Le président de la République est pris de nouveau en flagrant délit de reniement.
« Interposer l’obstacle et la barrière d’une élection dite primaire entre le président de la République, élu du peuple tout entier, et son droit naturel à être candidat et à être réélu, laisser les partis organisateurs d’une telle consultation, susceptible de toutes les manœuvres et de toutes les tricheries, cuire à leur idée leur petite tambouille sur leur petit feu, faire du vainqueur de ce comice agricole qui aura dû multiplier les ruses, les courbettes et les bassesses pour triompher le représentant légitime de la droite ou de la gauche avant d’être celui de la France, c’est couper le lien particulier qui unit un homme, un destin et un pays, c’est incompatible avec l’esprit de la Ve République… »
Ainsi aurait pu parler le général de Gaulle, que son passé et sa stature autorisaient à s’excepter des structures, des procédures et des investitures partisanes. Ainsi aurait-il pu stigmatiser une innovation que l’on a peut-être un peu trop vite considérée comme entrée dans les mœurs et qui fait de l’élection présidentielle une élection à trois ou quatre tours et deux degrés. Mais Hollande ! Hollande !
France et politique française - Page 3334
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François Hollande, menteur ordinaire
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Le FN en 2016…
En politique, il n’y a pas de miracle. Les succès électoraux sont toujours la rencontre entre un programme en adéquation avec les attentes du corps électoral et un travail de terrain, de réflexion, de pédagogie, d’explication dudit programme. Il s’agit donc de le présenter le plus clairement possible aux électeurs en en faisant ressortir les idées forces –les électeurs sont peu nombreux à mémoriser et/ou à s’intéresser à l’intégralité d’un projet-, à dissiper les arguments hostiles distillés par ses adversaires. Une propagande antinationale, nous le savons, qui ne s’embarrassent jamais de subtilités à l’encontre du grand Satan frontiste mais qui garde (encore) une certaine efficacité. Enfin, au-delà même de ces éléments tangibles, il y a aussi, notamment pour ce qui concerne la reine des batailles dans notre «monarchie républicaine», à savoir l’élection présidentielle, la part de l’équation personnelle du (de la) candidat(e). Or, la perception par les Français de la personnalité briguant leurs suffrages, ne répond pas toujours à des critères de rationalité, mais laisse la part belle à l’impression, à la subjectivité.
C’est pourquoi la complaisance médiatique, la presse pipole aux tirages non négligeables contrairement aux journaux dits « sérieux » mais démonétisés, et surtout les émissions d’infotainement, d’information-spectacle, concept né aux Etats-Unis, pèsent d’un poids non négligeable. Ils participent pour beaucoup dans la manière de façonner l’image d’un candidat, de le rendre plus humain sympathique, proche des gens. L’exemple est connu et parfaitement emblématique, le slogan Mangez des pommes, popularisé par les guignols de canal plus et placé dans la bouche de la marionnette Chirac, a autant fait pour sa victoire en 1995 que sa volonté affichée de réduire « la fracture sociale »…
Bien sûr, ne nous y trompons pas, le FN, Marine ne jouiront jamais de cette complaisance là, du fait même des idées, des valeurs défendues par notre famille politique ; elles suscitent l’hostilité d’une très large fraction de la caste médiatique, laquelle est structurellement et idéologiquement opposée à notre projet. Journalistes qui dépendent aussi matériellement de groupes financiers dirigés le plus souvent par des personnalités qui partagent le tropisme mondialiste de «nos» élites politiques, intellectuelles, sociétales…Une évidence à prendre en compte pour souligner que l’éventuel changement de nom du FN, un débat qui n’est pas en soi illégitime, Bruno Gollnisch l’a dit, ne saurait être forcément une solution miracle pour gagner en attractivité. Au-delà de la forme (le nom de notre Mouvement) c’est bien le fond, la colonne vertébrale patriotique de notre programme, qui est combattu par nos adversaires.
Marine le rappelait avant même les scores historiques engrangés par le FN aux dernières élections, dans un documentaire diffusé sur France 3 en octobre 2014, «il y aussi des gens extrêmement attachés (au FN), c’est quand même une marque le Front National. C’est une marque de courage, c’est une marque de longévité, de persévérance, de pugnacité. Chacun a son avis sur le sujet. Ce n’est pas pour moi un sujet tabou mais je n’envisagerai sérieusement une éventuelle modification du nom du FN si je m’apercevais qu’à un moment donné il y avait un décrochage entre l’image du leader ou du candidat à la présidentielle et le Mouvement ».
