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France et politique française - Page 2346

  • Un schéma vénézuélien peut-il s'acclimater en France ?

    6a00d8341c715453ef022ad3aa91d5200b-320wi.jpgÀ certains égards, notamment du fait de son mythe du modèle social présenté pour inaltérable, la république jacobine et laïciste de Paris peut être légitimement considérée comme le dernier des pays de l'Est. Un reliquat tardif du XXe siècle. Mais la survivance de cette vieillerie idéologique en fait aussi l'avant-garde d'un passage de relais, et la tête de pont sur notre continent, de ce qu'on appelle en Amérique latine ou en Afrique australe socialisme du XXIe siècle. La véritable référence ne doit plus être recherchée dans la passé du programme du CNR ou des nationalisations de 1981 sous Mitterrand : c'est plutôt, qu'on le veuille ou pas, qu'ils l'avouent ou non, le régime du Venezuela.

    Face à la catastrophe que subit actuellement ce pays, autrefois très riche, d'Amérique du Sud, la diversité des analyses, des attitudes, des commentaires, des prises de position, ne manque pas de nous révéler les failles de l'idéologie dominante en France. Les moyens de désinformations comme les structures diplomatiques rivalisent à cet égard de bêtise et d’ignorance.

    Écartons d'emblée deux types de regards sinon de comportements : d'abord, malgré la forte tentation d'y recourir, celui des laudateurs explicites, amis ou admirateurs de Chavez, tel Mélenchon. Chez ces gens, le mauvais goût le dispute au ridicule sinon à l'odieux. Nier les souffrances imposées au peuple vénézuélien ne relève pas, hélas, de l'inédit. Les expériences totalitaires atroces du XXe siècle n'ont hélas pas servi de leçon.

    Une deuxième forme de négationnisme, plus subtile, consiste à minimiser l'importance du problème. Que Caracas ait contribué à fonder en 1960, aux côtés de l'Iran et de l'Arabie saoudite, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole devrait pourtant rappeler quelque chose : il ne s'agit pas d'un pays anodin ou anecdotique, mais d'un acteur important de la scène mondiale.

    La question se pose donc de la manière suivante : comment un pays qui dispose des plus importantes réserves d'hydrocarbures de la planète, et qui comptait autrefois de nombreuses personnalités remarquables, a pu en arriver à ce degré de déréliction. Rappelons en effet que la pénurie qui frappe le peuple du Venezuela touche aux besoins les plus élémentaires : pénurie d'aliments, de médicaments, de produits de première nécessité. Rayonnages vides dans les supermarchés, insécurité généralisée, criminalité effrayante, etc. La situation intenable pousse des centaines de milliers de gens à émigrer dans les pays voisins, etc.

    Une certaine explication, trop souvent entendue, s'efforce de voir la cause de cette catastrophe dans les oscillations du prix du pétrole. Il est vrai que le cours du baril a connu des variations impressionnantes au cours des dix dernières années : 29 dollars en février 2016 contre 110 dollars en septembre 2013. Mais d'une part, aucun autre exportateur n'a subi une crise aussi violente que le Venezuela. D'autre part, au cours des années les plus favorables qu'a connues ce pays, le prix du baril était encore plus bas. On ne peut pas retenir cette cause sauf à rappeler que la dépendance exceptionnelle de Caracas, où le pétrole brut représente désormais 95 % des exportations, condamne par elle-même la médiocrité de ses dirigeants.

    Plus hasardeuse encore l'explication par les manœuvres hostiles de la politique nord-américaine ne se fonde sur rien. Le Département d'État a toujours écarté la tentation d'intervenir contre Chavez d'abord, puis contre son successeur Maduro. Celui-ci, formé à l'école du communisme cubain, a toujours dénoncé d'imaginaires intrigues des Yankees sans jamais rien prouver. En revanche, le financement chinois, quoique prudent, conjugué aux liens avec le régime de La Havane, montre de quelles natures se révèlent les menaces extérieures. L'influence cubaine omniprésente, jusque dans les domaines les plus inattendus, a cependant d'autant moins engendré de réaction de Washington que les États-Unis cherchaient dans les dernières années à ménager l'hypothèse d'une transition du castrisme. Quant à l'Organisation des États américaines elle se contente de mettre en garde contre la violation grossière par Maduro des procédures démocratiques.

