministre de l’Intérieur de l’époque (NDLR : Brice Hortefeux, sous le gouvernement Sarkozy), Jean-Marie Le Pen avait déclaré ce jour-là, 20 août 2009 : 

    « Monsieur Sarkozy ne se donne pas le moyens de faire la politique qui passe d’abord par le contrôle de l’immigration. L’immigration qui n’a cessé d’augmenter dans notre pays et qui crée la situation, principalement l’insécurité. Il n’y a qu’à regarder les faits divers. 90 % des faits divers ont, à leur origine, soit un immigré, soit une personne d’origine immigrée. C’est un fait dont il faut tenir compte » (…) 

    « Ces propos », conclut le juge d’instruction dans sa convocation datée du 13 août 2018, « contiennent l’allégation ou l’imputation de faits de nature à porter atteinte à l’honneur ou à la considération envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à un ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». On en est encore là…

    Rien à voir avec une origine ou une religion !

    A noter que dans notre pays doté du plus gigantesque empilement de lois liberticides antiracistes qui aient jamais été imaginées (loi du 23 juillet 1881, loi Pléven de 1972, loi Gayssot de 1990, loi de 1992 sur la réforme du Code pénal etc.) le délai de prescription pour des simples mots tenus au micro d’une radio, est incroyablement long. 

    Propos qui déjà à l’époque n’avait rien d’exagéré mais qui à fortiori dix ans après (et après cinq ans de Hollandie) apparaissent en deçà de la réalité. Car depuis il y a eu de nombreux morts. Entre temps, les violences des racailles sont devenues le quotidien d’une multitude de Français à l’image de l’affaire Adrien Pérez assassiné par les frères El Habib pour avoir défendu ses amis à la sortie d’une boite de nuit à Grenoble. Le nombre de victimes qui tombent sous les coups de « toujours les mêmes », de la délinquance issue de l’immigration, le déferlement de témoignages précis de violences sur les réseaux sociaux, le prouvent chaque jour. 

    Entre temps le terrorisme islamiste est également passé par là. Avec ses 250 morts, ses centaines d’attentats aux cris d’Allah Akbar, militaires et policiers assassinés, jeunes massacrés et mutilés au Bataclan, prêtre égorgé en pleine messe, adolescentes égorgées gare Saint-Charles, enfants écrasés en camion à Nice… 

    Et là plus que jamais au grand jamais, rien à voir avec un groupe de personnes, son origine ou son appartenance à une religion déterminée. Plus la vérité éclate et plus la répression pour ne pas qu’elle sorte, s’intensifie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Stopper toute nouvelle immigration

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    Ligne Droite cliquez ici

    L’immigration n’est plus une chance pour la France. Aujourd’hui, personne sur la scène politique n’ose plus vanter les mérites de ce phénomène tant sont évidents les troubles qu’il crée au sein de la société. Mais dans le même temps, personne n’apporte de solution à ce problème qui ne cesse dès lors de s’amplifier et de s’aggraver. Pour Ligne droite, il est donc urgent de prendre une mesure de sauvegarde qui devrait s’imposer d’elle-même : stopper toute nouvelle immigration.

    L’immigration, une source de problèmes majeurs

    Même des personnalités de premier plan, pourtant très politiquement correctes, ont reconnu en leur temps les difficultés que suscitait ce processus. M. Mitterrand n’a-t-il pas déclaré il y a plus de trente ans que le seuil de tolérance était atteint ? M. Giscard d’Estaing n’a-t-il pas, de son côté, parlé d’invasion? MM. Chirac et Sarkozy, chacun à leur façon, n’ont-ils pas évoqué les tourments qui en résultaient pour nombre de nos compatriotes ? Même M. Hollande, dans son livre confession, a lui aussi reconnu cette réalité.

