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Manifestation d'étudiants en mai 68. (Photo by AFP)
La fameuse Génération Z, celle née entre 1995 et 2010, n’est pas aussi rétive au travail qu’on le dit, selon le rapport intitulé « Les jeunes et le travail : aspirations et désillusions des 16-30 ans ». Publié par le think tank Institut Montaigne, il a été réalisé par Yann Algan (HEC), Olivier Galland (CNRS) et Marc Lazar (Sciences Po). Apport marginal mais intéressant de ce rapport : être de gauche est souvent lié à un mal-être.
“Âgé de 48 ans, Fouad Benfatah avait été arrêté dans le quartier des Cannes après un refus d’obtempérer. Il aurait, selon les témoignages recueillis, abordé une jeune femme de 26 ans et trois mineures pour les faire monter dans son véhicule. Deux policiers, mobilisés lors de l’interpellation, ont porté plainte pour mise en danger de la vie d’autrui.”
Camarades ? Non : complices. Ce 1er mai 2025, les drapeaux rouges sont en réalité recouverts de la même graisse que les mains du patronat mondialisé. À force de trahir leurs fondements, les héritiers d’une gauche ouvrière, sociale, enracinée dans les luttes du peuple, sont devenus les larbins de ceux qu’ils prétendaient autrefois combattre. Uber Eats, Deliveroo, restauration low-cost, exploitation agricole industrielle : les esclavagistes modernes peuvent remercier LFI, la CGT et leurs petits nervis anarcho-autonomes. Grâce à leur agitation cosmopolite permanente, ils tiennent la jeunesse européenne en joue, étranglent les classes populaires, et surtout, assurent le renouvellement illimité d’une main-d’œuvre corvéable, sans conscience politique, sans racines, sans défense.
Il nous arrive, à Riposte Laïque, d’avoir parfois la dent dure avec quelques responsables du RN quand ceux-ci tiennent des propos qui nous désespèrent, ou agissent de manière irritante. Bien sûr, nous n’aimons pas quand Marine Le Pen affirme que l’islam est compatible avec la République. Nous n’apprécions pas quand Jean-Philippe Tanguy demande la dissolution du GUD en même temps que celle de groupes d’extrême gauche. Nous sommes consternés quand Jordan Bardella, suite à un salut de Steeve Bannon, quitte une convention conservatrice américaine alors qu’il devait intervenir. Et bien évidemment, nous sommes consternés devant le sectarisme de la direction du RN, son refus d’aller à l’unité de la mouvance patriote et sa volonté de détruire Reconquête.
Dans un livre qui vient de paraître, « D’excellents Français, comment faire de l’immigration une chance » (éditions Grasset), le maire UDI de Massy (Essonne) , Nicolas Samsoen, s’empare du sujet de l’immigration en s’appuyant sur ce qu’il observe dans la 3e ville de l’Essonne, qu’il dirige depuis 2017, et notamment la diversité de ses 50 000 habitants.
Voulant expliquer, au micro de Sonia Mabrouk sur Europe 1, pourquoi il avait eu des difficultés à contacter la famille, Bruno Retailleau l’a révélé : Aboubakar Cissé, la victime de la mosquée de La Grand-Combe, était en situation irrégulière.
Dans le désastre permanent qui n’en finit pas de se banaliser, nous apprenons terrifiés, du moins devrions nous l’être, que la France fait face à une situation qualifiée pudiquement d’alarmante, car des seniors se retrouvent à fouiller les poubelles pour vivre. Le terme a quelque chose déjà d’indécent, comme une insulte feutrée à l’humanité, à ce qui nous y rattachait : ce lien que l’on croyait éternel et imprescriptible avec nos anciens et leurs conditions de vie. Ceci alors que nombre de faux migrants sont logés dans des hôtels avec piscine réquisitionnés. Mais c’était sans compter avec ces nouvelles générations rompues à la haine et la hargne, au renversement des valeurs, l’oubli et l’aversion et de l’empathie érigés en progressisme, qui déversent leur acrimonie en conclusion d’un dogme qui se veut politique et économique. On se souvient des propos de madame Astride Panosyan Bouvet, fustigeant les retraités qui gagnent plus de 2000 euros comme d’infâmes profiteurs, et leur devoir de contribution pour combler un déficit construit et accumulé par l’impéritie des politiques eux-mêmes. Mais c’est désormais un fait avéré, ils creusent le déficit et nous devons le boucher.
Selon La Voix du Nord, plusieurs personnes ont récemment été victimes de vols traumatisants à Valenciennes : elles ont été contraintes de remettre leurs effets personnels sous la menace d’un couteau. Ce mardi, une nouvelle victime s’est rendue au commissariat de la ville. « Elle a dû remettre à ses agresseurs ses écouteurs connectés, ses bijoux, son téléphone… », précise une source au quotidien régional du nord.
Parions : rien n’arrêtera la révolution des œillères. Le réel aura raison des croyances mondialistes. Telles les œillères, ces récitations erronées rétrécissent la vue. Timidement, François Hollande a concédé le renversement des consciences (RTL, 10 avril) : « Le politiquement correct avait sans doute ses défauts ». L’ancien président socialiste s’est gardé cependant de creuser sa clairvoyance. L’exercice l’aurait contraint à reconnaître ses bévues. Le confort du moralisme n’a cessé, en effet, de « donner à manger du mensonge » (Simone Weil). Jamais les informations tendancieuses ne se sont si bien portées. C’est pourquoi le besoin de vérité s’annonce plus fort que les rappels à l’ordre des clercs.
En transportant des pilules abortives en Pologne, où l’aide à l’avortement est passible de prison, deux élues LFI défient ouvertement un État souverain, posant la question d’un trafic international de médicaments et d’une forme d’ingérence politique.