France et politique française - Page 2864
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Les médias rattrapent Macron par la culotte - Journal du mercredi 22 mars 2017
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Marine Le Pen vous répond ! #04 | « Sur les bas salaires » | Marine 2017
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Le collectif Tout sauf Macron est en marche !
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
Le collectif Tout sauf Macron est né ! C’est ce que l’un de ses fondateurs, le militant souverainiste Pierre Charron, a révélé à nos confrères du site Parisvox.
Le point de départ de ce collectif est que les propos du candidat Macron sont un peu trop bien relayés par les médias du système, sans analyse critique. Cet ancien ministre de François Hollande, donc partiellement responsable du bilan de celui-ci, est présenté par la classe politico-médiatique comme un homme neuf et porteur d’espoir.
Quel est le but de ce collectif ? Il est dit des Français qu’ils auraient la mémoire courte. Ce collectif entend la leur rendre. Tout d’abord en leur présentant Macron comme le digne héritier du social-libéral Hollande. En leur rappelant également qu’ayant travaillé pour la banque Rothschild et ayant fait siennes des revendications du Medef, Macron est également l’homme du système dans toute son expression. En témoignent ses déclarations sur l’identité et la culture française ou le colonialisme.
Quels moyens seront mis en œuvre par ce collectif ? Tous ceux qu’il sera possible de mettre en œuvre, à savoir la prévention, la sensibilisation et le militantisme, notamment via les réseaux sociaux, seul véritable espace de liberté. L’occasion de mettre notamment en lumière les affaires qui touchent le candidat d’En Marche !Pour Pierre Charron, le mot d’ordre « Tout sauf Macron » ne doit pas connaître de limites : il se dit prêt à voter Mélenchon s’il le faut, ce dernier ayant au moins pour lui de ne pas être inféodé « aux grandes puissances mondiales et à l’Allemagne ».
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Marine Le Pen rencontre Idriss Déby, Président de la République du Tchad | Marine 2017
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Les libéraux contre le peuple libéré
L’Afp le rapportait le 14 mars, lors d’une conférence organisée par les Amis du Crif, François Fillon expliquait qu’il n’était pas mort, que « compte tenu du désordre dans cette campagne, les choses se cristalliseront dans les derniers jours, dans la dernière semaine quasiment (…) au moment où les Français ont le sentiment qu’ils ont une responsabilité en mettant un bulletin dans l’urne »; d’autant ajoutait-il, que « Emmanuel Macron est très surestimé ( dans les sondages) », et « Marine Le Pen terriblement dangereuse »… pour qui? Yves Thréard n’est pas le journaliste le plus hostile à la droite libérale mais désespère comme beaucoup de voir le candidat de LR et de l’UDI remonter la pente. Il le disait de nouveau ce matin dans son éditorial sur Europe 1, alors que la justice soupçonne M. Fillon d’escroquerie aggravée et de faux et usage de faux. « Pour Fillon, dit-il, c’est mission quasi impossible. Il est à 17 % dans les sondages, ce qui fait l’os de l’électorat de droite, moins que Chirac en 1995 et 2002, qui était déjà très bas. Sauf à écraser ses adversaires dans les deux débats du 4 et 20 avril, sauf à ce qu’une énorme tuile tombe sur Macron ou Le Pen, il ne peut plus guère espérer. Ce n’est pas la présence des Balkany dans ses meetings, comme hier soir à Courbevoie, qui va améliorer son image.» Ni ajouterons-nous, d’accepter de se faire offrir des costumes par le très trouble avocat libanais Robert Bourgi, que Jean-Marie Le Pen avait rudement taclé en 2011 quand cet ami de Chirac et de Sarkozy l’avait inconsidérément attaqué et accusé…
Un François Fillon qui fut rudement dénoncé par le cacique socialiste Bruno Le Roux, successeur de M. Cazeneuve place Beauvau, ex président du groupe PS à l’Assemblée, lorsqu’il a commenté il y a quelques semaines sur RTL l’affaire Pénélope, les déboires du candidat de LR. Il évoquait une affaire « très très grave aux yeux des Français s’il n’y avait pas la réalité d’un véritable travail ». Patatras!, le jour même de l’annonce des décès du socialiste Henri Emmanuelli et du mondialiste David Rockfeller, il a lui même été contraint à la démission de son poste de ministre de l’Intérieur. A peine vingt-quatre heures après les révélations lundi soir portant sur l’emploi comme collaboratrices parlementaires de ses deux filles alors mineures, pour un total cumulé de 24 CDD et des salaires se montant au total à 55 000 euros.
Bruno Le Roux était une sorte de synthèse et ne fut pas choisi au hasard par François Hollande, nous l’avions dit ici. Interdit de territoire russe , très en pointe dans le combat contre le FN - ce qui le qualifiait certainement pour superviser le déroulement élections en tant que ministre de l’Intérieur… - M. Le Roux est aussi un Young Leader. En l’espèce l’un des programmes phares de la French-American Foundation (FAF) qui a recruté et formé des agents et des relais au PS comme au sein de la droite atlanto-libérale. D’ailleurs, le binational Mathias Fekl jusqu’alors secrétaire d’Etat chargé du commerce extérieur, soutien de Bernoit Hamon, qui a été nommé pour remplacer M. Le Roux à la tête du ministère de l’Intérieur, est lui aussi un Young Leader campant sur des positions très immigrationnistes.
