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France et politique française - Page 2830

  • La fin d’une République ou la promesse d’un nouvel État ?

    Bernard Plouvier

    La mocheté morale de la campagne de la présidentielle (et ce sera pire lors des législatives suivantes) ne fait que révéler la profondeur de notre déchéance : la Nation française, submergée d’inutiles alluvions d’origine extra-européenne, est aveulie, vulgaire, minable.

    Cela n’est nullement une nouveauté dans l’histoire de la France. L’époque des ultimes Mérovingiens puis celle des derniers Carolingiens, la Guerre de Cent Ans, le règne du controversé Louis XVI, les années 1899-1912, la triste décennie 1931 sq. furent des exemples de dépression de la volonté nationale et de vie végétative, suivies d’un extraordinaire regain d’activité, souvent brouillonne, mais pleine d’énergie et de gloire, donnant naissance à ces mythes historiques qui soudent la collectivité

    L’on se moque des turpitudes et des crimes d’un Charlemagne ou d’un Philippe II (devenu Auguste, soit : un roi qui se voulait l’égal de l’Empereur germanique, après la victoire de Bouvines) ; l’on n’a rien à faire des guillotinés de la Terreur et des agissements des soudards de 1792 à 1805, des offensives stupides et criminelles d’un Joffre ou d’un Foch, ou encore de l’énorme part de supercherie des « épopées » gaulliste et de la Résistance.

    Il suffit que ces actions aient fait rêver la Nation et, qu’en dépit de leurs échecs apparents, de leurs erreurs et/ou de leurs imperfections, une Jeanne d’Arc, un Napoléon, le Pétain des années 1914-18 et de l’An 40, le De Gaulle du 18 juin 1940 et quelques héros qui ont laissé une trace dans l’histoire nationale, servent d’exemples (ou d’archétypes, comme disent les savants).

    Tout (ou presque) est faux dans l’histoire telle qu’elle est racontée par les aèdes officiels des universités & des media, mais cette narration fortement idéalisée est indispensable à la vie d’une Nation : elle soude la collectivité et enseigne les vertus de noblesse et d’abnégation au service de la collectivité, du dévouement à l’État lorsque ses chefs en paraissent dignes, éventuellement du sacrifice suprême pour la grande cause.

    De fait, rien n’est enthousiasmant, ni même beau dans la Ve République agonisant dans les malversations et l’absence de fierté nationale, parce que ses soi-disant élites se sont vendues aux multinationales, se vautrant avec délices dans le monde du fric aisément gagné et du mensonge de propagande. On veut bien reconnaître que l’un ou l’autre des candidats inconnus sont sincères et prononcent des paroles qui ne sont pas sottes, mais qui va suivre des cuistres de sous-préfecture ?

    Ce n’est pas d’un Président de la République, comme elle en a trop vus, dont la Nation a besoin, mais d’une grande aventure – que l’on peut nommer « projet politique », si l’on n’est pas trop écœuré par l’adjectif, dénaturé par des milliers d’élus inefficaces, ineptes et trop souvent malhonnêtes.

    Comment croire que ces guignols qui se succèdent à l’Élysée depuis quelques décennies pour faire tous la même politique du chien crevé dérivant au fil de l’eau – une politique qui leur est dictée par le Pouvoir économique – pensent, ne serait-ce qu’une seconde, à l’intérêt de la Nation française ?     

    En favorisant l’avortement de complaisance des Françaises de souche européenne et en important plus de dix millions d’Africains et de Proche- et Moyen-Orientaux ? En implantant l’islam djihadiste et en laissant s’implanter deux mille cités de non-droit sur le sol national ? En laissant se détruire l’industrie française et en bradant l’agriculture aux multinationales de la distribution ? En amusant la galerie avec de faux problèmes de soi-disant écologie, qui servent à mieux vendre d’onéreux produits de substitution ou à taxer davantage les contribuables ?

    Que les électeurs veuillent bien méditer un instant sur leurs buts de vie et sur l’avenir de leurs enfants. Que, surtout, ils veuillent bien penser par eux-mêmes, en faisant abstraction du bourrage de crânes des media télévisés, tous – même les chaînes financées avec l’argent public – aux ordres du Pouvoir économique.

    Le bon gouvernement est celui qui s’occupe exclusivement du Bien commun… et l’on ne peut guère attendre d’un affairiste qu’il se consacre à la communauté. La propagande actuelle est de type individualiste, car, en persuadant chacun qu’il est un petit roi ou une jolie princesse, cette propagande permet de noyer les véritables problèmes de fond sous une avalanche de petits besoins et de jouissances au quotidien.