    Une fois écartées ces deux explications fausses sinon absurdes du schéma vénézuélien, reste alors, selon le principe bien connu énoncé autrefois par sir Arthur Conan Doyle[1], l'évidence : c'est bien le régime kleptocratique et criminel de Caracas lui-même qui a détruit la compagnie monopoliste pétrolière, autrefois performante, de PDVSA, poule aux œufs d’or du pays. Petróleos de Venezuela ayant été étatisée en 1976, sa gestion a été transformée en sinécure bureaucratique. Elle a ainsi été confiée aux soins des copains du parti de Chavez, le PSUV, et des incapables galonnés d'une mafia militaire où l'armée de l'air semble plus préoccupée de transporter la cocaïne produite par les pays riverains qu'à l’hypothétique défense nationale d'un territoire que personne ne menace. Les recettes des années de vaches grasses ont été dilapidées en distributions démagogiques, qu'il a fallu maintenir coûte que coûte dans les années de pénurie, etc.

    Ce schéma vénézuélien d'économie accaparée ressemble hélas beaucoup, quand on y réfléchit tant soit peu, au programme qu’une certaine gauche radicale française envisage de développer pour le futur en spoliant fiscalement ceux qu'elle croit pouvoir appeler les ultra-riches dans la certitude de contribuer à construire une société d'ultra-pauvres. En cela d'ailleurs elle remet à l’ordre du jour les méfaits de l'acquisition des biens nationaux par les grands ancêtres de 1789 : bon sang ne saurait mentir.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] "Quand vous avez éliminé l'impossible, ce qui reste, même improbable doit être la vérité. "

    http://www.insolent.fr/

  • Propagande immigrationniste financée par l’argent public sur le temps scolaire

    D'Edwige Diaz, Vice-présidente du groupe RN au conseil régional de Nouvelle-Aquitaine :

    "Le 28 mai 2018, le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine a attribué une subvention de 6 000 € à une compagnie de théâtre Deux-Sévrienne pour l’organisation d’ateliers de « Sensibilisation sur la situation des réfugiés » et de « Lutte contre les préjugés sur les migrants » dans les collèges et lycées de ce département. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la campagne nationale « I welcome » organisée par Amnesty International.

    Le caractère obligatoire de ces ateliers à destination d’enfants est symptomatique du non-respect de la liberté d’opinion et de l’endoctrinement de la jeunesse.

    Alors que 20% des élèves de 6ème ne maîtrisent pas les fondamentaux que sont la lecture, l’écriture et le calcul, ces ateliers sont dispensés en collaboration avec un professeur référent et se tiennent sur le temps scolaire ! 

    Contrairement au Conseil départemental, le Conseil régional n’a pas la compétence « Social ». Et pourtant,  l’exécutif socialiste mené par Alain Rousset et soutenu par des élus En Marche, n’hésite pas à sortir de son champ de compétence et à utiliser l’argent public pour financer son idéologie pro-immigrationniste."

    Elle a écrit au recteur :

    Thumbnail

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/propagande-immigrationniste-financ%C3%A9e-par-largent-public-sur-le-temps-scolaire.html

  • Les nouvelles publications de Synthèse nationale sont dans les bonnes librairies parisiennes

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    En savoir plus cliquez ici

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    En savoir plus cliquez là

    Librairie française : 5, rue Auguste Bartholdi 75015 

    Duquesne diffusion : 27, avenue Duquesne 75007 

    La Nouvelle librairie : 11, rue Médicis 75006 

  • De l'affaire Benalla au fichage politique

    De Sébastien Meurant, sénateur LR du Val d’Oise, sur Nouvelles de France :

    "L’affaire Macron-Benalla est déjà gravissime, en soi. Elle montre l’existence, au plus haut niveau de l’Etat, d’organisations parallèles et clandestines, et le mépris des lois par ceux-là mêmes qui doivent les appliquer. Elle manifeste l’amateurisme doublé d’arrogance qui caractérise le « nouveau monde ». Elle met au grand jour, aussi, le fossé qui sépare le sommet de l’Etat de la haute fonction publique, ce qui n’est certes pas la moins inquiétante des facettes de cette affaire.

    Mais, dans la torpeur de l’été, nous avons appris que cette affaire Benalla se doublait d’une nouvelle affaire des fiches de grande ampleur qui aggrave encore singulièrement la situation. Pour le moment, la situation est passablement confuse, mais voici ce que l’on peut en comprendre avant les enquêtes qui, je l’espère, feront toute la lumière sur ces violations à répétition des droits individuels en général et des droits de l’opposition en particulier.