« Mais comme l’augmentation de la confiance qui nous est faire fonctionne de manière parallèle et que le FN engrange de plus en plus d’électeurs, de plus en plus d’adhérents, de plus en plus de sympathisants, je ne vois pas de raisons dirimantes aujourd’hui pour envisager une modification qui peut être nous ferait plus perdre qu’elle nous ferait gagner.»
Nous le notions à la même période, l’opportunité du maintien du nom du FN ne doit pas être motivée par une nostalgie, un passéisme contre-productif ou a contrario son changement par l’illusion de l’obligation d’une novation pour être dans l’air du temps médiatique, qui le serait tout autant. Soyons clair: la finalité de notre combat politique est d’accéder au pouvoir et non de communier confortablement dans l’entre-soi, dans le témoignage, aussi est-il légitime que cette question soit posée si ledit changement d’appellation pouvait être bénéfique et permettre de rassembler plus largement nos compatriotes autour de nos idées.
Bruno Gollnisch l’affirmait pareillement nous n’avons pas à rougir du nom de notre mouvement, sous le nom duquel des milliers d’adhérents ont milité courageusement, et pour beaucoup d’entre eux au prix de nombreux sacrifices, avant de récolter les fruits dans les urnes de leur persévérance. Mais «le Front National est un instrument au service de la France. Si le FN devait s’appeler autrement demain, je ne m’attacherais pas l’étiquette mais à la substance». «Si dans l’avenir, il y a une novation importante dans la vie politique de notre pays, si nous devons donner le signe fort de quelque chose d’autre, on pourra l’envisager». «En revanche, si le Front National devait abandonner ses convictions, il cesserait de m’intéresser comme tel même s’il conservait le nom et la flamme. »
Pour autant, nous l’avons dit, il appartient aussi au FN de clarifier son projet économique, sa vision de l’Europe, encore mal compris ou peu identifiés par beaucoup de nos compatriotes pourtant acquis aux autres grands axes de son programme. Il est assez évident que la diabolisation de l’opposition nationale – certes moins vive qu’avant mais persistante – ne se fait plus tant sur le thème d’un FN fascisant, héritier des heures les plus sombres de l’Histoire, que par l’ exposé d’un scénario anxiogène, décrivant un FN au pouvoir entraînant la France dans le chaos économique sur fond de guerre civile plus ou moins larvée.
Fantasmes qui gardent encore un pouvoir de nuisance -malgré les succès incontestables de gestion dans les mairies FN- notamment auprès de l’électorat castor, comme le nomme avec un humour pertinent Marine, celui qui se mobilise pour faire barrage au FN. Et ce, avec encore un certain succès puisque malgré nos 7 millions d’électeurs le 13 décembre, nous n’avons échoué à prendre les deux ou trois régions qui nous étaient promises.
Dans les semaines qui viennent, Marine Le Pen a donc décidé de prendre de la hauteur, de privilégier le dialogue direct avec les Français en allant à leur rencontre dans nos terroirs, là où ils vivent et ils travaillent, et de ne répondre qu’avec parcimonie aux sollicitations des « grands médias ». Il s’agira ainsi pour la présidente du FN de nourrir sa réflexion dans le cadre de l’élaboration en de son programme présidentiel pour 2017, et d’échapper au filtre médiatique qui donne souvent une perception déformée de sa personnalité et de ses idées.
Signalons enfin que Bruno Gollnisch sera bien évidemment présent au séminaire prévu fin janvier- début février et qui réunira les parlementaires, les membres du Bureau Politique du FN mais aussi quelques personnalités extérieures –à l’instar du maire de Béziers Robert Ménard. Occasion, à l’aube des très décisifs scrutins de 2017, de plancher sur tous les sujets qui font débat : la stratégie, le programme, l’éventuel changement de nom du FN, les modalités des alliances à nouer pour élargir notre audience électorale.
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Les conséquences sociales des attentats de Paris François Belliot Lucien Cerise
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Lucien Cerise – Atelier de ré-information active. (E&R Lille)
Samedi 30 mai 2015, E&R Lille accueillait Lucien Cerise pour un atelier de ré-information active.
Comment nous manipule-t-on ?
