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Ses parents s'expriment après la mort de ce jeune homme de 26 ans, poignardé alors qu'il volait au secours de son meilleur ami agressé par des racailles armées.
"Dans une interview accordée au Dauphiné Libéré, les parents d’Adrien Perez - le jeune homme de 26 ans tué d’un coup de couteau dimanche matin à Meylan - évoquent longuement la mémoire de leur fils et se disent révoltés par ce drame. « Il y a eu Grégory [Baharizadeh] à Échirolles, il y a mon fils aujourd’hui. On pourra toujours organiser des marches blanches pour tenter de mobiliser l’opinion, cela ne servira à rien. Car il y aura encore d’autres victimes : une jeune fille demain, une grand-mère ensuite. Et cela ne s’arrêtera jamais. Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. La police et les gendarmes font tout ce qu’ils peuvent, mais la vérité, c’est que l’Etat a peur de cette minorité de personnes ultra-violentes qui terrorisent la majorité des pauvres gens dans les quartiers », estime notamment Bruno Perez, le père d’Adrien.
« Mon fils a tenté de venir au secours d’un couple d’amis qui était pris à partie par les agresseurs. C’est en venant les aider qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. Ni lui ni ses copains n’étaient évidemment armés, alors que les autres avaient des couteaux. Mais comment est-il possible que des gens puissent entrer dans une discothèque en étant armés ? », s’interroge, effondrée, la mère d’Adrien, Patricia" (suite).
Par Anthony Grange, contributeur pour Les Identitaires ♦
Les images sont choquantes. Le 26 juillet, des centaines de migrants africains montent à l’assaut de la frontière espagnole, à Ceuta. Le terme « assaut » est bien celui qui convient, car les clandestins sont entrés par la violence, en agressant les gardes civils espagnols au moyen d’armes chimiques artisanales.
Ils avaient des pierres et des bâtons, qu’ils n’ont pas hésiter à utiliser dans leur attaque. Ils ont même jeté des récipients d’excréments pour favoriser leur progression. Ils ont balancé de la chaux vive au visage des gardes civils espagnols, ce qui peut provoquer de graves lésions, notamment aux yeux. Ils ont employé des sprays enflammés, s’en servant comme des lance-flammes artisanaux.
Cet assaut, son organisation, les armes employées, font que nous ne sommes plus dans le registre de l’immigration clandestine ou de la délinquance. Il s’agissait d’une violation claire et caractérisée de la souveraineté de l’État espagnol par l’usage de la violence contre ses représentants.
Bref, d’un acte de guerre.
Qu’il n’y ait pas d’État ou d’entité juridique derrière cet assaut ne change rien à l’affaire. Les attentats du 11 septembre n’étaient pas le fait d’un État, ils ont pourtant été unanimement reconnus comme étant des actes de guerre.
L’assaut du 26 juillet, quoi qu’extrêmement différent dans ses moyens et ses conséquences, n’en relève pas moins d’un acte de guerre mené contre un État souverain.
La frontière de Ceuta ne peut donc plus relever du droit commun, ni de la police.
La Guardia Civil et les policiers espagnols ont pour mission d’appréhender criminels et délinquants, ils ne sont pas dans l’état actuel des choses en mesure de lutter contre des groupes de centaines de migrants clandestins qui utilisent des armes chimiques pour forcer les frontières.
De nombreux moyens de force intermédiaire, non létaux mais plus puissants que ce qu’une démocratie peut mettre à disposition de sa police, peuvent être utilisés par les militaires pour faire face à pareils assauts. De tels moyens sont déjà employés par les forces armées de démocraties occidentales pour faire face aux situations de crise. Il faut donc renforcer la militarisation des frontières extérieures de l’Europe et donner à ceux qui en ont la charge les moyens d’effectuer efficacement leur mission.
Cela passe aussi par une évolution du cadre légal car face à un acte de guerre comme l’était l’assaut du 26 juillet, le droit commun n’est plus adapté. Un droit d’exception apparait aujourd’hui plus que jamais nécessaire. Il faut que les clandestins qui s’introduisent de force à Ceuta ne puissent plus, en aucun cas, déposer de demande d’asile. La violence employée, en plus du reste, les disqualifie d’office de toute prétention d’accueil sur le territoire espagnol ou européen.
