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France et politique française - Page 2829

  • Général Martinez : « le devoir de réserve doit être rompu » !

    D’anciens hauts gradés de l’armée française interviennent de plus en plus en politique. Pourquoi ? Quels dangers veulent-ils contrer ? Sputnik a interviewé le Général Martinez. Un entretien choc.

    L’expérience militaire précède-t-elle la sagesse politique ? Certains ont pu le penser mais la période récente pourrait les contredire. Nous avons en effet observé un phénomène ces derniers mois, phénomène associé à trois noms, ceux des généraux Tauzin, Picquemal et Soubelet. Ceux-ci semblent cependant avoir échoué à faire entendre leur voix.

    Le premier en essayant de se présenter à l’élection présidentielle, le deuxième en participant à des manifestations contre l’accueil de migrants et le troisième en rejoignant Emmanuel Macron avant de le lâcher, déçu devant les ralliements de personnalités du gouvernement sortant.

    Mais un quatrième haut gradé de l’armée française prend maintenant la parole : le Général Martinez vient tout juste de publier l’essai Quand la grande muette prendra la parole (publié aux éditions Apopsix). Son argument est clair : face à la crise que nous traversons, l’armée a un rôle à jouer.

    Ceci pourra faire peur à certains, alors affrontons les choses… écoutez l’entretien dans son intégralité :

    Briser le devoir de réserve

    « Les forces armées exercent un sacerdoce. Bien sûr, elles sont à la disposition d’un gouvernement, mais le sacerdoce s’exerce avant tout au service du peuple. Nous avons dû subir des drames inacceptables sur notre sol. (…)

    Je considère que le devoir de réserve à un certain moment doit être rompu, c’est le devoir d’expression qui doit avoir droit, compte tenu de la situation que nous connaissons (…)

    Quel est le rôle du politique, au sens noble du terme ? D’assurer l’unité de la Nation et la protection de la collectivité dont il a la charge. Aujourd’hui, ça ne semble plus être la priorité de nos responsables politique. (…) je les rassure : les militaires sont légalistes et légitimistes, il ne faut pas voir en arrière-plan de ce titre des velléités de coup d’État ! [Mais] le moment est venu de briser le silence pour provoquer le sursaut qui est nécessaire. »

    Le défi migratoire

    « Qui remettrait en cause l’apport de l’immigration depuis un siècle ou deux ? Personne. Le problème qui se pose aujourd’hui, c’est l’immigration massive, incontrôlée, injustifiée et qui plus est, une immigration hostile à notre civilisation, à notre culture. Certains nous parlent d’une immigration de portugais, d’espagnols, d’italiens, de polonais. Certes, mais cette immigration était européenne et donc de culture commune. L’assimilation a bien joué son rôle : dès la deuxième génération, les individus se sentaient Français. Là, le problème est différent, face à une immigration de culture totalement différente. Je parle de l’islam. Il y a un certain nombre de problèmes que l’on ne peut pas occulter (…) l’islamisme c’est l’intégralité de l’islam : la lecture du texte sacré à la lettre.  »

    La rébellion de l’État-major français

    « Les forces armées ont été réduites de 54 000 hommes entre 2008 et 2015. Le gouvernement du Président actuel prévoyait de réduire encore de 34 000 hommes. Soit près de 90 000 hommes. Or les missions n’ont pas été modifiées et depuis la fin de la guerre froide, nos forces armées n’ont jamais autant été engagées à l’extérieur. Et nous sommes aujourd’hui, compte tenu de la menace islamiste, contraints de faire intervenir celles-ci sur notre territoire. Ça pose énormément de problèmes au niveau des relèves. Arrive cette opération Serval [au Mali] (…). Le chef d’Etat-major des armées et les chefs d’Etat-major des trois armées, devant cet obstacle majeur, ont rendu compte au Ministre de la défense, en disant qu’ils étaient prêts à démissionner. Peu de citoyens le savent : s’ils avaient déposé leur démission, il y avait une bonne vingtaine de généraux prêts à suivre leurs chefs. Un précédent a été créé. (…) Il faut briser le silence pour permettre un sursaut. Le politique hésite beaucoup : s’il n’est pas mis devant des situations dramatiques, les décisions ne se prennent pas.  »

    Des djihadistes parmi les migrants ?

