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France et politique française - Page 3005

  • Journal du Mardi 22 Novembre 2016 : International / Vers une croissance partagée ?

  • 2017 : l’année de l’erreur de perspective ?

    Bernard Plouvier

    C’est entendu : les prophéties ne se réalisent jamais. Du moins celles des experts, car les réflexions inspirées par le pur bon sens se révèlent rares fausses.

    Il semble que la votation primaire de la Droite molle-Centre marécageux, qui a tourné au plébiscite, soit corrélée à une orientation purement économique du débat politique pour les deux élections de 2017… et cela représente une grave erreur de perspective.

    Le refus de l’économie globale, la fin de l’épidémie de délocalisations d’entreprises, la sortie française de l’euro et le retour à une saine politique de défense des intérêts de la Nation, dans le cadre d’échanges valeur contre valeur, ne se feront pas tant que le monstre hyper-libéral restera tout-puissant. C’est une évidence.

    Certes, penseurs et politologues annoncent, une décennie après, l’autre la « fin » (variante : la « mort ») du capitalisme multinational, mais le pseudo-moribond reste extraordinairement valide et même puissant, ne serait-ce qu’en créant ses monnaies à volonté, grâce à la complicité de politiciens qui jouent aux apprentis-sorciers de l’extension continue des Dettes d’État, selon la recette rooseveltienne bien connue.

    Le monstre ne commencera son agonie que le jour où l’on amortira les Dettes en sacrifiant l’épargne populaire. On peut imaginer que les Nations spoliées s’insurgent… sauf si une guerre civile ou internationale les a émasculées au préalable (comme ce fut le cas de la France du Directoire, convalescente des massacres de la Terreur et du génocide vendéen, ou du Reich de Weimar, à l’issue d’une guerre cataclysmique).

    L’économie politique risque d’occuper la première place du débat électoral, avant les deux tours de la présidentielle où, selon une forte probabilité, Marine Le Pen sera gagnante au 1eret perdra face à François Fillon au second, par réédition du réflexe de crétinisme national de 2002.

    Les Français se seront trompés de perspective. Ce n’est pas l’économie – en dépit de la désertification industrielle française et du chômage de masse – qui devrait être la question cruciale, mais celle de l’immigration mahométane.

    Dès le XIVe siècle, l’Europe fut débarrassée du césaro-papisme, soit de l’insane prétention des papes à diriger les affaires temporelles autant que les spirituelles. Au XVIIe siècle, le cardinal Robert Bellarmin reconnaissait que les souverains étaient seuls maîtres du jeu politique (cela incluait le roi ET son peuple) et que les pontifes n’avaient qu’un rôle de garde-fou pour les questions de morale publique.  

    L’islam est la plus totalitaire des religions actuelles, car cette foi en est restée au plus Haut-Moyen Âge dans sa conception de la vie publique : la foi l’emporte sur l’organisation de l’État. Plus exactement, en vertu du slogan : « Pas de contrainte pour la foi », lorsque la majorité d’un peuple est musulmane et que le pouvoir politique est faible, les ulémas, mollahs, imams etc. dictent leur interprétation de la Charî’a (si malléable) aux politiciens qui ne sont plus que des pantins.

    Obama, le crypto-islamiste, a réussi ce tour de force de renverser les dictateurs laïcs un peu partout en zone sunnite, les chiites l’ayant fait en 1979 en Iran. De leur côté, les multinationales du Gaz et du pétrole ont beaucoup encouragé l’implantation de régimes à forte tonalité islamique en pays touraniens, où l’on flatte le racisme local et l’espérance d’instauration d’un Empire touranien, étendu de la Turquie au Turkestan chinois.

    L’Europe (hors la Russie) compte une soixantaine de millions de musulmans, dont le sixième en France. Nombre de musulmans émigrés d’Afrique, du Proche- et du Moyen-Orient se comparent aux compagnons du prophète qui durent émigrer de La Mecque – où l’on ne voulait plus de leur agitation sectaire – pour Médine. Pour eux, l’émigration est le prélude d’une conquête.

    Plutôt que de pérorer sur la fin du capitalisme, alors que l’on y reste solidement accroché par le seul fait de continuer à jouer la comédie au Parlement de Strasbourg et de se plier aux ukases des pantins du gouvernement de Bruxelles, manipulés par les financiers et les négociants cosmopolites, il serait bon de placer en première place des soucis majeurs le péril islamique et, tout naturellement, de soulever la question du retour en masse des immigrés-réfugiés-envahisseurs dans leurs continents d’origine.

