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France et politique française - Page 3001

  • Robert Ménard : Sortie de mon « Abécédaire de la France qui ne veut pas mourir »

    La France ne veut pas mourir !

    913408939.jpgChers amis,
    Les Français qui souffrent sont des millions.
    Ils ne sont pas une France de la périphérie, pour reprendre le titre d'un ouvrage brillant. Ils sont le coeur saignant de la France. Ils sont les victimes immolées dont le sacrifice doit être tu et même enseveli sous les mensonges.
    ILS SONT LA FRANCE.
    Ils vivent en direct sa déchéance et sa disparition.
    J'ai choisi de répondre POINT PAR POINT à toutes les accusations fallacieuses que suscitent nos actions à Béziers. Et pour cela, je publie un Abécédaire de la France qui ne veut pas mourir.
    ACHETEZ ICI
    Au-delà de la simple riposte, j'y expose un plan de sauvetage de la France.Cette France qui souffre plus que jamais depuis plusieurs décennies de l'incurie et du cynisme coupables de ses gouvernants, qu'ils soient de droite ou de gauche. 
    Immigration galopante, montée de l'islamisme, déclin de l'école publique, défiguration urbaine, langue de bois des médias, trappes à pauvreté générées par la mondialisation toute-puissante, etc.
    Et si Béziers constituait une sorte de modèle à porter à l'échelle nationale ?
    Tout se joue maintenant, à l'ouverture de la campagne présidentielle.
    Je vous invite donc à lire cet Abécédaire de la France qui ne veut pas mourir.
    CLIQUEZ ICI
    Sauver la France ne tient qu'à nous.
    Cordialement,
    Robert Ménard

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Fillon, LR, FN : une très sérieuse envie de droite !

    Source : Polemia – « Fillon, LR, FN : une très sérieuse envie de droite ! »

    Philippe Christele s’interroge sur les conséquences du choix de François Fillon par les électeurs de la primaire de la droite et du centre sur le paysage politique :

    La très probable élection de François Fillon n’est a priori pas une bonne nouvelle pour le FN et sa campagne.

    Que ce soit juste ou pas, François Fillon coche en effet presque toutes les cases du candidat rêvé de la droite :

        Sa posture physique personnelle est présidentielle, loin du bling-bling sarkozyste ou du hollandisme chiffonné. Ce que confirme une intégrité jusque-là irréprochable ;
        Ses positions géopolitiques d’équilibre – qui représentent ses seules réelles transgressions d’avec la doxa dominante – ne peuvent pas être attaquées ;
        Sa filiation historique de plus proche collaborateur du velléitaire Philippe Séguin lui donne un vernis de souverainiste, que ses actes n’ont pourtant jamais confirmé ;
        Sa campagne, renforcée du choix – contestable – de la bourgeoisie catholique de le soutenir, donne de lui une image forte sur le plan des valeurs, même si ses positions et votes personnels précédents démontrent qu’il n’en est rien. Mais en politique, est ce qui paraît ;
        Son programme économique lui rallie à la fois ceux qui pensent aux comptes publics comme ceux qui pensent à la liberté de l’entrepreneur. Ses soutiens sont à la fois auprès du grand capital et auprès des « pigeons » et autres cénacles analogues qui lisent dans son programme l’espoir de nous débarrasser des lourdeurs ruineuses, bureaucratiques, syndicales et normatives ;
      Enfin, sa fin de campagne autour d’une attaque résolue de l’islam nommément désigné lui a assuré l’ultime décollage sondagier dont l’acmé a été le surprenant premier tour de l’élection primaire.

    A ces éléments statiques vont s’ajouter plusieurs éléments dynamiques :

        La rudesse de son programme économique va aider la gauche à se coaliser facilement contre lui, au nom de la défense des « zacquissociaux » et autres pesanteurs irréformables ;

    La disparition de l’épouvantail Sarkozy, figure préférée pour les attaques sans risques de l’extrême gauche, va laisser ces braves gens inoccupés. Ils vont vite se reprendre pour attaquer ce qui, chez Fillon, fleure bon le terroir, à savoir son prétendu enracinement et ses réseaux cathos ou conservateurs. Ce qui aura notamment pour conséquence d’en rajouter sur la dimension droitière et conservatrice dudit Fillon ;

    Bref, au programme de la prochaine présidentielle, une belle réactivation du clivage droite/gauche en lieu et place de l’affrontement système/antisystème qu’on aurait pu voir naître. 

