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France et politique française - Page 2349

  • Une plaquette envoyée par Synthèse nationale à 5000 lecteurs dans les jours qui viennent...

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    Message de Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Un an après l’arrivée à l’Elysée d’Emmanuel Macron, les choses vont de mal en pis.

    Alors qu’on nous annonçait une ère nouvelle, dé­barrassée de la pesan­teur des partis et reposant sur le renouveau et l’efficacité, force est de reconnaître que rien ne s’est ar­rangé. La France reste soumise aux diktats des lobbys mon­dialistes et les Français continuent à subir les effets dramatiques de la ré­cession et de l’immigration.

    A vrai dire, cette situation ne nous étonne pas vraiment, nous autres na­tionalistes et identitaires. Ma­cron a été pro­pulsé au printemps 2017 pour être la roue de secours du Sys­tème. Après la calamiteuse gouver­nance hol­landesque, cons­ciente que le peuple français était de moins en moins ré­ceptif à ses injonc­tions, l’hyper-classe aux af­faires a lancé le « gadget Macron » pour sauver ses prébendes en l’imposant comme étant le seul « rempart » face à une hypo­thé­tique « menace » mariniste.

    Macron, en bon transfuge de la Banque Rothschild et en tant qu’ancien mi­nistre d’un gouverne­ment socialiste, était le meilleur ga­rant de la continuité pour ceux qui veulent instaurer un vaste marché aux dimensions plané­taires dans lequel l’homme ne serait plus qu’un consommateur docile. Ce projet  passe bien en­tendu par la des­truc­tion des nations, des civi­lisations et des identités. Quant à la « menace » mariniste, celle-ci rele­vait, hélas, plus du phantasme collectif que d’autre chose…

    Quelle super­cherie !

    Quoiqu’il en soit, un an après, les Fran­çais se réveillent confrontés à une sé­rie de problèmes dont ils se seraient bien passés. La précarité augmente de jour en jour, l’insécu­rité due en grande par­tie à l’immigration prend des pro­por­tions jamais atteintes, la soumis­sion de la France à Bruxelles et à la po­li­tique étrangère américaine, en parti­culier au Proche et au Moyen-Orient, est la même et notre indé­pendance nationale relève au­jourd’hui du passé. Et pour tenter d’amadouer ceux qui seraient ten­tés de s’opposer, le pou­voir laisse s’agiter le pantin Mélenchon et ses gauchistes de pacotille qui se croient encore en Mai 1968… Face au mondialisme libéral, rien de tel que l’internationalisme mar­xiste pour faire illusion.

    Ce qui semble paradoxal dans tout cela, c’est que, malgré la puissance du Sys­tème pour broyer la dissi­dence et le formatage du prêt à penser insti­tution­nel, ja­mais les idées de la Droite natio­nale, sociale, populaire et identitaire ont été aussi parta­gées par nos compa­triotes. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux, et on le voit tous autour de nous, à ad­mettre la clairvoyance de nos ana­lyses et à souhaiter l’application de nos pro­positions. De même, un peu par­tout en Eu­rope, les peuples re­prennent en main leurs destins. Ce n’est donc pas le mo­ment pour nous de flan­cher, l’espérance doit guider notre combat.

    Depuis 12 ans, un seul objectif

    Synthèse nationale est, depuis sa créa­tion il y a douze ans et comme son nom l’indique, le point de ren­contre des dif­férentes forces poli­tiques, militantes et associatives de la Droite nationale. En multipliant les rencontres, que ce soit dans notre revue ou à l’occasion de nos Journées annuelles (la pro­chaine aura lieu le dimanche 14 oc­tobre à Rungis), nous œuvrons pour que l’ensemble des forces qui consti­tuent notre famille agissent et combattent dans le même sens.

    Et, justement, pour agir et combattre nous avons besoin de vous. Les revues, le site quo­tidien, les réunions et les campagnes militantes, tout cela a un prix. Syn­thèse nationaleexiste et agit que grâce à l’aide de ses lecteurs et amis. Pour défendre la France fran­çaise dans une Europe eu­ropéenne il faut beaucoup de moyens. Or, nous ne som-mes pas stipendiés par la finance apa­tride ni par les sub­ven­tions publiques. Nous ne pou­vons compter que sur vous tous.

    Ne vous laissez plus manipuler, réflé­chissez librement, agissez efficacement. Aidez-nous à nous battre contre le mondialisme et contre la dicta­ture de la pensée unique. La survie de notre na­tion, de notre civilisation et de notre identité en valent bien la peine. Merci d’avance pour votre fi­délité.         

    = Pour nous aider, c’est simple : abonnez-vous à notre revue Synthèse nationale, abonnez-vous aux Cahiers d’Histoire du nationalisme ou à la revue Con­frontation consacrée à l’islamisation de notre continent. Ache­tez les livres que nous vous proposons. Adhérez à l’association des Amis de Synthèse na­tionale. Faites un don à l’occasion de la souscription patriotique 2018 (voir en dernière page).