    La Ve République agonisante protège et favorise - par de folles dépenses et le principe illégal de la discrimination positive – une minorité qui, lorsqu’elle sera devenue majorité, imposera le totalitarisme mahométan. L’équation : islam = État risque fort de se transformer de façon bien plus dramatique en devenant : la religion est supérieure à l’État.

    C’est la question fondamentale à envisager. L’intendance suivra, comme disait De Gaulle.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Bernard Antony : Débat sur « l'islam, la république, la France ».

  • Le second tour des primaires de la droite se jouera entre deux Bilderbergers

    Lu ici :

    "Sarkozy ayant été dégagé dès le premier tour (une fessée bien méritée), le second tour des primaires de la droite se jouera donc entre deux Bilderbergers: Alain Juppé qui a participé à la réunion de 2015 en Autriche et François Fillon qui a lui participé à celle de 2013 à Londres.

    Il est d'ailleurs intéressant de soulever la différence entre ce que Fillon pense du Bilderberg en public et en privé. Dans cet article du nouvelobs intitulé "Ces puissants et mystérieux messieurs du cercle Bilderberg", on apprend que le comité directeur du Bilderberg a été reçu à Matignon en 2011 dans le plus grand secret:

    Le dîner ne figure pas à l'agenda officiel. L'hôte et ses invités tiennent à cette discrétion. Début novembre 2011, alors que la crise de l'euro est à son comble, François Fillon prend le temps de recevoir à Matignon un groupe obscur d'une trentaine de personnes dont les noms sont presque tous inconnus du grand public, mais pas des initiés. Ce soir-là, le Premier ministre de Nicolas Sarkozy planche sur l'état de la France devant les membres d'un petit club qui ne fait jamais la une des journaux, mais fascine les obsédés du complot : le Bilderberg."

    François Fillon confiait à Philippe de Villiers "Les Bilderbergs, c'est eux qui nous gouvernent".

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Politique & Eco n° 111 : Timidité économique des programmes des républicains

  • Le gouvernement veut le prolonger jusqu'à la Présidentielle ...

    L'absurdité totale d'un « Etat d’urgence » qui devient la norme

    Le danger reste présent, il reste élevé, répète, en substance, Manuel Valls. Oui, bien sûr, le danger reste présent, et, par la faute du Système et de son action immigrationniste depuis 1975, l'ennemi est entré dans nos villes et dans nos quartiers ; il habite la maison d'en face ou celle d'à côté ; peut-être même l'étage au-dessus, ou la porte d'en face. Et il n'attend qu'un ordre (« On y va » pour le 13 novembre) pour passer à l'acte.

    Mais, à qui la faute, sinon à la Droite et à la Gauche d'un Pays légal si souvent unies dans des politiques folles, aux conséquences directement contraires à l'intérêt national et au Bien commun ?

    Certes, même si depuis 1975 aucun étranger n'était entré en France, il y aurait toujours des fanatiques, des dérangés ou des égarés pour se rallier à ces fous tout court qui se font appeler « fous de Dieu » ; mais il y en aurait beaucoup moins, et ils ne disposeraient pas de l'impressionnant vivier constitué au fil de quarante années d'immigration-invasion et de grand remplacement...

    Manuel Valls fait semblant de croire que l'Etat d'urgence nous protège : or, à quoi sert-il de faire patrouiller des militaires par groupe de trois ou quatre ? Ou de leur faire faire des gardes statiques devant des écoles ou des lieux déclarés sensibles ? Soyons sérieux : uniquement à tenter de rassurer l'opinion, en lui faisant croire que l'on s'occupe d'elle. Pire : ces groupes constitueront des cibles idéales le jour où la tactique des terroristes islamistes le décidera. On sait où ils se trouvent, où ils déambulent, où les « coincer » : cela permettra des massacres faciles, rapides, assurés.

    Evidemment, la vraie solution, et la seule, est « en amont », dans le renseignement.

    Elle est aussi d'arrêter les frais de ces policiers, gendarmes et soldats inutilement exposés, et de - mieux - dépenser les sommes très importantes que coûtent ces gesticulations en augmentant considérablement les dotations en hommes et en matériels performants des services de renseignement.

    Elle est encore de « vider » nos banlieues, cités et autres zones de non-droit de toute cette population qu'on y a entassée, dont une part croissante ne souhaite d'ailleurs nullement ni s'intégrer ni, encore moins, s'assimiler à nous.