    « C’était une promesse de l’État islamique : il avait promis 500 000 migrants. Il faut savoir que dans le flux de ces migrants, il y a eu un certain nombre de djihadistes infiltrés : pour ceux qui ne voudraient pas le croire encore, je les renvoie aux différents attentats, notamment ceux du 13 novembre. Parmi les huit djihadistes, deux (…) avaient posé le pied sur le territoire grec le 6 octobre 2015. (…) Sur l’ensemble du territoire européen, ils ont réussi à installer un maillage. La menace non seulement est extérieure, mais aussi intérieure (…) quand on voit le nombre de djihadistes, des « enfants de la République Française » qui sont actuellement en Irak ou en Syrie sous le drapeau de l’État islamique (…) Je rappelle quelques faits qui se sont produits au cours des dernières années : une mutinerie sur le porte-avion Foch ou le cas de quatre militaires qui ont refusé d’être déployés en Afghanistan pour des raisons religieuses, ou notre ministre de la Défense, obligé de reconnaître en début d’année que nous avions d’anciens militaires français sous la bannière de l’EI. (…) Comment éviter la partition ? Les fameux ‘territoires perdus de la République’, c’est là que ça se passe. »

    Une convergence des luttes

    « Pour que nos chefs militaires, collectivement, brisent le silence pour provoquer ce sursaut, il faut qu’ils sachent qu’une bonne partie des citoyens français considèrent que l’institution militaire est l’un des rares à pouvoir un rétablissement de la situation. Comme briser ce devoir de réserve n’est pas dans la tradition, c’est aussi la responsabilité des citoyens (…) pour démontrer qu’ils sont prêts à manifester pour défendre leur identité. » 

    Source: Sputniknews

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/general-martinez-le-devoir-de-reserve-doit-etre-rompu_182966.html#more-182966

  • Roland Hureaux : D'une crise à l'autre : l'euro la mondilisation la France l'Allemagne

  • Pourquoi Marine est désignée comme l’ennemie à abattre?

    Une campagne politique se nourrit aussi de symboles mais certains ne sont pas du goût des garde-chiourmes de  l’orthodoxie bruxelloise qui se ont émus de ce que Marine Le Pen ait demandé (et obtenu) de TF1  que le drapeau européen ne figure pas dans le décor  pour son passage dans l’émission politique Demain, Président . Le drapeau tricolore est bien  obligatoire quand il s’agit de pavoiser  les édifices publics notamment, mais nullement le drapeau européen. De symbole il est encore question avec le   « projet d’action imminente » selon le procureur de Paris, François Molins,  l’attentat projeté  visant potentiellement une personnalité politique engagée dans la présidentielle,  qui avait été décelé ces derniers jours par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).  Le converti  Clément B., 23 ans, proche de la communauté tchétchène de Nice  et Mahiedine M., 29 ans,  deux suspects, fichés « S » de nationalité française qui se sont  connus en 2015  à la prison de Sequedin (Nord), incarcérées alors  pour des faits  de droit commun,  ont été arrêtés  hier  à Marseille. Des armes,  un sac de boulons,  une caméra Gopro et  trois kilos d’explosif artisanal TATP ont été découverts dans leur appartement. Un explosif instable, difficilement transportable, qui laisse penser aux enquêteurs que les islamistes voulaient  frapper certainement  la capitale phocéenne, là où Marine Le Pen tient justement une grande réunion publique ce soir…  Fous d’Allah qui ont  utilisé  ces derniers jours  des armes chimiques contre l’armée irakienne à l’offensive  contre les milices de l’Etat  Islamique (EI) ,  et qui ont encore ensanglanté la Syrie samedi. Un attentat-suicide mené aux abords d’Alep  par  les djihadistes combattant la République Arabe Syrienne,  au bilan terrible - au moins 126 personnes tués, dont 68 enfants. Ce sont encore et toujours les personnalités les plus résolus à résister, les Etats clés qu’il s’agit  de déstabiliser, d’éliminer, qui sont visés par les partisans du chaos et autres illuminés plus ou moins manipulés…