    Début août, l’ONG EU DisinfoLab, largement financée par toutes sortes d’officines mondialistes… et par Twitter, officiellement pour lutter contre la désinformation et les fameuses « fake news » qui sont le cauchemar de notre vénéré président, a publié une étude sur les twittonautes et l’affaire Benalla. En soi, une telle étude ne manquait pas d’intérêt : faire une cartographie des réseaux sociaux à l’occasion d’une vague d’émotion comme celle qu’a soulevée cette affaire d’Etat peut aider à comprendre les logiques des internautes.

    Mais, dans le cas d’espèce, cette étude était tout simplement loufoque puisqu’elle visait principalement à disqualifier toute interrogation sur l’affaire Macron-Benalla. Tout n’y est envisagé que sous l’angle des « fake news » et sous l’angle de l’action d’influence. L’objectif était de « démontrer » que la plupart des tweets relatifs à l’affaire avaient été publiés par des twittonautes militants anti-Macron, relayant sans vergogne des informations fausses ou non vérifiées. Au détour d’un paragraphe, on pouvait lire que certains partages étaient humoristiques plus que militants, mais que cela n’affectait en rien la qualité de l’étude. Pourtant, combien de caricatures avons-nous vues sur cette affaire ? Je crois, quant à moi, que beaucoup de gens les ont partagées car les Français aiment plaisanter, spécialement aux dépens du pouvoir – et que cela ne dit strictement rien sur l’appartenance politique de ceux qui partagent ou s’amusent. Plus farfelu encore, l’étude prétendait « démontrer » que plus on était actif sur Twitter à propos de Benalla, plus on était désinformateur et plus on était russophile – car, naturellement, l’affaire Benalla ne pouvait qu’être une nouvelle preuve de l’ingérence russe dans les affaires françaises !

    Bref, les données brutes de l’étude ne manquaient pas d’intérêt, mais les interprétations pseudo-scientifiques ne valaient pas grand-chose, tant les biais d’interprétation étaient grossiers.

    Cela aurait pu n’être qu’une tentative un peu dérisoire de délégitimer les questions des citoyens sur l’affaire Benalla. Mais, en réalité, c’est une affaire d’Etat dans l’affaire d’Etat. Car EU DisinfoLab ne s’est pas contentée d’analyser les comptes de façon anonyme, comme font les sociologues ou les instituts de sondage :l’ONG a produit un fichier nominatif (de 55 000 comptes tout de même !), classé selon l’appartenance politique et l’activisme.Mieux encore, ce fichier a circulé sur le web avec des informations privées, comme l’appartenance religieuse ou l’orientation sexuelle. Accusée de fichage politique et de divulgation d’informations privées, EU Disinfo Lab s’est défendue en accusant ses détracteurs d’avoir eux-mêmes ajouté les informations personnelles. C’est possible – mais assez peu vraisemblable, comme l’a expliqué le blogue spécialisé « Les Crises ». Toujours est-il qu’un fichage politique a bel et bien eu lieu, et qu’il est manifestement possible, de le compléter par un fichier d’informations personnelles éventuellement « sensibles ». Et, quand on voit les pratiques de barbouzes qui sont couvertes par l’Elysée, cela n’est pas franchement rassurant pour les libertés publiques.

    [...] Si l’on ajoute que la France est l’un des pays qui demandent le plus de fermeture de comptes à Twitter (sous Manuel Valls, elle avait même « battu » la Chine, la Turquie ou l’Arabie saoudite !), si l’on ajoute aussi l’arbitraire qui se profile avec l’absurde loi dite « anti fake news », on voit ce que pèsent les droits de l’opposition et en quelle estime le gouvernement Macron tient les libertés publiques en général, et la liberté d’expression en particulier. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Critiqué par L’Express, Salvini envoie des « bisous aux bien-pensants » français

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    3049872158.jpgRéplique. C’est tout en ironie que le ministre de l’Intérieur italien a répondu à ses détracteurs.

    Matteo Salvini a du répondant. Le ministre de l’Intérieur italien a réagi à la une du dernier numéro du magazine l’Express, où figure son visage, regard noir et mine renfrognée. L’hebdomadaire le présente comme un « populiste, xénophobe », qui « ravit Le Pen »« inquiète Macron » et « fait trembler l’Europe ». Un portrait peu flatteur, que l’Italien ne s’est pas privé de commenter sur Twitter dimanche 19 août.

