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France et politique française - Page 2405

  • Tous les fruits gâtés de mai 1968 s’accumulent en pourritures

    6a00d83451619c69e20224e036f480200d-250wi.pngEditorial d'Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine à propos de la manifestation parisienne du 1er mai :

    "Il n’est pas douteux que la Préfecture de police et le ministère de l’Intérieur ont donné des ordres pour éviter au mieux ce qu’il est convenu d’appeler « les dommages collatéraux ». C’est-à-dire des passants, autrement dit des manifestants « honnêtes » (!) ou des « curieux » se hasardant sur les lieux, qui pourraient être bousculés ou blessés à l’occasion de charges policières ou de heurts frontaux. Ce qui provoquerait aussitôt des hurlements d’indignation, l’indignation ne fonctionnant comme toujours qu’à sens unique ! La grande voix de Libération, entre autres, ne manquerait pas de se faire redoutable : le bourgeois anarchiste et gauchard adore le désordre, tant, bien sûr, que les coups ne l’atteignent pas.

    Donc, les cortèges se rassemblent librement. Il est connu d’avance par les réseaux sociaux et par les renseignements que l’ultra-gauche sera de la partie et mènera la danse. Le petit monde cagoulé du black bloc est au rendez-vous sans problème. Pas question de procéder à des arrestations préventives, contrairement à tous les usages de naguère. Et voitures de brûler, devantures d’exploser, magasins et établissements d’être saccagés, pillés, détruits. Et policiers et gendarmes d’être blessés : s’ils pouvaient être massacrés, ils le seraient.

    Le bon vieux défilé syndical, où le service d’ordre de la manifestation faisait lui-même la police, n’existe plus. C’est la raison pour laquelle, en dehors de la CGT et de Sud, il ne se pratique presque plus. Les risques de débordements sont trop importants. L’heure est à l’affrontement brutal. Des minorités s’essayent de plus en plus à créer soit des zones de non-droit, soit des journées insurrectionnelles. Jeux plus ou moins infantiles, plan concerté, excitation de l’imagination, désir d’un « jusqu’auboutisme » qu’on croit libérateur ; mélange de tout cela, sans doute. Jeunesse désœuvrée et livrée à toutes les propagandes ; société éclatée, privée d’autorités naturelles, toutes systématiquement détruites par la loi elle-même ; « communautarismes » flagrants qui s’étendent sur des villes entières et qui refusent la nation, qui récusent la France et tout ce qu’elle représente, et où l’islamisme règne en maître ; enseignement et médias qui ne cessent d’inspirer le mépris de l’histoire, de l’ordre, de la vraie famille, de la société traditionnelle…

    Facultés, bientôt lycées, quartiers, villes – même avec leur maire et leur député de gauche, d’archi-gauche qui ont l’inconscient culot de s’en étonner ! –, maintenant zones entières de départements et de régions en sécession pratique où aucune police et aucun service d’Etat ne peut pénétrer. La aucun service d’État ne peut pénétrer. La situation est tenue en main, dit-on dans les hautes sphères pour se rassurer. Voire ! La fameuse convergence des luttes souhaitées par le bourgeois Mélenchon qui se fait plaisir à jouer le tribun de gauche, se feront tout autrement que ce que des imaginations politiciennes croient inventer. Qui, dans les banlieues, croit encore dans la République bourgeoise ?

    Pour le moment, Macron, en rappelant à l’ordre, pense ramasser une fois de plus la mise à son profit. C’est le calcul républicain. Mais chacun devine que tout peut échapper. A force de glorifier la révolution comme principe même de gouvernement, tous, de droite comme de gauche, ne font que rendre la France complice de sa propre destruction. Jusqu’où ?"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Suite au Brexit, il importe de mettre fin à l’unilinguisme anglo-américain à Bruxelles en mettant sur la table du Conseil européen la question du français et des autres grandes langues nationales.

