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France et politique française - Page 3256

  • Les Frères Musulmans dans le texte : ce que veulent les islamistes

    “Le but des Frères Musulmans est de créer un état islamique mondial. Nous, les musulmans, nous immigrons partout et il y aura encore un long chemin avant de prendre le contrôle de l’Europe” (Muhammed Mahdi Akef, Guide suprême des Frères Musulmans de 2004 à 2010.)

    Capture-d’écran-2016-01-27-à-15.13.04Le nouveau livre de Joachim Véliocas, auteur du best seller Ces maires qui courtisent l'islamisme, sort aujourd'hui, sous le titre Les Frères musulmans dans le texte : ce que veulent les islamistes, aux éditions Tatamis. L'auteur nous en fait la présentation :

     

    Marie Bethanie

  • 3 millions d'euros pour une opération de propagande gouvernementale

    Le gouvernement a lancé hier une campagne choc afin de dénoncer les préjugés racistes. Il ne s'agit pas de racisme anti-blanc, pourtant quotidien dans de nombreux quartiers en France. Cette campagne, diffusée sur la plupart des chaînes de télévision jusqu’au 10 avril, coïncide avec la Semaine d’éducation contre le racisme et l’antisémitisme, du 21 au 28 mars. D’un coût de trois millions d’euros, elle s’inscrit dans le cadre du « plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme » doté de 100 millions d’euros sur trois ans.

    Toutes les vidéos commencent par "inspiré de faits réels", car bien sur  tous les agresseurs sont blancs ! Le racisme anti-blanc et anti catholique est absent de la campagne car c'est bien connu ...ça n'existe pas ! Seules les communautés d'appartenance des protagonistes ont été inversées...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marion Maréchal-Le Pen : «Le FN au pouvoir, il n'y aurait pas eu de 13 novembre»

    Députée FN du Vaucluse, Marion Maréchal-Le Pen était dimanche l'invitée de « BFM Politique », avec « le Parisien » - « Aujourd'hui en France ».
    Un « bon petit soldat » de Marine Le Pen. Marion Maréchal-Le Pen continue d'avoir la dent dure contre son grand-père.
    « Sa lecture politique n'est plus la nôtre », a-t-elle asséné, tout en réaffirmant sa fidélité à sa tante : « Parce que je suis aujourd'hui son petit soldat d'une certaine manière, je crois en elle », a-t-elle lancé, avant de préciser qu'elle était entrée « en politique pour et par Marine Le Pen », oubliant que c'est pourtant Jean-Marie Le Pen qui l'a convaincue de se présenter aux législatives de 2012 à Carpentras..

    Marion Maréchal-Le Pen "rentrée en politique... par BFMTV
    Loi El Khomri et communautarisme. Comme Marine Le Pen jeudi sur RTL, et aussi certains élus de droite ces derniers jours, Marion Maréchal-Le Pen s'est inquiétée d'une disposition de la loi Travail qui permet « la liberté du salarié de manifester ses convictions, y compris religieuses » dans l'entreprise. « Avec cette rédaction, une femme pourra venir voilée » sur son lieu de travail, a-t-elle affirmé, alors que l'article stipule aussi que « la manifestation de ses convictions religieuses ne doit pas entraver les droits fondamentaux et le bon fonctionnement de l'entreprise ». « Mais c'est quand même très flou. La vraie solution aurait été d'empêcher tout simplement la manifestation de convictions religieuses dans l'entreprise », renchérit-elle.
    Arrestation d'Abdeslam. Concernant l'interpellation du dixième homme du commando du 13 novembre, la députée du Vaucluse a estimé qu'il devrait être déchu de la nationalité française. Très critique à l'égard du gouvernement, elle a même affirmé qu'avec « le Front national au pouvoir, il n'y aurait probablement pas eu de 13 novembre ».