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  • « A bas le fascisme » hurle le gauchiste, en lançant son pied dans la tête du flic jeté à terre par la meute…

    Paysan savoyard sur Facebook (juin 2018)

    Censure sur les réseaux sociaux : nouvel épisode

    Après trois semaines d’activité sur FB sous un nouveau compte, un nouvel IP et une nouvelle adresse mail (Hubert Defrasses), l’ensemble de mes commentaires viennent aujourd’hui 29 juin d’être retirés et le droit de commenter les articles du Monde supprimé. Le tout sans explications.

    « Sur l’invasion »

    Aquarius : l’invasion en cours. Equipe de France : l’invasion achevée

    L’équipe de France est le reflet de la jeunesse française : nombreuse, conquérante, en pleine forme physique… Voilà qui nous rassure…

    (SOS Méditerranée) SOS peuples européens

    Rares désormais sont les faits d’actualité qui n’ont pas un lien plus ou moins direct avec l’immigration

    Société multiculturelle et multiraciale = guerre et nettoyage ethnique programmés

    Les immigrés Turcs en France ont célébré bruyamment là où ils sont présents la victoire d’Erdogan… Qu’en pensent les immigrationnistes ? Et qu’en pense Macron-Rothschild, pour qui l’immigration est une chance ?

    Une évolution réjouissante de plus : les brasseries parisiennes rachetées les unes après les autres par des Chinois…

    Chaque année s’installent ou naissent en France 500 000 immigrés non européens supplémentaires (200 000 installations légales ; au moins 100 000 clandestins ; 300 000 naissances ; moins les décès et les quelques départs)

    Le rapport annuel sur le dépistage de la drépanocytose permet de conclure que 40 % des naissances en métropole sont issues de l’immigration non européenne…

    Les messages des rappeurs sont pourtant clairs… Et nous ne voulons pas entendre…

    Aquarius, l’immigration. Les campements, l’immigration. La délinquance, l’immigration. Les attentats, l’immigration…

    Calais, La Chapelle, Aquarius, sommet européen, Abdeslam, Trump… : l’invasion migratoire génère nécessairement une obsession migratoire…

    La cause de la plupart de nos problèmes commence par un « i » et leur solution par un « d »…

    « Sur le Système mondialiste et immigrationniste, son projet, sa propagande, ses collabos, ses dissidents »

    Trois camps en présence : les immigrationnistes, les immigrés et les « populistes ». Les deux premiers pour l’heure sont alliés…

    Trois camps en présence depuis une vingtaine d’années : les immigrationnistes ; les immigrés ; et ceux qui voudraient arrêter l’invasion

    Immigrationnistes et opposants du Système n’ont plus rien en commun qu’une détestation réciproque

    Les immigrationnistes ont raison : s’ils veulent garder le pouvoir, conformément aux principes posés par Machiavel, il faut pousser leur politique au bout de sa logique, l’imposer à tous et éradiquer les opposants.

    Rappelons l’enjeu du sommet de l’UE : il ne s’agit pas de se répartir les migrants mais de leur interdire l’entrée en Europe

    Deux Europe désormais : l’Europe immigrationniste, conduite par la France et l’Allemagne ; et l’Europe des peuples européens (Visegrad, Autriche, désormais l’Italie).

    Soit le gouvernement italien met en oeuvre effectivement et efficacement une politique d’arrêt de l’immigration : il déclenchera alors à coup sûr une réaction en chaîne en Europe. Soit il se couche devant les immigrationnistes au pouvoir dans les principaux pays de l’UE : il en sera alors probablement fini des peuples européens.

    L’enjeu majeur de ce sommet me semble-t-il : le gouvernement italien va-t-il mettre en oeuvre une politique d’arrêt de l’immigration, comme le souhaite la majorité de l’électorat, ou bien va-t-il céder à la pression des dirigeants européens immigrationnistes, Merkel et Macron en tête ?

    Il n’y a pas de « crise migratoire » mais un processus délibéré d’invasion : la classe dirigeante européenne a depuis 50 ans la volonté de susciter et d’organiser un processus d’immigration massive. Pour deux raisons : économique d’une part, idéologique d’autre part

    Les membres de la classe dirigeante, qui organisent l’invasion de l’Europe, sont coupables de Haute trahison : puissent-ils le moment venu être jugés comme tels. Ceux qui aident les clandestins à passer les frontières sont de simples collabos : pour eux le mépris suffira.

