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France et politique française - Page 3638

  • Taguieff : « l‘Europe et la mondialisation, principales causes des réactions nationalistes »

    L’historien des idées Pierre-André Taguieff publie un passionnant ouvrage sur le retour des nationalismes. Il a répondu à nos questions.

    FIGAROVOX-. Dans votre dernier essai, La Revanche du nationalisme, vous décrivez l’émergence d’une puissante vague nationaliste. La percée du Front national en France s’inscrit-elle dans ce mouvement ?

    Pierre-André TAGUIEFF-. Bien entendu. Derrière la montée des mouvements et des partis « néo-populistes » en Europe, on assiste depuis le milieu des années 1980 à une réinvention imprévue des nationalismes, alors qu’on les croyait définitivement affaiblis ou marginalisés par la mondialisation et l’intégration européenne. La plupart des formations politiques dites « populistes » ou « néopopulistes » de droite, sans perdre leur dimension protestataire et anti-élites, sont devenues de plus en plus identitaires, anti-européistes et anti-immigrés. On observe donc l’apparition de nationalismes non classiques, qui ont substitué aux visées expansionnistes ou impérialistes des préoccupations défensives ou conservatrices, centrées sur la préservation des identités collectives perçues comme menacées. Dans ces nouvelles mobilisations nationalistes qui séduisent de plus en plus de citoyens, l’orientation xénophobe est moins politique que culturelle. L’ennemi principal n’est plus le pays voisin, rival menaçant, mais l’ensemble des forces et des flux censés mettre en péril les manières de vivre, de penser et de sentir des citoyens de telle ou telle communauté nationale. C’est à ce titre que l’« américanisation » ou l’« islamisation » des mœurs sont dénoncées. Loin d’avoir mis fin aux mobilisations nationalistes, la construction européenne et la mondialisation sont devenues les principales causes de ces réactions nationalistes non prévues par les experts. Cette évolution de nombreuses formations politiques vers une nouvelle forme de nationalisme, idéologiquement compatible avec le néolibéralisme comme avec le social-étatisme (l’État-providence), a été masquée par le style populiste de leurs leaders, pratiquant l’appel au peuple contre le « système » ou les élites dirigeantes, ainsi que par un étiquetage polémique consistant à les inclure dans la catégorie diabolisante d’« extrême droite », interdisant toute analyse fine et non biaisée de leurs conditions d’apparition, de leurs traits distinctifs et des facteurs de leurs succès électoraux. [....]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Taguieff-l-Europe-et-la

  • L’Université d’été pour Tous : une tentative de pérennisation et de politisation du mouvement social de 2013

    Sas vers la radicalisation ou la normalisation, LMPT offre aussi la possibilité d’une reconversion pour ceux de ses membres dont l’éternel militantisme, souvent condamné à la marge et à l’ombre, a retrouvé des couleurs à l’occasion des manifestations. Une partie des cadres du mouvement se retrouve ainsi à la fin du mois d’août 2013 pour une Université d’Eté pour Tous dont le programme, publié sur internet, est intitulé, sans grande sobriété, « Nous sommes le peuple » : 
     
    Après le soulèvement populaire et spontané des derniers mois, il est temps de nous former en profondeur afin de répondre aux nouveaux enjeux politiques et sociaux qui s’annoncent. Venez nous rejoindre pour une semaine de formation du dimanche 25 août au dimanche 1er septembre à Lignières dans le Cher (18160). L’Université d’Eté pour Tous est un moment d’amitié, où une jeunesse animée d’une même conviction va se retrouver, échanger et tisser des liens durables. 
     