    On l'a dit cent fois ici, et on le redira mille, dix mille fois si nécessaire, jusqu'à ce que cela soit fait : il faut crever l'abcès, la greffe de ces populations allogènes ne prend pas, et sur tout organisme, si la greffe d'un corps étranger ne prend pas, ce corps étranger est rejeté.

    Cette comparaison pour dire que toute personne, quel que soit son âge, qui, de près ou de loin, apporte la moindre aide aux assassins de l'armée ennemie doit être immédiatement déchue de la nationalité française et expulsée du territoire. Ou, si elle préfère, être traduite devant une Cour martiale, et être fusillée.

    Ce n'est qu'en asséchant le marigot que l'on pourra, non pas supprimer tout acte terroriste islamiste, mais en réduire considérablement le nombre, et les ramener à des proportions « gérables ». Toute autre politique (!) ne serait que gesticulation et non-assistance à Nation en danger... 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Migrants : alerte sur la santé publique

    Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, aurait-elle engagé des actions préventives qui paraissent aujourd’hui indispensables face à l’invasion migratoire que notre pays connaît depuis maintenant plusieurs années ? Alors que la tuberculose a été pratiquement éradiquée au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, on découvre aujourd’hui des cas, isolés certes mais significatifs. […]

    En septembre 2016, BFM TV nous apprend que des cas de tuberculose ont été diagnostiqués au lycée professionnel Cantau d’Anglet (64). Début novembre, France Bleu Pays Basque révèle que le premier cas, traité au printemps, concerne un lycéen ayant voyagé en Afrique… et, qu’à la rentrée, six nouveaux cas s’étaient déclarés. Devant l’ampleur du dépistage (1.800 personnes) et la gravité du problème, l’A.R.S (Agence Régionale de la Santé) mettait à disposition un camion (30.000 €) pendant 3 semaines.

    Or, à Saint Bauzille de Putois (34), le maire écrivait le 28/10 que des Soudanais étaient bien arrivés et que  la « tradition d’accueil du village » continuait. Par contre, d’autres médias indiquaient qu’avec les Soudanais se trouvait un Érythréen et un Pakistanais qui a été immédiatement hospitalisé dés son arrivée. Alors, en tant que mère de famille je me pose quelques questions. Sachant que les cas de tuberculose en vertu du règlement sanitaire international doivent être déclarés, je m’étonne du silence médiatique devant l’affaire d’Anglet. Le ministère de la Santé a-t-il été associé à l’évacuation de Calais ? Des mesures prophylactiques ont elles été envisagées puisque l’on sait que les invasions migratoires mettent en danger la santé publique des Français.

    Les migrants, dont le gouvernement impuissant à contrôler et à endiguer le flux, dispersent à travers le pays des maladies contagieuses, endémiques dans leurs pays d’origine et les amènent avec eux. Il convient de les dépister, les traiter pour les prévenir :

    1°) Ce sont des affections parasitaires qui peuvent provoquer des bilharzioses urinaires et intestinales, des amibiases. Les docteurs Larivière (*) et Rousset (*) signalent que ces pathologies se répandent par voie génitale et contact buccal direct. Quant aux parasites du tube digestif, ils se développent dans le sol, l’eau, les milieux humides et restent infectants une vingtaine de jours. Aussi, il convient de veiller aux eaux de baignades et à la qualité des réseaux d’assainissement. Les moustiques peuvent transmettre le paludisme, la maladie du sommeil, la leishmaniose (les souches importées peuvent se recombiner avec celles présentes en France), la borréliose, la fièvre jaune, la dengue, le chikungunya…

    2°) Ce sont aussi des maladies tropicales, lèpre, mycoses, des maladies sexuellement transmissibles comme la syphilis. Le docteur André Basset (*) fait observer que la lèpre, chez un migrant, peut demeurer sous forme latente ou inapparente et rester plusieurs années avant de se déclarer. Il préconise le dépistage aux frontières. Chez un migrant, la sérologie positive, séquelle de l’enfance n’est pas contagieuse, elle l’est en provenance d’un contact récent.

    3°) C’est aussi la tuberculose, surtout sous la forme pulmonaire qui est la plus contagieuse. Le docteur Gentilini (*) indique que « chez le noir, elle est caractérisée par son polymorphisme, sa survenue entre le sixième et le vingtième mois de séjour en France ». Le docteur Coudrau (*) souligne lui aussi qu’elle touche surtout les africains noirs.

