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France et politique française - Page 3330

  • 732 !

    Samedi dernier, les militants parisiens de la Dissidence Française ont organisé une action éclair Place de la Nation à Paris. En présence de journalistes américains, nos militants ont scandé le slogan « Une solution : Remigration ! » en déployant une banderole « 732 », rappelant ainsi la bataille de Poitiers au cours de laquelle Charles Martel et ses troupes stoppèrent l’avancée des sarrasins lors d’une victoire décisive…

    Voici quelques photos prises à l’occasion de cette action symbolique, la première de l’année 2016, menée ce week-end au coeur de Paris !

     

  • Ajaccio, Cologne, Marseille… dirigeants irresponsables !

    Nos responsables sont bien… irresponsables ! Ils ont une grande facilité à ne plus assumer les conséquences de leurs choix. Le réel leur fait peur et seule l’émotion les fait réagir. Leur mauvaise conscience leur dicte une politique conduite uniquement par l’esprit de repentance et le culte de la culpabilité collective.

    Outre-Rhin, la situation semble de plus en plus tendue. Les Allemands, abasourdis comme un grand nombre d’autres Européens, commencent tout juste à comprendre que le monde des Bisounours, vendu en boucle par leurs médias et leurs politiques, n’existe pas. Le multiculturalisme, tant vanté par la chancelière Merkel, paraît beaucoup moins idyllique depuis quelques jours. Les nombreuses agressions sexuelles, ayant eu lieu à Cologne, Hambourg, Stuttgart, mais aussi dans d’autres villes allemandes et d’autres pays européens (Autriche, Suède, Finlande…), sont là pour nous ramener à une réalité plus dure et violente.
    Étant liées pour une grande partie d’entre-elles, malgré ce qu’en disent nos moralisateurs et nos déconstructeurs, à l’arrivée de soi-disant pauvres migrants, réfugiés politiques et demandeurs d’asile, ces agressions sexuelles devraient normalement nous permettre de sortir de notre dormition tellement le nombre dépasse l’entendement.
    Nos responsables sont dans l’incapacité de se remettre en cause. Ils ne vivent que d’idées et de ce fait ne peuvent voir le monde tel qu’il est. Ils sont prêts à brader la sécurité de leurs propres peuples juste pour ne pas avoir à prendre et assumer des décisions difficiles, mais pourtant nécessaires. Enfermés dans une logique mondialiste et antiraciste, ils sont impuissants et aveugles. Face à des évènements compliqués, tragiques, ils refusent de se comporter en chefs d’État responsables et préfèrent jouer les abbé Pierre ou les mère Theresa.
    Ceci, comme le dit Michel Onfray, leur permet de se mettre « en scène, dans un rôle vertueux, héroïque ». Accablés par leur mauvaise conscience, ils ne savent plus ce que veut dire diriger et, au lieu d’agir, ils ne font que réagir. Sous le poids de plus en pesant de l’influence médiatique acquise dans sa grande majorité à la propagande du bien vivre ensemble, ils ne se comportent plus qu’en nouveaux bigots de la religion des droits de l’hommisme.

    La repentance, l’excuse, la justification de l’inacceptable et la culpabilisation de leurs populations sont devenues les pièces maîtresses de leur communication. La colère légitime des Allemands et celle de la population d’Ajaccio, suite aux scandales des agressions de la nuit de la Saint-Sylvestre et lors de l’attaque de pompiers et de policiers dans la nuit du 24 décembre, les ont bousculés dans leurs retranchements. Certains, pour ne pas avoir à se renier, n’ont pas hésité à se dire plus choqués par les réactions citoyennes que par les agressions elles-mêmes !

    En 2015, plus de 1600 pompiers se sont fait agresser dans l’exercice de leur activité ! Pourquoi ont-ils attendu Ajaccio pour exprimer leur indignation et leur détermination ? Pourquoi ont-ils fait le choix du communautarisme en abandonnant aux racailles des quartiers entiers ? Et surtout pourquoi contribuent-ils encore, par une politique bien réfléchie, à aggraver la situation en laissant entrer dans l’Union européenne, en une année, plus d’un million de clandestins dont la culture de naissance diffère totalement de celle de notre continent ?