    Le choix même des intervenants ne va pas sans refléter une certaine sensibilité. Tandis que, du point de vue des organisations, Béatrice Bourges et le Printemps français marquent le terrain, on note la présence de collectifs tels que Ta ville en action, les Mères Veilleuses et le Camping pour tous de Samuel Lafont. Sur le front des portails, le site Nouvelles de France occupe la première place. L’invité-vedette n’est autre que Robert Ménard, ancien secrétaire général de Reporter sans Frontières, alors candidat à la mairie de Béziers et engagé dans un pas de deux avec le Front national. Mais le magistère intellectuel de cette Université pour tous revient sans conteste à Gérard Leclerc dont l’autorité et l’influence sont à l’inverse de son peu de propension à jouer les chefs de bande. 
         La liste des lectures recommandées et des livres disponibles à l’achat, comme il se doit dans ce type de réunion, est en soi éloquente. Outre un excellent ouvrage sur la droitisation de la vie politique (ndlr : l'auteur parle de son livre Voyage au bout de la droite), les animateurs conseillent aux « campeurs » les œuvres classiques et incontournables d’Edmund Burke, Réflexions sur la Révolution de France, de Joseph de Maistre, Considérations sur la France. Pour compléter ce corps doctrinal d’un savoir plus historique, ils font valoir les fondamentaux que sont La Révolution française de Pierre Gaxotte, Vendée : du génocide au mémoricide : Mécanique d’un crime légal contre l’humanité, sous la direction de Reynald Secher, et Le livre noir du communisme, sous celle de Stéphane Courtois. Soit le vade-mecum de l’anti-moderne mâtiné d’antitotalitarisme. 
     
    Gaël Brustier, Le mai 68 conservateur

  • Comment les Chinois font leur beurre avec nos retraites

    Vu sur NDF : Pour pallier la gestion déficitaire de nos caisses de retraite, la Cades fait racheter les déficits sociaux français par les Chinois, auprès desquels nous nous endettons… Et les technocrates s’en réjouissent !

    (Cliquez pour agrandir)

     http://www.contre-info.com/

  • « À l’exception de Marine Le Pen, il n’y a plus en France de chef de parti digne de ce nom »

    Entretien avec Alain de Benoist

    Autrefois, les partis politiques étaient synonymes d’espoir, de changement, voire de grand chambardement. Aujourd’hui, plus personne ne semble croire à leur capacité à changer le cours des choses. Comment expliquer ce désamour ?