    L’immigration était censée payer les retraites… Elle a pris les dimensions d’une invasion et le régime de retraite ne cesse de se durcir… Soit ils sont incompétents soit ils nous trahissent

    Les Bobos sont complices d’un crime, le pire qui se puisse commettre, l’invasion organisée de l’Europe. Et ils se voient comme des gens bien…

    Les Bobos en ont un peu rabattu après le Bataclan..Mais leur suffisance satisfaite, leur égoïsme absolu et leur hypocrisie sans bornes ont repris le dessus

    La « pauvreté » est l’un des nombreux noms de code utilisé par le Système pour cacher le mot « immigration »

    Les Français moyens de souche paient pour subventionner une armée d’associations plus ou moins louches et d’ONG interlopes qui s’activent pour accélérer l’invasion de l’Europe.

    La Cimade, l’un des nombreux acteurs de la collaboration immigrationniste

    Cimade = Protestants = anti France

    Il y a les immigrés. Il y a les collabos. Et il y a tous ceux qui attendent un Orban ou un Salvini…

    Macron-Rothschild d’un côté. Les insoumis et autres gauchistes de l’autre. En apparence tout les oppose. En réalité ils sont d’accord sur l’essentiel : ils sont universalistes et immigrationnistes

    Les gens de gauche détestaient le foot, ce sport de beaufs. Jusqu’au jour où ils se sont aperçus qu’il n’y avait pratiquement plus de Blancs dans le championnat : ils se sont mis à l’adorer

    (fête de la musique à l’Elysée) Propagande immigrationniste. Propagande homosexuelle. Omniprésence de l’anglais… Et tout ça à l’Elysée, là où est censée s’incarner la France… Macron-Rothschild dans ses œuvres

    Louis XIV à Versailles : Lulli, Molière, La Fontaine… Macron-Rothschild à l’Elysée : Beyoncé, Nique ta mère et Rakaya

    (La CNCDH se déclare « profondément choquée » par le traitement des migrants à la frontière franco-italienne) La CNCDH, l’immigrationnisme ultra

    La majorité des Français sont d’un avis exactement contraire à celui de la CNCDH

    (Libération du chauffeur d’Abeslam) Ah, s’il est sous contrôle judiciaire, nous voilà rassurés…

    Mais le contrôle judiciaire, on est bien sûr qu’il soit compatible avec la déclaration des droits de l’homme et la convention de Genève ?

    Cannabis, assistanat, immigration, dérèglement des comportements… Ou comment saborder une civilisation millénaire…

    (La France condamnée par la CEDH) La CEDH et les machins du même tonneau n’auront de cesse que d’avoir détruit les anciens Etats, obstacles insupportables au projet mondialiste

    (attaque contre un journal néerlandais) Un petit attentat supplémentaire… Celui-là est sans victimes, non revendiqué, banal, anodin… Le train-train pour nos sociétés en voie de soumission…

    Pas de morts, pas de blessés : le Système devrait pouvoir escamoter ce petit attentat sans difficulté. Sauf s’il parvient à l’attribuer à « l’extrême-droite », auquel cas on en a pour des semaines…

    (interpellations dans la mouvance d’ultra droite) Le Système n’attend qu’un prétexte pour faire taire une bonne fois la Dissidence. Dans cette perspective, le scénario d’un attentat « d’extrême-droite » suscité, manipulé ou téléguidé, est dans les cartons depuis longtemps

    Pour le Système, un Berjvik est pain-bénit..

    Le Système n’attend qu’un prétexte pour virer Eric Zemmour et emprisonner Renaud Camus

    Wauquiez dans les pas de Sarko : se faire élire avec un discours droitier pour ensuite faire le contraire…

    Les immigrationnistes radicaux crient « no borders ». La fausse droite avance des mesurettes, que les médias du Système présentent comme attentatoires aux droits de l’homme. Macron-Rothschild peut lui continuer d’organiser l’immigration massive tout en paraissant occuper le juste-milieu. Le jeu-de-rôles immigrationniste…

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  • L'immigration, l'émotionnel et l'Europe

    6a00d8341c715453ef022ad3582252200c-320wi.jpgLa quasi-crise gouvernementale allemande semble donc avoir été surmontée. Madame Merkel paraît s'être pliée aux conditions des partisans d'une politique plus restrictive de l'immigration et de l'asile. Voilà qui pourrait bien annoncer la confirmation d'une poussée continentale qu'il est de bon ton de qualifier de populiste, sans doute parce qu'elle répond au sentiment et à l'opinion des peuples.

    Dans sa chronique politique, en date du 26 juin[1], Guillaume de Thieulloy dénonçait en effet la dictature de l'émotion dans le traitement de l'immigration. Cette critique, certes justifiée dans la plupart des circonstances, n'empêche pas la possibilité d'un retournement des forces émotionnelles.

    Ainsi, trois jours plus tard, dans la nuit du 28 au 29 juin, un accord européen de type chèvre chou était intervenu, largement inattendu et curieusement commenté.

    Certains bons esprits s'étaient préoccupés, en effet, depuis l'élection législative italienne du 4 mars de savoir si l'Italie pouvait sortir de l'Europe. La formation, le 1er juin, du gouvernement de Giuseppe Conte a porté cette hypothèse à un haut degré de scandale et de sottise, pour ne pas parler de ridicule.