Il est totalement inacceptable qu’après avoir agressé et blessé des gardes-frontière espagnols, les clandestins paradent triomphalement dans les rues de Ceuta.
Ceuta, au même titre que Melilla, que la Grèce, ou que Lampedusa, ne doit pas être considéré comme un problème strictement espagnol. Les clandestins qui ont forcé les frontières espagnoles ne cherchent pas spécifiquement à s’implanter dans la péninsule ibérique : ce qu’ils visent, c’est bien l’Europe. Il y a fort à parier qu’un grand nombre d’entre eux chercheront à s’installer en France, en Allemagne, ou en Suède, voire tenteront de rentrer en Angleterre et se retrouveront bloqués à Calais où la violence ne cesse d’augmenter.
Il ne faut donc pas que seule l’Espagne ait à prendre en charge les frais inhérents à la défense de cette frontière. Les États européens devraient proposer leur aide au gouvernement espagnol, qu’elle soit financière, matérielle, voire même par l’envoi d’hommes.
Si ces mesures de bon sens, tout à fait applicables par une démocratie respectueuse des droits et libertés de ses citoyens, ne sont pas mises en œuvre, il est à craindre que l’assaut du 26 juillet ne soit que le prélude à une montée de la violence. Il est probable que, dans les camps de migrants qui entourent Ceuta et Melilla, le résultat de l’assaut du 26 juillet soit connu et qu’il en encourage déjà d’autres à retenter l’expérience.
Les migrants savent dorénavant qu’ils peuvent faire usage de la violence contre les gardes civils. Ils savent qu’ils peuvent agresser, casser, brûler même des policiers espagnols, et que cela restera sans conséquence. Ils savent que, quels que soient les moyens mis en œuvre, leur intégrité physique ne sera jamais réellement menacée. Ils savent que, peu importe la violence dont ils font preuve, ils seront de fait acceptés en Europe, et jamais expulsés.
Ils savent, en fait, que la violence et la casse sont récompensées.
Du sang, des larmes et le silence, ce silence assourdissant de la bien-pensance qui équivaut à un crachat sur la dépouille d’un jeune homme.
Mais commençons par le début : Adrien Perez, pour son anniversaire, samedi soir 28 juillet, invite des amis à faire la fête au Phénix, une discothèque de Meylan (Isère). Dans l’établissement, trois « jeunes », issus des banlieues à risque qui foisonnent autour de Grenoble, se font remarquer en adressant à la jeune femme du groupe gestes et remarques déplacés. La réaction immédiate des copains provoque un premier incident sans gravité. Mais vers 5 h 30, à la sortie des fêtards, nos racailles remettent cela. Une rixe éclate sur le parking, les trois malfrats brandissent des armes blanches. Adrien, frappé en plein cœur, meurt sur le coup, un de ses amis est grièvement blessé d’un coup de couteau qui lui perfore un poumon. Heureusement pour les enquêteurs, la scène a été filmée par des caméras de vidéosurveillance. Le lendemain matin, deux frères, Younes et Yanis El Habib, se livrent à la gendarmerie. Un troisième individu, arrêté, est lui aussi mis en examen.
