On peut dire que, dans cette énième affaire de meurtre gratuit, on n’avait rien vu venir. Le touriste allemand qui se promenait, en ce soir de décembre, en compagnie de sa femme, sur le pont de Bir-Hakeim, n’a rien vu venir non plus, d’ailleurs. À quoi pensait, d’ailleurs, cea pauvre jeune homme de 23 ans, au moment où ce terroriste l’a froidement poignardé, en criant « Allahou akbar » ? On se perd en conjectures. « C’est pas le boug, il a fait une dinguerie », diront les jeunes Français, sur les réseaux sociaux, dans les jours qui viendront. Une affaire tristement banale, comme il en arrive tous les jours en France. Tous les jours ou presque.
France et politique française - Page 336
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Le tueur du pont de Bir-Hakeim : on n’avait rien vu venir…
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Racisme anti-blanc : Selon Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, « pendant les émeutes de juin, aucun des commerces communautaires (de la Monnaie) n’a été touché » (MàJ : La cité représente 12% de la population mais 45% du budget éducatif, “Pe
03/12/2023
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Pourriez-vous chiffrer les investissements faits en parallèle pour les 88 % de vos habitants qui ne résident pas à la Monnaie ?
Je ne pourrais pas vous le dire parce que la loi et ces subventions ne concernent en l’occurrence que les quartiers prioritaires de la ville. Mais je pourrais isoler un exemple, qui ressort de ma compétence, pour vous donner une idée : tout ce qui relève de l’école dans le cadre du réseau d’éducation prioritaire dans le quartier de la Monnaie. Cela représente 12 % de ma population et 45 % de mon budget global consacré à l’éducation.
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Plaquette – Ecole Thomas More
Une école de l’Institut Thomas More
L’école est fondée sous l’égide de l’Institut Thomas More, laboratoire d’idées libre et indépendant, qui a près de vingt ans d’existence. Convaincus de la nécessité de libérer le débat en formant les générations de demain et en favorisant leur engagement dans tous les champs de la vie civique (institutionnel mais aussi local, associatif, etc.), ses animateurs aident à créer l’École Thomas More pour favoriser la transmission et le rayonnement des idées et des valeurs qui sont au cœur de son action. -
Crépol, vers un spectaculaire basculement idéologique ?
C’est un constat que je fais dans la vie quotidienne. A la suite du drame de Crépol, et de tant d’autres, une partie de l’opinion dite « de gauche » ou centre-gauche, la gauche culturelle, est en train de basculer. Tout un pan de la tradition de gauche anciennement électrice de la SFIO, ou du parti radical socialiste, de PMF et de Mitterrand, n’est pas forcément en cours de passer « à droite » ou encore moins extrême droite, mais, au-delà, de vouloir rejoindre le camp des défenseurs de l’ordre démocratique par opposition avec la radicalisation de la Nupes. Le phénomène est sans doute assez massif – et très impressionnant. Il rejoint les grands ébranlements idéologiques qui secouent la France en ce moment. La lettre ci-jointe, trouvée sur le site de la « médiatrice de Radio France », en témoigne. Fascinant.
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Le réveil de la colère française, ultime espoir d’une renaissance
Qui, pour réparer la France brisée ? Certainement pas ceux qui, le 12 novembre, ouvraient la marche parisienne « Pour la République, contre l’antisémitisme ». Pour identifier les responsables du chaos français, il suffit de regarder la photo de la tête du cortège : ces visages connus, massés derrière la banderole, viennent de la gauche et de la droite. Ils affichent la même mine inquiète. Ils chanteront à plusieurs reprises La Marseillaise en s’applaudissant, comme ces enfants qui se rassurent dans le noir en faisant du bruit. Mais comment ne pas voir une palanquée d’incendiaires chez ces pompiers qui sonnent l’alarme ? Les « élites » protestent contre la haine anti-juive.
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Nous avons besoin de votre aide : comme chaque année, participez à la souscription patriotique de Synthèse nationale...
Roland Hélie,
directeur de Synthèse nationale
Quelle année compliquée que celle que nous venons de passer… Après les « tracasseries » dues aux contraintes sanitaires qui nous avaient amenés à renoncer, en 2020 et 2021, à la tenue de nos Rendez-vous Bleu Blanc Rouge annuels, nous pensions, que tout cela était derrière nous. C’était sous-estimer la capacité de nuisance du pouvoir macronien et de son ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui, jusqu’à ces dernières semaines, s’évertuaient à vouloir éradiquer les forces nationales et identitaires.
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[L’invité] Loi Immigration : « les macronistes sont d’une incroyable duplicité »
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Informer ou enfumer ?
Crépol : encore une preuve que notre système d'information médiatique est médiocre, sans doute manipulé. La tradition anglo-saxonne du "speak with data" n'a pas encore franchi l'Atlantique.
Les technologies électroniques de communication créent aujourd’hui une saturation du récepteur que nous sommes.
Il faut une forte volonté pour échapper au flux informationnel. Si nous pouvons couper radios et télés, nos proches et amis ne peuvent s’empêcher de nous faire part des dernières nouvelles afin de partager et diluer leurs angoisses.
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Un imprimeur de Valence refuse d’imprimer une affiche de l’Action française sur l’affaire de l’assassinat de Thomas
Guillaume de Salvandy s’exprime à ce propos sur le média radiophonique: Tocsin (20 premières minutes)
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Parole de maire
Qui mieux qu’un élu pour nous décrire la réalité d’un quotidien vécu par nos concitoyens, non plus dans les grandes villes de France et de Navarre mais désormais dans nos villages et nos bourgs ? L’assassinat d’un jeune garçon de 16 ans, sans histoire, par une bande de racailles tous issus de familles immigrés a amené la maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, à prendre la parole et répondre aux questions du Journal du dimanche. Sûr qu’on n’aurait pas pu entendre sa voix dans Libération ou Le Monde et autres zozos sévissant sur les ondes officielles comme France Inter.