    Et, de fait, l’immigration, qui a déjà profondément altéré la physionomie de notre pays, soulève d’innombrables difficultés dont les médias se font quotidiennement l’écho. Car c’est l’immigration qui est à l’origine des zones de non-droit où l’insécurité et la drogue règnent en maîtres. C’est l’immigration clandestine qui conduit à la création de bidonvilles dans de nombreux quartiers de nos villes. C’est l’immigration encore qui a installé l’islam sur notre sol, une religion étrangère à notre civilisation qui provoque tous les jours ou presque des débats sans fin. Un jour c’est le voile, un autre ce sont les repas halal. Un autre encore ce sont les mosquées ou les prières de rue. Et que dire du terrorisme islamique perpétré sur notre sol par des immigrés installés chez nous ? À vrai dire c’est dans d’innombrables domaines, comme celui de l’emploi, du logement, de l’école, de la sécurité ou de l’hôpital, que les problèmes s’accumulent. À cela s’ajoute le coût financier de cette immigration qui pèse sur les dépenses publiques pour plus de soixante-cinq milliards d’euros chaque année. Et, même si ce chiffre est contesté par les tenants du Système, personne aujourd’hui ne peut plus nier que l’immigration soit une source de difficultés majeures pour notre société.

    Stopper l’immigration pendant dix ans

    Face à cette situation, il n’y a donc que deux attitudes possibles. Ou on détourne le regard en ignorant la réalité comme le font les responsables du Système, où on affronte le problème et il n’y a alors qu’une réponse possible : il faut prendre une mesure conservatoire d’urgence et stopper toute nouvelle immigration pendant au moins dix ans. Ligne droite considère qu’une telle mesure s’impose d’elle-même car elle ne procède pas d’une démarche idéologique mais correspond à une attitude purement pragmatique. Lorsqu’un problème se pose, la première mesure à prendre est d’en tarir la source. Si une inondation se déclare dans une maison, avant de réparer les dégâts on obture les arrivées d’eau. De même, face à l’ampleur des troubles provoqués par l’immigration, le bon sens commande d’interrompre les flux d’arrivée de façon à pouvoir résoudre les difficultés liées à ceux qui sont déjà présents sur notre sol.

    Une loi d’exception pour des mesures de sauvegarde

    Or, contrairement à ce qu’affirment les tenants du Système, il est possible de stopper l’immigration. Il faut pour cela expulser ceux qui entrent clandestinement, ne plus autoriser d’arrivées légales, supprimer tous les avantages qui attirent les immigrés chez nous et s’efforcer au plan européen de limiter la poussée des migrants.

    Pour détendre la pression migratoire et en tarir les flux, il faut en effet que la nouvelle Europe, préconisée par ailleurs par Ligne droite, établisse un véritable contrôle à ses frontières extérieures, comme le font les pays du groupe de Visegràd pour leur propre compte, et donne mission aux marines européennes de reconduire les “migrants” dans leurs ports de départ.

    Sur le plan national, il convient d’abord de rendre possibles les expulsions de clandestins et de délinquants étrangers en écartant les juges de la procédure, laquelle doit revenir exclusivement aux préfets. Dans cet esprit, il faut aussi suspendre les règles de Schengen et renforcer les sanctions contre les passeurs et les entreprises qui utilisent de la main-d’œuvre illégale. S’agissant des demandeurs d’asile, ils devraient tous être reconduits sans délai à la frontière, à l’exception de quelques personnes reconnues par le gouvernement pour être effectivement persécutées dans leur pays en raison de leurs prises de position politiques.

    Le regroupement familial devrait par ailleurs être abrogé et le titre de séjour devenir révocable ad nutum, permettant ainsi de renvoyer chez eux les chômeurs étrangers en fin de droits.

    En outre, l’acquisition de la nationalité française ne devrait plus être possible selon la procédure dite du droit du sol. Quant à l’octroi des avantages sociaux d’assistance, il devrait être réservé aux nationaux et aux Européens. Enfin, les immigrants qui démontrent leur refus de s’intégrer notamment par la délinquance, le terrorisme, l’intégrisme islamique et le refus de travailler devraient être expulsés.