    Sous la Révolution, les partis politiques, assimilés à des « factions », étaient regardés comme un « mal temporaire » (Robespierre). Au sens moderne, ils n’apparaissent qu’au XIXe siècle, voire au début du XXe (en France, le premier parti est le Parti radical, né en 1901). L’article 4 de la Constitution de 1958 dispose que « les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage », ce qui ne veut pas dire grand-chose. À la fois par dégoût de la politique en général et en raison du constat que, dans la démocratie parlementaire, les représentants ne représentent plus rien, les citoyens ont massivement déserté les partis (dont le financement dépend désormais des subventions publiques), tout comme ils ont déserté les églises et les syndicats. Les partis sont en outre discrédités : il n’y a plus aujourd’hui que 9 % des Français pour leur faire confiance (sondage CEVIPOF, janvier 2015).
    La politique était autrefois à la fois un métier et une vocation (« ein Beruf », disait Max Weber). Aujourd’hui, la médiocrité de la classe politique tient au fait qu’elle n’attire plus un personnel de qualité : les individus doués se tournent vers d’autres professions, socialement plus gratifiantes et financièrement mieux payées. Même s’ils restent la voie d’accès privilégiée aux fonctions politiques et continuent de monopoliser l’accès aux responsabilités électives (on fait carrière en politique en échangeant des services avec un parti), les partis ont également évolué, et dans la pire direction.
    Les partis veulent rassembler, tandis que les idées divisent. C’est pour cette raison qu’aucun intellectuel digne de ce nom ne peut se sentir à l’aise dans un parti. C’est aussi pourquoi, dans tous les partis, l’idéologique a très tôt cédé la place au programmatique, qui a ensuite été remplacé par le communicationnel : effets d’annonce, petites phrases, commentaires des sondages, pression des réseaux sociaux, agenda dicté par des exigences médiatiques qui se succèdent en « temps zéro », entretenant ainsi le culte de l’instant. Nous n’avons plus maintenant que des partis à l’américaine, c’est-à-dire des écuries présidentielles qui n’existent vraiment qu’à l’approche des échéances électorales. Comme l’a écrit Marcel Gauchet, « le parti ayant vocation, à la fois à dégager une représentation politique, à définir un corpus idéologique et à encadrer les forces sociales, est une figure du passé ». Il en va de même des engagements politiques de type « sacerdotal ».
    Peut-on sérieusement imaginer qu’un parti politique, quel qu’il soit, puisse aujourd’hui faire changer démocratiquement la société ? En ce domaine, les lobbies et autres groupes financiers ne sont-ils pas finalement plus performants ?
    On sait depuis longtemps qu’aucun parti politique ne peut être vraiment démocratique, en raison de la « loi d’airain des oligarchies » si bien décrite par Roberto Michels, qui a pour effet de diviser tout parti en une minorité dirigeante et une majorité dirigée, créant ainsi une bureaucratie de dirigeants professionnels coupés du peuple : « L’organisation est la source d’où naît la domination des élus sur les électeurs, des mandataires sur les mandants, des délégués sur ceux qui les délèguent » (Les partis politiques. Essai sur les tendances oligarchiques des démocraties, 1911). Cette bureaucratisation des partis explique la surreprésentation en leur sein de certaines catégories sociales, qui se recrutent par copinage et par cooptation : fonctionnaires, anciens élèves de l’ENA, anciens attachés ministériels et parlementaires, qui n’ont jamais vraiment connu la vie réelle (nombre de candidats socialistes issus de la classe ouvrière aux dernières élections : zéro).
    À l’exception de Marine Le Pen, il n’y a d’ailleurs plus en France de chef de parti digne de ce nom : Harlem Désir ou Cambadélis n’ont évidemment pas remplacé Jean Jaurès, Pierre Laurent n’est pas vraiment Georges Marchais, Nicolas Sarkozy n’est qu’un caractériel, comme Manuel Valls (l’un dans le genre ludion, l’autre dans le style ténébreux). François Hollande reste, lui, un personnage inintelligible.
    La grande Simone Weil avait publié en 1940 une Note sur la suppression générale des partis politiques . Son jugement était-il prémonitoire ? Conserve-t-il une quelconque pertinence ?
    Dans ce texte, réédité en 2006 aux Éditions Climats, Simone Weil décrivait les partis politiques comme des « machines à fabriquer de la passion collective » et des organisations « totalitaires en germe et en aspiration », et prônait en effet leur suppression. Mais elle ne disait pas par quoi l’on pourrait les remplacer. Ni comment on pourrait empêcher les gens de se regrouper au sein d’une quelconque association pour faire de la politique ensemble.
    Son propos n’en reste pas moins très actuel quand elle écrivait que « l’unique fin de tout parti politique est sa propre croissance, et cela sans aucune limite », observait qu’il n’y a pas grande différence entre l’attachement à un parti ou l’attachement à une Église, l’un et l’autre nourrissant une même attitude partisane (« l’opération de prendre parti, de prendre position pour ou contre, s’est substituée à l’obligation de la pensée »), ou exprimait le vœu que « le peuple ait à exprimer son vouloir à l’égard des problèmes de la vie publique, et non pas à faire seulement un choix de personnes ». Mais qui lit encore Simone Weil ?

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EukAukAklFLdUtXgTz.shtml

  • Le néo-négationnisme en temps réel du génocide chrétien – au nom de la Shoah

    Un génocide est en cours, appuyé sur une théorie du génocide, basée sur une partie des textes sacrés de l’islam : le génocide des chrétiens d’Orient. Certains ne veulent pas que le public occidental le comprenne.

    « “Nous sommes venus pour tuer et nous faire tuer.” C’est ce qu’ils criaient », raconte une femme, rescapée du massacre de l’université de Garissa au Kenya (RFI, 4/4/2015).

    Les chebab criaient donc la parole du dieu de Mahomet : « Le musulman tue et il est tué », Coran, sourate 9. Cette parole est enseignée à des enfants ici en France.