    5 leçons à retenir pour le Front National :

        Le discours sur les valeurs n’est pas opérant. Si même un Jean-Frédéric Poisson ne parvient pas à mobiliser le vote des natios-cathos en sa faveur, ce n’est pas Marine Le Pen qui pourra faire mieux. Comme Jean-Marie Le Pen hier s’était heurté au dispositif Villiers, il y a là une section d’électorat sans doute inaccessible. Ce qui ne doit pas être une raison pour l’insulter ni l’attaquer car cet électorat reste à sa manière un électorat identitaire et que l’attaquer n’apporte rien, si ce n’est un défouloir pour petits apparatchiks ;

    Remiser le concept de la « France Apaisée ». Regarder une affiche de François Fillon devrait suffire à la démonstration : pour l’électeur de droite, il assure et il rassure. L’apaisement est déjà chez lui et avec lui ; la concurrence en apaisement ne peut être tenue ;

    Ne pas tenter le « ni droite, ni gauche » qui est, généralement, un choix de gauche. La sévérité du programme Fillon va muscler la gauche et le FN doit savoir, pour en avoir longtemps bénéficié à bon droit, que l’électeur préfère toujours l’original à la copie. Faire du FN le rempart contre le programme libéral de Fillon est bien trop risqué ;

    La seule faille réelle de Fillon est son positionnement sur les questions d’identité, de sécurité et d’immigration. Lesté du bilan du quinquennat Sarkozy, il est aussi – malgré son livre de circonstance – faible en références efficaces sur ce domaine, qui a pris peu de place dans son programme. Ces thèmes sont le défaut de sa cuirasse ; c’est là qu’il faut porter le fer ;

    C’est d’autant plus là qu’il faut porter le fer que c’est sur ces sujets qu’il y a le plus grand potentiel d’électeurs sarkozystes orphelins à récupérer. La sociologie électorale a déjà démontré la proximité des électorats ; il faut l’encourager et aller chercher le facile gisement de 3 à 4 points d’électorat (non de primaire, mais de présidentielle) qui sont à portée, qui accroîtraient la dynamique de progression du vote FN et permettraient à sa candidate de sécuriser une place en tête au premier tour.

    Séduisant comme sans doute aucun candidat de droite ne l’a été depuis longtemps, Fillon est dangereux mais pas imprenable. Futur chef de file d’une droite qui fera semblant de se rallier à lui, de Copé à NKM, il aura du mal à tenir la ligne dure de son premier tour de primaire sans risquer la cacophonie dans ses rangs ou l’évaporation des centristes et juppéistes (pléonasme assumé) vers Macron s’il va au bout.

    Assiégé entre une gauche qui va lui reprocher son programme économique et un FN qui pourrait le harceler sur ses mensonges et contradictions sur le terrain identitaire, de loin le plus porteur électoralement depuis le Brexit, Trump et le reste, abandonné par des centristes effarouchés par son programme mais peu par son autorité timide, il peut mettre un genou à terre et, qui sait, finir troisième derrière Marine Le Pen et le bon candidat qu’une gauche requinquée et raisonnable aura fini par se trouver.

    Il n’est pas trop tard pour le FN d’ajuster le tir. C’est toute la sagesse de Marine Le Pen que d’avoir su rester prudente jusqu’à ce jour pour prendre le soin de viser la cible, corriger la hausse et sortir les bonnes munitions.

    http://fr.novopress.info/201945/fillon-lr-fn-une-tres-serieuse-envie-de-droite/#more-201945

  • Juppé et les islamistes : rumeurs et vérités

  • Alain Juppé montre le vrai visage de cette fausse droite et espère le soutien de la gauche

    Billet d'Yvan Rioufol dans le Figaro :

    "Alain Juppé, dans son coming out politique, dévoile l’imposture de son passé à droite. En se rangeant aux arguments de la gauche pour contester François Fillon, il montre le vrai visage de cette fausse droite qui a toujours été plus préoccupée de plaire aux progressistes qu’à son propre électorat. Alors que le maire de Bordeaux avait regretté récemment la "nullité du débat politique", quand Nicolas Sarkozy avait évoqué "nos ancêtres les Gaulois", le voilà qui n’hésite pas à multiplier les coups bas contre son adversaire, en puisant ses arguments caricaturaux dans ceux du Camp du Bien.