    Un moratoire consensuel

    Ces mesures, prises dans le cadre d’une loi d’exception pour une durée de dix ans, devraient rencontrer un large assentiment. Car, que l’on soit pour ou contre l’immigration dans son principe, chacun devrait reconnaître que la situation exige une pause dans les flux migratoires afin de mettre l’État en mesure de résoudre réellement et efficacement tous les problèmes actuels. Certes, les mesures préconisées sont en rupture avec les principes du politiquement correct et demanderaient pour être adoptées que soit mis fin au gouvernement des juges, mais n’est-il pas temps de sortir de ce carcan pour résoudre les problèmes qui sinon ne le seront jamais ?

    Un révélateur des intentions de la classe politique

    Au demeurant, l’attitude des responsables politiques et médiatiques à l’égard de ces mesures de sauvegarde serait très révélatrice. Ceux qui, bien qu’idéologiquement favorables à l’immigration, accepteraient le dispositif en reconnaissant le bien-fondé d’une pause dans le processus migratoire, démontreraient ainsi leur sens de l’intérêt national. En revanche, ceux qui s’opposeraient à ce moratoire, acceptant délibérément de laisser les problèmes de l’immigration continuer à s’aggraver, révéleraient la volonté qui est sans doute la leur d’utiliser cyniquement ces vagues migratoires dans le but mortifère de déconstruire notre civilisation.

    Vers la réémigration

    Chacun serait ainsi amené à prendre ses responsabilités. Mais il est clair que nos compatriotes seraient, quant à eux, largement favorables à l’arrêt de l’immigration pendant dix ans. Une période qui serait mise à profit pour assainir la situation et à l’issue de laquelle le choix serait donné au peuple français de lever ces mesures d’exception ou de les maintenir de façon définitive. Ne doutons pas que les Français, qui auraient expérimenté une amélioration spectaculaire de leur qualité de vie, se prononceraient massivement pour un arrêt définitif de toute immigration et pour le retour dans leur pays d’origine des étrangers qui ne souhaitent pas, ou ne peuvent pas, s’assimiler.

    L’immigration n’est pas une fatalité. Si l’on sort du politiquement correct, les solutions existent.

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  • Un débat sur l'islamisation et le féminisme où Zemmour dit bien des vérités... A écouter !

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    Sans commentaire. Il nous semble que ce débat (env. 25 minutes) mérite d'être écouté, médité, discuté. Du grand Zemmour !  LFAR 

     [Janvier 2018]

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Radars vandalisés : la France profonde répond à Édouard Philippe par deux coups de peinture

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    C’est un phénomène massif, généralisé, sur tout le territoire. On imagine les préfets pointant des petites pastilles rouges ou orange (orange comme la peinture constatée par les gendarmes) sur la carte de leur département, et faisant remonter des notes à Paris : « En un mois, 35 radars vandalisés en Haute-Loire », et ainsi de suite pour chacun des départements français. Pour la Haute-Loire, c’est un reportage de BFM TV qui a dévoilé les chiffres, tout en interviewant un lieutenant-colonel de gendarmerie et un automobiliste qui, bien que le condamnant, expliquent le phénomène par le passage aux 80 km/h sur tout le réseau départemental et expriment de façon très policée ce que d’autres ont dit avec leurs coups de peintures multicolores sur les radars.

    Même phénomène dans les Hautes-Pyrénées, cette fois décrit par La Dépêche :

    « Les graffitis, sur les principaux radars des axes routiers les plus fréquentés des Hautes-Pyrénées, se sont multipliés ces derniers jours : à Tarbes, route de Vic-en-Bigorre ; à Pinas, à Capvern-les-Bains, à Orleix, à Ibos ou encore à Vic-en-Bigorre. Ce mouvement d’humeur s’est répandu comme une traînée de poudre. »

    Le magazine Autoplus avait chiffré à 400 le nombre de radars vandalisés en juillet sur tout le territoire. Vu les premiers chiffres d’août dans certains départements, le mouvement ne faiblit pas.

