
Jeudi 17 octobre, à la barre du tribunal correctionnel de Blois, cette femme officier de l’administration pénitentiaire était encore sous le choc de la violente agression qu’elle a subie le 16 septembre dernier à la maison d’arrêt de Blois. Dans le box, Abdourahamane, 23 ans, campait droit dans ses bottes, les mains dans les poches avant de son jean.