    Dans ce climat inquiétant, devant les périls encore plus nombreux qui s’accumulent à l’horizon, c’est de lucidité, de fermeté, d’ordre, d’un cap clair,  dont les Français ont besoin à la tête de la France et non d’un   grand diseu petit faiseu  interchangeable,  du même acabit que ceux que nous subissons  depuis des décennies. Le tout  dernier sondage  Kantar Sofres-OnePoint pour RTL, Le Figaro et LCI indique pourtant que nos compatriotes continueraient à qualifier Emmanuel Macron pour le second tour avec  avec 24% des intentions de vote,  dans un mouchoir de poche avec Marine Le Pen créditée de 23% des suffrages.  Selon cette même enquête François Fillon devancerait Jean-Luc Mélenchon d’une courte tête ( respectivement 18,5% et 18%), loin devant Benoit Hamon (8%),  Nicolas Dupont-Aignan  (4%) ,  Philippe Poutou (2%)

    Restons dans le domaine de la symbolique évoqué plus haut, puisque un article du Point   nous révèle le lieu initialement prévu pour la rencontre programmée rencontre  aujourd’hui  entre François Fillon et Alain Juppé.  « Pour immortaliser la poignée de main de la réconciliation avec le Bordelais »,  la rencontre dans les  « les couloirs de l’école 42 de Xavier Niel »  a finalement été « annulée par crainte d’agitation estudiantine autour des affaires –, elle aura finalement lieu dans l’entreprise Deezer à Paris. »

    On reste ainsi  assez stupéfait par ce choix  premier car ce n’était pas tant le risque de l’agitation estudiantine qui aurait fait mauvais effet que  celui  d’un lieu appartenant  à Xavier Niel, passé du minitel rose à la téléphonie,  soutien officiel d’Emmanuel Macron, patron de l’opérateur de téléphonie Free  associé avec le militant milliardaire rose  Pierre Bergé  et  le banquier Matthieu Pigasse, tous trois à la tête du groupe Le Monde, L’Obs, Télérama, La Vie, Courrier International.… Personnalité symbolisant là aussi la mainmise des grands groupes financiers sur l’information. 10 milliardaires possèdent ainsi  90 % des quotidiens nationaux,  des télévisions et radios de grande audience.  Outre l’attelage Niel-Berger-Pigasse,  on peut citer Bernard Arnault, PDG du groupe de luxe LVMH (patron des Echos, du Parisien), Vincent Bolloré (Canal+), Martin Bouygues (TF1, LCI, TMC…),  Serge Dassault (Le Figaro), Patrick Drahi, autre soutien affiché de M. Macron, principal actionnaire de SFR (Libération, L’Express, BFM-TV, RMC), François Pinault (Le Point),  Arnaud Lagardère (Europe 1, Elle, Paris-Match...)…

    Gros médias qui privilégient l’idéologie dominante et servent de chambre d’écho aux adversaires du FN.   Le Monde est toujours à la manœuvre dans les grandes occasions, ce fut le cas encore ces dernières heures dans cette toute dernière ligne droite avant le premier tour, avec la mise en ligne d’une tribune à charge de de  25 Prix Nobel, dénonçant  le programme eurosceptique  du Front National,  dans laquelle même  Joseph Stiglitz  est convoqué pour y aller de son admonestation obligatoire.   Mais nous ne sommes plus ici dans la raison objective, il s’agit de faire oeuvre de militantisme, comme le note implicitement d’ailleurs la déclinaison francophone du  Huffington Post dirigé par Anne Sinclair: « Si Joseph Stigtlitz refuse d’être associé au Front National, il a pourtant dressé un diagnostic sans pitié de l’échec de la monnaie unique dans son dernier livre L’euro : Comment la monnaie unique menace l’avenir de l’Europe. »