Dans une interview accordée au Dauphiné libéré, les parents d’Adrien se disent révoltés par ce drame :
« Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible… C’est en venant aider un couple d’amis qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. Ni lui ni ses copains n’étaient évidemment armés. Comment est-il possible que des gens puissent entrer dans une discothèque avec des couteaux ? »
Effondré, le père conclura par ces mots : « En tuant notre fils, ils ont détruit notre vie, je ne pardonnerai jamais. »
Voilà, dans toute sa barbarie, le récit de ce drame. Encore une fois, pour ce type de meurtriers, le relatif silence de la presse est de rigueur. Aujourd’hui, j’ai décidé d’exprimer ma colère contre la multitude de ces agressions commises par des bandes ethnicisées et aussi ma honte face à ce deux poids deux mesures. Honte à France 3 Rhône-Alpes, qui retient surtout que le papa ne veut pas être catalogué comme « raciste » et ne désire pas « que les politiques récupèrent cette affaire ». Honte au juge des libertés et de la détention qui, pour le troisième suspect mis en examen, n’a pas suivi les réquisitions du parquet et l’a laissé en liberté sous contrôle judiciaire. Honte à tous ces médias « mainstream » qui se répandent en écrits haineux contre les gendarmes dans l’affaire Adama Traoré, mort suite à son interpellation, mais qui refusent de consacrer une ligne au meurtre d’Adrien. Honte à cet ancien président de la République qui se rend au chevet de Théo Luhaka, un menteur et un délinquant, mais ne daigne pas envoyer un simple message à la famille de la jeune victime. Honte à ces artistes qui, comme le comédien Omar Sy, soutiennent les crapules si elles sont de couleur mais n’ont pas un mot pour un Perez. Honte au Figaro qui détaille le jet, en Italie, d’un œuf en voiture contre Daisy Osakue, athlète d’origine nigériane, en concluant que l’Italie est face à une série d’agressions racistes (ce qui serait faux) mais est resté muet jusqu’à ce matin sur le crime de Meylan. Honte, enfin, à Macron, qui a félicité à l’Élysée Mamoudou Gassama et l’a naturalisé mais n’a fait aucune allusion à la bravoure du jeune Grenoblois.
Pour ma part, je vais mettre un mot sur le site Libra Memoria et envoyer une étoile.
Le titre d’un article publié ce matin, « L’inquiétante radicalité des jeunes musulmans » (encore visible dans l’url de l’article, dans Google et Google News) est devenu « L’inquiétante radicalité d’une minorité de jeunes »
"La valse des directeurs se poursuit au ministère de la Culture. Cette fois, c'est au tour du directeur adjoint du cabinet Pierre-Emmanuel Lecerf de prendre la poudre d'escampette. Comme le révèle La Correspondance de la Presse. En poste depuis seulement sept mois, l'énarque quittera le ministère de la Culture en septembre pour rejoindre l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). Il sera remplacé par Philippe Lonné, sous-directeur à la direction du Budget à Bercy.
Ce départ intervient après celui de la quasi-totalité des directeurs du ministère. Ils avaient, pour la plupart, gagné des cieux plus favorables. Pierre-Emmanuel Lecerf, remplaçait déjà Laurence Tison-Vuillaume, elle-même promue directrice de cabinet après le départ de Marc Schwartz. L'hémorragie se poursuit. En un peu plus d'un an d'exercice, le cabinet de Françoise Nyssen a vu sept hauts fonctionnaires plier bagage. Une belle performance quand on sait que le nombre de conseillers du ministère est passé de 20 à 10 sous François Hollande".
1) Société / Harcèlement de rue : la nouvelle arnaque gouvernementale
Le secrétaire d’Etat Schiappa présente son nouveau joujou législatif : une loi contre le harcèlement. Face à un problème réel, l’exécutif crée un énième texte de loi inapplicable et qui illustre la tendance à l’incontinence législative.
2) Santé / Arrêts maladies : la nouvelle mauvaise idée du gouvernement
Les arrêts maladie coûtent de plus en plus cher… pour y remédier, l’exécutif propose de faire payer l’addition aux entreprises et non à l’Etat… une bien vilaine idée rejetée par les syndicat de salariés et d’employeur.
3) Economie / Rassurez vous Madame c’est français, ce sont des jeans français !
Des jeans fabriqués en France ! A l’heure des délocalisations cela peut paraître paradoxale et pourtant un fabricant de Florac dans les Cévennes a su faire mieux que survivre grâce à un modèle à cheval entre le savoir faire traditionnel et la start-up.
