Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 2826

  • Comment l'alliance socialiste et islamiste a détruit la liberté d'expression

  • Aux urnes, au nom du peuple!

    ayxlqlkhjvzwhch-400x400-nopad-300x300.jpgC’est une confirmation des craintes exprimées par le FN, de l’évidence des mesures prônées par Marine Le Pen dont nous nous serions bien passées. La candidate national rappelait hier soir dans l’émission 15 minutes pour convaincre diffusée sur France 2 et France Inter,  la nécessité impérieuse  d’« expulser les imams étrangers qui prêchent la haine », «  tous les étrangers vivant sur notre territoire et qui ont un lien avec le fondamentalisme islamiste » et « l’intégralité des fichés S étrangers. Pourquoi garder sur notre territoire des bombes potentielles ? ». Elle pointait la mollesse de la réponse des partis au gouvernement dans la lutte « contre l’insécurité et le terrorisme », sujets « absents » du débat et pour lesquels « rien n’a été fait». Au même moment vers 21h, sur les  Champs-Élysées à Paris, un policier était abattu  et deux autres grièvement blessés à l’arme lourde par un islamiste qui a été mortellement touché par des tirs de riposte, agissant au nom de l’Etat Islamique (EI) qui a revendiqué cet attentat.  

    La personnalité de l’assaillant, Karim Cheurfi,  un français de papier né en 1977 à Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), est emblématique de la dérive islamo-racaille d’une certaine immigration, encouragée de facto par le laxisme criminel d’une justice gauchisante. Il avait été condamné à 20 ans de réclusion criminelle en 2003 devant une cour d’assises, pour trois tentatives d’homicide volontaire dont deux visant des policiers en 2001, à l’issue d’une course-poursuite et deux jours plus tard contre un policier qui le sortait de sa cellule et dont il avait saisi l’arme. Une peine ramenée à 15 ans en février 2005, ce criminel étant décrit par ses soutiens  comme une pauvre victime de la société, de l’exclusion et du racisme. Cheurfi avait été brièvement interpellé et interrogé il y a quelques semaines suite aux menaces de mort contre des policiers dont il s’était rendu coupable… avant d’être libéré rapidement par le parquet selon  certaines sources proches de l’enquête…

    « Je laisserai à mon successeur un pays en bien meilleur état que celui que j’ai trouvé » déclarait sans rire François Hollande hier ,  se vantant de manière ahurissante d’un bilan en tout point désastreux dont Emmanuel Macron porte toute sa part. Ce dernier  affirmait ce matin  sur RTL que « Marine Le Pen n’est pas celle qui pourra protéger nos concitoyens ». Le programme du gourou d’En marche !, qui a avoué de manière bien  pathétique dans cette même émission qu’il n’avait pas de plan pour lutter contre le terrorisme ( !)  est pourtant  aussi anémique que celui  de M Fillon. Ils partagent ainsi le même refus de retrouver nos frontières, de limiter l’immigration, de restaurer le droit du sol, de doter nos forces de l’ordre et nos armées des moyens et des effectifs nécessaires pour parer aux menaces grandissantes.

    D’autant que M. Macron, dans la logique purement anglo-saxonne et mondialiste qui est la sienne,  défend plus ou moins implicitement le développement d’un communautarisme lourd de conséquence pour notre unité nationale, dans une France en voie de babélisation-tiers-mondisation accélérée.  Une drague communautaire qui explique certainement qu’il est refusé d’exclure d’En marche ! Mohamed Saou, « un type bien » a-t-il dit,  son référent dans le Val d’Oise, un proche de Marwan Muhammad. Ce monsieur rappelons-le,  est  le président du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui prône le communautarisme et pourfend le « racisme » des  Gaulois,  comme Macron insulte la France et les Français en les accusant d’avoir commis un crime contre l’humanité en Algérie.

     Un CCIF qui a toute sa place dans le projet d’un candidat « qui est allé en Allemagne récemment pour dire toute l’admiration qu’il avait pour l’accueil de 1,5 million de migrants Outre-Rhin »,  « pour justifier l’autoroute migratoire qu’il veut instaurer entre Alger et Paris», comme l’a noté Marine. Un CCIF qui a touché des subsides  de l’Open Society Institute de l’idéologue  immigrationniste  et bruxellois  George Soros. Lequel a été mis en accusation par les autorités italiennes, sur la foi d’un rapport de Frontex,  au moment ou l’Italie est confrontée à une invasion migratoire sans précédent. Medias-presse.info  rapportait  ainsi  que «  les bateaux des ONG qui viennent en aide aux migrants devraient les ramener au port d’escale le plus proche, le long de la côte nord-africaine, mais au lieu de cela, ils les emmènent en Italie. » Les bateaux en question sont «  notamment ceux de Migrants offshore aid station (MOAS). Or, l’une des principales sources de financement de MOAS est Avaaz.org, à hauteur de 500.000 dollars pour ses opérations en Méditerranée. Et Avaaz.org est une émanation de MoveOn.org qui (…) organise des manifestations en faveur de l’accueil des immigrés illégaux. Or MoveOn.org appartient à George Soros. »