    Ce choix est un crime contre nos sociétés occidentales et un jour il faudra que ces personnes assument pleinement leurs décisions d’aujourd’hui. Ce n’est pas tout d’assister à des commémorations avec les mains chargées de fleurs et de bougies, il faut aussi savoir être responsable ! Lorsque l’on prend des décisions, comme ce fut le cas pour la Libye, la Syrie, l’accueil des clandestins, et que l’on se trompe aussi lourdement, il faut avoir un minimum de décence en évitant de continuer à jouer les vierges effarouchées.
    Nos bonimenteurs ne sont plus crédibles et ils méritent à présent de rendre des comptes tellement les conséquences de leurs choix se révèlent être catastrophiques. Il suffit de regarder ce début d’année (des militaires obligés d’ouvrir le feu à Valence pour stopper une attaque d’un islamiste, un commissariat attaqué en Ile-de-France par un djihadiste et un juif agressé à Marseille à coups de machette par un fou d’Allah) pour se convaincre que le besoin de changement est plus qu’urgent !

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/197005/ajaccio-cologne-marseille-dirigeants-irresponsables/#more-197005

  • Le Gard, étrange laboratoire de la lutte anti-FN

    Laminé lors des élections régionales de décembre, le Parti socialiste a décidé de lutter, non pas contre le chômage et l’insécurité, mais contre le Front national. Il a ainsi confié à sa fédération départementale du Gard la mission d’expérimenter de nouvelles idées pour combattre le parti de Marine Le Pen. Amusant quand on sait que cette fédération gardoise est l’une des plus pourries de France…

    L’info a été révélée le 23 décembre sur le site du journal numérique « Objectif Gard » : « Il y a un mois, la fédération PS du Gard a candidaté auprès de sa direction nationale afin de participer à l’expérimentation de nouvelles mesures pour lutter contre le Front National. » La candidature a été retenue : « Hier, en conseil fédéral, le patron des socialistes gardois, Jean Denat, a annoncé que la fédération gardoise avait finalement été choisie par Solferino. Début février, plusieurs chargés de missions descendront à Nîmes pour exposer les axes de travail et fixer le calendrier. »
    On apprend ainsi qu’après la bérézina des élections régionales, le département du Gard sera le laboratoire de cette nouvelle guerre électorale. Ce choix est tout sauf un hasard. Jean Denat, le premier secrétaire de la fédération socialiste du Gard, a sans le moindre doute bénéficié de l’appui d’un ami inconditionnel, presque un frère, le premier ministre, Manuel Valls. Les deux hommes se sont connus au début des années 1990 quand ils gravitaient dans l’entourage du premier ministre Michel Rocard. Depuis, ils sont cul et chemise. C’est Manuel Valls en personne qui a décoré Jean Denat des insignes de chevalier de la Légion d’honneur lors d’une cérémonie à la préfecture du Gard où le futur premier ministre a rappelé que Denat lui avait été « un directeur de campagne précieux lors des primaires citoyennes de 2011 »…

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  • Quand la République trahit les ouvriers...

    La mondialisation est brutale, sans beaucoup d'égards ni pour la planète ni pour les masses laborieuses, celles qui sont sa main-d’œuvre préférée car taillable et corvéable à merci. C'est vrai dans les pays dits du Sud, c'est aussi vrai dans nos vieux pays industrialisés qui vivent désormais une tragique désindustrialisation dans les victimes sont les territoires désertés par les entreprises désormais délocalisées et les ouvriers, à qui l'on a demandé parfois tant d'efforts de productivité pour mieux les licencier ensuite, « au nom de la compétitivité », ce dernier mot étant l'un des pires assassins du Travail français, de ses hommes comme de ses qualités et savoir-faire.

    La mondialisation est « la guerre de tous contre tous », au moins sur le plan économique, mais les perdants de cette guerre sont d'abord les travailleurs quand les gagnants sont les multinationales et leurs actionnaires plus encore que les consommateurs...

    En France, les ouvriers qui ont tenté de résister au rouleau compresseur de la mondialisation et de sa violence sociale, ont été, le plus souvent, écrasés, jetés à la rue malgré quelques promesses de reclassement, ou priés d'accepter des conditions de travail de moins en moins favorables pour, disait-on, « maintenir l'activité » : le chantage à la délocalisation et au chômage est devenu une stratégie patronale, puis une habitude. Un véritable scandale social !