Le Figaro rapporte sa méconnaissance de l’histoire des idées (ou une volonté de déni?) puisque M. Fekl affirme notamment, contrairement à Emmanuel Macron qui là pour le coup assume et ne se trompe pas, que « Le libéralisme n’est pas de gauche». Or cette doctrine (qui n’est pas simple et saine acceptation de l’économie de marché) est née à gauche, s’est déplacée à droite et est largement revenue dans sa famille d’origine. La candidature Macron a cet avantage de matérialiser clairement cet état de fait, d’acter la rupture nette et définitive entre un peuple conscient de l’entourloupe et les élites mondialisées, une gauche libérale-libertaire, hors sol, bruxelloise, transnationale, les partisans de l’open society.
Ce peuple Français attaché à ses racine, à ses traditions, à sa souveraineté , à son identité physique, culturelle, spirituelle place ses espoirs dans la candidature de Marine et ne désespère pas de voir une recomposition politique s’opérer autour du Front National, de l’idée de préservation du fait national. Souverainisme national qui fait enrager nos adversaires, notamment ceux qui sont élus au Parlement européen et qui ne reculent devant aucune méthode pour tenter de museler les fortes têtes qui refusent de penser dans les clous progressistes.
Bruno Gollnisch s’en est inquiété auprès du président Parlement européen dans une question écrite dont nous nous sommes fait l’écho hier, suite aux agissements de Pervenche Bérès. Une élue socialo-européiste qui s’était déjà signalée en signant un appel contre les mouvements nationaux et souverainistes, pour la mise en place d’un apartheid politique visant à couper les vivres aux eurosceptiques au motif qu’« il est quand même schizophrène de donner de l’argent européen à des partis antieuropéens ! ».
En fait de schizophrénie, la gauche cosmopolite, celle de toutes les trahisons, de tous les reniements, dans ses différents avatars , costumes, et transmutations est toujours là pour nous rappeler qu’elle reste finalement fidèle au mot d’ordre des sectaires aux mains ensanglantées dont elle est l’héritière: pas de liberté pour les ennemis de la liberté...et à sa déclinaison plus moderne: le peuple vote mal, changeons de peuple!
https://gollnisch.com/2017/03/22/liberaux-contre-peuple-libere/
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Samedi dernier, beaucoup de monde au colloque de l'Institut Iliade à Paris
Source Réinformation cliquez ici
1200 personnes ont assisté au colloque annuel de l’Institut de la longue mémoire européenne. Un colloque dédié au thème : « Européens – transmettre ou disparaître ». Pour transmettre des valeurs, il faut d’abord résister à la déconstruction de notre culture. Pour ce faire, Philippe Conrad a rappelé la nécessité des médias de reinformation, citant notamment Radio Courtoisie.
Le focus a ensuite été mis sur l’éducation.
François Bousquet a dénoncé l’égalitarisme de l’Education nationale et ses effets délétères sur le niveau d’instruction des élèves français. Une table ronde a mis en évidence l’impasse de l’école républicaine actuelle. Une faillite délibérée.
L’après-midi a embrayé sur la « paideia », l’éducation du corps, de l’âme et de l’esprit.
Un auditeur de l’Iliade a présenté un film sur le « kalos kagatos », l’homme accompli des Grecs. Une table ronde a ensuite réuni un chef scout, un maître artisan et une spécialiste de la littérature jeunesse. Autant de vecteurs d’éducation.
Par un éloge de l’entreprise, Philippe Christèle a rappelé la nécessité de convertir dans l’action les valeurs et savoirs transmis.
Une troisième table ronde a réuni deux « Antigones » pour parler de la transmission féminine. Le rapport particulier des femmes au temps à été souligné, ainsi que la nécessité de résister à la dénaturation par la contraception hormonale.
L’art a également été mis à l’honneur.
Thibaud Cassel, auteur d’une anthologie poétique, a superbement déclamé « la mort du loup » d’Alfred de Vigny. Un film de l’Iliade a ensuite mis en scène la fraternité des peuples européens et la renaissance espérée de la civilisation européenne.
Jean-Yves le Gallou a conclu la journée en proposant le recours à la civilisation face au risque du « dernier homme ».
Dans l’histoire européenne, il n’y a pas de fatalité a-t-il affirmé. C’est aux Européens de puiser dans leurs racines pour construire un nouveau monde sur les ruines de celui qui s’achève. Quoi qu’il advienne, « le temps de l’homme européen reviendra ! ».
Vous retrouverez les interventions de ce colloque dans le numéro spécial de la revue Livr’arbitres et sur le site de l’institut Iliade.
