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France et politique française - Page 3002

  • Esprit de corps : « Soutien aux 4 inculpés d’Arzon »

    Ces 4 patriotes (parmis beaucoup d’autres) se sont révoltés suite à l’agression sexuelle d’une Française par un clandestin soudanais en Bretagne. La République ne compte pas laisser les patriotes se soulever sans lever le petit doigt et tenter d’étouffer la colère des Français. Ces citoyens ont aujourd’hui des frais de justice importants à assumer. Nous devons nous serrer les coudes entre Français ! A l’approche des fêtes de Noël, la rédaction de contre-info.com compte sur la générosité de ses lecteurs.
    Donnez sur : https://www.leetchi.com/c/association-de-soutien-aux-4-inculpes-darzon

    L’Etat attaque ceux qui s’opposent aux conséquences désastreuses de l’accueil forcé des migrants, soutenons-les !

    C’est eux aujourd’hui, ce sera peut-être nous demain !

    Le dimanche 13 novembre dernier, Breizh-info.com diffusait une information cachée pendant 3 jours par les médias subventionnés : un migrant accueilli depuis quelques jours à Arzon (sublime commune à la pointe du magnifique golfe du Morbihan) avait agressé sexuellement une habitante de la commune.

    Source : www.breizh-info.com/2016/11/13/53083/arzon-migrant-agresse-sexuellement-femme-procureur-confirme

    Le 14 novembre à 20h30, plus de 150 personnes se sont rassemblées devant la mairie afin de montrer leur colère.

    Plusieurs orateurs se sont succédés de manière improvisée.Face à une situation jugée visiblement insupportable par certains, un mouvement de foule a eu lieu et le rassemblement s’est transformé en manifestation pour se rendre devant le CCAS pour protester contre l’accueil du migrant violeur.

    Sur place, une légitime tension et quelques dégâts matériels minimes.

    Deux manifestants rentreront même de force dans le CCAS.

    Source : http://www.breizh-info.com/2016/11/15/53187/arzon-migrants-manifestation-delinquance-agression-sexuelle

    Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=jEBuw9j0La4

    Aujourd’hui, l’Etat a décidé de frapper un grand coup en faisant arrêter, chez eux, deux personnes pour s’être introduites dans le CCAS et en convoquant deux autres personnes pour organisation d’une manifestation illégale.

    Pressions politiques

    Plusieurs sources policières ont confirmé la sensibilité extrême de ce dossier. Les plus hautes autorités politiques suivraient la situation de très près. Leur but : empêcher la révolte des français.

    Peines encourues

    Pour Nicolas Faure, porte-parole de l’association LiEn (www.libertes-entraide.fr) : 6 mois de prison et 5 500 € d’amende pour « Organisation d’une manifestation non-déclarée ».

    Pour Ronan Le Gall, président du parti Adsav (adsav.org) : 6 mois de prison et 5 500 € d’amende pour « Organisation d’une manifestation non-déclarée ».

    Pour les autres : Sans doute de réquisitions encore plus lourdes.

    Pendant ce temps-là, le migrant soudanais ayant agressé sexuellement la sexagénaire ET une jeune fille, mineure, a pris la fuite ou, pire, a été exfiltré par les services étatiques.

    Source : www.breizh-info.com/2016/11/23/53732/arzon-lagresseur-nature-manifestants-anti-migrants-garde-a-vue

    Solidarité

    En solidarité avec ceux qui se sont levés face à l’inacceptable,En solidarité avec ceux qui ont défendu l’honneur de la Bretagne et de la France,

    En solidarité avec ceux qui sont accusés à tort de faits qu’ils n’ont pas commis,

    En solidarité avec ceux qui subissent une répression politique décidée par les plus hautes autorités étatiques…

    Soutenons-les financièrement pour les aider à payer les différents frais de justice (frais d’avocat, déplacements, etc.) et leur montrer que les Français sont solidaires lorsqu’on tente d’intimider ceux qui font acte de résistance.

    Hollande, Valls, Urvoas et Cazeneuve attaquent les patriotes, défendons-les !

    http://www.contre-info.com/

  • Accueil des migrants : Emmanuelle Cosse, reine de la désinformation

    Alors que les hommes politiques ouvrent la France à des milliers d’immigrants, Emmanuelle Cosse s’est exprimée dans Le Dauphiné. Pour la ministre du « Logement et de l’Habitat durable », s’il y a deux fois plus de personnes à la rue aujourd’hui, c’est parce que l’élite politique n’a pas su anticiper les besoins de logement dans les années 80 90.

    Elle estime en outre que dire que les immigrants prennent des places aux sans abris est scandaleux puisque les foyers restent ouverts aux pauvres Français.

    Bref, jouant sur les mots elle n’a pas pris en compte la concurrence financière que représentaient les immigrants pour les déshérités français.

    http://fr.novopress.info/201919/accueil-des-migrants-emmanuelle-cosse-reine-de-la-desinformation/

  • Mesdames et Messieurs les candidats, n'oubliez pas les pauvres !