    Un quatrième pouvoir rappelle Benjamin Dormann dans Éléments,  qui a clairement fait son choix, en adoubant le leader d’En Marche! et en gardant sous le coude l’hypothèse Fillon en cas de qualification de ce dernier pour le second tour. Médias dominants qui  se taisent  sur « les zones d’ombres d’Emmanuel Macron, membre des Young Leaders (…) ce réseau franco-américain élitiste (…),  un des sept français participants au Groupe Bilderberg en 2014, aux côtés de  Fleur Pellerin, de François Baroin (promis au Poste de Premier ministre en cas de victoire de M.Fillon, NDLR), de Nathalie Nougayrède alors directrice du Monde  et d’Henri de Castries, président de ce puissant réseau d’influence internationale » et soutien de François Fillon . C’est ce même Henri de Castries qui fait le lien entre un Macron et un Fillon qu’il a intégré au groupe Bilderbeg. Soutien de Nicolas Sarkozy en 2007, il apporté sa participation financière à la campagne de Hollande  en 2012.   Toutes choses qui permettent  de mieux comprendre pourquoi  Marine Le Pen est désignée comme l’ennemie à abattre par les tenants  du capitalisme planétaire d’obédience mondialiste,  avec une unanimité qui doit interpeller les Français note Bruno Gollnisch. 

    https://gollnisch.com/2017/04/19/marine-designee-lennemie-a-abattre/

  • Conférence présidentielle n°5 : « La France face au défi terroriste » | Marine 2017

  • Marine et nos fondamentaux…au zénith face au déclin programmé !

    drapeau-francais-300x225.jpegIl y avait la belle et très chaude ambiance des grands soirs, beaucoup de jeunes hier au Zénith de Paris où Marine tenait son avant dernière réunion publique (la prochaine est à Marseille mercredi) avant le premier tour. Une allocution perturbée quelques petites secondes par l’irruption d’une Femen sur scène, vite évacuée, et par la tentative de chahut d’une autre dans la salle, toute aussi vite refrénée. Si ces humanistes et progressistes aiment souiller nos églises, ces chiennes de garde de l’ordre libéral-libertaire ne se trompent pas en attaquant la candidate d’un mouvement incarnant en effet la défense de valeurs qui sont les piliers de notre civilisation helléno-chrétienne.  L’extrême gauche à capuche  s’est elle aussi manifestée. Éternels idiots utiles du capitalisme hors-sol, d’une euro-atlantisme qui en toute logique  désigne  le FN comme son adversaire le plus sérieux, les antifas se sont employés à créer un climat de violence autour du Zénith. Les policiers et les Français votant FN ont été agonis d’insultes, visés par des projectiles et des cocktails Molotov - ce fut le cas de Gilbert Collard et son épouse à leur arrivée sur place. Tensions qui ont débuté dés le rassemblement anti FN organisée la veille par les mêmes groupuscules immigrationnistes dits antifascistes,  avec le soutien des partis de gauche et d’extrême gauche,  et qui avaient pour but de dissuader patriotes parisiens et de la proche banlieue d’aller écouter Marine.

    Les médias ont souligné que cette réunion hier soir a vu  Marine Le Pen revenir dans son discours aux fondamentaux frontistes, pointant notamment une vibrante défense pour la liberté des femmes menacée par la montée des violences physiques et  communautaristes,  le vœu d’un « moratoire immédiat sur toute l’immigration légale ». Il est vrai que la dénonciation des cinq i (immigration-invasion, inversion des valeurs dés l’école, insécurité endémique, islamisme radical prosélyte et terroriste, impôts confiscatoires…) est plus mise en avant dans cette dernière ligne droite avant le premier tour.