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    Marc Rousset

    Henri Gizardin vient de signaler, sur Boulevard Voltaire cliquez ici, la politique de la chaise vide pratiquée par l’ambassadeur de France auprès de l’Union européenne, Philippe Léglise-Costa, pour protester contre la tenue de discussions du Conseil en anglais sans traducteurs à Bruxelles. De son côté, lors de sa conférence de presse à Bruxelles, le vendredi 23 Mars, Michel Barnier s’est pour la première fois exprimé seulement en français devant les journalistes.

    Suite au Brexit, il importe en effet plus que jamais de mettre fin à l’unilinguisme anglo-américain à Bruxelles en mettant sur la table du Conseil européen la question du français et des autres grandes langues nationales telles que l’allemand, l’espagnol et l’italien.

    L’Union européenne est de loin la zone la plus anglicisée du monde. Les administrations nationales reçoivent des documents en anglais et sont tenues de répondre en anglais. La toute nouvelle réglementation européenne SERA-Partie C vise à imposer l’anglais comme unique langue de communication entre les pilotes privés français et les six principaux aéroports de France métropolitaine. On ne compte plus les diplomates français qui, contrairement à leurs collègues québécois ou africains, affichent des messages d’absence uniquement en anglais. De Gaulle disait : « Le snobisme anglo-saxon de la bourgeoisie française est quelque chose de terrifiant. […] Il y a chez nous toute une bande de lascars qui ont la vocation de la servilité. Ils sont faits pour faire des courbettes aux autres. »

    Le français est en péril non seulement à Bruxelles mais en France, lorsque l’on voit six grandes enseignes françaises lancer une opération de promotion « French Days », une réplique du « Black Friday » américain. Quant à Génération identitaire, sous prétexte que l’action « Defend Europe » était européenne, ils n’ont rien trouvé de mieux que d’afficher leur message anti-migrants à l’Europe en anglais au col de l’Échelle, comme si le français n’était pas une langue européenne plus que suffisante en elle-même, et comme si la seule langue internationale n’était pas, en fait, la traduction, selon Umberto Eco.

    La France vit à l’époque de la « Loire Valley », de « Lorraine Airport », des revues scientifiques subventionnées par le contribuable qui refusent les articles en français, des grandes écoles et des universités enseignant en anglais, de l’Eurovision en anglais, des Jeux olympiques de Paris en anglais sur la tour Eiffel, de l’armée française arrimée à l’OTAN subissant l’anglais comme seule langue de travail, du commissaire Pierre Moscovici tançant ses collègues français sur les questions budgétaires en anglais au nom de la Commission. Quant à Macron, il s’exprime trop souvent en anglais à Berlin, à Davos ou à Versailles, mais il veut lancer en même temps l’ambitieux projet de l’« Institut international de la francophonie », en restaurant pour 200 millions d’euros le château de Villers-Cotterêts, haut lieu de l’ordonnance de François Ier faisant, en août 1539, du français la langue administrative et juridique du royaume.

    Plusieurs associations de défense du français sont sorties du bois pour que l’anglais disparaisse comme langue de travail de l’Union européenne après le 29 mars 2019, car l’Irlande a choisi l’irlandais comme langue de communication avec l’Union européenne, et Malte le maltais. Cela signifie que lorsque le Royaume-Uni sortira de l’Union européenne, l’anglais, au regard des textes en vigueur (un pays, une langue), perdra automatiquement son officialité. L’affaire semble bien se présenter pour le français sur le plan juridique, car les documents fondateurs ne peuvent être modifiés qu’à l’unanimité. De plus, en 2050, la France comportera 78,9 millions d’habitants et les locuteurs francophones dans le monde atteindront la barre des 700 millions.