    Marion Maréchal-Le Pen: "L'immigration est... par BFMTV

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuVlVuylkkBSuHFusK.shtml

  • Polémique autour du 19 mars : Hollande soigne ses électorats musulman et communiste… en piétinant l’histoire

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Pour la première fois, un président français commémore le 19 mars 1962. Cette date est celle du cessez-le-feu ayant suivi la signature, la veille, des pseudos « accords d’Evian ». Si le cessez-le-feu a bien été respecté par l’armée française, il ne l’a en revanche pas été par le FLN. Il y a ainsi eu beaucoup plus de morts après le 19 mars 62 qu’entre le début officiel de la guerre d’Algérie, le 1er novembre 1954 et ce 19 mars. Partiellement désarmés dès janvier 62, puis totalement livrés aux bouchers du FLN à partir du 19 mars, les Harkis paieront un lourd tribut à ce qu’il faut bien appeler la forfaiture de l’appareil d’État français. Plus de 100 000 d’entre eux seront ainsi massacrés, dans des souffrances sans nom.

    Leur seul crime est d’avoir loyalement servi la France et cru dans la parole de la République. « Moi vivant, avait ainsi déclaré le général de Gaulle en octobre 59, jamais le drapeau du FLN ne flottera sur Alger ! ». L’association Jeunes Pieds-Noirs a lancé une pétition pour l’abrogation de la loi officialisant le 19 mars 1962, et appelle tous les patriotes à se rassembler le 26 mars prochain à 17 h à l’Arc de Triomphe.

    Avant tout préoccupé de sa propre réélection, le président Hollande soigne ainsi non seulement son électorat musulman, ou ce qu’il en reste, mais également son électorat communiste. C’est très volontiers qu’il a cédé aux amicales pressions de la FNACA, cette association d’anciens combattants d’Afrique du Nord — une Fnaca pour le moins sous influence communiste… — qui avait fait de l’adoption de cette date son cheval de bataille.

    Après, entre autres, la loi sur la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité (Taubira, 2001), loi qui a soigneusement exclu la traite arabo-musulmane et la traite intra-africaine, pourtant largement plus meurtrière que la traite transatlantique, après la reconnaissance de la « dette imprescriptible » de la France à l’égard d’Israël (Chirac, 2003), la démarche de François Hollande s’inscrit dans le patient, mais efficace travail de sape des « élites » cosmopolites à l’encontre notre pays.

    http://fr.novopress.info/

  • La langue des journalistes actuels en France pour fabriquer l'opinion

    6a00d83451619c69e201bb08cb8e38970d-200wi.jpgIngrid Riocreux, agrégée de lettres, docteur d'Etat, vient de publier un ouvrage intitulé La langue des médias. Cette étude de la langue des journalistes et de son impact sur notre façon de comprendre le monde, avec des exemples très concrets, montre que les formules des journalistes impliquent un jugement sur les événements. Atlantico en publie quelques extraits :

    "Accuser quelqu’un d’islamophobie ou d’homophobie, c’est porter contre lui une accusation grave, peut-être totalement infondée, mais forcément efficace. C’est le classer parmi les méchants dans le monde simple du Journaliste. Si le mot n’a peut-être pas été inventé par les mollahs, les rédactrices de Prochoix n’ont néanmoins pas tort sur son utilité actuelle ; il s’agit bien d’un « instrument de censure ». Ce qui est étrange, c’est qu’on ne les entende jamais dénoncer avec la même véhémence tous les autres termes en -phobe, de xénophobe à europhobe, en passant par homophobe ou LGBTphobe, qui ont exactement le même rôle.