    La question de la pauvreté contrainte est un sujet qui ne me laisse pas indifférent, et cela depuis fort longtemps, sans doute aussi parce que, en d'autres temps, j'en ai personnellement connu quelques aspects et quelques légères morsures... Lors des dernières élections européennes, au printemps 2014 et sous les couleurs de L’Alliance Royale, j'en avais même fait un de mes principaux thèmes de campagne, à la fois pour sensibiliser les électeurs à cette question toujours pendante mais souvent occultée, et pour proposer quelques pistes pour faire reculer cette insécurité sociale qui ronge nos sociétés et les affaiblit. Mais c'est un thème qui n'est pas assez électoralement porteur, sans doute, pour que les partis politiques et leurs dirigeants s'y intéressent, et il semble être « abandonné » aux associations comme le Secours catholique ou les Restos du cœur qui font, d'ailleurs, un travail important pour soulager, autant que faire se peut, la misère dans nos villes. Les royalistes du Groupe d'Action Royaliste, quant à eux, organisent régulièrement des « Soupes du Roi », et cela depuis presque dix ans, fidèles à leurs prédécesseurs du début XXe siècle mais aussi des siècles précédents, gardant en mémoire que, au Moyen âge, le Roi était « le père des pauvres ». 

    Pourtant, la pauvreté n’est pas un sujet mineur en France et les récents chiffres donnés par le Secours catholique la semaine dernière font plutôt froid dans le dos : « En 2000, on comptait 7,8 millions de personnes pauvres ; on en recense 8,8 millions aujourd’hui. Parmi ces personnes, entre 4 et 4,5 millions sont des jeunes de moins de 30 ans, ce qui devrait nous interpeller concernant l’impact de la pauvreté sur l’avenir de notre société », explique son secrétaire général Bernard Thibaud dans les colonnes de La Croix du jeudi 17 novembre dernier. Sans oublier que, selon Eurostat, 21,2 % des enfants de France sont menacés de pauvreté…

    Bien sûr, il y a toujours eu des pauvres depuis que les sociétés humaines existent, mais elle est scandaleuse aujourd’hui au regard de toutes les richesses naturelles que nous exploitons et de toutes celles qui envahissent nos sociétés au risque de l’engloutir sous une débauche de produits marchands souvent inutiles : la démesure est dans cette invasion des objets qui semble nous faire oublier notre prochain, notre voisin. 

    Le politique ne peut ignorer ceux qui souffrent de « n’avoir pas assez » quand d’autres consomment sans compter. Il ne s’agit pas de dénoncer la richesse mais plutôt la démesure et l’égoïsme, et de rappeler, comme le fait régulièrement le pape François à la suite de tant d’autres princes de l’Eglise, la valeur du partage

    J’espère que cette question de la pauvreté contrainte sera abordée dans les prochains débats présidentiels, mais, au regard des jeux médiatiques actuels, je crains que cela ne soit pas le cas : « cachez ces pauvres que je ne saurais voir »… J’entends même quelques uns dire qu’en parler serait faire du « populisme » ! C’est dans ce genre de réaction stupide que l’on mesure le grand écart qu’il y a entre des élites mondialisées et le commun des mortels, mais aussi cette absence de compassion à l’égard des « perdants de la mondialisation » : est-ce la (triste) victoire de Benjamin Franklin ? Je préfère, en bon Français, l’exemple de saint Martin de Tours, de celui qui n’hésita pas à couper son manteau pour en donner la moitié à un malheureux transi de froid, un soir d’hiver de l’an 334… Et les candidats de 2017 pourraient bien y trouver quelque source d’une inspiration sociale bienvenue en ces temps d’incertitude…

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1356:mesdames-et-messieurs-les-candidats-noubliez-pas-les-pauvres-&catid=50:2016&Itemid=61

  • Xavier Raufer : Insécurité au quotidien - que disent les programmes de Juppé et de Fillon ?

    Aucun des sept candidats à la primaire n’a jamais évoqué l’insécurité au quotidien durant la campagne. Alors que la politique de la ville est un échec catastrophique et ruineux et que la criminalité ne cesse de prospérer… Décryptage.

    http://www.bvoltaire.fr/xavierraufer/insecurite-au-quotidien-que-disent-les-programmes-de-juppe-et-de-fillon,295493

  • "Nous sommes arrivés à l’ère de la vivisection morale"

    Jacques Bompard est intervenu en Séance hier soir, sur le texte relatif à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Journal du jeudi 24 novembre 2016 - UE / Partis eurosceptiques : la chasse aux sorcières

  • Chronique de la campagne : « Attention, chien méchant ! »

    Le chien s'appelle Alain...

    Pour un Juppé ultra-désappointé, blessé au plus profond dans son amour-propre de « premier de la classe » et de « meilleur d'entre nous », il ne peut s'agir, en ces derniers jours de campagne, que d'une fuite en avant, et cette fuite en avant se traduit par un « à gauche, toute ! » aussi désespéré qu'agressif.

    Dès dimanche soir, le JT de France 2 a eu la cruauté de le montrer, à la sortie du restaurant où il dînait en famille, disant « On aurait dû sortir par derrière », pour éviter les journalistes, tant il venait de tomber de haut, de très haut : pour la troisième fois, donc, après le Brexit et Trump, ils venaient de se planter lourdement, les sondeurs et journaleux qui nous avaient expliqué par a+b, trois ou quatre fois par jour, depuis plusieurs mois, que c'était plié, et que c'était Juppé.