    Mais le monde ouvrier n'a plus guère d'alliés en France dans cette guerre asymétrique, et la République qui, dans les programmes scolaires d'histoire se donne le beau rôle de la défense ouvrière et des avancées sociales (et pourtant !), a repris ses vieux réflexes « bourgeois », ceux de 1791, de juin 1848 et des premières décennies de la IIIème, quand les gouvernements républicains faisaient tirer sur les mineurs et emprisonner les syndicalistes : l'affaire des neuf mois de prison infligés par le tribunal correctionnel d'Amiens à d'anciens salariés de l'usine Goodyear de la ville en est une preuve supplémentaire, qui fait suite à l'incroyable répression (pas forcément légitime, même si elle peut apparaître légale) de récents mouvements de colère ouvrière et qui peut laisser croire que la violence des puissances d'argent, celle des licenciements boursiers, est toujours « gagnante » et, même, acceptable dans le cadre d'une mondialisation qui aurait toujours raison... Triste logique, que le royaliste social que je suis, ne peut accepter !

    Les multinationales se croient tout permis et les Etats semblent bien incapables, faute de volonté et de moyens de persuasion assumés, de ramener les grandes féodalités financières et économiques à la mesure et à l'équité sociale. En veut-on un exemple d'aujourd'hui même ? Les licenciements qui viennent d'être annoncés pour Alstom, à peine deux mois après l'acquisition de cette entreprise française par General Electric et malgré les promesses de cette dernière, avant la transaction, de ne supprimer aucun emploi et, même, ô hypocrisie suprême, d'en créer de nouveaux, sont un véritable pied de nez à la fois au gouvernementqui a fait semblant de croire aux fables de General Electric et aux salariés qui n'auront bientôt que leurs larmes et leurs poings serrés à présenter aux caméras, après tant d'autres... Et l'on voudrait qu'il n'y ait pas de colère, pas de désespoir chez ceux qui sont condamnés à perdre leur emploi alors que les décideurs de ces licenciements, eux, vont, pour certains, empocher des millions d'euros ! Mais de qui se moque-t-on ?

    Pour en revenir aux peines de prison réservées auxouvriers de Goodyear abandonnés par la République de M. Hollande, elles me semblent d'autant plus scandaleuses que ceux-là même qui auraient été les plus légitimes à demander de telles sanctions avaient retiré leurs plaintes, et que c'est donc le parquet, qui dépend de Madame Taubira, garde des sceaux, qui a poursuivi les ouvriers qui avaient « retenu » (plutôt que séquestré, terme qui ne correspond pas exactement la réalité) deux cadres de la direction de l'entreprise, celle-là même qui annonçait la fermeture de l'usine d'Amiens-nord et le licenciement du personnel, raisons du coup de sang des travailleurs... Ainsi, c'est bien la République qui cherche, par ce jugement, à dissuader toute nouvelle colère ouvrière et à soumettre, définitivement, le monde des travailleurs français à ce nouvel ordre maudit, celui d'une mondialisation qui raisonne en termes d'argent et non en termes de personnes. Pourtant, comme l'affirmait Jean Bodin, « il n'est de richesse que d'hommes », et l'oublier serait faire le malheur des générations présentes et à venir...

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Un entretien de Franck Abed avec Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

    J’ai interrogé Roland HELIE qui est directeur de la revue et du site quotidien d’information Synthèse nationale ainsi que des Cahiers d’Histoire du nationalisme. Militant historique de la droite nationale, il continue le combat en voulant unir toutes les bonnes volontés. Notre entretien porte principalement sur les récents événements qui ont secoué notre pays. Sans langue de bois il nous délivre ses analyses qui permettent d’alimenter la réflexion intellectuelle. Tous ne partageront pas ses idées, mais à l’heure où tout le monde invoque la liberté d’expression pour tout et n’importe quoi, je donne la parole à un acteur politique de terrain… qui ne se cache pas derrière le spectre du politiquement correct.

    Franck ABED

    Franck ABED : Bonjour. Quelles sont vos analyses suite aux attentats du 13 novembre 2015 ? Ces attaques pouvaient-elles être évitées ? Qui sont les responsables ?