    Le rôle qui est aussi celui de fasciste et de raciste, même si ces deux termes tendent à tomber en désuétude au profit de la dénonciation des particularismes de la haine (les…-phobies). Dans Langage et idéologie, Olivier Reboul propose d’appeler «mots-chocs » ces termes qui empêchent de penser et qui orientent, par leur seule prononciation, le point de vue et l’action des auditeurs: « Je n’ai pas besoin de dire : “Mettons ces fascistes à la porte”; il me suffit de crier: “Fascistes!” pour que le résultat soit le même. »

    Lors de l’affaire Zemmour, Titiou Lecoq a produit, sur Slate.fr, un article intelligent et courageux car méta-journalistique (c’est-à-dire prenant pour objet la démarche des journalistes eux-mêmes), interrogeant aussi bien la pertinence des réactions aux propos polémiques du chroniqueur que les méthodes d’interview: «Là où Zemmour n’a pas tort (attention, veuillez reposer ces cailloux, je n’ai pas fini ma phrase), c’est que les cris n’ont aucune valeur explicative. Pour disqualifier un ennemi, il ne suffit pas de jeter l’anathème sur lui sous la forme de l’insulte suprême “gros raciste”. Traiter quelqu’un de “gros raciste” n’a jamais constitué un argument valable dans un débat. Ça consiste seulement à disqualifier un orateur, à s’attaquer à son “ethos”, mais disqualifier quelqu’un ne disqualifie pas pour autant ses arguments. Quand la Licra attaque Éric Zemmour en justice, elle fait passer un message qui ressemble en gros à “dire que la plupart des trafiquants sont noirs ou arabes, c’est raciste et le racisme c’est mal”. Et bien je ne suis pas convaincue par la force de la démonstration. Plutôt que de se borner à interdire les propos jugés racistes, est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux les décortiquer, les analyser et y répondre ? […] Et c’est pour cette raison qu’il faut lui opposer des arguments plutôt que des insultes. Refuser la discussion, c’est en un sens lui donner raison. Et dans notre système démocratique empreint de paranoïa, cela revient à laisser penser qu’il dit la vérité et que c’est pour ça qu’il dérange. Invité sur le plateau de “l’Objet du scandale”, à l’occasion de la promo de son livre Mélancolie Française, Éric Zemmour était face à Frédéric Bonnaud et Gérard Miller. Ce dernier n’eut de cesse de [sic, NDLA] s’exclamer sur le mode “gros raciste”, “c’est intolérable”, “une honte”, sans réussir à donner d’argument parce qu’à chaque phrase de Zemmour, il était clairement pris d’une envie de se rincer la bouche avec du Cif ammoniacal ».

    La référence à l’éthos oratoire (l’image que la personne donne d’elle-même dans son discours) est très pertinente. Le mot-choc est commode en ce qu’il atteint directement la personne et permet de la discréditer sans s’embarrasser de la contestation méthodique des propos qu’elle a tenus. Ces termes n’ont d’utilité que médiatique : ils s’intègrent parfaitement à la fonction inquisitoriale du Journaliste précédemment décrite. D’un emploi simple, utiles pour anathématiser les gens et identifier à tout va des dérapages, les phobies et autres étiquetages du même acabit donnent l’impression qu’une ligne rouge a été franchie, que la sanction n’est pas loin, que le rétropédalage (mot éminemment journalistique) s’impose.

