Le 11 novembre 1973, collégien de Sixième à Rennes, je fus chargé de porter le drapeau du « lycée de jeunes filles Jean-Macé », établissement qui n’était mixte que depuis la rentrée de 1969… C’était un grand honneur pour moi et c’était aussi la première fois que je participais directement à une commémoration de l’armistice de 1918, serrant la main de quelques octogénaires qui, plus d’un demi-siècle auparavant, avait connu la boue des tranchées et la mort de leurs camarades d’infortune et de gloire.
France et politique française - Page 399
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Ce 11 novembre qui nous oblige...
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Christian Baeckeroot : Justice pour le Front National
Christian Baeckeroot, ancien député.
Je ne suis mandaté par personne. Je ne suis expert en rien. Je suis un simple témoin.
J’ai 84 ans. Je suis ancien militaire qui s’est engagé en politique pour l’Algérie Française, avec nos compatriotes de souche européenne, juifs et musulmans. Tout au long de ma vie politique – 62 ans –, j’ai été ostracisé comme « extrême droite » et, dès les années, 70 taxés, sans aucune justification, d’antisémite pour le plus grand profit de l’extrême-gauche avec la complicité de la plupart des « grands médias » et d’une grande partie de la caste politicienne.
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Entretien avec Dénis Cieslik, Président de « Rassemblons Cagnes ! » et auteur du roman « Inclure »
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Le souverainisme au scalpel
Le paysage politique français présente depuis une dizaine d’années une originalité avec le souverainisme (1) bien que la France n’en ait pas l’exclusivité, la Grande-Bretagne, la Suède et le Danemark possédant eux aussi une mouvance souverainiste (2).
Le souverainisme apparaît dans le champ lexical entre le référendum sur le traité de Maastricht en 1992 et le succès électoral de Philippe de Villiers aux européennes de 1994. Le terme vient du Québec où il a été forgé à la fin des années 1960 au cours de la « Révolution tranquille ». À cette époque, la société québécoise, longtemps restée catholique, conservatrice et rurale, s’émancipe de ses cadres traditionnels. Les Québécois quittent les campagnes, cessent de fonder des familles nombreuses, s’entichent des modes soixante-huitardes venues de Californie et d’Europe occidentale, contestent l’autorité établie. Cette protestation socio-culturelle développe assez vite une expression politique indépendantiste. En 1967, le général de Gaulle crie depuis le balcon de la mairie de Montréal un vibrant « Vive le Québec libre ! ». Dans ce contexte effervescent, les indépendantistes québécois se regroupent pour fonder, un an plus tard, le Parti québécois (P.Q.). Le programme péquiste revendique un Québec indépendant qui serait néanmoins associé, en matières économique et stratégique, à un ensemble pancanadien anglophone. Au pouvoir dans la « Belle Province » à deux reprises, les péquistes ne parviennent cependant pas à obtenir l’indépendance après l’échec de deux référendums d’autodétermination en 1980 et en 1995 (3).
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L’ultra-droite lyonnaise, une sourde menace, selon Darmanin et… Mélenchon !
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Guerre en Ukraine : Zelensky va-t-il passer l’hiver ? - JT du mardi 14 novembre 2023
Au programme de cette édition, Zelensky enserré entre ses adversaires et ses alliés.
Alors que Washington semble vouloir en finir avec son engagement auprès de Kiev, l’armée ukrainienne est de plus en plus en confrontation avec le président. Une situation qui devrait faire voler en éclat la présidence de Zelensky.
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Jean-Yves Le Gallou (Forum de la Dissidence) : « Nous allons poser la question du gouvernement des juges notamment dans ses conséquences pratiques sur l’immigration et l’insécurité [ [Interview]
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TPMP : les raccourcis et insinuations de Moundir face à Élisabeth Lévy
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Nantes : un migrant guinéen, dealer de drogue, blesse trois policiers, alors qu’ils tentaient de l’interpeller ; le suspect était visé par une OQTF
Lundi 13 novembre 2023 à 00 h 45, une équipe de la brigade anticriminalité de nuit patrouille rue de Berlin à Malakoff, quand elle observe un homme qui aborde une jeune femme. Il lui fait une proposition qu’elle refuse, indique une source proche du dossier.
Les fonctionnaires de police décident donc d’interpeller le mis en cause qui se révèle être très alcoolisé et virulent . Il tente de fuir et percute alors un des policiers à l’épaule avant de se débattre avec une grande vigueur.
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Une victime des attentats du 13 novembre : « Le discours “Vous n’aurez pas ma haine” nous a empêché de réfléchir collectivement aux fractures ; nous devons agir »
Vous aviez fait partie des rares voix à avoir refusé le discours « vous n’aurez pas ma haine ». Que reprochez-vous à cette dialectique ?