    « Traînée de poudre » : l’expression est bien choisie et dit bien l’état de révolte d’une partie du pays et des usagers de la route devant cette mesure considérée comme injuste. La même Dépêche se fait le relais du gendarme et rappelle la loi aux « vandaliseurs » :

    « Attention, les sanctions peuvent être très lourdes pour les contrevenants car, selon les articles 322-1, 322-2 et suivants du Code pénal, « la destruction, la détérioration ou la dégradation » d’un radar est assimilée à une dégradation de bien public. L’article 322-2 du Code pénal prévoit une amende de 45.000 € ainsi que 3 ans d’emprisonnement. »

    Pas sûr que ces rappels de la loi à l’encontre des auteurs des trois coups de peinture sur les radars atténuent le sentiment d’injustice et de révolte de la part de ces Français qui assistent, par ailleurs, quotidiennement à des actes illégaux bien plus graves d’atteintes aux personnes et aux biens publics et qui n’ont pas le sentiment que la loi soit alors appliquée avec toute sa rigueur.

    Édouard Philippe pourra penser ce qu’il veut, drapé dans sa bonne conscience de « sauveur de vies », mais imposer cette mesure, qui n’est rien d’autre qu’un nouveau prélèvement de milliards d’euros supplémentaires, c’est s’en prendre frontalement à la France profonde, périphérique et populaire. Celle qui, par nécessité (prix de l’immobilier) ou par choix, ne vit pas dans les grandes agglomérations, est obligée d’avoir une, bien souvent deux, voire trois voitures (quand un enfant commence à travailler mais vit toujours sous le toit de ses parents). Cette France des classes moyennes et populaires qui essaie d’éviter les autoroutes et leurs péages exorbitants s’est vue imposer un péage insidieux sur son réseau secondaire. Elle ressent cette mesure comme une nouvelle stigmatisation avec un sentiment d’injustice et de relégation par rapport à d’autres zones géographiques et d’autres couches de la société que l’État se garde bien de « fliquer » ainsi et d’attaquer au portefeuille. Cela devrait être compréhensible, même pour un énarque qui ne se déplace qu’à vélo ou en avion.

    Quand la révolte s’exprimera dans les urnes, Édouard Philippe pourra se souvenir qu’une déroute politique commence parfois par un coup de peinture sur une route départementale de la Haute-Loire, des Hautes-Pyrénées ou du Médoc.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/radars-vandalises-la-france-profonde-repond-a-edouard-philippe-par-deux-coups-de-peinture/

  • Les Français ne veulent pas de clandestins – Journal du lundi 20 août 2018

    Immigration / Les Français ne veulent pas de clandestins

    Un nouveau sondage prouve que les Français sont majoritairement opposés à l’arrivée des clandestins dans notre pays. Malgré les efforts de l’IFOP pour tordre la vérité, les chiffres ne vont toujours pas dans le sens des dirigeants européens immigrationnistes.

    Politique / La rentrée sous tension d’Anne Hidalgo

    Union européenne / La Grèce sort “un peu” la tête de l’eau
    La Grèce sort officiellement de sa mise sous tutelle. Dix ans après le début de sa crise économique, le pays souffle un peu mais le niveau de chômage demeure très élevé et l’avenir politique reste incertain.

    L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

    Lien Rutube :
  • AQUARIUS : L'ÉTERNEL RETOUR

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    Jean-François Touzé

    Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaire

    Comme des dizaines d'autres bâtiments néo-négriers affrétés par les organisations complices des passeurs comme SOS Méditerranée (label « grande cause » décerné par le Premier ministre en 2017 permettant de bénéficier de campagnes publicitaires gratuites dans les médias), agissant sous pavillon de complaisance humanitaire et en partie subventionnées sur fonds publics ou régionaux (Occitanie par exemple), l’Aquarius, jouant de sa proximité phonétique avec l'Exodus à fin de production lacrymale optimum, poursuit ses allées-venues, véritable navette de l’ingression migratoire en Méditerranée.