    Il s’agirait pour la candidate national de se démarquer et de contenir l’embellie sondagière d’un Mélenchon reprenant des thématiques du FN  ( disparition des services publics, paupérisation de la France périphérique, dictature bruxelloise, ravage du capitalisme spéculatif, soumission à l’Otan…) et d’un Fillon martelant sa (re)découverte de l’identité française, de ses racines, les promesses de 2007 d’une maîtrise de l’immigration et de la pression fiscale pesant sur les ménages, nos commerçants-artisans, nos entreprises…

    Au delà du calcul tactique qu’on lui prête, et qui n’est bien sûr pas absent d’une campagne, Marine a aussi plus profondément, à quelques jours du 23 avril, rappelé l’importance fondamentale de cette élection. Un scrutin déterminant en ce qu’il est « un enjeu de civilisation ». Civilisation dont tous les adversaires les plus sérieux du Mouvement national patriotique , du candidat du Grand orient socialo-trotskyste de la France (pseudo) insoumise, à celui de l’eurolibéralisme de l’attelage LR-UDI, se sont employés à abattre les murs porteurs par leurs (in)actions depuis qu’ils sont entrés en politique.

    Un enjeu civilisationnel car nous sommes à la croisée des chemins, et la candidate du FN , elle l’a redit ce matin au micro d’Elizabeth Martichoux sur  RTL,  est  la seule à porter un discours  cohérent pour protéger la France et les Français, dans son refus des  deux fléaux enfantés par la mondialisation, un libre-échangisme destructeur et une immigration sauvage qui ne l’est pas moins;  deux faces d’une même médaille note Bruno Gollnisch que les Fillon, Macron, Mélenchon ne veulent ou ne peuvent appréhender  dans leur simultanéité.  

    Un Emmanuel Macron qui était aussi hier soir en meeting à Paris, à  Bercy, dans une capitale boboland où il se sent chez lui, envoyant des bisous au public sous des projecteurs multicolores, façon nrj music awards...  Comme à son  habitude, le candidat de Hollande, Bruxelles, Minc, Attali, BHL, Soros, Merkel, et des fonds de pension yankees a dévidé la pelote de ses formules creuses, dénonçant  « l’enlisement » de la France « depuis vingt ans »… tout en louant le Jacques Chirac de la « fracture sociale »  – slogan , escroquerie marketing qui plait forcément au fondateur d‘En marche! - ,  dont les deux calamiteux septennats marqué par l’immobilisme ne sont pas pour rien dans le déclassement de notre pays… comme le fut à son niveau la participation de l’ex de la banque Rothschild au quinquennat Hollande.

    Objet publicitaire (interchangeable) placé en tête de gondole  par un Système  tentant de sauver sa peau, l’inquiétante entourloupe  Macron, façonnée par des médias complaisants,  tiendra-t-elle jusqu’au 7 mai? Faut-il croire aux sondages qui démontreraient l’assise qui est la sienne au sein de l’électorat?  Sondages dénoncés par Alain Garrigou, fondateur de l’Observatoire des sondages, qui affirme  qu’ils « ne valent rien très longtemps avant l’élection, et quand ils commencent à valoir quelque chose, ils ont des effets sur les conduites. Ils encouragent notamment le vote stratégique au détriment du vote d’adhésion ».  Une élection marquée plus globalement par une stratégie visant à faire de M. Macron le candidat idéal face à Marine Le Pen, comme l’analyse Michel Geoffroy sur le site Polemia.  Les Français trancheront, espérons-le en toute connaissance de cause.

    https://gollnisch.com/2017/04/18/marine-nos-fondamentaux-zenith-face-declin-programme/

  • 50 fiches de désintoxication sur l'immigration

    57% des Français trouvent les immigrés trop nombreux ; 80% de nos concitoyens partagent l’idée selon laquelle parmi les très nombreux migrants qui arrivent actuellement en Europe, il se trouve des terroristes potentiels,… : ces vérités incontestables sont murmurées doucement, dissimulées par les médias de l’oligarchie bon tons incapables de se confronter au réel. Jacques Bompard révèle au détour de cinquante fiches détox ces réalités sur l’immigration !

