
Selon les informations d’Europe 1, un détenu est parvenu à s’évader lors d’une sortie dans une piscine d’Aix-en-Provence. L’individu est connu pour détention et transport de produits stupéfiants. Une enquête a été ouverte.
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Selon les informations d’Europe 1, un détenu est parvenu à s’évader lors d’une sortie dans une piscine d’Aix-en-Provence. L’individu est connu pour détention et transport de produits stupéfiants. Une enquête a été ouverte.
Ces dernières semaines on a vu les militants de la FNSEA manifester ici et là : barrages routiers, « visites » aux grandes surfaces, défilés avec les tracteurs… Pourtant, il y a un endroit où ils ont « oublié » de se rendre : le siège du groupe agroalimentaire Avril situé à Bruz (près de Rennes). Ce sont donc les militants de la Confédération paysanne qui se sont dévoués le 9 février ; manifestation symbolique devant le bâtiment : « Avril, c’est le l’exemple type de ce qu’on ne veut pas », disent-ils (Ouest-France, Ille-et-Vilaine, 10-11 février 2024) Rebelote le 22 février, cette fois ce sont les militants de Greenpeace qui s’introduisent sur le site et dérobent l’enseigne avec une perceuse et repartent avec. A la place, ils déroulent une banderole : « Avril se gave, agriculteurs exploités » (Ouest-France, Ille-et-Vilaine, vendredi 23 février 2024).
Les perquisitions sont menées dans le cadre d’une enquête ouverte pour prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics concernant le voyage d’Anne Hidalgo à Tahiti à l’automne dernier.
Ces perquisitions ont été menées “dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte en novembre 2023 des chefs de prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics” concernant le très décrié voyage de la maire Anne Hidalgo à Tahiti.
Discours de Nicolas Tardy-Joubert, président de la Marche pour la vie, hier à Versailles :
Notre banderole de tête de cortège de la MPLV indiquait en janvier à Paris,
IVG : oui à la prévention, non à la constitutionnalisation.
Car il faut réduire le drame de l’avortement, pas augmenter la peine et la sentence pour les enfants à naître. Il n’y pas hélas dans notre pays de volonté d’aller dans ce sens, d’accompagner les femmes enceintes avec des politiques adaptées. Au contraire il faut en faire toujours plus pour faciliter l’accès à l’avortement.
Il semble bien loin, le temps où Daniel Cohn-Bendit était désigné, à la fois par le PCF et par le pouvoir gaulliste, comme une sorte de diable incarné. Souvenons-nous que le stalinien Marchais ne trouvait en 1968 pas de mots assez durs pour le caractériser en "anarchiste juif allemand". Le 3 mars, sur les ondes de LCI, le ci-devant "Dany le Rouge" intervenait très bourgeoisement pour commenter dans le sens du régime la campagne en vue des élections européennes de juin. Cette séquence, en effet, a bel et bien commencé, dans les 27 pays de l'Union.
L’élément déclencheur, c’est l’incident de mercredi 28 février au lycée Ravel : un proviseur menacé de mort après avoir rappelé à des élèves l’obligation de retirer leur voile. Selon ces proviseurs et principaux, les altercations de ce type sont loin d’être exceptionnelles.
Cette spécialiste des questions de développement et de famine a présidé l’ONG Action contre la faim et publié bon nombre d'ouvrages sur les enjeux agricoles et alimentaires (elle vient d’être promue officier du Mérite agricole). Son dernier livre Sa Majesté le maïs : la plante que nous adorons détester mais qui sauve pourtant le monde (Éditions du Rocher) est un plaidoyer en faveur de cette céréale cible des écoterroristes et qui régresse en France. À l’heure de la révolte de la paysannerie française, Sylvie Brunel revient sur les productions nationales et les distorsions de concurrence avec d'autres pays du monde, notamment l'Ukraine.
par H16
La petite phrase, prononcée avec une apparence de sérieux et des petits sourcils bien froncés comme il faut, a beaucoup occupé la presse la semaine dernière : pour Emmanuel Macron, on ne peut pas exclure l’envoi de troupes occidentales dans le cadre du conflit russo-ukrainien.
Sans grande surprise, cette petite phrase a fait autant le tour des salles de rédaction de presse que celui des quartiers généraux des principaux partis politiques français, puis des chancelleries où, très rapidement, c’est surtout la consternation qui a dominé.