    Les migrants, le plus souvent africains, que l’on impose dans nos villages constituent donc un groupe à haut risque. Le Docteur Gentilini (*) tout comme l’O.M.S en 2016 préconise un dépistage systématique dés l’arrivée, et, au minimum tous les six mois, sur une durée de 18 à 24 mois. IL déclarait indispensable l’établissement d’un carnet de santé national pour tout immigré ainsi que la vaccination obligatoire par B.C.G bien qu’elle ait une protection limitée en raison de la sur contamination.

    L’Institut Pasteur recommande de surveiller les eaux et les aliments pour éviter d’exposer la population locale à des risques inutiles d’hépatites A, ainsi que diffuser l’information aux populations sur les risques d’hépatites B, laquelle se transmet par le sang et le sexe.

    L’OMS demande un dépistage systématique des cas de Coronavirus (Mers-Cov) et la prévision de salles d’isolement car il peut engendrer des pneumopathies sévères. De même pour les porteurs de VIH et hépatites virales. Le réseau « sentinelles » avec Fanette Blaizeau, dés 2013 recommande la vaccination des migrants de plus de 16 ans par DT Polio, ROR et Méningo C.

    On impose au cœur de nos villages, comme à Arzon (56) ou à Sainte Marie (66) des populations de clandestins, réservoirs infectieux contaminants et rien n’est prévu pour la prophylaxie. Ces « sacs à maladie » sont de plus en plus difficiles à soigner car tout dépistage ou traitement leur paraît discriminant. En l’état actuel de l’autorité de l’État, il semble improbable d’imaginer une quelconque contrainte.

    Or la situation est criminelle car il faut savoir que le crachat d’un homme atteint de tuberculose contient des bacilles pouvant survivre plusieurs mois dans la terre. De plus les animaux, porteurs de souches proches, peuvent les transmettre aux aliments… sans évoquer certaines pratiques avec les animaux… Le 19/03/16, l’ O.M.S signalait le risque très élevé de la tuberculose multi résistante chez les migrants. Il faut savoir que la résistance aux anti-microbiens rend mortelles des maladies devenues incurables telles que pneumonies, V.I.H, tuberculose et paludisme etc, mortelles aussi pour les populations d’accueil.

    Pour rappel, les eaux, la terre, les aliments, peuvent être contaminés même en évitant le contact direct. Alors, est-il prévu de décontaminer les locaux, les moyens de transport de ces gens, interdire les baignades en rivière ou en piscine ? C’est une bien cruelle responsabilité qui échoit aux maires des communes d’accueil alors qu’ils n’y ont pas été préparés et ils auront pourtant à rendre des comptes. Ont ils demandé une décharge aux préfets ? Sont ils bien conscients de leurs responsabilités ?

    Eric Obso

    Texte repris de la Fondation Polémia

    http://fr.novopress.info/

  • Face à Fillon, Mme Le Pen sera perdante si elle maintient la ligne Philippot !

    Marine Le Pen s’évertue à se gauchiser et à s’orienter vers une ligne chévènementiste…
    Les résultats de la primaire de la droite et du centre sont tombés : ils sont sans appel. Sauf cas de force majeur, François Fillon sera le prochain candidat à l’élection présidentielle de 2017. Le peuple de droite a renversé la table par rejet du prêt-à-penser médiatique et de l’oligarchie mondialiste. Les deux candidats favoris étant arrivés très loin derrière François Fillon.

    L’élection de Trump n’y est pas pour rien car elle a constitué le rejet de l’élite par le peuple en colère. Incontestablement, François Fillon, à la fois homme du terroir et de la France traditionnelle, en a bénéficié. Au soir des résultats, ce dernier a utilisé à de nombreuse reprise le mot « peuple », maître mot de la campagne du président américain. Bien sûr, cette posture est probablement le fruit d’un opportunisme politique, mais son programme a le mérite d’être assez clair, en particulier sur deux thèmes qui seront fondamentaux : les migrations et l’islam.

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  • Le forum Polémia appelle à la dissidence

    FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
    Le 2e forum de la dissidence était organisé ce samedi par la fondation Polémia. Il a rencontré le succès, avec une salle comble de plus de 600 personnes. Le programme promettait des témoignages de personnes engagées dans un combat contre le politiquement correct. Il a tenu toutes ses promesses.