    La première question aurait dû consister plutôt à se demander d'abord si l'on peut concevoir une Europe sans l'Italie, sans Rome, sans Florence, sans Venise, etc. L'absurde mène à l'invraisemblable.

    Le questionnement même repose sur le maintien d'une confusion. Depuis la nuit des temps, l'Europe, continent dont les frontières extérieures se situent principalement à l'est, est habitée d'une famille de nations et de peuples apparentés. Elle ne s'est jamais réduite aux fragiles institutions d'un ensemble qui s'appelle, depuis 1993 c'est-à-dire depuis 25 ans, l'Union européenne.

    La chose étant impossible, y compris dans le cadre des institutions actuelles, il a bien fallu tenir compte d'une "autre" émotion, différente de celle des groupuscules subventionnaires que l'on appelle, en langue bois médiatique "les associations".

    Celle du peuple italien paraît sans doute au moins aussi partagée majoritairement par les peuples autrichien, hongrois, polonais, danois, tchèque, slovaque, bulgare, néerlandais et clairement aussi par les Bavarois. J'ai cru comprendre que l'une des causes fondamentales de la victoire du Brexit en Angleterre en 2016 tenait à une émotion du même type. D'importantes minorités la partagent y compris dans les pays bien pensants et bien pourvus.

    On aurait pu se souvenir de l'époque où Chirac et son Premier ministre Jospin en France en communion avec le gouvernement belge avaient envisagé de sanctionner l'Autriche pour avoir mal voté et laissé accéder au pouvoir, en février 2000, après 30 ans de règne social-démocrate, une coalition conservatrice dirigée par Wolfgang Schüssel démocrate-chrétien allié aux libéraux-autrichiens du FPÖ.

    Le professeur moraliste Marc Uyttendaele, s'exprimant dans l'excellent quotidien bruxellois Le Soir rappelait déjà en décembre 2017 "qu’il s’était agi de stigmatiser le réveil de la peste brune en Europe. Louis Michel avait conseillé aux Belges de ne plus aller skier en Autriche. Hervé Hasquin avait suspendu les classes de neige dans ce pays. André Flahaut avait interdit aux militaires de participer à un championnat de ski. Martine Aubry et Laurette Onkelinx avaient refusé de participer aux débats d’un sommet européen quand un ministre autrichien s’exprimait."[2]

    On ne peut s'empêcher de sourire à l'évocation de ces terribles sanctions franco-belges contre la politique de Vienne. Elles demeurèrent minoritaires au sein de l'Union européenne et se traduisirent par un gros plouf. Et, imperturbable, l'auteur de l'article de conclure tristement : "Bien sûr, la réal politique avait fini par prendre le dessus."

    Sauf erreur l'émotion, dont on prétendait et dont on prétend encore se prévaloir à Paris, n'avait guère franchi alors les limites du boulevard périphérique.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] cf. Les 4 Vérités Hebdo édition papier n°1150 daté du 29 juin 2018, éditorial daté du 26.

    [2] cf. Le Soir le 22 décembre 2017

    http://www.insolent.fr/

  • Des oligarques coupés de la réalité, par Guillaume de Thieulloy

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    La crise migratoire « les » rend fous – je veux, bien sûr, parler des oligarques de la caste jacassante qui racontent n’importe quoi.

    Le plus impressionnant, peut-être, tient dans le traitement de l’accord européen du 29 juin.

    À en croire la belle unanimité des médias français, grâce à l’opiniâtreté d’Emmanuel Ma­cron et d’Angela Merkel, la crise migratoire était, pour ainsi dire, résolue.

    En tout cas, l’accord marquait un premier pas dans la « bonne » direction.

    Inutile de dire que, compte tenu de l’orientation des médias politiquement corrects, cette annonce n’était pas vraiment de nature à me rassurer.

    D’autant qu’Emmanuel Macron se félicitait de la victoire de la « coopération européenne ».

    C’était tout simplement faux. L’accord en question marquait, en réalité, le triomphe du groupe de Visegrad, de l’Italie et de l’Autriche – sans parler d’Horst Seehofer, le ministre allemand de l’Intérieur qui est devenu le cauchemar de la chancelière.

    Il n’y a rien, dans l’accord, sur les fameux quotas, rien sur l’obligation d’accueillir les migrants. Tout est sur la base du volontariat. Mieux, les ONG, qui se substituent souvent aux passeurs sont explicitement visées dans le texte de l’accord.

    Le plus vraisemblable, c’est que cet accord ne serve à rien. Mais s’il devait effectivement s’avérer un « bon signal », comme l’a déclaré Mme Merkel, ce serait comme le signal de la fin de l’utopie mondialiste.
    Lentement, la « mondialisation heureuse » s’estompe et l’histoire reprend ses droits.

