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Vendredi soir, vers 18 h 30, un cours de gymnastique se tenait dans le gymnase de l’ASC Bonne-Garde à Nantes (Loire-Atlantique) quand les détonations ont retenti. Une cinquantaine d’enfants de 7 et 8 ans étaient en plein entraînement. Deux hommes ont été blessés par balle, un troisième à l’arme blanche. Ce sont des membres du club de gymnastique qui ont prodigué les premiers secours à ce dernier.
La réalisatrice Agnès Jaoui, nous a offert un beau morceau d’idéologie gauchisante avec une tirade d’anthologie, alors qu’elle répondait à un « journaliste », soucieux comme elle de défendre la nécessité d’une immigration arabo-africaine : « Et puis j’aimerais rappeler à l’ultra-droite que, s’il n’y avait pas l’immigration, nos parents n’auraient personne pour s’occuper d’eux, beaucoup de gens n’auraient plus de femme de ménage, les restaurants ne fonctionneraient plus, tout ce qui est nettoyage ne fonctionnerait plus… Enfin, bref, il y a toute une économie qui vit – mis à part le vivre ensemble, etc., l’idée de l’accueil –, il y a toute une économie qui vit grâce à l’immigration ».
Après vingt-cinq années acquises à la cause de l’extrême gauche au sein des black blocs, il s’est repenti et témoigne dans Le Figaro :
Gaspard est un pseudonyme qu’il s’est lui-même attribué pour les besoins de cette interview. Il tient à faire référence, non sans une petite note d’humour et de sarcasme, à ses anciens camarades de «lutte».
Le géant de l’audiovisuel Banijay entre à son tour au capital de l’école de journalisme ESJ Paris, reprise mi-novembre par des investisseurs détenteurs de médias, dont certains conservateurs, comme Dassault ou Bolloré, a annoncé l’ESJ vendredi.
Ursula von der Leyen ne se rendra pas, finalement, à la cérémonie de réouverture de Notre-Dame. C’est étonnant, car les dirigeants du monde entier se pressent vers Paris pour être sur la photo. C’est « the place to be », comme on dit en bon français. Ils sont venus, ils sont tous là. Alors, pourquoi pas Ursula ?
Source: Nieuwsbrief Knooppunt Delta, n°194, novembre 2024
Le problème de la censure, c'est qu'elle n'est pas aussi aveugle qu'elle est censée l'être. Comme nous l'avons vu, Meta a l'habitude de censurer des publications qui ne sont pas du tout violentes ou criminelles. Meta s'en prend souvent aux publications qui ne sont pas conformes à l'idéologie dominante. Par exemple, l'entreprise a mené une opération de censure en France vers la fin de l'été 2024 qui a touché plusieurs sites influents de droite.
Le 29 novembre dernier, une opération de l’Office anti-stupéfiants (OFAST) a abouti à la saisie de 500 kg de résine de cannabis à Meyzieu, dans l’est lyonnais. Trois hommes, deux Lyonnais et un chauffeur marocain, ont été interpellés et placés en détention provisoire le 3 décembre. (…)
L’affaire suscite de nombreuses questions. Malheureusement, on n’en saura pas plus sur ce qu’il s’est passé chez un Havrais de 22 ans originaire de Côte d’Ivoire, dans la nuit du mercredi 9 au jeudi 10 octobre. En détention provisoire depuis cette date, il a gardé le silence face au tribunal, lundi 2 décembre, après avoir précisé qu’il ne reconnaissait pas les faits reprochés.
C’est pas moi, c’est pas ma faute, d’ailleurs j’étais même pas là… Voilà en résumé l’allocution de notre cher Président. Du Macron dans toute son immaturité et son déni de la réalité. Sa faculté à s’exonérer de toute responsabilité est devenue sa signature, sa marque de fabrique. Il n’est jamais responsable de rien, fait toujours retomber la faute sur les autres, alors qu’il n’écoute personne et qu’il décide de tout, tout seul. Et c’est cet homme qui selon Bardella devrait rester en place, puisqu’il s’est précipité pour annoncer qu’il n’exigeait pas sa démission. Incompréhensible. Le RN fait tomber son gouvernement et dans la foulée devrait suivre l’avis de 60% des Français qui souhaitent sa démission. Au lieu de cela, Bardella lui fait une presque déclaration d’amour. On se demande s’il ne regrette pas le mauvais tour qu’il vient de lui jouer en censurant Barnier. Macron s’est montré une fois de plus agressif et méprisant, inversant systématiquement les accusations, calomniant même les oppositions puisqu’il s’est permis d’affirmer que ce vote revenait à un acte anti républicain. On croit rêver, il considère la possibilité offerte par notre constitution de virer un Premier ministre comme non républicaine.