    Quand L’Obs présente Fillon, ce mercredi, comme "archi-réac, ultra-libéral, pro-Poutine", Juppé ne dit pas autre chose. Son désir de courir après le modernisme lui a toujours dicté des positions faciles. Lorsque la mode était à l’altermondialisme, par exemple, il aimait envoyer des signaux de connivence vers ce mouvement aujourd’hui tombé dans l’extrême. Soucieux de flatter le féminisme, avec cette fois son épouse Isabelle en témoin d’honorabilité, il laisse entendre que le favori de la primaire, qu’il qualifie de traditionnaliste, aurait des réticences à autoriser l’avortement, ce que Fillon a démenti. Ces accusations, faux-procès et insinuations culpabilisantes laisseront des traces. Le Juppé prétendument rassembleur risque au contraire de faire exploser Les Républicains. Cela aura au moins le mérite de mettre de la clarté dans ce mouvement.

    L’homme "droit dans ses bottes" a choisi en réalité de passer dans le camp d’en face. Juppé espère en effet le soutien de la gauche, dimanche, pour remporter le second tour de la primaire, dans ce qui serait alors un hold-up démocratique. Comme lui, elle se déchaîne contre Fillon le catholique, accusé d’être soutenu par l’extrême droite (...) 

    Juppé trouve que la proximité de Fillon avec Vladimir Poutine "est un sujet". Il n’a pas entièrement tort. Mais il est savoureux que cette remarque vienne de celui qui entretient des relations ambigües avec les Frères musulmans, par l’intermédiaire de l’imam de Bordeaux, Tareq Oubrou, dont il a dit récemment qu’il ne voulait pas "se plonger dans son passé". L’aveuglement de Juppé face à l’islam radical est le vrai sujet. Dans La Croix du 28 février 2012, celui qui était alors ministre des affaires étrangères demandait aux chrétiens d’Orient de faire confiance en la démocratie portée par les "printemps arabes", instrumentalisés en fait par leurs bourreaux islamistes. Juppé se plaint du sobriquet d’"Ali Juppé" que lui donne la "fachosphère", c'est-à-dire les sites non muselés par le Système. Mais il ne tient qu’à lui de rejoindre Fillon dans son combat contre le totalitarisme islamique, ce nouveau nazisme maintes fois dénoncé ici. Pourquoi n’en fait-il rien ?"

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/alain-jupp%C3%A9-montre-le-vrai-visage-de-cette-fausse-droite-et-esp%C3%A8re-le-soutien-de-la-gauche.html

  • Péronne (80) : la manif contre l'implantation des clandestins est autorisée

    ob_338889_manif-pdf.jpg

    Le rassemblement anti-migrants organisé conjointement par le Parti de la France et le SIEL aura bien lieu samedi à 11h à Péronne devant la sous-préfecture (25, avenue Charles Boulanger). Les autorités compétentes ont fait le choix de laisser s'exprimer la légitime colère populaire face à l'invasion de nos campagnes par des immigrés clandestins. Les forces de gendarmerie assureront la tranquillité de cette manifestation.

    Les patriotes attachés à la France française des terroirs et des clochers sont invités à se mobiliser en nombre pour dire « Non » à la submersion migratoire organisée par nos gouvernants.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Immigrants : le cadeau de Noël du gouvernement à 2.500 euros

    De qui se moque-t-on ?

    Sur Internet, on vous propose un vol aller Paris-Kaboul à 838 € avec Turkish Airlines, et un peu plus de 3.000 € pour un Paris-Damas sans retour. Ceci explique sans doute pourquoi, après avoir effectué une moyenne à la louche, le gouvernement a décidé, le 9 novembre dernier, de « déroger au cinquième alinéa de l’article 1er de l’arrêté du 17 avril 2015 » en portant « la limite maximale du montant d’allocation forfaitaire majoré […] à 1.850 euros pour les demandes d’aide au retour présentées jusqu’au 31 décembre 2016 ».

    Cela signifie que l’allocation de base de 650 €, qui avait déjà été augmentée une première fois de 350 € en octobre 2016, se trouve désormais relevée à 1.850 €, soit un total maximal de 2.500 € par ressortissant, à la condition qu’il fût volontaire. Les Noël et les étrennes avant l’heure. Et « pour les Français : des impôts », souligne justement Robert Ménard sur Twitter (23 novembre).

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  • La proposition de destitution de François Hollande rejetée par l’Assemblée

    La proposition émise par Les Républicains de destituer François Hollande pour divulgation d’informations secrètes a été rejetée, mercredi, par le bureau de l’Assemblée nationale.


    http://fr.novopress.info/