    Il est frappant, à ce propos, de voir se reconstituer sous nos yeux les vieux empires. L’Autriche, la Hongrie et l’ensemble du groupe de Visegrad, aidés de l’Italie et de la Bavière, reconstituent pratiquement le saint empire, dont l’unité s’est forgée par la lutte contre l’islam (naguère l’empire ottoman, aujourd’hui l’invasion migratoire).

    La Prusse de Merkel, allié traditionnel de la Turquie, tente en vain de freiner cette évolution.

    Le plus absurde est la politique de la France qui continue à soutenir ses adversaires.

    Jadis, les révolutionnaires n’a­vaient rien compris au renversement d’alliance de Louis XV qui, voyant la Prusse menacer, s’était rapproché de l’Autriche, et ils ont consciencieusement détruit ce renversement d’alliance, jusqu’à la funeste bataille de Sadowa qui préparait la naissance d’un nouveau Reich – lequel envahit trois fois la France en moins d’un siècle.

    Aujourd’hui, M. Macron s’obstine à soutenir Mme Merkel, dont les intérêts sont pratiquement contraires aux nôtres, au lieu de soutenir la Hongrie ou l’Autriche, nos alliés naturels.

    Mais, en matière de folie, l’Hi­malaya fut atteint avec le limo­geage de l’ambassadeur de Fra­nce en Hongrie, Éric Fournier.

    L’opération se fit en trois temps, comme une valse autrichienne. Tout d’abord, les trotskistes de Mediapart publièrent une note confidentielle de l’ambassadeur qui justifiait la politique de Viktor Orban.
    On se demande comment l’officine d’Edwy Plenel s’est procuré la note, mais on se doute que celle-ci n’a pas dû plaire à tous ses destinataires.

    Deuxième temps : Emmanuel Macron dénonce les propos de l’ambassadeur, mais s’oppose à toute sanction, pour ne pas créer de « délit d’opinion dans la fonction publique ».

    Avant, troisième temps, de limoger Éric Fournier dès le lendemain ! Si tous les fonctionnaires qui disent ce qu’ils pensent sont ainsi « remerciés », on comprend que les dirigeants vivent dans un monde Potemkine, sans le moindre rapport avec la réalité. La crise migratoire les rend fous, oui, mais, en outre, leur folie les conduits à se couper de plus en plus de la réalité, aggravant encore cette folie.

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les 4verites.com

    https://fr.novopress.info/211435/des-oligarques-coupes-de-la-realite-par-guillaume-de-thieulloy/

  • NON, L’IMMIGRATION N’EST PAS UN REMAKE DES ANNÉES 30 !

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    Benoît Hamon en meeting le 1er juillet : « N’avez-vous pas honte ? »

    Tout est bon pour culpabiliser les peuples européens vis-à-vis de l’immigration. Ce fut d’abord Mme Merkel, fille de pasteur, qui donna le la à peu de frais. Sauf que, en réalité, elle n’était que la porte-parole d’un patronat en quête d’une main-d’œuvre docile et bon marché. Puis ce fut au tour de la gauche française cosmopolite et internationaliste de nous seriner que la France est riche (de dettes laissées par elle ?) et qu’en digne héritière de la Révolution, elle se doit d’être généreuse. Et maintenant, c’est au tour des stars médiatiques – de la télé, du cinéma, organisations dites non gouvernementales, mais pas apolitiques – de s’emparer du sujet et de s’épandre sur les plateaux et sur les réseaux sociaux en discours nauséabonds, comparant 2018 à 1930 et à la prise de pouvoir des nazis et autres dictateurs.

    Sauf que tous ces braves gens n’ont pas, apparemment, de problèmes de fin de mois, ni de recherche d’emploi. Or, les réalités s’imposent. Ces migrants ne sont pas des zombies, ni des objets non identifiés, des clichés sur réseaux, mais des êtres en chair et en os avec lesquels il va falloir faire place au milieu de nos millions de chômeurs. Et c’est là que commence la comparaison avec 1930. Dans des pays fragilisés par la dette et le chômage, comment accueillir décemment ces centaines d’arrivants non désirés ? C’est tout l’inverse de 1930. Ce sont les peuples qui se révoltent aujourd’hui contre des systèmes politiques qui prennent des décisions majeures pour l’avenir sans les consulter directement.

    Pourquoi aurions-nous honte de dénoncer une comparaison indécente ? Comment comparer la politique d’Hitler d’extermination envers des minorités présentes et intégrées (juifs, homosexuels, tziganes) et l’élémentaire réflexe de protection des acquis sociaux et culturels ? La comparaison ne tient même pas avec l’immigration polonaise et italienne à une époque où les mines et les chantiers avaient besoin de main-d’œuvre.