4) Les étoiles filantes
5) L’actualité en bref
Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)
Grâce à ses spéculations juteuses, le Baron Nathan Mayer de Rothschild, comme il se faisait désormais appeler, régna sur Londres en tant que puissance financière suprême. Un jour, lors d’une réception qu’il donnait à son hôtel particulier, il s’était exclamé avec arrogance : « Je me fiche de savoir quelle marionnette est placée sur le trône d’Angleterre pour diriger l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrôle la masse monétaire de la Grande-Bretagne contrôle l’Empire Britannique, et je contrôle la masse monétaire britannique. »
Son frère James, à Paris, avait lui aussi réussi à dominer la finance française. Dans Baron Edmond de Rothschild, David Druck écrit : « La fortune de (James) Rothschild avait atteint la barre des six cents millions. Un seul homme en France possédait plus : c’était le Roi, dont la fortune s’élevait à huit cents millions. La richesse combinée de tous les banquiers de France était inférieure de cent cinquante millions à la fortune de James Rothschild. Celle-ci lui conférait naturellement des pouvoirs phénoménaux, pouvant même aller jusqu’à renverser des gouvernements chaque fois qu’il le décidait. Il est bien connu, par exemple, qu’il renversa le gouvernement du Président du Conseil [Louis Adolphe] Thiers. »
L’expansion de l’Allemagne sous Bismarck s’accompagna de sa dépendance envers Samuel Bleichroder, banquier à la cour du roi de Prusse et connu pour avoir été, depuis 1828, un agent des Rothschild. Le Dr von Bethmann Hollweg, qui deviendra plus tard chancelier d’Allemagne, était le fils de Moritz Bethmann de Francfort, qui avait pratiqué l’intermariage avec les Rothschild. L’Empereur Wilhelm 1er se reposait lourdement sur Bischoffsheim, Goldschmidt et Sir Ernest Cassel de Francfort, lequel émigra en Angleterre et devint le banquier personnel du Prince de Galles, devenu plus tard Edouard VII. La fille de Cassel épousa Lord Mountbatten, donnant à cette famille un lien direct avec la couronne britannique actuelle.
Josephson expose que Philip Mountbatten était parent avec les Meyer Rothschild de Francfort à travers les Cassel. La Maison des Windsor avait donc un lien familial direct avec les Rothschild. En 1901, lorsque le fils de la Reine Victoria, Edouard, devint le Roi Edouard VII, il rétablit les liens avec Rothschild.
Voici ce que dit Paul Emden, dans Behind The Throne : « La préparation d’Edouard à ce métier était assez différente de celle de sa mère, d’où le fait qu’il fut moins « dirigiste » qu’elle. Par reconnaissance, il conserva auprès de lui des hommes qui s’étaient trouvés à ses côtés à l’époque de la construction du chemin de fer de Bagdad [...] Furent ajoutés à la liste de conseillers, Léopold et Alfred de Rothschild, divers membres de la famille Sassoon et surtout, son conseiller financier personnel, Sir Ernest Cassel. »
« L’énorme fortune que Cassel amassa en relativement peu de temps lui conféra un pouvoir immense dont il ne fit jamais mauvais usage. Il réunit la firme Vickers Sons avec la Naval Construction Company et la Maxim-Nordenfeldt Guns & Ammunition Company, une fusion qui fit naître la firme mondiale Vickers Son & Maxim. Dans un registre entièrement différent de celui de Cassel, se trouvaient des hommes d’affaires, comme les Rothschild. Leur firme était gérée sur des principes démocratiques et les divers associés devaient tous être membres de la famille. C’est avec une grande hospitalité et de manière princière qu’ils menaient des vies de grands seigneurs et il était naturel qu’Edouard VII les trouvât sympathiques. Grâce à leurs relations familiales internationales et à des liens d’affaires toujours plus étendus, ils connaissaient le monde entier, étaient bien informés sur tout le monde et avaient une connaissance sûre de sujets qui n’apparaissaient jamais à la surface. Depuis le tout début, cette combinaison de finance et de politique avait été la marque de fabrique des Rothschild. La Maison Rothschild en savait toujours plus que ce que l’on pouvait trouver dans les journaux et même encore davantage que ce que l’on pouvait lire dans les rapports qui arrivaient au Foreign Office. Dans les autres pays, les relations des Rothschild s’étendaient également en coulisse, derrière les trônes. Il fallut un grand nombre de publications diplomatiques dans les années qui suivirent la guerre pour qu’un public plus large apprenne à quel point la main d’Alfred de Rothschild avait fortement affecté la politique de l’Europe Centrale durant les vingt années qui précédèrent la [première] guerre [mondiale]. »
Avec le contrôle monétaire arriva le contrôle des moyens d’information. Kent Cooper, à la tête d’Associated Press, écrivait dans son autobiographie, Barriers Down [Bas les masques] : « Les banquiers internationaux subordonnés à la Maison Rothschild acquirent une participation dans les trois principales agences de presse européennes. »
Ainsi, les Rothschild avaient acheté le contrôle de l’agence internationale de presse Reuters, dont le siège est à Londres, de l’agence française Havas et de l’agence allemande Wolf, qui contrôlaient la diffusion de toutes les informations en Europe.