    Qu'au final le gouvernement français n'ait cédé ni aux demandes pressantes du communiste Gayssot (ex-ministre des transports de Mitterrand et auteur de la loi que l’on sait interdisant l’expression non conforme), d’accueillir le vaisseau pirate dans le port de Sète qu'il préside et d'en faire une plate-forme de débarquement pour les nouveaux colons, ni aux mises en demeure du chœur immigrationniste des vierges internationalistes, ne change rien à l'affaire.

    Qu'ils débarquent à Malte, en Espagne, au Portugal ou en France comme hier – et peut-être hélas à nouveau demain - en Italie, c'est vers le continent tout entier, à l'exception des pays ayant su retrouver leur dignité nationale comme la Hongrie de Victor Orban, que, par la grâce de Schengen et des quotas de répartition imposée par la Commission européenne, en vagues successives et incessantes, déferle l’écume invasive. Un flux à long terme destructeur de notre civilisation, et à court terme porteur des futurs acteurs de « faits divers » comme ceux – meurtres, viols ou agressions, qui se sont multipliés cet été en France, en Allemagne et ailleurs, sans même parler de la menace islamiste. On notera à ce propos que les demandes d'asile connaissent en France une très forte hausse (+ 17,8 % depuis le 1er janvier) et sont en passe de devenir une des formes les plus usitées d'immigration économique. Nul besoin, on le voit, d'accoster à Sète puisque, de toute façon, ils finissent toujours par échouer chez nous.

    • Rien pourtant qui ne pourrait être stoppé si existait une volonté politique.
    • Rien que ne pourraient bloquer en quelques heures quatre ou cinq frégates des marines nationales européennes par coups de semonce voire plus si nécessaire, et opérations d’arraisonnements avant retour vers la Libye ou la Tunisie.
    • Rien qui ne pourrait être traité par la liquidation physique des réseaux de passeurs et l’arrestation de leurs complices.
    • Rien qui ne pourrait être inversé par une politique de contrôle drastique des frontières maritimes comme terrestres, d'immigration zéro et de rémigration.

    Cela, nous l'avons dit, exigerait une volonté sans faille et une détermination radicale.

    Cette volonté et cette détermination que possède le Parti de la France.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Union des droites en Gironde : « On avait tous les mêmes idées»

    À Saint-André-de-Cubzac, des élus Républicains ont fait sauter les digues pour se rapprocher du Rassemblement national et de Debout la France. Jean-Jacques Édard, maire de Cavignac, commune de 2 000 habitants, située à 40 km au nord de Bordeaux, se moque des injonctions des états-majors déconnectés du réel :

    « J’ai passé l’âge de marcher à la baguette ».

    Membre de l’UMP, puis de LR, depuis 2006, il a été exclu de son parti au printemps. Le 27 mars, Jean-Jacques Édard a lancé, avec des élus de la 11e circonscription de Gironde, une nouvelle association politique, Pour la France-La France unie, qui vise à réunir toutes les composantes de la droite.

    Les premiers contacts remontent à la présidentielle. À la recherche de parrainages pour Marine Le Pen, Edwige Diaz fait le tour des maires. L'union arrive après l’élection d’Emmanuel Macron. Les deux élus ont travaillé de concert pendant une année avec une dizaine de personnes. Martine Hostier, adjointe au maire de Cézac, une commune voisine, y est allée au nom de Debout la France, le parti de Nicolas Dupont-Aignan. Au fil des réunions, les points de vue s’accordent.

    « On avait tous les mêmes idées, à l’image de Wauquiez, Le Pen et Dupont-Aignan qui disent la même chose sur les sujets majeurs, comme la sécurité, l’immigration et l’EuropeQuand trois partis disent les mêmes choses, il est logique de les dissoudre pour n’en former plus qu’un. »

    Une soixantaine de personnes issues des Républicains, du Rassemblement national ou de DLF, ont participé à la naissance de l’association Pour la France. L’initiative est saluée par Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan et fait tache d’huile dans le département, où la 9e circonscription (sud Gironde) et la 10e (le Libournais) s’apprêtent à suivre le mouvement. Edwige Diaz assure aussi être en contact avec une quinzaine d’autres départements.