    En un sens, il est totalement inutile et contreproductif de répondre à ce type de catégorisation. Ce serait comme répliquer: non, vous vous trompez, je ne suis pas un connard/abruti/gros emmerdeur, etc. On répond à l’insulte par l’insulte ; ou bien on la tourne en dérision, mais on n’y répond pas posément comme on réfuterait une thèse. Ou alors on se rend ridicule. C’est là que les participants de la Manif pour Tous ont très mal manœuvré. Au Journaliste qui leur demandait: «Que répondez-vous à ceux qui vous considèrent comme homophobes?», que ne lançaient-ils: « on s’en moque ! » Les «nous ne sommes pas homophobes mais » étaient pitoyables. C’était un terrible aveu de faiblesse, de honte et d’hésitation; et cette défense vaine gaspillait un temps qui eût été précieux pour l’attaque. Leurs adversaires ne s’excusaient jamais; au contraire, ils avaient compris que pour exister médiatiquement dans le cadre d’un mouvement de masse et pour peser dans le débat public, il faut appliquer ce qu’Adolf Hitler prônait déjà dans Mein Kampf (voir, plus haut, l’exemple des savons): une posture monolithique, simpliste, caricaturale et tranchée, sans aucune déférence pour l’opposant qui doit être diabolisé sans trêve, à tort ou à raison. On peut le déplorer mais c’est ainsi, et le fait est que cela fonctionne. Cicéron le disait déjà : le principe de convenance, au sens d’adaptation au contexte, est fondamental. On ne peut pas défendre une idée de la même manière dans un débat de deux heures, dans une manifestation, sur un blog ou sur tweeter. Le format et les conditions d’expression doivent présider au choix de la stratégie. Dans une manifestation, on ne se défend pas contre les arguments de l’adversaire, on fait valoir son point de vue, on «montre ses muscles», comme le disent parfois les journalistes. Or, aux yeux du lobby LGBT, dans la mesure même où ils participaient à ce défilé politique, tous les manifestants de la Manif pour Tous étaient homophobes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Najat Vallaud-Belkacem, malade du complot

    Il semblerait que l’enjeu prioritaire de l’école du XXIème siècle soit de rééduquer les enfants afin qu’ils puissent « décrypter » les complots sur Internet.
    Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale sociétaliste, n’a plus qu’un mot à la bouche : « complotisme ». Il semblerait que l’enjeu prioritaire de l’école du XXIe siècle soit de rééduquer les enfants afin qu’ils puissent « décrypter » les complots sur Internet. Elle a donc tenu à ce que deux nouveaux enseignements soient créés : l’enseignement moral et civique (reprise de feu l’Éducation Juridique et Sociale en termes plus sociétalistes) et l’éducation aux médias et à l’information.

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  • La loi El Khomri sur le travail projette d’implanter l’Islam dans les entreprises

    La révolution islamique poursuit son chemin sur le principe: ôte-toi de là que je m’y mette. les lois sur la séparation de l’Église et de l’État, ne concernent en rien l’Islam: tout ce qui était interdit aux catholiques va maintenant être permis aux musulmans. Et quoi de plus naturel que ce soit Myriam El-Khomri qui promeuve cette révolution dans la Révolution à travers sa loi sur la réforme du travail ?

    Il est un autre article de cette loi, qui rase silencieusement les murs de l’actualité sans que beaucoup de gens n’y prêtent attention, alors qu’il annonce un danger social majeur. (…) Il est en effet une ombre au futur tableau sociologique national, pour le moment discrète mais lourde de présage, c’est l’article 6 :

    « la liberté du salarié de manifester ses convictions, y compris religieuses, ne peut connaître de restrictions que si elles sont justifiées par l’exercice d’autres libertés et droits fondamentaux ou par les nécessités du bon fonctionnement de l’entreprise et si elles sont proportionnées au but recherché ».

    Que conclure de précis de ce charabia à la nébulosité sans doute intentionnelle ? Que penser de cette bouillie pour les chats digne d’une fermentation intellectuelle terranovesque ? Eh bien que ça promet comme perspective de vie sociale et inter-communautaire à l’intérieur des usines et entreprises, attendu le zèle religieux qu’il serait difficile de ne pas avoir constaté chez les musulmans,lesquelles bonnes gens peuplent et vont bientôt dominer le personnel du secteur secondaire.

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  • Billet d'humeur de Bertrand Venteau : les Verts m'ont tué !