    L’ironie comme fer de lance

    « En France aussi, ils ne savent plus quoi inventer pour m’attaquer. On leur envoie des bisous aux bien-pensants transalpins ? », lâche-t-il, le tout ponctué d’un petit émoticône envoyant un bisou assorti d’un cœur. Une ironie qui ne fait guère de doute sur la détermination de Matteo Salvini à mener sa politique anti-migratoire, malgré les positions européennes et les unes alarmistes.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • JE RÉPONDS AUX QUESTIONS D'UN JOURNALISTE : VOICI LE RÉSULTAT...

  • Villeneuve-sur-Lot : excédés par l’insécurité, ils investissent la mairie !

    Villeneuve-sur-Lot-845x475.jpg

    La belle bastide lot-et-garonnaise nichée au bord du Lot, au pied du magnifique village médiéval de Pujols, fait régulièrement les gros titres de la presse. Mais pas pour de bonnes raisons. Il y eut l’affaire Cahuzac, en 2013, qui avait fait de son lieu de parachutage un tremplin pour sa carrière ministérielle. On sait comment cela finit, mais Villeneuve-sur-Lot est toujours dirigée par son fidèle second, M. Cassany, moins brillant, moins énergique, mais tout aussi socialiste. Et puis, régulièrement, il y a la chronique de l’insécurité quotidienne. L’un des derniers événements, il y a deux mois, fut le spectaculaire braquage du bar O’Papagaio, dans le quartier d’Eysses. Son gérant a écopé d’une fermeture administrative de trois mois, en août, « pour perturbation de l’ordre public et de la tranquillité publique ». Et le braqueur, il a écopé de quoi ?

    C’est certainement excédés par cette situation et les réponses inadéquates qui lui sont apportées qu’une cinquantaine de commerçants et d’habitants du quartier, lundi matin, dès 8 h 00, se sont rendus à l’Hôtel de ville de Villeneuve pour exprimer leur mécontentement et interpeller le maire. Menés par le gérant en question, ces citoyens remontés ne se sont pas contentés de la réunion avec une « délégation » d’entre eux que leur proposait le directeur du cabinet du maire, mais sont d’eux-mêmes montés au premier étage pour se faire entendre de M. Cassany.

    Le premier magistrat de la ville a tenu le discours attendu : je vous entends, je fais déjà beaucoup, mais je ne peux pas plus. Et, comme toujours dans ces situations, le siège était levé après la promesse d’une réunion de concertation avec préfet, mairie, police et commerçants. La poussée de fièvre était retombée. Jusqu’à la prochaine. Mais cette action populaire coup de poing est révélatrice d’une exaspération profonde. Et ne croyez pas que j’exagère : La Dépêche, d’ordinaire très amie avec la mairie, a elle-même titré : « Insécurité à Villeneuve-sur-Lot : commerçants et habitants assiègent la mairie ».

    Pour la petite histoire, il y a une semaine, le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, en vacances à Villeneuve-sur-Lot, visitait commissariat et gendarmerie. On l’a vu en présence du député LREM de la circonscription. Mais où était M. Cassany ? Ils ont pourtant appartenu, pendant des décennies, au même PS. Cela devrait créer des liens, non ?

    Néanmoins, au cours de la discussion, ces commerçants avaient avancé quelques solutions concrètes : le renforcement de la police municipale, notamment la nuit et le week-end, où elle n’est actuellement pas opérationnelle. Réponse du maire :

    « Nous y avons aussi pensé. J’ai fait chiffrer le coût en 2014. C’est 850.000 € pour avoir une patrouille qui circule la nuit et qui devra appeler le commissariat s’il se passe quelque chose. On les trouve où, ces 850.000 € ? »

    Et nous y voilà : ben oui, on les trouve où, ces 850.000 € ? Et l’on redécouvre que tout est affaire de priorité, d’anticipation, de choix. Cela s’appelle la politique. Bien sûr, M. Cassany, l’impuissance et le fatalisme incarnés, sait bien qu’il n’a, avec l’imposition record qu’il inflige à ses administrés depuis quinze ans, en digne continuateur de M. Cahuzac, guère de marge de manœuvre.

    Alors, on les trouve où, ces 850.000 € ? Une petite suggestion ? Et si on regardait du côté du budget et des emplois alloués au service communication de la mairie… Je suis sûr qu’on en trouverait une partie de ces 850.000 €. Et peut-être même de quoi assurer aussi un retour à la propreté dans la ville. Car avec les choix de ses édiles socialistes, cette ville a décidé, depuis deux ans, de ne plus assurer qu’un ramassage des poubelles hebdomadaire. Avec les conséquences que vous imaginez. Une ville qui ne parvient plus à assurer un niveau de propreté et de sécurité correct pour ses administrés, tout en ayant un niveau d’imposition record, devrait remettre en question ses choix.