    Roland Hélie : Lorsque, depuis des décennies, on laisse venir sur notre sol des millions de gens qui n’ont pas forcément la même culture et les mêmes traditions que nous, il faut s’attendre à ce que ces gens finissent par s’implanter puis imposer leur façon de penser et de vivre. Ainsi, à partir du moment où les musulmans deviennent majoritaires dans certains quartiers, voir certaines régions, ils se considèrent en terre d’islam. Les responsables de cette situation, ce sont ceux qui, pour des raisons politiques ou économiques, ont fait venir ces masses d’Afrique, du Proche-Orient ou d’ailleurs. Il y a eu dans les années 60 et 70 une convergence d’intérêts entre, d’une part, un patronat avide de profits immédiats qui pensait naïvement qu’avec les immigrés il avait trouvé une main d’oeuvre docile, imperméable aux marxisme et facile à exploiter afin de faire baisser les salaires et, d’autre part, des syndicats et partis de gauche qui voyaient en eux un nouveau prolétariat de substitution susceptible de regonfler leurs forces le moment venu. Ajoutez à cela la volonté des adeptes du métissage généralisé, la bêtise crasse d’un Giscard ou d’un Chirac qui instaurèrent en 1976 le regroupement familial et l’angélisme des églises progressistes et on arrive à la situation d’aujourd’hui. L’immigration devait forcément engendrer l’islamisation et n’oublions pas que l’islam à la volonté de régir le monde.

    Le Premier Ministre, dans les jours qui suivirent, a même évoqué des attaques chimiques. Réalité ou fiction ?

    Je ne suis pas assez informé pour avoir un avis là dessus. Quoiqu’il en soit, la réalité c’est qu’il y a suffisamment d’armes de guerre qui circulent dans les zones de non droit pour que les terroristes musulmans trouvent les moyens de tuer. Certains beaux esprits nous racontent à longueur de journées qu’il faut faire la part des choses entre « islam modéré » et « islamisme radical ». Généralement, ces donneurs de leçons patentés n’ont jamais lu le Coran. Celui-ci est pourtant clair et précis. Il ne laisse guère de place à des « interprétations » diverses et variées. La différence, si différence il y a, est dans la manière d’arriver au but. Certains pensent que c’est par les armes, d’autres par la procréation massive. En fin de compte le résultat sera le même : le triomphe de l’Islam.

    Quel est votre sentiment suite aux réactions du Président de la République et du Premier Ministre ? Considérez-vous leurs attitudes comme dignes de leurs fonctions ?

    Se sont les arroseurs arrosés. Par idéologie ou par vision à court terme, la classe politique soumise au mondialisme a contribué dans son ensemble au grand remplacement de population. Les musulmans, eux, ont une véritable volonté de conquête alors que les « élites » françaises, formatées par la « pensée unique » et le « politiquement correct », se vautrent dans leur confort intellectuel et leurs certitudes de bisounours.

    Les gesticulations dérisoires et les prétentions guerrières des Hollande, Valls et consort seraient plus risibles qu’autre chose si la situation n’était pas aussi grave. A côté de la détermination d’un Poutine, ces tristes sires font, reconnaissons-le, plutôt pâles figures.

    Que pensez-vous de Philippe de Villiers ? Mouvement de fond ou ballon de baudruche médiatique ?

    Philippe de Villiers vient de publier un livre très intéressant, « Il est temps que je dise ce que j’ai vu » (éditions Albin Michel), qui remporte un énorme succès. Cela prouve que de plus en plus de nos compatriotes cherchent à entendre un message autre que celui véhiculé par les politicards de gauche ou de « droite » qui encombrent depuis trop longtemps l’avant-scène médiatique. Cela étant dit, les turpitudes de la classe politique que Villiers évoque dans son livre sont depuis des années dénoncées dans la presse nationale, que ce soit dans Rivarol,dans Minute ou dans Présent pour ne citer que ces titres.

    Pour répondre à votre question, il est évident que l’on assiste depuis quelques années à une radicalisation d’une partie de plus en plus importante de notre peuple. Ce dont personnellement je me félicite. Maintenant qui en profitera ? L’avenir le dira.

    Avez-vous lu ces trois romans historiques ? Qu’en avez-vous conclu ?

    Vous savez, je ne suis pas ce que l’on peut appeler un inconditionnel de Philippe de Villiers. Néanmoins, reconnaissons son géni en matière de communication. Que ce soit par ses livres ou par le magnifique Parc du Puy du Fou, il a réussi à redonner à l’Histoire de France une place que certains aimeraient voir disparaître. Nous ne pouvons que lui en être reconnaissant. Un peuple qui connait son Histoire est un peuple qui sait où il va.

    Pensez-vous que la France se relèvera ou connaitra-t-elle le même sort que tant d’empires et de royaumes disparus ?