    Un génocide est en cours, appuyé sur une théorie du génocide, basée sur une partie des textes sacrés de l’islam : le génocide des chrétiens d’Orient. Certains ne veulent pas que le public occidental le comprenne. Et par une forme de cynisme insupportable, c’est au nom de la Shoah que ces « néo-négationnistes » nient ou occultent le génocide en cours des chrétiens d’Orient, et le projet de génocide des juifs du monde entier, voulus par les musulmans les plus proches de la pensée de Mahomet.

    Au nom de la Shoah, ils persécutent les donneurs d’alerte, s’alarmant des livres musulmans où des propos similaires à ceux de Mein Kampf sont tenus.

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  • Alcatel-Lucent : l’autre suicide français

    Nokia a annoncé ce mercredi le rachat de son concurrent Alcatel-Lucent. Pour Jean-Philippe Tanguy et Nicolas Dupont-Aignan, cette fusion plombe l’espoir d’une rapide réindustrialisation française.

     

    « Nos chefs, au milieu de beaucoup de contradictions, ont prétendu, avant tout, renouveler, en 1940, la guerre de 1915-1918. Les Allemands faisaient celle de 1940 »— Marc Bloch, L’Étrange Défaite.

    Les pillages se suivent et se ressemblent… La razzia boursière de Nokia sur le fleuron français des télécoms, Alcatel-Lucent, annonce le chant du cygne de la mascarade industrielle de François Hollande.

    La France parle, le reste du monde agit. Il est loin le temps où Arnaud Montebourg prêtait sa verve à François Hollande pour prétendre relancer l’industrie française. On nous avait pourtant promis des grands projets et du patriotisme, un véritable changement de modèle en lieu et place du désastre de « l’économie sans usine » du croquemort Serge Tchuruk, ancien patron… d’Alcatel.

    Las, les faits parlent pour eux. L’alternance socialiste n’a fait qu’allonger la litanie des champions industriels français bradés à l’étranger. Après l’acier d’Arcelor, l’aluminium de Pechiney, la chimie de Rhodia, c’est l’électricien Alstom, le cimentier Lafarge et maintenant le champion des télécoms Alcatel. Ce pillage systématique est aggravé par les pertes de contrôle de la France sur d’autres fleurons comme Peugeot ou par l’inaction suicidaire de l’État sur Areva dans la filière nucléaire.

    En réalité rien n’a changé ici quand tout a changé ailleurs, notamment aux États-Unis. Par une ironie aussi tragique que révoltante, les projets de Nokia font suite au succès industriel atteint la semaine passée par le bourreau d’Alstom, l’américain General Electric : en seulement sept années, le conglomérat s’est débarrassé de toutes ses activités financières pour redevenir un géant d’une industrie de pointe relocalisée sur le sol national. [....]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Alcatel-Lucent-l-autre-suicide

  • Communiqué : 100 millions pour rien !

    Communiqué de la Dissidence Française

    Évènement ! Manuel Valls a décidé de « débloquer 100 millions d’euros sur trois ans » !

    Mais 100 millions pour quoi ?

    Pour rééquiper nos armées, nos forces de police ou de gendarmerie, dont le matériel vétuste nuit depuis trop longtemps à l’accomplissement de leurs missions essentielles et menace leurs capacités opérationnelles ? Ou pour financer une diminution de cette pression fiscale qui étrangle ménages et entreprises, et paralyse l’activité économique de notre pays ? Ou encore pour lutter efficacement contre l’immigration de masse en procédant aux expulsions immédiates des milliers de clandestins qui, à Calais comme ailleurs, menacent la tranquillité et la sécurité des Français ? Ou alors, pour financer la construction de nouvelles places de prisons et permettre ainsi l’application réelle des peines infligées à des criminels, notamment multirécidivistes ?

    Pas du tout ! Tous ces sujets n’intéressent pas Manuel Valls ! Ce qui intéresse Manuel Valls, c’est le racisme et l’antisémitisme. Surtout l’antisémitisme. L’éternel attaché à Israël s’est donc servi dans les caisses, et compte lancer une grande « campagne contre le racisme et l’antisémitisme », aux frais du contribuable bien évidemment. 100 millions d’euros pour une campagne de pub et pour accroitre la censure sur internet, voilà qui ravira nos militaires en OPEX qui peinent à s’approvisionner en munitions, et qui ravira tout autant les salariés de Florange qui attendent toujours les résultats concrets des promesses de Hollande en 2012.

