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Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a assuré ce lundi 22 janvier en conférence de presse qu’il n’est à ce stade “pas prévu d’évacuations par les forces de l’ordre” des agriculteurs manifestant sur l’A64, en l’absence de dégradations de leur part. (…)
Alors que les grands médias bruissaient des manifestations contre la loi Immigration, c’est dans l’indifférence absolue qu’a défilé, dimanche, la Marche pour la vie 2024. Une édition un peu spéciale, puisque cette marche entendait tenir les deux bouts de la corde : avortement et euthanasie. Reconnaissons qu’appeler au « réarmement démographique » tout en constitutionnalisant l’IVG, c’est un peu comme tirer le coup de départ d’une course de marathon, non pas en l’air, mais dans le pied des athlètes. Le nouveau ministre de la Santé, tout de droite qu’il puisse être étiquete, a de quoi les inquiéter puisque, ne sachant plus comment donner des gages de sa bien-pensance, il a déjà fait sa petite génuflexion devant chacune de ces « grandes causes ». « Vautrin, Vautrin, tu nous mets dans le pétrin » était, du reste, un des slogans préférés avec, pêle-mêle, « défenseurs de civilisation », « arrêtez d’emmerder les embryons », « protéger le faible, ça, c’est fort », « IVG, oui, à la prévention, non à la Constitution ».
Les habitants de Rousson, petite commune de 4.000 âmes au nord d’Alès, veulent se faire entendre de la mairie. “Des logements sociaux, d’accord mais adaptés aux infrastructures existantes”, c’est leur souhait face à la construction en cours d’un nouveau quartier et le projet d’un autre à venir sur le hameau de Brissac.
Sur un terrain de la commune de Rousson, au nord-est d’Alès, 30 logements à loyer modéré pourraient bientôt voir le jour.
Tout est une affaire de mots. Et la gauche, étant fâchée avec la réalité, en particulier celle de l'immigration, n'a de cesse d'établir des listes de gros mots et de suspects qui osent les employer. Il n'empêche : elle a beau criminaliser l'expression, la réalité s'impose, même à elle. Ainsi en est-il du Grand Remplacement : le même démographe Hervé Le Bras le nie dans un livre mais vient de le reconnaître implicitement quand il commente les chiffres de la natalité. Un autre gros mot de l'extrême droite fait en ce moment le bonheur des vigies de gauche : la remigration. Il suscite actuellement la polémique en Allemagne car l'AfD, donnée à 22 % dans les sondages, a participé à une réunion sur le sujet. Ce projet aurait concerné le retour vers leurs pays d'origine de plusieurs dizaines de milliers d'étrangers. Pour L'Humanité, c'est évidemment « effroyable ». En France, en 2022, Zemmour avait proposé de créer un ministère de la Remigration s'il était élu. Cela ne concernait que les délinquants, les déboutés du droit d'asile et les fichés S. En mars 2022, un sondage OpionWay avait tout de même montré que 55 % des Français y étaient favorables.
Le 8 août 2022, il faisait bon prendre le soleil à la piscine Jean-Bouin, à Évreux (Eure). La crème solaire était nécessaire pour préserver des brûlures. Abdou. C, 21 ans, avait, selon lui, simplement voulu rendre un petit service. En correctionnelle, il a répondu d’une agression sexuelle devant une victime également âgée de 21 ans encore sous le choc. Et en larmes.
Le Rassemblement National (RN) s'interroge sur le coût de l'enquête de "Complément d'Enquête" concernant Jordan Bardella, diffusée à l'approche des élections européennes. Cette enquête, jugée "engagée et politique" par le RN, a conduit à une mise en demeure envoyée à France Télévisions par M. Bardella, demandant le retrait d'une séquence du film.
Cette manifestation, toujours aussi dynamique et joyeuse malgré la gravité du sujet, a vu comme chaque année de nombreux jeunes. Parmi les manifestants, nous avons pu voir aussi de nombreuses soutanes. En revanche, les manifestants ont regretté l’absence des évêques de France. Toutefois le compte Twitter de la Conférence des évêques de France avait publié ce matin un appel à prier pour le respect de la vie :
Plus 60 combattants côté ukrainien tués et 20 blessés par une frappe de l'armée russe à Kharkov.
Le ministère russe de la Défense affirme, qu'il s'agit principalement de Français. La question, qui se pose est assez simple : s'agit-il réellement de mercenaires, et alors ils sont en infraction à la législation pénale française et doivent être condamnés par la justice française, ou bien n'est-ce pas le début d'une intervention directe des forces armées françaises en Ukraine ? A ce jour, Paris fait l'autruche, ne pouvant assumer publiquement sa ligne politique.