    Tant que l’on est pas mort, par définition, on est toujours vivant. Tout dépendra de la capacité de notre peuple à se réveiller. Nous, nationalistes, nous sommes conscients des réalités. Mais beaucoup préfèrent fermer les yeux en se disant « Pourvu que ça dure… » en sachant pertinemment bien que cela ne peut plus durer. A ces gens là de franchir le pas.

    Comment expliquez-vous que les « nationaux » au sens large du terme aient du mal à faire entendre leurs voix dans une période où presque tout leur donne raison ?

    On a toujours raison à un moment ou à un autre, mais le mieux, c’est d’avoir raison au bon moment.

    La classe politique, elle, s’est toujours trompée. Que ce soit hier face au communisme ou maintenant face à l’islamisme. En pensant qu’il était « bien » de soutenir les pseudos printemps arabes, elle a contribué à semer le désordre dans des pays qui ne sont pas adaptés aux « systèmes démocratique » que, paradoxalement, on a voulu leur imposer. On voit les résultats, partout c’est le chaos, la guerre et les flux migratoires qui s’amplifient. Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir sonné le tocsin. Depuis près de cinquante ans les nationalistes dénoncent sans relâche l’immigration et la menace qu’elle fait régner sur notre civilisation. Précisons que je dis cela sans aucun mépris pour quiconque, chacun ayant droit d’avoir son histoire, ses coutumes et ses croyances. Mais à condition que ce soit chacun chez soi.

    En étudiant l’histoire, nous nous rendons compte que de nombreux pays et/ou systèmes politiques se montrèrent incapables de se réformer politiquement et/ou économiquement parlant, ce qui conduisit soit à un écroulement, soit à une révolution. La République en France se montre incapable depuis de nombreuses décennies (au moins trois) de relever les grands défis de notre temps. Entre la crise économique, la crise politique, les fortes absentions aux élections depuis de nombreuses années, le ras bol du pays réel face au pays légal, les attentats musulmans sur le sol national, la crise migratoire etc, pensez-vous que la France soit dans un climat prérévolutionnaire ou révolutionnaire ?

    Je crois que le fond du problème auquel se heurte le Système est que les peuples sont en train de prendre conscience qu’ils ne sont plus maîtres de leurs destins. Aujourd’hui le conseil d’administration d’une banque mondiale comme la Goldman Sachs à plus d’influence sur l’avenir de chaque Français que le gouvernement de notre propre pays. Il en va de même partout ailleurs. Ce sont ces banques apatrides qui décident si demain il y aura deux millions de chômeurs en plus dans tel ou tel pays ou une crise dans tel autre.

    Prenez l’exemple du référendum de 2005 sur le projet de Constitution européenne. Les Français ont voté massivement (55%) contre ce projet et les gouvernements qui se sont succédés depuis ont totalement méprisés la volonté populaire et ont utilisé je ne sais plus quel artifice pour imposer celle de ceux qui veulent absolument imposer la mondialisation. Les Français finissent par se rendre compte qu’ils se sont fait avoir. Pour le moment ils expriment encore leur colère par le vote mais cette colère s’amplifie d’année en année. Un jour viendra où elle finira par éclater. Autre exemple : si en décembre 2014 quelqu’un avait dit qu’en 2015 on assisterait à l’exécution de la rédaction d’un journal satyrique pour bobos, à la décapitation d’un chef d’entreprise dans l’Isère par un de ses employés musulman et à la sanguinaire soirée du 13 novembre, vous vous seriez dit « voilà un oiseau de mauvais augure ou un mythomane qui prend ses désirs pour des réalités… » Et pourtant, c’est bel et bien ce qui s’est passé en 2015.

    A nous d’éclairer les Français sur les vrais responsables de leurs malheurs et de les aiguiller vers une autre voie, celle de la révolution nationaliste, sociale et identitaire.

    Propos recueillis par Franck ABED le 15 janvier 2006

    Les entretiens de Franck Abed cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les primaires à droite auront lieu les 20 et 27 novembre 2016

    Alors que certains partisans auraient préféré avancer le scrutin, les dates de la primaire à droite pour 2017 sont désormais arrêtées. Thierry Solère, député Les Républicains et président du comité d'organisation de la primaire a précisé sur France Info ce vendredi matin que cette consultation serait ouverte à «tous ceux qui partagent les valeurs de la droite et du centre.»
    Et d'ajouter: «C’est moderne, ça fera une assiette très large. Ca donnera à celui ou celle qui gagnera cette primaire le 20 novembre et le 27 novembre prochains une légitimité formidable pour se présenter à la présidentielle.»
    « Aujourd’hui toutes les règles sont bien fixées», a-t-il assuré, rappelant qu’il y aura 10 337 bureaux de vote. «Cette primaire est bien organisée et sera incontestable le moment venu dans ses résultats.»
    Des bureaux dans toutes les circonscriptions