    L’avenir de la France, l’avenir du continent européen – étendu de l’Islande à Vladivostok – sont en passe d’échapper à leurs maîtres légitimes. Il est temps d’ouvrir les yeux et de se poser les bonnes questions : celle de l’adéquation d’un continent et de son peuplement, celle du but d’un État et d’un gouvernement. Par le peuple, pour le peuple… ou le néant.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/04/17/la-fin-d-une-republique-ou-la-promesse-d-un-nouvel-etat-5933716.html

  • Alain Juppé ne soutiendra pas un gouvernement dont la ligne serait dictée par Sens Commun

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    Philippe Carhon

  • Election présidentielle : éliminer la gauche au premier tour

    Communiqué du MNR

    Le MNR attire l’attention des électeurs sur le fait que l’issue du scrutin présidentiel se joue au premier tour, le 23 avril prochain. Il est donc essentiel d’écarter du second tour Macron et Mélenchon représentants de la gauche immigrationniste et mondialiste.
    Marine Le Pen étant assurée d’être qualifiée pour le second tour, le MNR invite les Français à assurer la présence de François Fillon au second tour. Un vote responsable qui créera une configuration sans risque pour notre pays et par ailleurs électoralement plus favorable pour la candidate du FN.
    Ce vote responsable est celui qui garantit le mieux la défense de notre nation et de son identité.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • A J-5, l’appel détendu de Marion Maréchal-Le Pen à voter pour Marine Le Pen

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    A cinq jours du premier tour de l’élection présidentielle, Marion Maréchal-Le Pen a enregistré une vidéo appelant à ne pas céder au vote utile, dont « la France crève » depuis trente ans. Se référant à la victoire de Trump ou de celle du Brexit, et aux 48 % obtenus par Norbert Hofer en Autriche, elle affirme, d’un ton particulièrement détendu qui tranche avec la nervosité ambiante :

    « Votez donc Marine. Votez pour la candidate de la France. Votez pour la candidate des Français de cœur ou des Français d’héritage. Votez tout simplement pour l’intérêt national et pour l’intérêt de vos enfants. »

  • La machine à promotion d'Emmanuel Macron recourt à Mélenchon

    Lu sur Polémia :

    "La stratégie de l’attention vise à promouvoir la candidature d’Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle. Elle consiste à mettre en scène en permanence le candidat surgi de nulle part et son mouvement prétendu, En Marche !, par le truchement des médias et des instituts de sondage. La stratégie de l’attention a correspondu au matraquage publicitaire du produit Macron. Les médias ont rendu Macron omniprésent pour diffuser dans l’opinion la conviction qu’il serait présent au second tour de l’élection présidentielle, ce qui ne va pourtant pas de soi.

    Les médias ont scénarisé ses moindres faits et gestes comme ses meetings préfabriqués. Ainsi, par exemple en février, BFMTV a diffusé au total autant de minutes de meetings du fondateur d’En Marche… que de l’ensemble de ses quatre principaux concurrents réunis ! Comme d’habitude, d’ailleurs, puisque depuis sa déclaration de candidature à l’élection présidentielle, tous les meetings d’Emmanuel Macron sont diffusés en intégralité sur la première chaîne d’information en continu. Ce qui est bien loin d’être le cas pour les autres candidats.

    Tout comme ils ont scénarisé les ralliements successifs dont Emmanuel Macron bénéficiait, afin de suggérer l’idée d’une dynamique politique à son profit.

    Les sondages ont fermé la boucle promotionnelle

    Les instituts de sondages ont ensuite donné la réplique aux campagnes médiatiques en faisant apparaître les bons scores du candidat : les commanditaires étant les mêmes, la machine promotionnelle fonctionnait donc en boucle ! Elle a donc permis d’enfermer les électeurs dans une bulle médiatique, destinée à leur faire croire ce qu’on leur disait : les sondages paraissant confirmer les dires des journalistes et ces derniers commentant les résultats qui allaient dans le bon sens… CQFD.