    Face à la montée des périls, aux défis migratoires, démographiques, sociaux, économiques  gigantesques auxquels sont confrontés la France , les pays européens affirme Bruno Gollnisch, les Français ont besoin d’une main  ferme à l’Elysée  pour  naviguer dans la tempête, (re)prendre le bon cap,  éviter les écueils.  Nous nous rendrons aux urnes le  23 avril, fête de Saint-Georges. Cet  officier romain mis à mort au IVème siècle pour avoir refusé de rendre un culte aux Dieux de l’Empire, torturé plusieurs fois jusqu’au trépas  mais qui chaque fois  ressuscita et multiplia  les miracles. Saint-Georges, symbole lumineux  du courage du soldat, des vertus martiales, dont la geste puise sa source dans notre plus longue mémoire. Saint-Georges   qui dans « La légende dorée » de Jacques de Voragine,   terrassa le dragon qui exigeait son tribut quotidien de chair fraîche   et empoisonnait de son souffle tous ceux qui se trouvaient à sa portée… Cette élection présidentielle  est en effet « un enjeu de civilisation ». Pas une voix patriote, souverainiste,  national  ne doit manquer à Marine. Tous aux urnes, au nom du peuple !

    https://gollnisch.com/2017/04/21/aux-urnes-nom-peuple/

  • Discours de Marion Maréchal-Le Pen et Stéphane Ravier à Marseille (19/04/2017) | Marine 2017

  • Hier soir, les islamistes se sont invités dans la campagne

    XVMff6074ca-2610-11e7-a231-685445acce23.jpg

    Un policier (de 26 ans) a été assassiné sur les Champs-Élysées.

    C’était le dernier débat avant les élections et, jusqu’à présent, on avait réussi à laisser peu ou prou les islamistes avec leurs godillots sales derrière la porte de la campagne soigneusement verrouillée. Pont-levis levé, herse abaissée. Soulagé, on ne pensait pour ainsi dire presque plus à ces tristes sires. On avait décidé de parler avec componction entre gens de bonne compagnie de choses plus ou moins insignifiantes comme le travail de Penelope, le prix des costumes, la sortie de l’euro, l’augmentation de la CSG et la cote immobilière au Touquet.

    Et puis, sans crier gare, les terroristes ont débarqué. Un policier (de 26 ans) a été assassiné sur les Champs-Élysées. Au début, on ne voulait pas y croire : sûrement un vol de sac à main qui a mal tourné. À la kalachnikov ?

    Sur les réseaux sociaux, Bruno Masure a recommandé de ne surtout pas s’échauffer, de ne pas tirer de conclusions hâtives, de garder son sang-froid et d’attendre… las, on a attendu, mais le problème n’a pas été résolu.

    Le maire du IVe arrondissement, Christophe Girard, un chouia complotiste, a tweeté quant à lui qu’il devait sûrement s’agir d’un coup de Poutine (vous avez compris, hé hé, pour servir sa blonde copine…). Et pourquoi pas, aussi, de Trump, d’ailleurs ? À cause des 140 caractères auxquels Twitter donne droit, sans doute. Il fallait faire un choix.

    Las, Daech a revendiqué. L’assaillant, qui a été abattu, était fiché S et avait été condamné en 2003 à 20 ans de prison pour tentative d’homicide sur… des policiers. Karim Cheurfi (c’est son nom) a même été arrêté – puis relâché – en février dernier, pour avoir claironné vouloir tuer des gardiens de la paix.

    Sur les réseaux sociaux, on a pleuré, on s’est lamenté. Un peu sur le sort de ce pauvre et vaillant policier (d’autant qu’un autre a été blessé), beaucoup sur celui des présidentielles, risquant d’être « impactées ». Très vite, on a accusé – les salauds ! – Le Pen et Fillon de « récupérer ». Sans tenir le moins du monde grief à la gauche d’avoir laissé l’engeance terroriste proliférer, ni cet islamiste dûment repéré en liberté. Poutou, d’ailleurs, a continué, à la télé, de pérorer : désarmons les policiers ! Tout cela faisait pour le moins… comment dire cela gentiment… décalé. C’est cela. Pas tout à fait ajusté.