    L'éventualité de son retrait a même été envisagée - par lui-même ou par l'un ou plusieurs de ses collaborateurs - puisqu'il a commencé son allocution par un surprenant « J’ai décidé de continuer le combat... »

    Il faut dire que, sans les 15% d'électeurs de gauche qui sont venus pour éliminer Sarko, Fillon était peut-être même élu au premier tour, Sarko était deuxième, et Juppé - injure suprême - était éliminé à ce même premier tour ! Juppé a recueilli les voix de ces électeurs de gauche (qui ne se cachent pas d'avoir voté pour lui, et le disent au contraire, lisez les journaux), ainsi que celles du centre : il a donc été « sauvé » par ces deux courants, mais a été largement rejeté par la droite. Politique politicienne, quand tu nous tiens !

    Que faire, donc, maintenant, pour l'ex élu des sondages ? Se tourner vers cette gauche qui l'a sauvé, faussant magistralement le résultat et le sens de « la primaire de la droite et du centre ».

    Mais ce jeu est dangereux : d'abord, il n'est pas sûr du tout que ce qui a « marché » une fois « marchera » une seconde fois : les électeurs de gauche voulaient la peau de Sarko, ils l'ont eue ; reviendront-ils dimanche ? rien n'est moins sûr...

    Et ensuite, dans ce genre d'affrontement, c'est le premier qui tire qui est mort. Or, Juppé, tout le montre, a perdu ses nerfs, et « agresse » Fillon tous azimuts (pour un autre, les journaleux diraient « dérape ») : « traditionaliste », « pas ouvert sur la modernité » en ce qui concerne les sujets de société, « réactionnaire », « intégriste », « homophobe » évidemment...

    Benoist Apparu* a décrété, par exemple, et en substance, que si l'on était à titre personnel contre l'avortement, pour un responsable politique en charge des affaires de l'Etat cela posait un problème. Ce qui est d'autant plus surprenant que, peu de temps avant, Juppé avait déclaré qu'il préférait « le pape François à la Manif pour tous » : pour le coup, Apparu aurait mieux fait de se taire, car, sur l'avortement, de toute évidence, « le pape François » ne parle pas comme Alain Juppé !

    Jean-Christophe Lagarde - président de l'UDI et parfait représentant de ce que Léon Daudet appelait « l'anarchie molle » - et l'inénarrable François Bayrou sont évidemment venus apporter leur soutien au dauphin de Chirac, l'objectif des juppéistes et des journaleux qui le soutiennent - puisque tout ce petit monde, en fait, est de la même famille de pensée - est évidemment de provoquer la mobilisation massive d’électeurs de gauche, défaitistes, et ne croyant plus en la victoire de leur camp en mai 2017; Alain Juppé pourrait leur sembler un moindre mal, pensent-ils. Sans se rendre compte que l'on se trouve, là, en pleine politique fiction...

    Enfin, cerise sur le gâteau, Fabienne Sintès et son 7/9 ont attribué à Juppé la bonne note de 15/20 : comme aurait pu le dire Pascal, « dis-moi qui te soutient, je te dirai qui tu es... »  

    * Un bon point - sans illusion par ailleurs sur le personnage - à Gérard Longuet, qui a eu le mérite de dire, sur BFM, face à un tel déferlement d'attaques, que le terme de « réactionnaire » n'était pas péjoratif, et qu'il le revendiquait ; et qui a aussi eu une belle phrase sur la France, qui vient de deux millénaires, et, dans ces deux millénaires, tout n'est pas à jeter...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La République

    Maurras n’a jamais parlé positivement de la démocratie mais il en va parfois autrement du terme de « république ». Pour des raisons d’ailleurs très diverses : tantôt il s’agit de rappeler que la monarchie n’est pas forcément le régime adapté à tous les peuples et à tous les climats, tantôt de désigner les corps intermédiaires que sa doctrine entend restaurer (les « républiques sous le roi ») ou encore de faire référence à un sens ancien du mot « républicain », qui put désigner sous l’Ancien régime, les « politiques », autrement dit ceux qui avaient le souci de la bonne marche du royaume.

    Mais ces occurrences flatteuses sont rares. Pour Maurras la République c’est avant tout, en France (il faut toujours le préciser), la « machine à mal faire ». Un régime faible là où il devrait être fort (défense, diplomatie, sécurité, justice) et fort là où il devrait être faible ou absent (administration du quotidien des citoyens, éducation, endoctrinement idéologique) ; un régime condamné à l’inefficacité par la faiblesse du parlementarisme, l’instabilité, le manque de durée (pour capitaliser l’expérience comme pour prévoir l’avenir) et incapable de réformer par peur de déplaire à l’opinion et de perdre l’élection. Ce dernier défaut que la constitution de la Vème République tendait à atténuer retrouve aujourd’hui une actualité criante avec l’instauration du quinquennat.[.....]

    La suite sur A Rebours

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-Republique