    Non, la honte est pour ceux qui essaient, sur la détresse et la misère humaine, d’exploiter leur fonds de commerce politique ou médiatique. La honte est à ceux et celles qui, à travers les médias écoutés en Afrique et au Moyen-Orient, laissent croire aux jeunes que l’Europe les attend à bras ouverts. La honte à tous ceux qui, passeurs et associations complices, utilisent ces désespérés à leurs fins mercantiles. Non, la honte est pour ces pays qui, au lieu de les reconduire humainement, les réduisent en esclavage comme en Libye ou les envoient à la mort dans le désert torride du Sud algérien. La honte, aussi, à ces gouvernements africains qui laissent partir et parfois encouragent leur jeunesse, c’est-à-dire le meilleur d’eux-mêmes, à l’aventure au détriment de l’avenir de leurs nations. Mais la cause, dans tout cela, n’est-il pas le leurre d’un eldorado imaginaire agité frénétiquement par un Occident corrompu par le matérialisme et l’argent ?

    Pourquoi ces bons apôtres ne vont-ils pas culpabiliser les pères qui ne songent pas à l’avenir de leur progéniture, les gouvernements qui n’ont pas de politiques pour les jeunes ? Pourquoi ne créent-ils pas des ONG faisant la guerre aux passeurs et ne vont-ils pas faire la leçon à la Libye et à l’Algérie ?

    Oui, nous avons honte pour ceux qui utilisent la détresse d’autrui comme un outil de marketing idéologique.

    http://www.bvoltaire.fr/non-limmigration-nest-pas-un-remake-des-annees-30/

  • Affaire des « dix membres de l’ultradroite » : la montagne accouche d’une souris

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    Source Contre-info cliquez ici

    C’est désormais officiel, le tapage médiatique qui a duré une demi-semaine pour expliquer au bon peuple que : « tout comme les jihadistes (qui ne sont pas de vrais musulmans), les grands méchants de l’extrême-droite (qui sont de bons Français), peuvent commettre des meurtres de masse au nom d’une l’idéologie mortifère », était un bourrage de crâne journalistico-judiciaire.

    Finalement, on apprend par le procureur que le fameux passage à l’acte violent « demeurait toutefois imprécis à ce stade » (cf France Info). En clair, il n’y avait aucun passage à l’acte de prévu… Et les fameuses craintes de la DGSI ? Du flan…

    Le danger selon le procureur, est que l’AFO « proposait à ses membres des formations, notamment au combat et au secourisme, et des stages de survivalisme »… D’ailleurs la mise en examen des 10 militants pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » est un indice. Ce motif est qualifié de flou par nombre de juristes français (...)

    Le véritable crime de ces Français ne serait-il pas d’avoir anticipé les violences ethniques qui risquent d’éclater un jour dans notre pays, en se préparant à se défendre ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Du dérapage verbal d’un Président qui joue un peu trop à l’enfant terrible

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    Bernard Plouvier

    Génial Président Macron – vous savez bien : celui qui est en train de réduire le chômage des Français à la vitesse de l’éclair, celui qui donne des leçons de politique et de courtoisie à Poutine et à Trump, celui à quila notion de populisme donne de l’urticaire – se permet de parler de « Mafia bretonne ».

    Bien sûr, Emmanuel Macron n’a nullement voulu « offenser les Bretons ». On peut toutefois parier que jamais il n’aurait osé parler de Mafia juive qui pourtant existe bien, elle, ni de Mafia tchétchène, qui existe aussi, ni du sectarisme de certaine officine maçonnique… pourtant la notion d’influence politique d’une secte participe du même esprit mafieux : secret et coups fourrés, pouvant aller fort loin dans la canaillerie voire dans l’action directe, utilisation des titulaires de postes publics comme des agents d’influence, virtuosité dans la pratique de la corruption etc.

    Les comportements mafieux avérés, quotidiennement pratiqués dans notre beau pays :  trafics d’objets d’art volés, trafic de stupéfiants, traite des jeunes filles et de femmes vénales, voire d’individus de sexe indéterminable, certaines spéculations mobilières et immobilières, jeux et sports truqués, élimination des adversaires etc., tous ces comportements mafieux ne semblent guère interpeller la conscience de notre Grand Président.

    Non, il est plus simple pour lui de salir auprès d’un pape fin connaisseur – c’est un démagogue d’exception que le jésuite Bergoglio – une partie hautement estimable de la Nation française.

    Mafia bretonne ! Combien de milliardaires chez les agriculteurs bretons ? Combien de riches parrains de la drogue chez les Bretons ? Combien de canailles politiciennes, combien de trafiquants de « chair fraîche », combien de racketteurs, combien de tueurs à gages en Bretagne ?

    Génialissime Président a énormément d’excuses à présenter à la Nation française pour avoir sali à l’étranger une partie de notre Nation et une partie qui a joué un grand rôle dans l’histoire de France. Mais qu’est-ce que peut bien représenter l’Histoire de France pour un globalo-mondialiste ?