    La France souhaite-t-elle faire du français la langue de l’Europe ou préfère-t-elle devenir une colonie américaine, une seconde Louisiane ? Tout dépendra de la volonté des Français, à l’origine de l’idée européenne.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Emmanuel Macron face à l’immigration : l’esbroufe pour masquer le vide [Partie 2]

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    Par Robert Martin ♦ Un de nos lecteurs nous a récemment contactés. Fonctionnaire retraité ayant assuré un rôle important au sein du dispositif judiciaire entourant la demande d’asile en France, il est théoriquement soumis à un devoir de réserve, nous avons donc respecté son anonymat en modifiant son nom. Néanmoins, face aux actions d’Emmanuel Macron et notamment à sa loi Asile et Immigration, il a décidé de nous communiquer plusieurs textes. Nous avons décidé de publier en 5 parties un grand texte solidement documenté sur le projet de loi d’Emmanuel Macron et, plus globalement, sur les mesures qu’il faudrait adopter pour gérer efficacement la crise migratoire.
    Après une première partie dédiée à l’analyse globale du texte Asile et Immigration, Robert Martin commentera ici le rapport du Conseil d’Etat sur ce projet de loi.
    Polémia

    Ma première inquiétude fut de découvrir que le Conseil d’Etat avait désigné comme rapporteur de ce texte, un conseiller d’état, Thierry Tuot, auteur il y a cinq ans d’un rapport controversé intitulé « La Grande Nation : pour une société inclusive » et connu pour ses positions favorables à une immigration ouverte.

    Ainsi, selon Le Point, ce haut fonctionnaire abandonna son devoir de réserve et, à plusieurs reprises, il a semblé que l’analyse juridique cédait la place au discours militant, allant jusqu’à publiquement regretter qu’il ne soit pas possible au Conseil d’État de « refuser d’examiner le texte », ce qui aurait, selon lui, « constitué un geste politique fort ». Et de dénoncer « la propagande du gouvernement qui, sous le couvert d’une meilleure intégration des étrangers, entend faire passer sans les assumer une série de mesures durcissant les conditions d’entrée et de séjour de ces derniers. »
    Cependant, malgré ces dérapages verbaux, le rapport pour avis rendu le 15 février 2018 sur ce projet de loi fut considéré par tous comme étant équilibré.

    L’avis rendu par le Conseil d’Etat le 15 février 2018

    Premier commentaire

    Le Conseil d’Etat souligne, dans les paragraphes 4 à 10 de son rapport, les faiblesses majeures du texte gouvernemental donnant ainsi l’impression de ne pas évoquer les vrais problèmes auxquels notre pays est confronté en matière de mouvements migratoires.

    Rapport du Conseil d’Etat :
    « 4. Le Conseil d’État observe que les migrations, particulièrement celles qui concernent le territoire national et plus largement l’Europe, ont connu au cours de la dernière décennie des changements très importants : l’origine et la nature des flux, leur répartition géographique, les motifs conduisant à rechercher l’entrée sur le territoire national reflètent des évolutions très significatives, sur lesquelles l’exposé des motifs et l’étude d’impact demeurent souvent allusifs. »

    Commentaires :
    Le Président de la République a évoqué rapidement dans son débat sur RMC les thèses du journaliste américain Stephen SMITH développées dans son livre publié le 7 février 2018 La ruée vers l’Europe — La jeune Afrique en route pour le Vieux continent. Un livre qui décrit bien le nouveau paysage européen marqué avant tout par une immigration massive venant d’Afrique. Une migration vers l’Europe inéluctable du fait du doublement de la population africaine d’ici à 2050.

    Stephen Smith prend également « à rebrousse-poil » les théories établies du co-développement, battant en brèche la croyance selon laquelle aider les pays africains à se développer économiquement permet d’empêcher la migration des populations vers l’Eldorado Europe.

    Ce ne sont plus les populations les plus démunies d’Afrique qui partiront pour l’Europe, mais celles des classes moyennes, plus en mesure de faire le grand saut vers le paradis économique du vieux continent.
    Nous passerons des demandeurs d’asile désireux de « sauver leur peau », aux expatriés pour raisons économiques.

    Or, notre modèle d’analyse des demandes d’asile n’est absolument pas adapté à cette nouvelle catégorie de migrants.

    Pour détendre un peu le lecteur, voici un article consacré à la grande naïveté de notre politique d’examen des demandes d’asile et au « professionnalisme » des associations pro-migrants.

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  • BLACK BLOCS : LES CRIS D’ORFRAIE ARRIVENT UN PEU TARD !