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Le 11 janvier n’est plus ce qu’il était
La commémoration des attentats de Charlie Hebdo s’est déroulée sans ferveur populaire. Comme si désormais le pays ne demandait plus de la compassion mais une véritable protection.
La place de la République semblait vide. Après les grandes marées du 11 janvier 2015, les manifestants, comme l’océan, s’étaient retirés et il ne restait plus que quelques groupes disparates sur la grande plage de bitume.
Les dignitaires arrivaient un par un. Anne Hidalgo se voulait rassurante : « Les Parisiens ne sont pas toujours du matin, a-t-elle expliqué. Ils seront plus nombreux cet après-midi. » Ce jour-là, cependant, les Parisiens n’étaient pas non plus de l’après-midi. L’hommage s’est déroulé dignement mais le cœur n’y était plus et, si les soirs les bougies se faisaient plus nombreuses, la ferveur qui avait envahi les rues de Paris il y a un an avait laissé place à une indifférence bienveillante. Peut-être y avait-il quelque chose de dissonant dans cette cérémonie mortuaire ?
Pour les lecteurs de Charlie Hebdo d’avant le 7 janvier, le choix de Johnny Hallyday, tête de Turc de Cabu, avait quelque chose d’incompréhensible. Un peu comme si Margaret Thatcher avait rendu hommage au chanteur Renaud ou Nicolas Sarkozy à Stéphane Guillon. Pour les autres, cette liturgie républicaine sonnait creux. Il faut reconnaître qu’à force de ne pas choisir entre les symboles cocardiers (garde républicaine, arbre de la Liberté, Marseillaise) et le méli-mélo pacifiste où se mêlent Le Temps des cerises, Jacques Brel et Johnny Hallyday chantant le texte de Jeanne Cherhal, on ne savait pas si nos étions sur les traces de Lamartine ou celle des Enfoirés évoquant leurs amis disparus. Le 10 janvier 2016, comme aux Invalides après le 13 novembre dernier, l’appareil d’État a décidé de faire la synthèse : les chœurs de la République en danger mais à la place du Chant du départ, « l’amour pour parler aux canons » et Les Prénoms de Paris pour répondre aux « kalachs ». Or, la mort impose silence, gravité, dépouillement et l’on peut légitimement se sentir étranger à ce syncrétisme qui donne à tout événement le ton et les teintes d’une émission de variété. [....]
La suite sur Le Figaro.vox
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-11-janvier-n-est-plus-ce-qu-il
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Une proche de Xavier Bertrand préfère voir gagner la gauche au FN
Interrogée par le Courrier de l'Ouest, Caroline Fel, adjointe LR au maire d'Angers et attachée de presse de Xavier Bertrand, estime préférer la victoire de la gauche que celle du FN :
Barbara Mazières, chargée de mission FN dans le département, s'étonne, entre autres, de cette affirmation :
"[...] Mais je retiendrai surtout de ce long entretien l'inquiétante révélation de Mme Fel qui affirme préférer la victoire de la gauche à celle du FN. La gauche demeure l’alliée du Parti communiste - lequel se réclame toujours d'une idéologie qui a causé 100 millions de morts au XXe siècle et opprime aujourd'hui encore 1,5 milliard d'êtres humains (Chine, Vietnam, Corée du Nord). Une gauche française qui n'a rien fait pour protéger les Français, qui a fait exploser le chômage, les impôts et la dette. C'est cela que Mme Fel préfère à l'élection de Français simplement attachés à leurs racines, aux valeurs de la civilisation européenne et à leurs libertés, et qui souhaitent avec le FN une réforme profonde de l’Etat et de sa gestion. Dont acte. Mais il sera difficile ensuite de prétendre que c'est le FN qui fait gagner la gauche! [...]"
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La Mairie de Paris condamnée à dédommager les contribuables parisiens pour ses aides déguisées à l’Institut des Cultures d’Islam : 14 millions plus les réparations!
L’Institut des Cultures d’Islam a déjà couté 14 millions aux contribuables parisiens, mais un Parisien a porté plainte pour ce détournement de bien public et la Cour d’appel a cassé le bail, annulé les contrats, et demandé des réparations.
voir copie du verdict ci-dessous:
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Éric Zemmour : “La nationalité française est d’abord une allégeance”
“C’est la confusion des sentiments, des esprits et des mémoires”, se désole Éric Zemmour à propos du débat autour de la déchéance de la nationalité. “Les passions sont à incandescence, comme chaque fois que la gauche accuse la gauche de ne plus être de gauche”, note le journaliste, qui rappelle que ce principe est déjà prévu par la loi.