    Favoriser les outsiders, mais au profit de Macron

    La stratégie de l’attention a aussi concerné, dans un second temps, les « petits » candidats. Tant qu’il s’agissait de promouvoir le produit Macron on les a réduits au silence médiatique. Mais cela a changé à partir du débat télévisé à 11 du 4 avril 2017. En effet, pour exister, les petits candidats, en majorité plutôt à droite, ont tenu à marquer leurs différences critiques vis-à-vis de François Fillon et Marine Le Pen : ils sont donc susceptibles de leur ôter des voix au premier tour et c’est pourquoi on s’efforce aussi de les encourager. La stratégie de l’attention assure maintenant la promotion de Jean-Luc Mélenchon. Il s’agit de faire croire que l’intéressé talonnerait dans les intentions de vote François Fillon, afin de suggérer l’absence de dynamique au profit du candidat de la droite et du centre. Ce qui serait pour le moins étrange compte tenu de l’état de l’opinion et de la réalité du terrain. Mais le produit Mélenchon a aussi pour fonction de marginaliser un peu plus le candidat du PS, Benoit Hamon, pour présenter le moment venu Emmanuel Macron comme l’ultime recours de la gauche face à la droite ou à « l’extrême droite ». [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • [Réponse à Julien Sanchez] : Les étudiants et leurs organisations

    Ce texte est une réponse à l’article que Julien Sanchez a fait paraître le 3 avril dernier, intitulé « Organisations étudiantes, jeunesse révoltée et royalisme ».

    Personnellement, ayant quitté le monde étudiant depuis plusieurs décennies, je ne me permettrai pas de porter le moindre jugement sur telle ou telle organisation. Par contre, ma longue expérience politique, et notamment des questions de stratégie de prise du pouvoir, me permettent d’émettre, à ce titre, un avis.

    Je comprends, et j’approuve, l’objectif de Julien Sanchez qui déclare : « s’imposer dans le milieu étudiant est donc une étape essentielle pour le retour dans la lumière de la vision monarchique ».

    Julien Sanchez explique également dans son article le rôle des organisations étudiantes : « Les représentants étudiants interviennent absolument partout où il est question du milieu étudiant : dans chaque filière de chaque université, dans les conseils centraux des universités, dans les commissions pédagogiques nationales, dans les conseils d’administration de tous les CROUS, chaque université et chaque CROUS élit un représentant des étudiants dans leur gouvernance (vice-président étudiant) ».

    En fait – et ceci est également vrai dans le monde du travail – il faut concilier deux objectifs qui apparaissent contradictoires : 1) faire adhérer un maximum d’étudiants à une organisation d’étudiants, par exemple la FAGE, laquelle doit apparaître comme neutre politiquement ; 2) diffuser les messages royalistes.

    C’est une erreur profonde de vouloir poursuivre ces deux objectifs dans une même organisation. Tout simplement parce que, du fait de son marquage politique, elle fera fuir la grande majorité des étudiants.

    Les royalistes doivent donc différencier leurs interventions : d’une part jouer sincèrement le jeu en intégrant l’organisation étudiante choisie. Si la FAGE a le vent en poupe – sans doute en partie au moins parce qu’elle ne doit pas être marquée politiquement comme l’UNEF – alors il faut intégrer la FAGE, sans brandir le drapeau royaliste, et chercher à orienter les actions de cette organisation vers ce qui semble le meilleur pour les étudiants. Ainsi, il viendra un jour où les étudiants découvriront qu’un tel est royaliste mais, ce qui leur importe le plus, « il nous défend bien ».

    En complément, les royalistes doivent s’organiser en cellules au sein desquelles 1) ils se forment ; 2) ils débattent des actions à entreprendre. En toute logique, ceux qui apparaissent publiquement ne sont pas les mêmes que ceux qui militent dans l’organisation étudiante. A moins que cela ne pose pas de problème. De toutes façons, les royalistes qui militent au sein de l’organisation étudiante ne doivent jamais donner l’impression qu’ils veulent faire assumer à l’organisation telle ou telle position politique.

    En langage technique, cette répartition des tâches porte un nom : si, comme cela doit être, les interventions royalistes expliquent clairement ce qu’est le projet de société royaliste (et non pas tenir un discours que pourraient tenir des républicains), cela s’appelle la propagande. Tandis que lorsque les royalistes agissent au sein de l’organisation étudiante pour mobiliser un maximum d’étudiants sur tel ou tel objectif, cela s’appelle l’agitation.

    Georges TARTARET

    http://www.vexilla-galliae.fr/points-de-vue/editoriaux/2414-reponse-a-julien-sanchez-les-etudiants-et-leurs-organisations

  • JEUDI PROCHAIN, 20 AVRIL, LE JOURNALISTE PATRICK PARMENT INVITÉ DE "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS...

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  • Zoom avec le Professeur Henri Joyeux et Thierry Fournier - Ecole : Il faut dégraisser le mammouth !