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    Suite au carnage matériel – dans l’attente qu’ils tuent un jour, puisqu’ils aspirent à casser du flic et à la guerre civile – perpétré par les Black Blocs, mardi 1er mai à Paris, les ténors politiques y sont allés de leur couplet réprobateur et de leurs invectives contre le gouvernement.

    « Gérard Collomb mais aussi Emmanuel Macron se sont rapidement retrouvés sous les feux de l’opposition, et notamment des Républicains » (Le Huffpost).

    Une pluie de tweets s’est donc abattue sur l’exécutif, accusé de n’avoir pas mesuré l’ampleur de la situation. « Terribles images aujourd’hui pour notre pays. Faillite de l’État régalien », s’est insurgé Laurent Wauquiez. « Jamais de telles violences n’avaient été commises à Paris lors d’une manifestation », a exagéré Éric Ciotti, omettant les nombreux saccages perpétrés par la diversité de banlieue dans la capitale, et ce, depuis plusieurs années. Nadine Morano a frappé encore plus fort : « Ni anticipation, ni réactivité efficace, changement de direction de la manifestation dans l’improvisation totale, effectifs sous-dimensionnés, ordres inadaptés. Démissionnez ! »

    C’est bien, mais que n’ont-ils été aussi fermes lorsqu’ils avaient le pouvoir, ces gens de droite ! On n’oubliera pas, par exemple, la non-intervention de Jacques Chirac, alors président de la République, pendant les émeutes de 2005.

    Cependant, à la défense du ministre de l’Intérieur, les Black Blocs sont des groupes éphémères qui se volatilisent aussitôt leurs forfaits accomplis. C’est en amont qu’il fallait traiter ce coup de force annoncé par les intéressés, qui « promettaient une journée d’enfer pour Macron » (Le Parisien).

    On pourrait, par exemple, envisager de ficher les extrémistes de gauche, comme on le fait pour les musulmans radicaux, et les surveiller plus activement. Il faudrait aussi admettre que la violence d’État est parfois nécessaire pour éviter « que nous ne roulions à travers la guerre civile, aux aventures et aux usurpations les plus odieuses et les plus ruineuses » (général de Gaulle, allocution du 24 mai 1968).

    Quant aux forces de l’ordre, accusées de tous les maux dans cette affaire, elles ont fait preuve d’un sang-froid remarquable, eu égard à leur faible marge de manœuvre. Comme d’habitude, elles ont nettoyé le « merdier » laissé par les pouvoirs publics et, quelque part, par les médias et intellectuels bon teint qui regardent avec une certaine bienveillance l’extrême gauche et agitent la peste brune comme le père Fouettard. Ce que n’a pas manqué de faire Jean-Luc Mélenchon en pointant spontanément des « bandes d’extrême droite », malgré les portraits de Marx et Che Guevara brandis par cette horde.

    Pour finir, le McDo qui a été détruit est très fréquenté par les familles emmenant leur progéniture au Jardin des Plantes. C’est, décidément, une constante chez les ultra-gauchistes de frapper l’enfance, après avoir canardé le bâtiment Laennec de l’hôpital Necker-Enfants malades, en juin 2016, où sont soignés notamment des bébés prématurés !

    http://www.bvoltaire.fr/black-blocs-cris-dorfraie-arrivent-tard/

  • Éric Zemmour sur le Service national : « L’armée ne peut à elle seule corriger les renoncements d’une école qui, elle-même, croule sous les effets d’une invasion migratoire inouïe »

    Il ne faut pas se leurrer : le service militaire d’autrefois ne reviendra pas. Mais faut-il s’en plaindre ? Car l’armée ne peut à elle seule corriger les renoncements de l’école.

    (…)

    Il ne faut pas se leurrer: en dépit des annonces fracassantes, le service militaire ne reviendra pas. Les armées ont tant besoin d’argent pour renouveler armement et équipement qu’elles n’accepteront jamais de dépenser des fortunes pour former des conscrits innombrables, mais pour la plupart inutiles.