    Il y a quelques jours, Thierry Solère avait fixé le cadre de ces primaires. «L'idée est que les Français puissent aisément venir voter à la primaire sans faire la queue pendant une heure et demi dans les villes, ni faire une heure et demi de route dans les campagnes», avait-il expliqué. Toutes les circonscriptions seront dotées de bureaux en fonction des résultats électoraux de la droite et du centre. La droite espère entre deux et trois millions de votants.
    Parmi les candidats déclarés à cette primaire figurent déjà les anciens Premiers ministre Alain Juppé et François Fillon, mais aussi les anciens ministres Hervé Mariton et Nadine Morano. Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire, Nathalie Kosciusko-Morizet pourraient aussi se porter candidats en 2016.
    Dans un récent sondage Ifop, Alain Juppé est donné en tête des intentions de vote pour ce scrutin avec 38% des voix contre 29% pour Nicolas Sarkozy.

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuVkAkVVFlndPEzLuY.shtml

  • Quand la France s'éveillera...

    Le président Hollande parle de guerre pour se donner de l’importance (en tant que chef de guerre). Mais lui, né en 1954 ne sait pas ce qu’est une guerre. Il n’en a jamais vu. Il n’empêche. Au-delà des remontages hollandesques, il est clair que la guerre est déclarée… par ceux qui nous la font ! Comment faire France ?

    Pas besoin d'être deux pour faire la guerre. Au jour d'aujourd'hui, l'État islamique a déclaré la guerre à la France. Ce qui le montre ? Son caractère mondial. Le fait qu'avant Paris et Saint-Denis, il y a eu Beyrouth (où c'est le Hezbollah chiite qui était visé) et qu'après Paris et Saint-Denis, il y a Bamako, capitale du Mali, ce pays où la France intervient depuis 2012, à travers l'opération Serval qui s'est muée en s'étendant plus largement en Opération Barkhane. Ce sont les Français qui ont empêché que le Mali ne devienne un terrain vague pour islamistes en quête de sang, avec les conséquences migratoires que l'on peut facilement imaginer. Le groupe qui est intervenu au Mali al Morabitoune est plus proche d'Al Qaïda que de Daech, mais les deux organisations radicales ont le même combat, et il est clair que, dans ce dernier attentat à Bamako, la France était visée aussi bien

    qu'à Paris. Il semble que notre pays (qui reçoit la plus grande communauté musulmane d'Europe) soit la cible désignée des islamistes. Le 18 novembre, c'est Daech qui postait ce texte sur Internet. Le style est inimitable, on ne peut pas s'y tromper : « Et pour vous, adorateurs de la Croix, dirigés par la France byzantine / romaine, nous vous parlons d'une voix assoiffée de sang et vous promettons de nouvelles actions de ce type et des jours noirs... Aussi attendez-vous au pire, qui va vous atteindre ». Il ajoute encore : « Nous vous promettons de nouvelles journées comme le 11 septembre, comme l'attaque à Manhattan et comme le jour sanglant de Paris ». Il n'est pas impossible que cette fois les catholiques soient expressément visés. Et puis, s'adressant aux combattants de l'EI, dans un style coranique, très « sourate 9 revisitée » : « N'épargnez aucun effort pour combattre les ennemis d'Allah par tous les moyens et méthodes, détonations, poignards, assassinats et atteintes à leurs intérêts partout dans le monde ». Il souligne aussi que les attentats de Paris étaient une réponse à l'intervention française en Syrie, en Irak, au Mali et en Afghanistan, et avant tout dans les pays d'Afrique du Nord.

    Les djihadistes ont aujourd'hui un sens géopolitique beaucoup plus aiguisé que les gouvernements occidentaux. Ils déplacent leurs pions sur l'échiquier international avec une facilité déconcertante, de Bamako à Beyrouth et de Beyrouth à Paris ou à Saint-Denis. Le monde est à eux, je veux dire le nouveau monde sans frontières que l'Union européenne nous a mitonné. Il est clair que nous sommes partis pour une longue patience et ce ne sont pas les mesures administratives mal ficelées du Président candidat Hollande qui suffiront à « faire France ». Le personnel politique dans son ensemble montre son indigence. Pas un qui ait une parole à la hauteur de la situation. Je dis pas un, parce que le seul qui se soit fait entendre, Philippe de Villiers, a officiellement jeté l'éponge et s'est mis en retrait de la politique à défaut d'avoir vraiment pris sa retraite. Dans le Figarovox, le Vendéen du Puy-du-Fou a eu ce mot : « La barbarie nous fera redécouvrir notre civilisation ».