    Une fois encore, la preuve est faite que l’État Français est pris en otage par cette république des partis, des loges et des lobbies qui ne représente qu’elle-même et qui précipite notre pays vers l’abîme, n’ayant même pas la décence de dissimuler ses honteuses tractations clientélistes…

    Compte-tenu du caractère dramatique de la situation de notre pays, la Dissidence Française poursuivra son action, et appelle désormais l’ensemble des fonctionnaires au sein des ministères et des préfectures à la désobéissance civile, à la grève du zèle, et ce afin de paralyser les administrations, de déstabiliser ce gouvernement antinational, et de préparer ainsi le coup de force qui vient…

    L’Histoire, ça se brusque !

    Vincent Vauclin, Coordinateur National

    Nicolas Roch, Secrétaire Général

    La Dissidence Française

  • EELV: Emmanuelle Cosse demande aux écolos pro-gouvernement de "cesser leur comportement nuisible"

    A EELV, l'union n'est pas pour tout de suite. Le bureau exécutif d'Europe Ecologie-les Verts a demandé aux parlementaires écologistes, dont certains ont des initiatives "qui altèrent" le mouvement écologiste, de "cesser leur comportement nuisible", dans un texte voté cette semaine. Ce texte, adopté par 10 voix contre 3 mardi, a été envoyé par la secrétaire nationale du parti Emmanuelle Cosse aux députés, sénateurs et eurodéputés.

    Si personne n'est nommément cité, cette prise de position intervient alors que le parti est en désaccord sur la participation au gouvernement en cas d'éventuel remaniement, et que des parlementaires écologistes pro-gouvernement comme François de Rugy, Denis Baupin, Jean-Vincent Placé ont tenu les deux week-end derniers, rencontres et rapprochements avec des formations comme le Front démocrate, qui souhaite une maison des forces progressistes avec le PS, le PRG, Cap 21...

    "Contradiction totale"

    "La dernière période a vu se multiplier des prises de position publiques à propos de l’avenir et de la stratégie d’Europe Ecologie–Les Verts. Certaines de ces déclarations sont effectuées en contradiction totale avec les positions arrêtées par les instances de notre mouvement", stipule le texte, que l''AFP s'est procuré et publié dans Le Monde (article abonnés) daté du dimanche 19 avril. 

    "Les positions collectives de notre mouvement indiquent la nécessité d’un changement de cap dans les politiques menées par le gouvernement compatible avec nos valeurs écologistes, pour envisager un nouveau contrat de majorité incluant la participation gouvernementale de EELV", poursuit-il.

    Le bureau exécutif (BE) rappelle en aussi qu'il a "la responsabilité de veiller à réguler les initiatives individuelles qui altèrent l'image de notre mouvement" et fixe une "ligne claire". Condamnant des "interventions publiques" récentes, il demande "à l’ensemble des personnes concernées de cesser immédiatement leur comportement nuisible pour l’ensemble de notre mouvement".

    Il invite également "l’ensemble des membres d’EELV à récuser les tentatives de déstabilisation du Parti, d’où qu’elles viennent et tout particulièrement à ne pas participer à des réunions dont les organisateurs affirment leurs intentions en la matière". Alors que se profilent, en décembre, les régionales, le BE "rappelle que les régions sont les seules à pouvoir décider de leur stratégie" pour ce scrutin et que selon le règlement intérieur, le BE peut "suspendre en urgence des adhérent-es". Un séminaire est proposé entre le BE et les parlementaires.

    Le HuffPost avec AFP :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukAuklpuEhxHvNLOK.shtml

  • Immigration massive : Le déferlement, c’est maintenant

    Source : Boulevard Voltaire – « Le déferlement, c’est maintenant »

    Les chiffres annoncés, dont on peut se demander s’ils ne sont pas minorés tant ils sont effarants, font état de 11.000 Africains subsahariens qui ont débarqué en Italie depuis le 1er avril, dont 6.500 les 12 et 13 avril, arrivés sur… 2 bateaux de toute sorte.