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L’intox de Benoît Hamon sur le solde migratoire
"Voilà un sujet sur lequel on entend et lit beaucoup de choses fausses. Et Hamon ajoute l’intox à la confusion générale. Ce qui est vrai, c’est que le solde migratoire global de la France est de +67 000. On retrouve cette statistique dans le tout frais bilan démographique 2016 de l’Insee en janvier (en bas à droite de ce tableau).
Mais cette donnée ne nous informe en rien de l’apport de l’immigration. En effet, ce solde migratoire concerne la totalité des entrées et sorties du territoire, et pas seulement celles des immigrés. En clair, il agrège les mouvements des immigrés et ceux des personnes nées en France (ainsi que les entrées et sorties de personnes nées françaises à l’étranger, mais qui sont plus marginales).
Or les statistiques de l’INSEE, basées sur les enquêtes annuelles de recensement, montrent que le solde migratoire des personnes nées en France est négatif, alors que le solde migratoire des immigrés est, lui, nettement positif. Pour 2013, dernière année pour laquelle l’étude donne des chiffres, le solde des nés en France est de -120 000 (197 000 ont quitté le territoire pour 77 000 qui sont revenus). A l’inverse, le solde migratoire des immigrés est de +140 000 (235 000 arrivées pour 95 000 départs).
Bref, concernant le solde migratoire des immigrés, les chiffres sont donc peu ou prou l’inverse de ce que dit Benoît Hamon."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Violence et politique - Orages d'acier - 19/03/2017
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Theo Luhaka reconnaît devant un juge qu’il a menti
C’est officiel, il vient de l’avouer devant un juge, Théo Luhaka a menti lors du premier interrogatoire pour charger les flics. Comme pour la grotesque affaire Léonarda, les Français peuvent remercier leur président de s’être aplati devant cette racaille notoire. Merci président !
Lors de sa première audition, Théo avait expliqué s’être fait « enfoncé » un « baton dans les fesses » par des policiers à Aulnay-sous-bois (Seine-Saint-Denis) en février dernier suite à un contrôle d’identité qui avait mal tourné. L’un d’eux aurait ainsi « écarté (son) caleçon sur le côté », pendant que le deuxième lui « tenait les jambes » et que le dernier le maintenait « légèrement incliné debout ». Mais comme le révèle Le Parisien dans son édition du 21 mars, le jeune homme a été mis face à ses contradictions lors d’une nouvelle audition.
La juge qui l’interrogeait a notamment mis en doute ses propos en s’appuyant sur les images de vidéosurveillance et sur les constatations faites sur le caleçon du garçon, retrouvé troué. « Comme je vous l’ai dit, la première audition, je n’étais pas en état », lui a répondu Théo, reconnaissant ne pas se souvenir des mots qu’il avait prononcés ce jour-là.
Un pantalon taille basse, qui « descend tout seul »
Interrogé également sur le jogging qu’il portait au moment des faits, le jeune homme a concédé que ce n’était pas forcément « volontaire » s’il descendait, même si selon lui, les policiers tiraient tout de même dessus lorsqu’ils l’ont « attrapé ».
La magistrate lui a fait remarquer que sur la vidéo, on le voit arriver en portant le vêtement large taille basse. « Si tu ne serres pas ton pantalon avec le cordon, logiquement, il descend tout seul. Et puis je prends mes pantalons en XL, ce n’est pas ma vraie taille », lui a-t-il indiqué.
Néanmoins, Théo continue de maintenir que la matraque a bien été enfoncée de manière volontaire. Une version que l’IGPN, la police des polices n’a pas retenu, qui explique dans son rapport que le geste « visait la cuisse pour faire plier la jambe de l’intéressé », et que donc sa « finalité », ainsi que « ses conséquences » n’étaient « pas intentionnelles ».
Source
http://www.contre-info.com/theo-luhaka-reconnait-devant-un-juge-quil-a-menti | -
Robert Ménard : « Je serai candidat à la mairie de Béziers en 2020 »
Elu maire de Béziers en 2014, Robert Ménard l’annonce dans le Journal de Béziers : « Je serai candidat à la mairie de Béziers de 2020. » Dans un long entretien au bimensuel municipal (n° 53 du 15 mars 2017), il explique que si « la ville a commencé à changer […], est plus belle », « nous sommes loin du compte » : « Les trois années qui me restent avant la fin de ce mandat ne seront pas suffisantes pour mener à bien tous les projets que j’ai en tête. Il nous faudra, il me faudra plus de temps. D’où la décision que je viens d’annoncer. »
Robert Ménard réitère également sa volonté de demeurer un homme libre…
« Je ne suis d’aucun parti. Je n’appartiens à aucun clan. Je n’ai de compte à rendre à aucune coterie. »
…et de poursuivre l’union des droites au niveau local :
« L’équipe que je mène aujourd’hui est forte d’une majorité d’élus qui, comme moi, n’appartiennent à aucune formation politique. Les autres militent dans des partis très divers :Front national, Les Républicains, le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers, Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan, le Centre national des Indépendants et Paysans ; le SIEL de Karim Ouchkih, le RPF de Christian Vanneste… Toutes les couleurs de la droite ! Et cela me convient parfaitement. »