    Et les Villeneuvois remettre en question ces élus. C’est peut-être ce qui a commencé, ce 20 août 2018.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/villeneuve-sur-lot-excedes-par-linsecurite-ils-investissent-la-mairie/

  • Succès et médiatisation pour la première université d’été de Civitas

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    C’est au sein d’un vaste domaine privé et verdoyant à proximité de Poitiers que Civitas a tenu avec succès sa première université d’été du Pays Réel.

    Une université d’été qui fut très commentée par les médias (journal télévisé de France 3, France Bleu, La Nouvelle République, Médiapart, La Croix, le MuslimPost et bien d’autres). Comme l’ont souligné les journalistes, cette Promotion Charles Martel a réuni au total près de 150 participants.

    D’emblée, ce qui frappe, c’est l’éclectisme. Il y a là des gens venus de toutes les régions de France, et même de Suisse et de Belgique. Des étudiants côtoient des retraités, des familles sont venues avec leurs enfants, des ouvriers et des artisans discutent avec des universitaires.

    Certains sont catholiques depuis toujours et d’autres viennent pour le devenir. Se mélangent ainsi dans une atmosphère chaleureuse et familiale des catholiques traditionalistes de toujours, d’autres qui le sont depuis peu, des catholiques qui vont encore à la messe moderne mais se posent beaucoup de questions, ainsi que des personnes qui assistent pour la première fois à la messe. A table, on est impressionné par les récits de plusieurs personnes dont les parcours sont similaires : nées dans des familles de gauche, souvent anticléricales, elles ont d’abord pris conscience que la société moderne repose sur de nombreux mensonges puis, à force de quête de vérité, arrivent tout naturellement au moment de la recherche spirituelle qui les mène jusqu’ici, découvrir le catholicisme intégral.

    Cinq prêtres de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X, deux capucins de Morgon et un dominicain d’Avrillé sont là pour l’accompagnement religieux.

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  • Les moutons de l’Aïd : les dérogations qui font la loi – Journal du mardi 21 août 2018

    Société / Les moutons de l’Aïd : les dérogations qui font la loi
    Pendant trois jours, les musulmans vont célébrer la plus importante fête en Islam : l’Aïd el Kebir. Face à une forte demande, les sacrifices de moutons font souvent des entorses à la loi française. Chaque année, l’Etat ferme les yeux.

    Société / Cigarettes plus chères = moins de fumeurs

    International / Donald Trump maintient ses positions
    Tensions avec la Turquie, conflit commercial avec la Chine et sanctions vis-à-vis de la Russie, Donald Trump est revenu sur ses choix diplomatiques. Face aux nombreux sujets de conflit, le président des Etats-Unis a maintenu ses positions avec un but en tête : les élections de mi-mandat.

    L’actualité en bref
    Lien Dailymotion :

    Lien Rutube :

  • Réduction des budgets de la Police et de la Gendarmerie au profit des immigrés

    Cherchez l'erreur : on coupe les crédits des forces de l'ordre pour les affecter aux immigrés, lesquels génèrent d'énormes problèmes de sécurité...

    Dans un rapport, déposé le 4 juillet 2018, au nom de la commission des Finances, Philippe Dominati note que 133 millions d’euros en autorisations d’engagement et 110 millions d’euros en crédits de paiement ont été annulés pour la police nationale, ainsi que 111,4 millions d’euros en autorisations d’engagement et 90 millions d’euros en crédits de paiement pour la gendarmerie nationale. Ces annulations ont été permises par un décret d’avance du 20 juillet 2017, servant à financer des mesures relatives à l’allocation pour demandeurs d’asile, qui dépend de la mission "Immigration, asile et intégration", explique le sénateur.

    Le rapport relatif à ce décret d’avance précise que ce besoin d’ouverture de crédits est dû d’une part "aux insuffisances des dotations inscrites en loi de finances initiale", et d’autre part "à la hausse constatée des flux de demandeurs d’asile", qui entraîne une augmentation du nombre de bénéficiaires de l’allocation pour demandeurs d’asile et des besoins d’hébergement liés aux opérations de mises à l’abri menées sur les derniers mois.

    Michel Janva

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