
Le tribunal administratif de Toulon avait été saisi par la Ligue des droits de l’homme et l’Association de défense des libertés constitutionnelles. Dans sa décision, que Le Figaro a pu consulter, le tribunal estime que «les critères retenus par le préfet, de par leur généralité et leur imprécision, notamment quant aux antécédents judiciaires pris en compte, ne sont pas suffisamment adaptés pour prévenir les troubles.»