    Ce que la France attend c'est cela, une espérance. Pas un discours sur l'état d'urgence, dans un pays où l'on a licencié tous les policiers. Pas une martiale résolution de fermer les frontières suivie d'un rétropédalage immédiat en mode « contrôles plus fréquents », parce que la vérité, c'est que ces frontières, actuellement, nous n'avons pas assez de douaniers, pas assez de postes de douanes pour les fermer. Non ce que nous attendons, c'est un discours sur la France et sur la France chrétienne. On sait qu'à droite de la droite, la bouilloire frémit : bientôt un nouveau parti politique qui soit vraiment le Parti du cœur de la France et pas un Parti de l'énarchie, cultivant uniquement une administration qui, dans une France globalement en baisse se veut seule toujours plus performante. Nous n'avons pas besoin de mesures techniques, notre arsenal juridique est suffisamment fourni. Ce qui nous manque : prendre aujourd'hui la mesure de la France dans le monde. Apparemment les djihadistes l'ont fait. Les Français ? La barbarie des meurtres gratuits va finir par les réveiller !

    Alain Hasso monde&vie 23 novembre 2015

  • Moi pas vouloir visages pâles à France Télévisions

    Delphine Ernotte a déclaré la guerre à l’homme blanc.
    Parée d’un chapeau à plumes, la chef de la tribu France Télévisions, Delphine Ernotte, a déclaré la guerre à l’homme blanc. Plus de visages pâles de plus de 50 ans (à l’antenne). La déclaration est rapportée par Julien Lepers au micro de RMC. Blanche et âgée de 49 ans, l’apprentie cheyenne auteur de cette sortie fracassante devrait, selon toute vraisemblance, s’autolicencier d’ici quelques mois.
    À moins qu’elle ne s’envisage en esclavagiste fouettant ses animateurs noirs et métis dans le but d’obtenir encore et toujours plus d’audience. Dans la soute de la galère France 2, France 3, et cetera, la vie ne sera pas rose. Il va falloir ramer sec pour satisfaire la dame blanche de tout en haut. Une femme racialement intraitable. Soucieuse de disparaître le plus rapidement possible. Qu’il n’y ait plus, à la télévision, aucune personne à la peau claire. Elle-même ne se supporte plus. Dans sa salle de bains, les miroirs ont été recouverts par des posters d’Aretha Franklin et de Rokhaya Diallo. Ainsi, lorsqu’elle se maquille, l’illusion de ne plus avoir le visage pâle est totale.

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  • Ce que civilisation veut dire

    Priez pour Paris ! Ce fameux hashtag crée une polémique chez nos confrères de Libération. Les Français n’ont toujours pas compris dans qu’elle guerre ils sont : non pas d’abord une guerre avec des blindés et des avions, mais une guerre de civilisation.

    Nos énarques sont en pleine panade, leurs méthodes se trouvent manifestement dépassées par ce qui arrive. Suivant le conseil du Comte de Saint Simon, ils avaient voulu substituer au gouvernement des hommes l'administration des choses.Tout le monde avait l'impression rassurante que ce pays se gouvernait avec des mesures techniques et des circulaires administratives. Et voilà qu'une situation inédite se manifeste : parmi la population musulmane que nos fonctionnaires avaient ordre de faire rentrer dans notre pays sans même avoir le droit de les compter, une partie, une petite partie, quelque chose comme 10 % des entrants adhèrent à une version littérale de l'islam, celle qui ordonne, selon la lettre du Coran, de « tuer les infidèles jusqu'à ce qu ils aient payé tribut ». Le fait est sans précédent dans l'histoire de la République. Les migrants d'hier et d'aujourd'hui, cela fait des millions de musulmans en France... 10 %, quand cela porte sur des millions, c'est énorme. Quant au profil du musulman dit radicalisé, il provoque aussi quelques surprises : on nous le décrit régulièrement comme poli, gentil, toujours prêt à rendre service. Et puis il a fait un voyage en Syrie, un aller-retour bien sûr, et là il s'est radicalisé. Il passe à l'attaque, ce n'est plus le même homme.