    Michel Geoffroy a introduit le forum en relevant que les gouvernants avaient perdu leur légitimité, et en saluant l’entrée en dissidence des majorités

    Après un film sur la Hongrie de Viktor Orban, quatre maires ou membres de conseils municipaux ont fait part de leur action. Ils ont aussi pointé les obstacles politiques, juridiques et médiatiques. Robert Ménard a ainsi regretté le manque de courage et de conviction des politiciens de centre droit, je le cite : « Nous avons contre nous cette droite de merde (…) : ils préféreront demain s’allier avec les islamistes ».

    La résistance à l’islamisation et à l’afflux migratoire a ensuite été mise en valeur

    D’abord par une table ronde présidée par Karim Ouchikh. Elle a mis en évidence l’impossibilité du dialogue avec un islam conquérant et intolérant. D’où l’importance de s’opposer aux projets de mosquées et de manger de la viande certifiée « de tradition française ». Ensuite, plusieurs initiatives contre la dissémination des immigrants illégaux sur le territoire national ont été présentées.

    La résistance corse contre les agressions allogènes a également fait l’objet d’un beau reportage télévisé d’Hervé Grandchamp

    C’est Jean Yves Le Gallou qui a clos les travaux. Le président de Polémia a constaté que si c’est l’Etat qui a fait la France, aujourd’hui, il la défait. Qu’il s’agisse des préfets ou des juges, il a appelé à mettre en cause ceux qui collaborent à l’islamisation et à l’invasion de notre pays. Pour dénoncer ces collabos, il a annoncé la création d’un prix Papon, qui ne manquera pas de candidats ! Jean Yves Le Gallou a enfin rappelé que la dissidence est l’affaire de tous : « Soyez des lanceurs d’alerte » a t il notamment lancé, afin de nourrir la réinformation. Quitte à recourir à la messagerie cryptée Telegram pour rester discret.

    http://fr.novopress.info/

  • Isabelle Surply (FN) : "Pourquoi je ne suis pas allée voter Poisson"

    Isabelle Surply, conseillère Régionale FN, a invité respectueusement les électeurs de Jean-Frédéric Poisson à rejoindre le FN. Elle l'explique dans une tribune sur Boulevard Voltaire. Extraits :

    "Beaucoup m’ont posé la question et, comme je n’ai pas de problème avec ce genre de débat, je vais vous dire pourquoi je ne suis pas allée voter Poisson dimanche.

    Parce qu’il est bien dommage que ce bon pater familias soit monté à bord de l’appareil vérolé de l’UMP (...) Parce que si nous avions voulu donner un coup de pied au système à la « Trump », comme j’ai pu lire un peu partout, Poisson aurait réuni 500 signatures et se présenterait aux présidentielles hors primaire, et là, croyez-moi que certains rigoleraient moins

    Parce que lorsque je vois des conseillers régionaux PCD incapables de s’opposer (même un tout petit peu) à des dispositifs comme le Pass Contraception, je me demande bien où sont leurs convictions… Parce que même si Poisson a été le seul à dire en ces termes qu’il est « contre l’avortement et la suppression de la vie de sa conception à sa fin naturelle », en termes de programme politique, donc d’action concrète, il n’aurait jamais pu faire mieux qu’un certain autre parti patriote. Car, il l’a dit : il n’a jamais prévu de supprimer la loi Veil mais de créer une vraie alternative et de donner un VRAI choix aux femmes : cela ne vous rappelle rien ?

    Parce que malgré son score, nous allons en parler trois jours et puis, dans dix, tout le monde l’aura oublié. Une gifle n’a d’effet que si elle est réelle comme un Trump qui remporte la présidence, pas fantasmée comme un Poisson qui a fait un joli score à des primaires mais ne les remporte pas pour autant… (...) 

    Parce que lorsque je vois certains catholiques/pratiquants/anti-IVG/anti-mariage gay prêts à rempiler derrière Sarkozy, je désespère de cette mouvance qui se revendique « chrétiens de conviction engagés en politique » et je persiste à me dire que ce n’est pas un gage de fiabilité. Au contraire.

    Parce que lorsque j’ai relu la dernière interview de Jean-Frédéric Poisson dans Le Point, j’y ai quasiment vu le programme de la présidente d’un autre parti politique. Parti qui, localement, a déjà fait ses preuves, et qui a toutes ses chances de la mettre, cette gifle que nous attendons tous.

    Alors non, je ne suis pas allée voter Poisson, parce que son alter ego existe déjà et qu’il faudrait vraiment que cette frange de la droite catholique cesse de se cacher en permanence devant une nouvelle figure émergente et accepte, enfin, de faire le pas. C’est le Rubicon qu’on vous demande de franchir, pas le Styx !"

    Philippe Carhon

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