    L’armée ne peut à elle seule corriger les renoncements d’une école qui, elle-même, croule sous les effets d’une invasion migratoire inouïe depuis des décennies. Il n’est pas sûr d’ailleurs que le service militaire à la papa n’aurait pas, s’il avait été maintenu, révélé lui aussi crûment les fractures irrémédiables de la société française.

    Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1000077-eric-zemmour-sur-le-service-national-larmee-ne-peut-a-elle-seule-corriger-les-renoncements-dune-ecole-qui-elle-meme-croule-sous-les-effets-dune-invasion-migratoire-inouie

  • Grenoble lundi 14 mai, Centre Lesdiguières : conférence de Laurent Dandrieu, à ne pas manquer !

    Laurent Dandrieu, Rédacteur en chef des pages Culture de Valeurs actuelles, pour lequel il suit également l’actualité du catholicisme, auteur de plusieurs livres dont une biographie de Fra Angelico et un Dictionnaire passionné du cinéma, sera présent.

    Laurent Dandrieu s’est penché dans son dernier livre, « Eglise et immigration : le grand malaise » sur la complaisance manifestée par la hiérarchie catholique vis-à-vis de ce que le pape François lui-même qualifie d’invasion migratoire sans précédent.

    Dans sa conférence il démontrera l’impasse du discours catholique actuel sur l’immigration, qui semble demander aux fidèles de sacrifier leur attachement à leur patrie et à leur culture à un accueil inconditionnel de l’étranger.

    Impasse à la fois fatale à l’Europe, mais aussi à l’Eglise, qui accroît ainsi le gouffre qui la sépare désormais des peuples européens. Ce discours sur l’immigration étant contraire en plusieurs points à la doctrine catholique traditionnelle,

    Laurent Dandrieu montrera en quoi un autre discours catholique sur l’immigration est possible et urgent.  

    CONTACT

    centreslesdiguieres@laposte.net

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • AIDEZ SYNTHÈSE NATIONALE A SE DÉVELOPPER

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  • ROMAIN ESPINO : LES GRANDS DÉFENSEURS DE LA LIBERTÉ D’EXPRESSION ET DE LA DÉMOCRATIE ONT DE CURIEUSES MÉTHODES

    Les comptes Facebook et Instagram de Génération identitaire ont été suspendus après une campagne massive de signalement. Génération identitaire a fait appel et étudie les procédures par voie d’avocat. C’est ce que révèle Romain Espino, son porte-parole – qui a fait lui-même l’objet d’une violente campagne de dénonciation personnelle sur les réseaux sociaux – à Boulevard Voltaire.

     porte-parole Génération Identitaire

    http://www.bvoltaire.fr/grands-defenseurs-de-liberte-dexpression-de-democratie-ont-de-curieuses-methodes/

  • L'inutile violence des Black Blocs

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    Le billet de Patrick Parment

    On pourrait souscrire au combat anticapitaliste des Black Blocs si d’aventure leur violence débouchait sur une prise de pouvoir. Or, c’est loin d’être le cas. La violence fasciste comme celle des nazis dans les années 1920 a débouché sur une prise de pouvoir parce qu’elle reposait avant tout sur le soutien du peuple. On omet trop souvent de rappeler que Mussolini comme Hitler ont pris le pouvoir le plus légalement du monde.

    La situation est tout autre aujourd’hui et ces nigauds de Black machins qui rêvent de je ne sais trop quel lendemain qui déchante sont très en retard sur la violence qu’exerce le libéralisme sur le corps social. Et l’apparent régime démocratique qui nous gouverne masque mal la réalité ploutocratique de ce pouvoir.

    Cette violence sociale a d’autant plus de facilité à s’exprimer que la société de consommation a détruit la solidarité des communautés naturelles et l’homogénéité du peuple. Au sein d’un paysage social littéralement dévasté, fragmenté et en partie communautariste, le libéralisme a tout lieu d’imposer sa loi d’airain.

    Le vrai problème, ce n’est pas la violence aussi désuète qu’inutile des Black machins, c’est de savoir comment, au sein de cette société dite libérale, un peuple reprend son destin en main.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/