    Les marins, les paysans, les soldats, les artisans, les industriels bretons ont joué un plus beau et plus grand rôle dans notre histoire que bien des financiers d’origine cosmopolite au comportement de mafieux, ou que les importateurs de haschisch, cocaïne, morphine, héroïne, ecstasy ou les autres merveilles de la chimie « bizarre », pas vraiment bretonne.

    Génialissime Président ferait bien d’apprendre à se taire lorsqu’il tient absolument à briller en public et surtout à l’étranger. Faire rire aux dépens de la Nation française, même un De Gaulle, général de guerre civile, n’avait pas osé le faire. Ce qui fait rire les courtisans et l’épouse de Super-Macron fait grincer des dents le « Bon Peuple » qui commence à être excédé.

    Si Grand Président veut laisser un nom dans l’histoire de France, c’est en agissant, non en faveur des riches, mais en faveur des nombreux chômeurs autochtones qu’il doit le faire, en luttant contre l’insécurité et le racisme anti-Blancs, mais en aucun cas en continuant d’importer inutilement des laissés pour compte d’autres continents.

    Au lieu de jouer au potache en goguette, qu’il nous montre s’il est capable de diriger le pays. Sinon, qu’il s’en aille.   

  • Forces de l’ordre au bord de la crise de nerfs – JT TVL 3 juillet 2018

    1) Sécurité / Forces de l’ordre au bord de la crise de nerfs

    Terrorisme, criminalité, délinquance, la santé des forces de l’ordre est mise à rude épreuve. Après une immersion de plus de 6 mois au sein des différents services, une commission d’enquête sénatoriale révèle l’état des forces de l’intérieur… Inquiétant.

    2) Union Européenne / Merkel sauve les meubles

    Angela Merkel finit par trouver un accord avec la CSU. Après 15 jours de grandes tensions à cause de la crise migratoire, la chancelière allemande est parvenue à sauver sa place tout en conservant son ministre de l’Intérieur. Chacun a joué sa carte politique.

    3 ) Politique / Européennes : Panique à gauche

    Mélenchon et Hamon dans le même bateau. Chacun de leur côté, les deux chefs de jeunes mouvements vacillent avec la perspective des européennes. Désaccords internes, népotisme et trahisons, les investitures pour la course à Bruxelles en disent long sur l’ambiance.

    4) Société / Youtube : le paradis des pédophiles ?

    5) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/03/23980/forces-ordre-crise-nerfs-jt-tvl-3-juillet-2018

  • Terrorisme d’ultra droite : le coup de com’ !

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    Par Fabrice Fanet, colonel (ER) de gendarmerie 

    24 juin 2018, gazouillis digital du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb : « Interpellations d’individus liés à l’ultradroite, soupçonnés de passage à l’acte : je salue l’engagement constant de la DGSI qui veille au quotidien à la protection des Français face à toute action violente, d’où qu’elle vienne. » Nous voilà rassurés, les actes sanglants et répétés des terroristes islamistes sur le sol français n’ont pas fait oublier à nos responsables politiques que « la lèpre qui monte » en Europe, « le nationalisme qui renaît »dénoncés récemment par Emmanuel Macron sont un danger menaçant notre sécurité.

    Gérard Collomb
     
    @gerardcollomb

    Interpellations d'individus liés à l'ultradroite, soupçonnés de passage à l'acte : je salue l'engagement constant de la DGSI qui veille au quotidien à la protection des Français face à toute action violente, d'où qu'elle vienne.

    Pourtant les bilans de ces dernières années semblent déséquilibrés puisque du côté des fameux terroristes de l’ultradroite aucun mort ne peut être comptabilisé alors que plusieurs centaines de morts et blessés sont imputés aux terroristes islamistes. Qu’à cela ne tienne ! Il faut terrasser la bête immonde dès qu’elle pointe sa gueule hérissée de crocs assoiffés de sang… qui semblent heureusement bien incapables de mordre sérieusement qui que ce soit !

    La diversion face à l’impuissance publique

    En fait, il est bon de faire diversion et cacher que l’on est faible avec les forts en étant fort avec des faibles que l’on présentera comme redoutables, bien entendu ! Ah, ces politiques à la sauce  « Gendarmes de Saint-Tropez », quels maîtres étalons !

    Et au simple citoyen qui, constatant l’impuissance publique, revendiquera la légitime défense de ses valeurs et de sa sécurité, il  lui est rappelé fermement depuis de nombreuses années qu’il n’a pas le droit de toucher aux  prérogatives de l’Etat qui revendique le monopole de l’usage légitime de la force alors qu’il la met mal et insuffisamment en action pour protéger ses citoyens.