    Qu’est-ce qu’un immigré ? Quelles sont les véritables aspects du grand remplacement ? Quels sont les impacts des procédures françaises et européennes sur l’immigration ? Tant de questions auxquelles répondent ces fiches argumentées, s’interrogeant sur les phénomènes historiques qui ont encouragé le mouvement migratoire. « Qu’il faille exclure les clandestins, nous en sommes d’accord. Qu’il faille réduire le nombre des immigrés venus régulièrement, j’en suis convaincu et c’est pourquoi la loi de réinsertion dans leur pays a été adoptée au gouvernement Mauroy. Il faut continuer », soulignait François Mitterrand dans les années 1970. Une citation que les grands médias semblent oublier et que rappelle le député de Vaucluse.

    Au rythme de quinquennats aveuglés par les aspirations partisanes, l’immigration est devenue un argument de campagne, destiné à servir les velléités de politiques libertaires et démagogues. Un argument qui pèse lourdement sur le contribuable : à l’heure où la pauvreté des Français atteint des seuils particulièrement élevés, ce sont les 150 000 € par jour dépensés à Calais pour assurer la sécurisation d’une ville française submergée par des vagues migratoires incessantes ; ce sont les millions de subventions publiques dépensés pour une Cité de l’Immigration aux ordres d’une administration tentant de légitimer des politiques inanes.

    Alors qu’à l’Est, le groupe de Visegrad propose de réguler raisonnablement les flux migratoires, incite à résoudre ses problèmes démographiques par le regain de sa politique familiale, la France préfère remplacer sa population. A l’heure où l’Allemagne reconnaît que sa politique d’accueil systématique se révèle chaque jour un peu plus désastreuse, la France préfère continuer d’accueillir des populations qu’elle n’a pas le luxe de recevoir.

    Ce sont tant d’éléments que les Cinquante fiches détox sur l’immigration révèlent. A la veille de l’élection présidentielle, les politiques migratoires actuelles ne peuvent rester en vigueur. Pour préserver l’identité française, c’est à l’aune du réel, au service du Bien Commun, que doit s’inscrire la politique migratoire du prochain président français.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Face à la gauche, le vote utile, c’est Marine, pas Fillon !

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    À quelques jours du premier tour, la pression de la part de certains supporters fillonnistes se fait plus intense, tant auprès des électeurs de Dupont-Aignan que de Marine Le Pen. Face à la gauche, le seul vote utile serait le vote Fillon car c’est lui qui aurait le plus de chances…

    Ce paradigme ne résiste pas longtemps à un examen attentif. Même s’il convient d’être prudent sur les sondages, dans les projections du second tour, face à Macron, Marine Le Pen fait un meilleur score que Fillon. Elle est donnée entre 37 et 41 % alors que Fillon ne dépasserait pas la barre des 35 %. Par conséquent, si l’on s’en tient à un argument purement pragmatique, face à la gauche, il vaut mieux voter Marine que Fillon, notamment parce que ce dernier, au second tour, ne ralliera pas les classes populaires.

    En réalité, lorsque l’on creuse un peu, on s’aperçoit que cet argument n’est souvent qu’un prétexte. Si véritablement la défaite de la gauche était la priorité de la droite, on ne comprend pas pourquoi les ténors de la droite n’hésitent pas à jurer qu’en cas de second tour Marine/Macron, ils voteraient sans hésiter pour Macron.

    Bien plus : Gérard Larcher, l’un des soutiens les plus importants des Républicains, n’hésite pas à s’afficher aux côtés de la ministrable NKM, de la féministe LGBT Caroline Mécary, de BHL ou encore de Caroline Fourest à un rassemblement prétendument antiraciste prévu ce 18 avril à la Mutualité, avant de se décommander in extremis.

    C’est dire si le champion de la droite des « valeurs » présente des gages de rupture peu rassurants.