    Nos députés socialistes, écolos, d’extrême gauche, mais aussi, souvent hélas, de droite (UMP-UDI), ne cessent de voter des lois sociétales qui, peu à peu, bouleversent des usages ancestraux. Mais quid du danger extrême promis par les fous d’Allah ? Celui d’une invasion de l’Europe par 500.000 musulmans, 500.000 solides gaillards si l’on en croit les photos des bateaux du Camp des saints. Un demi-million d’hommes envoyés dans nos pays, nos villes, nos villages, nos campagnes, bien sûr par la misère qui règne chez eux mais aussi, et peut-être, surtout sur injonction de l’État islamique.

    Ils arrivent par bateaux bondés, de la barque au cargo rouillé, sur les côtes italiennes les plus proches de la Libye, là où leur a été annoncé qu’ils ne risquaient rien d’autre qu’une noyade éventuelle, et que les portes de la riche Europe leur étaient grandes ouvertes. Promesse leur a été faite qu’ils y bénéficieront d’une aide sociale sans commune mesure avec leur salaire de misère, des meilleurs soins médicaux prodigués gratuitement et avec largesse, le cas échéant d’appartements ou d’une chambre d’hôtel plus confortable que leur case, d’un travail au noir (ou au black, comme vous voudrez) leur assurant un salaire décent et la possibilité d’envoyer de précieux euros à leur famille et, surtout – cerise sur le gâteau -, les imams du coin, ceux qui leur auront été recommandés, continueront leur endoctrinement pour que leur foi devienne une arme redoutable..

    Et un beau jour, parmi ce demi-million de migrants, badaboum… Un attentat par-ci, un assassinat par-là, et l’État islamique pourra additionner ses victoires sur les mécréants.

    J’exagère sûrement… Mais je lis déjà que la haine du chrétien s’est exprimée avant même d’arriver à bon port ! Selon la préfecture de Palerme, 15 migrants musulmans viennent d’être arrêtés pour avoir jeté par-dessus bord, au beau milieu de la Méditerranée, 12 « vrais » migrants qui se disaient chrétiens. L’horreur dans l’horreur !

    Les chiffres annoncés, dont on peut se demander s’ils ne sont pas minorés tant ils sont effarants, font état de 11.000 Africains subsahariens qui ont débarqué en Italie depuis le 1er avril, dont 6.500 les 12 et 13 avril, arrivés sur… 2 bateaux de toute sorte. 400 Africains n’auraient jamais atteint la côte et se seraient noyés dans le naufrage de leur bateau de pêche où ils s’étaient entassés à 550 !

    Le Grand Remplacement n’est pas loin, n’est-ce pas, M. Renaud Camus, car ce déferlement proprement ahurissant va s’amplifier avec la belle saison et une mer plus clémente. 
Les Italiens commencent à demander des comptes à l’Europe. L’Europe qui a l’air de se moquer de cette invasion. L’Europe incapable de refermer ses frontière et qui ne veut pas avouer l’échec de Frontex. La France qui ne proteste même pas, qui ne prend aucune mesure préventive. La France politique beaucoup plus passionnée par le feuilleton Le Pen ou les gesticulations de son gouvernement. La France dont l’aide généreuse fait le bonheur des passeurs qui encouragent tous ces hommes à tenter leur chance au pays de cocagne, et des islamistes trop heureux de trouver des supplétifs à bon compte. 

Et pendant ce temps-là, M. Boubakeur réclame 2.500 mosquées supplémentaires. Et pendant ce temps-là, ceux qui hélas s’accrochent au pouvoir font voter à tout va, par une Assemblée nationale aux trois quarts vide, des lois insensées que le bon peuple de France aura beaucoup de mal à révoquer lorsqu’il reprendra les rênes de la maison France.

    Floris de Bonneville  http://fr.novopress.info/