    Pour contrer le hashtag #ChampsElysées – par trop déprimant -, voilà que des twittos ont décidé de lancer le mot-dièse #BellesChoses, tellement plus ravissant. Et pourquoi pas #PolitiqueDeLAutruche » et #VoilonsNousLaFace ?

    Jusqu’à quand ? Et si, au contraire, dimanche, dégrisés, les idées remises en place, les Français décidaient de voter en regardant leur destin en face ?

     Ecrivain, journaliste Son blog
  • Fusillade sur les Champs Élysées : un homme avec une kalachnikov abattu, 1 policier tué

    Les tirs auraient eu lieu à l’angle de la célèbre brasserie parisienne du Fouquet's, devant le magasin Yves Rocher. Un individu en véhicule aurait tiré sur une voiture de police à l'arrêt, tuant un policier. Il y aurait 2 policiers blessés.

    22h30 : Le second policier touché par balle sur les champs-Elysées aurait succombé à ses blessures. Information du syndicat de police, démentie par le porte-parole de la Place Beauvau.

    Pierre Henry Brandet, porte-parole du ministère de l'Intérieur, a détaillé ce qui s'est passé :

    "Un homme est sorti d'un véhicule avant d'ouvrir le feu, a priori avec une arme automatique, sur un car de police stationné. Il a tué un policier, puis a tenté de partir en courant en essayant de prendre pour cible d'autres policiers. Il en a blessé deux avant d'être abattu par les forces de l'ordre

    L'hypothèse d'un braquage qui a mal tourné ne semble pas privilégiée par la Place Beauvau. "Je peux vous dire que selon les première constatations, ce sont les policiers qui ont été visés directement". 

    Selon nos informations, un fusil d'assaut a été utilisé par l'assaillant lorsqu'il tué un policier sur le coup. Ses collègues ont riposté et l'ont mortellement atteint. Le cadavre a été menotté au sol. La scène s'est déroulé à côté du Fouquet's. La BRI est en train de quadriller le secteur pour trouver d'éventuels complices qui auraient pris la fuite."

    La section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie.

    L'auteur de la fusillade des Champs-Elysées abattu était fiché "s", son complice est en fuite, selon une source policière.

    22h45 : Nouveaux coups de feu entendus dans une rue voisine, rue Vernet. Démentis par le ministère de l'Intérieur.

    C94fGu2XsAQHPfa

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen : « Je ne veux pas qu’on s’habitue au terrorisme islamiste »

    Marine-Le-Pen-France-2-600x400.jpg

    « Je ne veux pas qu’on s’habitue au terrorisme islamiste, a martelé Marine Le Pen hier soir sur France 2. Je ne veux pas qu’on dise à notre jeunesse qu’elle vivra quotidiennement avec ce danger. Je veux que l’on mette un plan d’attaque contre le terrorisme islamiste. »

    https://fr.novopress.info/

  • 48% des Français se déclarant très proches de La Manif pour tous envisagent de voter pour Marine Le Pen et 42% pour François Fillon

    Selon un sondage en ligne.

    Ludovine de La Rochère appelle à voter :

    « Nous appelons nos sympathisants à se mobiliser massivement lors de tous les scrutins et naturellement pour le plus important de tous : la présidentielle ». «Notre mouvement est engagé depuis plus de 4 ans pour défendre la complémentarité des sexes, le droit des orphelins, la filiation et la famille. Nous ne cessons d'encourager les candidats à proposer une vision et une politique ambitieuse pour la famille, premier lieu de solidarité et refuge pour les plus vulnérables, particulièrement en période de crise. Cellule de base de la société, atout pour notre cohésion sociale et garant de la paix civile, la famille échappe aux clivages partisans. A l'issue d'un quinquennat qui aura fait mal, très mal, aux familles, au point de faire chuter la natalité, les sympathisants de La Manif Pour Tous souhaitent une réponse politique à la hauteur des enjeux. La Manif Pour Tous fait campagne pour un seul candidat : la famille ! C'est sans doute ce qui explique ce sentiment partagé qui, à l'image de l'ensemble des Français, est susceptible d'évoluer dans la dernière ligne droite d'une drôle de campagne ».

    Un second tour Le Pen - Fillon, en plus d'être cocasse, marquerait l'entière victoire de LMPT.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pierre Boutang : « Le seul horizon politique, le Prince chrétien

    Conférence donnée à Marseille, le 3 mars 1988, sous la présidence de Pierre Chauvet, au siège de l'Union Royaliste Provençale. Titre : « L'horizon politique, le Prince chrétien ». [Durée : 1 h 46]. 