    Mes amis, ne cédons pas à l’affolement de dernière minute et gardons le calme des vieilles troupes. Le véritable enjeu de cette élection n’est ni économique ni budgétaire, même si ces questions sont essentielles. L’enjeu est civilisationnel. Il s’agit de préserver ce qui reste de la substance même du peuple français, de son identité face à un raz de marée migratoire voulu notamment par un patronat irresponsable, en particulier le MEDEF qui y voit une main-d’œuvre bon marché. Et face à ce raz de marée, Marine a plus qu’une longueur d’avance sur un François Fillon qui, en 2004, se déclarait favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Europe et qui, trois ans plus tard, a fait ratifier par voie parlementaire un traité que les Français avaient pourtant massivement rejeté.

    Le vote utile, c’est un vote pour ses convictions et non pour des hommes qui ont contribué pendant des décennies, lorsqu’ils étaient ministres, au déclin de la France. Pourquoi feraient-ils demain ce qu’ils n’ont pas fait hier ?

    Alors, dans cette dernière ligne droite, chaque voix patriote comptera et chacun doit encore se mobiliser pour convaincre les indécis et les hésitants de voter Marine Le Pen. Comme le disait le général et théoricien militaire Carl von Clausewitz, « la victoire appartient à ceux qui tiennent le dernier quart d’heure »

    http://www.bvoltaire.fr/face-a-gauche-vote-utile-cest-marine-fillon/

  • Marine Le Pen : « Le 23 avril, ne vous trompez pas ! » | Marine 2017

  • L’hebdomadaire Minute craint l’abstention des électeurs de droite

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    Minute-Présidentielle-Droite-251x350.jpgPour l’hebdomadaire Minute, qui affiche en Une un panneau « Pêche interdite », le principal risque du scrutin de dimanche est celui de l’abstention des électeurs de droite :

    « Hier imperdable pour la droite, l’élection présidentielle est devenue imperdable pour la gauche ! Après cinq années de Hollande ! Aux fous ! Tout cela parce que les électeurs de droite, ultra majoritaires, se demandent s’ils vont aller voter ou songent à apporter leur suffrage à un petit candidat » :

    « On arrête les conneries ? »

    « Les électeurs de droite ont des états d’âme », assure Minute :

    « Les uns parce que Marine Le Pen n’a pas fait campagne sur l’identité, semble considérer que l’islam a toute sa place dans notre pays dès lors qu’il est “modéré“, et défend les “acquis sociaux“ comme les 35 heures ou la retraite à 60 ans. Les autres parce que François Fillon s’est fait prendre les doigts dans le pot de confiture, alors qu’il s’était présenté comme le candidat vertueux qui venait rompre, sur la base d’un programme libéral-conservateur plébiscité par les électeurs de la primaire de la droite et du centre, avec les années Sarkozy couronnées, si l’on peut dire, par les multiples mises en examen de celui-ci. »

    « L’issue du premier tour, insiste l’hebdomadaire, ne dépend que d’une chose : du coup de pied aux fesses que les électeurs dont le cœur penche à droite vont se donner, ou pas, pour que les deux seuls candidats de droite ayant une chance de l’emporter s’opposent au second tour et que nous soyons débarrassés de la totalité des postulants de gauche. »

    « Un second tour entre Marine Le Pen et François Fillon, explique Minute, ce ne serait pas seulement l’assurance d’être débarrassés des différents gauches pour cinq ans, ce ne serait pas seulement la configuration la plus favorable pour que Marine Le Pen accède à l’Elysée, ce serait aussi, vis-à-vis de François Hollande qui rêve de survivre par procuration en soutenant Emmanuel Macron, vis-à-vis des puissances financières qui ont également misé sur le jeune loup du progressisme libéral-libertaire, vis-à-vis des juges qui croient pouvoir faire l’élection, vis-à-vis de tout le système politico-médiatique qui ne songe qu’à sa perpétuation, un gigantesque bras d’honneur »

    Et de conclure ainsi :

    « Le bras d’honneur à tous ceux qui nous emmerdent depuis un demi-siècle, c’est le vote et c’est le vote à droite ! »

    https://fr.novopress.info/