    Pourtant les privilèges exorbitants de l’Etat, ses rentes de situation, son efficacité  très contestable et ses coûts exorbitants sont de plus en plus dénoncés. Récemment, la Cour des comptes a appelé l’attention sur le rapport coût/efficacité de la Police et de la Gendarmerie dans son référé n°S20180532 transmis le 13 mars 2018 au premier ministre. La haute juridiction souligne l’accroissement inquiétant des dépenses de la mission Sécurités compte tenu d’une augmentation de la masse salariale alors que la durée du travail se réduit. Là comme ailleurs, on a acheté la paix sociale à coups de mesures corporatives  démagogiques.

    Autre signe de la rouerie de l’Etat dans l’exercice de ses missions régaliennes de protecteur de la sécurité et de la liberté, les autorités interdisent périodiquement  des manifestations  dénonçant sa mollesse et son absence d’efficacité notamment dans le domaine de l’immigration. La puissance publique fonde les interdictions de manifester en arguant de son  impuissance à éviter de possibles troubles provoqués par des contre-manifestants ! Cela revient à se prévaloir sans vergogne de ses propres turpitudes, en l’occurrence son inefficacité, pour se protéger de toutes remises en cause. Sublime !

    Face à l’islamisme, le sacrifice comme seul horizon ?

    Illustrant encore cette dégénérescence de l’Etat, l’aventure tragique du Colonel Arnaud Beltrame offre un condensé éclairant de l’esprit de notre époque et de la dissolution de l’autorité publique.

    Disons le tout de suite, analyser froidement le tragique geste individuel de cet officier de Gendarmerie  est de facto interdit et  vous fait passer pour un affreux  cynique. En effet, alors que « faire pleurer dans les chaumières » est le ressort le plus utilisé pour manipuler l’opinion, c’est évidemment faire preuve de révisionnisme inadmissible que de ne pas souscrire aveuglément à l’histoire officielle édifiante qui nous a été contée. Il est vrai que cet acte avait, sous le coup de l’émotion, un aspect remarquable, un Français de souche serait encore capable de mourir pour ses idées !

    Cependant, on pourrait se demander, mais ce n’est pas l’objet de cet article, ce qui a poussé psychologiquement cet officier expérimenté à prendre de tels risques et à ne pas appliquer  les modes opératoires d’intervention qu’il ne pouvait ignorer et qui reposent évidemment sur un courage exemplaire qu’il possédait mais aussi sur une technicité individuelle et collective éprouvée, un entraînement intensif et l’humble acceptation d’être un simple rouage d’un dispositif tactique complexe.

    En tout état de cause, force est de constater que nous sommes en présence d’un officier qui n’a pas obéi (bien sûr, en toute bonne foi et pour la bonne cause) aux règles professionnelles d’intervention et qui a malheureusement échoué.

    Il est vrai que ce geste force l’étonnement et le respect, qu’il rappelle l’exemple chrétien du martyr démontrant « qu’il n’est pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime ». Mais ne peut-on encore mieux donner sa vie en la préservant afin de vivre encore et encore pour la donner tous les jours ? Toutefois la vocation d’un gendarme n’étant pas d’être un martyr, on peut se demander si ce fait d’arme qui s’inscrit dans une tradition bien française de glorification des morts… et des défaites, contribuera à vaincre le terrorisme islamiste, à sauvegarder les valeurs françaises et à convaincre les musulmans  assimilés ou voulant l’être  qu’ils peuvent compter sur la protection de la République contre les terroristes islamistes.

    Mais le politique fait feu de tout bois, surtout quand il est aux abois. Faute de vouloir réellement combattre les causes de ce mal français qui prend naissance avec la résolution hâtive et maladroite de la question algérienne et se poursuit avec les errements de l’idéologie immigrationniste néfaste tant pour les immigrés que pour les populations indigènes, le pouvoir politique sous influence du mondialisme financier et du gauchisme tiers-mondiste a  trouvé dans ce geste spectaculaire un opportun paravent faisant oublier son impuissance et son irrésolution à coups de « com’ » et de clairons. Héros national ! Circulez, il n’y a rien à dire !

    Des coups de com’ pour défendre l’oligarchie

    Car cette « com’ » omniprésente et unidirectionnelle veille à l’endormissement des esprits et à la préservation des intérêts oligarchiques.

    Mais c’est une « com’ » qui échoue. Seulement 25 % des Français pensent que les journalistes résistent aux intérêts politiques et financiers. La crédibilité des médias est au plus bas avec celle des politiques, même si une propagande anesthésiante nourrie par la consommation de masse et l’affaiblissement du sens critique inculqué par l’éducation nationale au service du politiquement correct tente désespérément de sidérer les cerveaux.

    C’est pourquoi la survie de ce piteux Etat, qui fait tout « com’ » au lieu d’agir, ne pourra tenir longtemps face à la pression des réalités et des menaces vitales qui assaillent la France.

    Acta non verba !

    Colonel de gendarmerie (er) Fabrice Fanet 28/06/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Par Domenjod [CC BY-SA 4.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/terrorisme-dultra-droite-le-coup-de-com/