    Parfois, je fais l’inventaire des projets tués par l’obscurantisme de collectifs animés par une écologie intégriste dénuée de sens critique. Malheureusement, la liste est longue :

    • OEDA (collectif Oui à l'Etourdissement Dans les Abattoirs) qui a fait capoter le projet du nouvel abattoir de la Creuse. D’ailleurs, depuis il n'y en a plus dans ce département très spécialisé dans l’élevage,
    • OEDA, encore et toujours, qui utilise tous les moyens possibles de désinformation pour empêcher le projet d’engraissement collectif de 50 éleveurs du plateau de Millevaches qui ont eu toutes les autorisations des services de l’Etat,
    • ONG Allassac Environnement qui pratique une véritable croisade face aux arboriculteurs corréziens qui sont de véritables empoisonneurs aux yeux de cette association,
    • nos « amis » les zadistes et surtout leurs alliés qui sont venus à bout du projet de Sivens,
    • L214 par ses campagnes anti-viande et intrusions illégales chez des exploitants et entreprises agroalimentaires, a réussi avec le rapport de l’OMS sur la viande et le reportage fond de caniveau « l’animal est une personne », l’incroyable exploit de faire chuter la consommation de charcuterie sur 1 mois de 28 % et de 20 % pour la viande bovine alors que les animaux ne partent pas de nos fermes !

    Que dire des 6 millions d’euros alloués au Parc Naturel Régional Périgord Limousin pour sauver la moule perlière alors que sa population augmente, fait constaté depuis 10 ans de comptage ?Cette moule est un indicateur d’une qualité des eaux parfaite, malgré des travaux de drainage, de nombreuses retenues d’eau, de l’élevage hors sol, de l’élevage de ruminants et de cultures telles que les céréales à paille, le maïs grain et les fourrages ! 

    Alors moi, le paysan du Sud-Ouest, je fais comment pour exister si je ne peux plus avoir aucun projet ? 

    Car quand je monte un bâtiment d’élevage, j'ai une association qui m’attaque juridiquement parce que ça pue ou que je vais polluer, malgré toutes les autorisations légales ? 

    Car quand je veux irriguer, les productions végétales et animales ont aussi besoin d’eau pour être en bonne santé, règle physiologique de base, je ne pourrai plus parce que c’est écologiquement irresponsable, malgré toutes les autorisations légales une fois de plus ! 

    Car il me sera aussi bientôt impossible de pouvoir traiter mes vignes, mes arbres parce qu’ils ont attrapé une maladie nouvelle, un nouveau parasite arrivé par avion et bateau grâce à ce gros mot qu’est la mondialisation … mais surtout parce que je n’ai plus le droit ou que mes voisins sont venus me lyncher ? 

    Je suis fatigué de montrer patte blanche en permanence sur les contrôles PAC, face aux services de l’Etat, face aux services fiscaux et sociaux qui me ponctionnent à hauteur de 66 % de mon revenu …

    Je suis fatigué d’être le coupable idéal du dérèglement climatique et de toutes les pollutions !

    Je veux juste pouvoir travailler en prenant du plaisir pour en vivre dignement, faire de la culture du vivant sur ma propriété, de moins en moins privée suite à l’inquisition permanente de Bruxelles, Paris et des intégristes de l’écologie !

    Bertrand Venteau,

    Eleveur de bovins viande à St Yrieix la Perche,

  • Affaire Barbarin : « Chacun jette son fagot dans le bûcher médiatique », constate Zemmour

    Le cardinal Philippe Barbarin nie « avec force » avoir couvert « le moindre acte de pédophilie » dans son diocèse de Lyon. Manuel Valls l’a appelé à « prendre ses responsabilités », mardi 15 mars. « Il ne manquait plus que lui. Il ne pouvait pas rater ça », tacle Zemmour. « Il n’y a pas de fumée sans feu, et le feu prend bien », poursuit le polémiste. « Le bûcher médiatique a été dressé à la hâte, et chacun y jette son fagot ». Il cible ceux qui, « confondant perversion et frustration, incriminent le célibat des prêtres. Comme s’il n’y avait pas de pédophiles mariés, comme si les prêtres étaient les seuls coupables ».

    http://fr.novopress.info/