Eustace Mullins, Les secrets de la Réserve fédérale
Une prétendue loi de confiance dans l’information. En fait une loi de plus pour penser « correctement », ce qui traduit une profonde crise de confiance.
La question de l’information est éminemment politique.
Il ne s’agit pas de remonter à Platon et de revenir sur la justification des mensonges des gouvernants, mais d’examiner la manière dont, aujourd’hui, en France, le pouvoir médiatique s’allie au pouvoir politique. Il y a, d’une part, la concentration des médias les plus répandus aux mains de quelques propriétaires qui, par le jeu des participations, des alliances et des accords commerciaux, sont en situation de contrôler à la fois les « contenus », comme on dit à présent, et leur distribution numérique auprès du plus grand nombre, dans le cadre des bouquets proposés par abonnement. Il y a, d’autre part, une profession clairement positionnée à gauche et qui, avec plus ou moins de sincérité, s’efforce de promouvoir un modèle de société multiculturelle manifestement en opposition avec le cadre de l’État-nation. Il y a, enfin, une opinion publique qui bénéficie de façon inédite de la double capacité de s’exprimer individuellement sans limite et d’empêcher collectivement l’expression des voix discordantes.
Nous voici donc à un moment où les médias de service public, les médias dits « de référence » et l’État, tant par ses propositions législatives que par sa Justice, forment une coalition de fait pour imposer l’idée que « penser autrement » est dangereux. Vous pensez mal et voilà le danger ! Danger qui va du désagrément moral – la mauvaise odeur de la France moisie – jusqu’à la réelle mise en danger de la vie d’autrui et même jusqu’à la mise en cause de l’honneur et de l’indépendance de la France, soudainement exposée par la seule force de ces mauvaises opinions !
Mais question : est-ce vraiment à l’État de déterminer ce qui est vrai ? Est-ce vraiment à ses médias de discriminer l’information avec tant de partis-pris que tel scandale est traité en anecdote et tel fait divers haussé au rang d’enjeu de civilisation ? Est-ce vraiment aux juges de dire instantanément, ou presque, ce qu’il est licite de diffuser et ce qui doit être tu, la démocratie étant supposée ne pas supporter, en périodes d’élections, ce qu’elle digère pourtant quotidiennement ?
Mais quand un ministre parle de rééduquer « les Français réactionnaires », quand la Justice poursuit Georges Bensoussan qui dénonce l’antisémitisme des banlieues mais laisse en paix le CCIC – reconnu d’intérêt général en 2011… –, quand des faits avérés sont niés par les plus hautes autorités, tel Jacques Toubon, Défenseur des droits, quand les journaux expliquent à longueur de colonnes que le peuple pense mal, quand les plateformes numériques décident d’être les arbitres du vrai et du bien et que les politiques restent passifs, quelle confiance les Français pourraient-ils garder envers leurs gouvernants, leurs représentants et même entre eux ? Au fond de la question de l’information se retrouve une fois encore celle de la confiance : confiance que le pouvoir a dans le peuple ; confiance que l’État français a en lui-même ; confiance que les Français mettent dans l’État et ses institutions.