    Nous hésitons toujours à diffuser cette conférence – pourtant exceptionnelle - de Pierre Boutang. 

    A cause de sa médiocre qualité technique, pour commencer : l'enregistrement a presque trente ans ; et, même pour l'époque, ce n’était pas un travail de professionnel…

    Ensuite, Boutang lui-même donne à sa conférence un aspect décousu, alors qu'elle est, en réalité, très construite. Ordonnée mais foisonnante et familière. A son habitude. D’ailleurs, ce soir-là, on est nombreux mais en famille.

    Qu'importe ! Une conférence de Pierre Boutang, d'une heure trois-quarts sur la situation de la France, de l'Action française, du royalisme français et, si l'on veut, de la mouvance maurrassienne, cela est sans analogue. Il n'en existe pas d'autre.

    Et quelle meilleure pièce à verser au débat rouvert par Jean Birnbaum dans Le Monde ! Il pourra y vérifier les rapports de fidélité – infidélité de Boutang à Maurras et à l'Action française, leur degré et leur nature respectives ; il verra si Boutang y apparaît comme « ce fils qui a mis à mort un père aimé et défaillant » ; il verra bien aussi s’il y trouve confirmation d’un Boutang « acceptant désormais la République » ; sans-doute constatera-t-il encore que parmi les sujets de préoccupation grave dont traite Boutang [l’islam, l’Allemagne, l’extrême fragilité de notre civilisation ... ] Israël – quoi qu’il aurait pu en dire – n’est pas du tout évoqué. Etc…

    Il y a, nous semble-t-il, une autre raison, conjoncturelle celle-là, de trouver un intérêt particulier à cette conférence. Donnée à Marseille le 3 mars 1988, elle tombe en pleine période préélectorale. Le 1er tour de l'élection présidentielle qui verra la réélection de François Mitterrand, est fixé au 24 avril, soit à moins de deux mois. En introduction, Boutang rappelle le sujet - pour lui en rien anachronique - de sa conférence : « le seul horizon politique : le Prince chrétien ». Il énumère les constitutions et les régimes, toujours faillis, que la France a connus depuis la Révolution ; il évoque l'échéance présidentielle toute proche, passe en revue les candidats, caractérise chacun d'eux en quelques phrases, non pas indifférent mais avec distance ou, si l’on préfère, avec détachement, et constate in fine pour situer son sujet dans le contexte politicien : « C’est très ennuyeux : Tout le monde s'occupe justement de ce qui n'est pas mon souci ».

    Y a-t-il là comme un exemple pour l’Action française et, au-delà pour les royalistes, les patriotes, d’aujourd’hui ? Nous le croyons. S’il faut établir une hiérarchie entre notre participation à l’enjeu électoral en cours [elle va de soi] et notre véritable horizon, l’avantage va à l’évidence au second terme. Telle est ici, nous semble-t-il, en la circonstance, la leçon de Pierre Boutang. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • A Alfortville, 150 immigrés clandestins prennent d’assaut la mairie socialiste !

    Dans la commune d’Alfortville dans le Val‑de‑Marne, près de 150 immigrés clandestins ont pris d’assaut la mairie pour se faire entendre. A 8 h 30 mardi matin, le hall de la mairie a été envahi par des migrants venus de toute la banlieue parisienne à l’appel d’un Collectif des travailleurs sans papiers de Vitry. Le but de leur action, qui aura duré environ une heure, était d’obtenir un rendez‑vous à la préfecture pour « dénoncer les reculs opérés par l’autre loi Cazeneuve sur le droit des étrangers ».

    Le Parisien rapporte :

    « Notre collectif ne peut plus faire de dossiers groupés pour les demandes de régularisation, pointe Mamadou Diallo, le délégué. Sur Internet, il faut des mois et des mois pour obtenir un rendez-vous. » Quel rapport avec Alfortville ? « Le locataire de la mairie [le sénateur-maire (PS) Luc Carvounas, NDLR] assume le bilan du quinquennat de François Hollande, ayant voté en tant que sénateur un certain nombre de lois scélérates que nous combattons », expliquent les organisateurs.

    Cet incident s’est clos par l’intervention des forces de police qui ont délogé les occupants à l’aide de gaz lacrymogènes. Des bagarres ont éclaté avec les clandestins et quatorze d’entre eux ont été pris en charge par les pompiers.

    L’aspect marrant de la chose est que la municipalité socialiste d’Alfortville estime que cette opération est d’autant plus injuste « qu’Alfortville a été dès octobre 2015 une des premières villes de France à se déclarer favorable à l’accueil de migrants ».


    Alfortville : une manifestation de travailleurs… par leparisien

    https://fr.novopress.info/