    S'agit-il d'une guerre classique ? Non, n'en déplaise à M. Hollande, qui depuis qu'il a mené la guerre au Mali se prend pour un stratège. Il ne suffira pas d'envoyer des avions rafales en Syrie, ni même notre unique porte avion pour gagner cette guerre, c'est trop tard. Maintenant la guerre a lieu à Saint-Denis. Comme l'explique une coiffeuse de la ville dont la boutique comporte une pièce spéciale pour les femmes voilées : « Ici on n'est pas à Oran. Les gens vont jusqu'au bout de leur foi ».

    Que peut-on faire contre cette foi musulmane d'un peuple, plus forte en France terre de conquête qu'au Maroc, à Oran, terre d'islam ? Déclarer qu'elle n'est pas dangereuse et que la France est accueillante, voilà la politique menée indistinctement par l'UMP (en ce temps-là) et par le PS (aujourd'hui). Mais y a-t-il une autre politique possible ? Le problème désormais échappe aux politiques issus de l’énarchie. On ne réglera pas la question avec des techniques de gouvernements ou de gestion des hommes. Le drame est spirituel. C'est l'Église qui doit prendre position. Surprise : alors que d'habitude, la Conférence épiscopale prend la parole sur tout, cette fois, depuis le sinistre vendredi 13, on n'a pas entendu nos évêques.

    Pas un communiqué commun. La réalité, si longtemps évitée à coup de langue de buis, ne peut plus être niée. Le réel a eu lieu, plus personne ne peut prétendre le contraire : nous sommes dans une guerre de civilisation que nous n'avons pas déclarée, mais qui nous est faite en silence depuis des années et désormais dans la pétarade des kalachnikovs et dans les explosions des hommes-bombes. On pourra désamorcer telle ou telle action, en laissant des blessés de chez nous sur le terrain, comme à Saint-Denis, et bientôt sans doute des morts. Cela ne changera rien à la configuration générale et à la guerre qui a lieu. Dans cette guerre, nos évêques ne s'en rendent pas compte;, ils sont en première ligne. En effet, le seul moyen, je ne dis pas de convertir les musulmans comme un seul homme mais de leur faire oublier cette pente à la radicalisation qu'ils montrent si souvent, c'est, pour la France, de revenir à ses racines chrétiennes, pour les chrétiens, pratiquants ou non, de reprendre conscience de l'importance de leur foi dans la guerre de civilisation qui est la nôtre, pour l'ensemble du corps social de retrouver ses valeurs.

    Les valeurs françaises ne sont pas laïques ; c'est lorsque l’on parle avec des "laïcs" convaincus que l'on s'en aperçoit : les valeurs des laïcs sont des valeurs chrétiennes, respect du prochain, de la création etc. Mais c 'est le laïcisme français, qui, lui, est historiquement antichrétien et qui continue imperturbablement dans ce registre. Comme le montre la récente histoire des crèches, qui, à en croire l'AMF, devraient désormais être proscrites systématiquement de tout bâtiment public, le laïcisme militant fait désormais le jeu de l'islam. En contribuant à faire disparaître les crèches, ces images de Noël dans notre société, le laïcisme favorise le véritable grand remplacement, le grand remplacement culturel : l’Aïd pourra prendre la place du 25 décembre. Les fêtes de rupture de jeune, après le mois de Ramadan, remplaceront le Premier de l'an (qui, par parenthèse, marque que je sache le calendrier chrétien).

    Dans le combat culturel avec l'islam fondamentaliste, les chrétiens ont une véritable avance intellectuelle. Mais ils sont ralentis par deux inventions de Vatican II : la repentance (au début de Gaudium et spes) et le dialogue interreligieux (qui mène au refus d'évangéliser). Il faut des autorités spirituelles dignes de ce nom, pour mener aujourd'hui un combat qui a dépassé les politiques et qui devient un combat spirituel, mental, civilisationnel.

    Abbé G. de Tanoûarn monde&vie 23 novembre 2015

  • Independenza webtv s'entretient avec Adrien Abauzit : "L'anti-France est au pouvoir"

     

    http://www.scriptoblog.com/index.php/notes-de-lecture/geopolitique/1836-independenza-webtv-s-entretient-avec-adrien-abauzit-l-anti-france-est-au-pouvoir