Ainsi, “la République ne tremblait pas pour viser les esclavagistes, après l’abolition de l’esclavage en 1848, ou pour sanctionner Maurice Thorez, le secrétaire général du parti communiste, qui refusa de servir dans l’armée française après le pacte germano-soviétique”.
À ses yeux, la révision constitutionnelle menace seulement ceux qui seraient condamnés pour terrorisme, tandis que la loi visait tout “Français qui se comporte comme le national d’un pays étranger”.
Pour Éric Zemmour, cette “tempête dans un verre d’eau” est révélatrice du clivage entre une partie des élites (“qui s’en tiennent à une conception exclusivement juridique de la nationalité”) et l’énorme masse du peuple (“fidèle à une approche traditionnelle de la France qui se vit comme une grande famille, à qui on doit faire allégeance”).
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À Cologne et ailleurs les agresseurs sexuels étaient bien des « réfugiés »
Les révélations de la presse allemande une semaine après les agressions sexuelles massives qui ont eu lieu à Cologne, à Hambourg et dans plusieurs autres villes allemandes sont accablantes pour le pouvoir. Les langues des policiers se délient face aux mensonges des politiques et des médias.
À Cologne, les policiers en service dans le centre-ville pendant les graves événements qui ont perturbé la soirée du réveillon du Jour de l’An ont expliqué aux journalistes du Spiegel et de Die Welt que, contrairement à ce qu’affirment les autorités et à ce qu’en disait le chef de la police de la ville, qui a perdu son poste, une centaine de personnes avaient été interpellées sur le vif et… c’étaient presque tous des demandeurs d’asile avec des papiers de Syriens. « Je suis syrien, vous devez me traiter gentiment, c’est Mme Merkel qui m’a invité », se sont entendu dire des policiers. Un autre demandeur d’asile a déchiré devant les policiers son document attestant de son droit de séjourner en Allemagne, en leur jetant à la figure qu’ils ne pouvaient plus rien lui faire et que, de toute façon, on lui donnerait de nouveaux papiers.Pire encore, on apprenait en fin de semaine dernière du quotidien Bild que la police avait des ordres stricts pour couvrir les crimes et délits commis par les « migrants ».
Pendant ce temps, les plaintes continuent d’affluer. Dimanche, la presse allemande parlait déjà de plus de 500 plaintes à Cologne (dont environ 40 % pour des agressions sexuelles), plus de 100 à Hambourg, plus de 40 à Düsseldorf… On apprenait aussi qu’à Bielefeld, un groupe de 500 « migrants » avaient investi de force une discothèque et y avaient commis des agressions sexuelles sur des femmes.Et ce n’est pas que l’Allemagne qui est touchée. D’autres villes européennes, en Suisse, en Finlande, en Suède et en Autriche, ont fait état d’actes similaires commis par de jeunes hommes « à la peau foncée » et parlant très mal la langue locale.
Samedi, le mouvement PEGIDA a organisé une manifestation qui a attiré quelque 4 000 personnes et aussi un bon millier de contre-manifestants « antifascistes » et 1 700 policiers armés de canons à eau. Les habitants auraient certainement aimé voir les mêmes forces de police dans le centre de Cologne le soir de la Saint-Sylvestre !
La censure de l’information n’est pas passée inaperçue dans la Pologne voisine, accusée par les médias et plusieurs personnalités politiques importantes outre-Rhin de porter atteinte à sa démocratie à cause de sa loi sur ses médias publics.
Le ministre de la Justice polonais a publié samedi une lettre ouverte à l’Allemand Günther Oettinger, le commissaire européen chargé des médias, pour l’inviter à condamner le manque de transparence et de liberté des médias dans son propre pays plutôt que de problèmes fictifs chez les autres.
Lors d’un match de volley entre l’Allemagne et la Pologne pour les qualifications aux Jeux olympiques de Rio de Janeiro, des supporters polonais ont déplié une banderole où l’on pouvait lire : « Protégez vos femmes, pas notre démocratie ».Olivier Bault
http://fr.novopress.info/196828/cologne-ailleurs-les-agresseurs-sexuels-etaient-bien-refugies/
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JT du Mardi 12 Janvier 2016 - Service civique : l’extension inutile
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