    Côté de LR, c'et encore la ligne chiraquienne d'alliance avec la gauche qui domine. Mais Jean-Jacques Édard veut croire que les élections européennes vont pousser les centristes vers la sortie :

    « Ça va finir par se décanter. Ne resteront à LR que les gens vraiment de droite »« On est un laboratoire. On essaie de voir si c’est possible de travailler ensemble. Ça se passe plutôt bien. On est en train de montrer qu’il existe une voie pour rassembler les différents courants de la droite. »

    Un nouveau signe politique du mouvement dextrogyre ?

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/union-des-droites-en-gironde-on-avait-tous-les-m%C3%AAmes-id%C3%A9es.html

  • Jacques Vergès à propos du "suicide" de Pierre Bérégovoy

    Il y a maintenant une autre hypothèse. M. Bérégovoy s’est-il vraiment suicidé ? Je trouve étonnant que le futur suicidé ait pu manier avec autant de virtuosité et dans un délai si court un 357 Magnum. Si vous vous lancez une balle dans la tête avec un 357 Magnum, votre tête éclatera comme une noix de coco. On nous dit qu’il a tiré un premier coup en l’air pour voir si ça fonctionnait, comme un type qui va dans son jardin avec un revolver à bouchon pour faire peur aux moineaux. J’émets donc une réserve sur l’usage d’un 357 Magnum à bout portant pour se suicider. D’ailleurs, a-t-on cherché des traces de poudre sur sa main droite ?Deuxième phénomène étonnant : personne n’a entendu ces deux coups de feu tirés en pleine nature, en rase campagne, au bord d’un plan d’eau qui, en général, amplifie la détonation. 
    Dernière bizarrerie, on a annoncé la mort de Pierre Bérégovoy avant qu’il ne soit mort. Un peu comme l’attentat contre Hitler : le colonel von Stauffenberg laisse la bombe, rentre à Berlin, certain que le Führer va mourir, et annonce sa disparition alors qu’il n’est pas mort. Cela ressemble aux informations prématurées de la radio quelques minutes après la découverte du corps toujours vivant de M. Bérégovoy. J’ai été étonné également que Mme Bérégovoy n’accompagne pas le corps de son mari, en plein coma, dans un hélicoptère de l’armée. On a laissé sa femme rejoindre Paris en voiture alors qu’il était mourant. C’est étrange. M. Mitterrand est resté d’autre part quarante-huit heures sans réagir. Mystère… Enfin, l’autopsie à l’Institut médico-légal de Paris s’est passée de manière bizarre. Elle aurait dû être confiée à Mme Rudler, professeur agrégé, directrice du Laboratoire de la Police scientifique de Paris. Mais elle est la fille d’’un ministre du général de Gaulle et elle n’a pas été désignée pour cette ultime fonction. Or les experts ne sont pas désignés par des juges mais par les procureurs, ceux-là mêmes que le pouvoir socialiste a laissés avant de subir la défait électorale de 1993. 
    Jacques Vergès, Intelligence avec l’ennemi. Conversations avec Jean-Louis Rémilleux

  • Cédric Herrou coordonne les passages de clandestins avec un officier de gendarmerie d’origine nord-africaine

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    « Le passeur Cédric Herrou, affilié à l’extrême-gauche, organise le passage de migrants clandestins en étroite concertation avec la Gendarmerie, la préfecture des Alpes-Maritimes et le ministère de l’Intérieur.
    Actif au sein l’association “Roya Citoyenne”, Herrou planifie l’infiltration du territoire français depuis plusieurs années, dans l’impunité la plus totale. Comme ici en juillet 2017, à Nice.
    Accompagnés de militants de « Roya Citoyenne », environ 130 demandeurs d’asile sont arrivés en gare de #Nice06 ce lundi matin. pic.twitter.com/SKAUIcTSpi — Benoit Guglielmi (@BenoitGuglielmi) 17 juillet 2017
    Infiltration organisée sous la supervision de la Gendarmerie
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