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France et politique française - Page 44

  • Les statistiques ethniques contre l’omerta…

    Le cas du Havre évoqué sur une radio d’information. La ville d’Edouard Philippe est devenue la porte d’entrée de la drogue en Europe, avec des pratiques qui confinent à celles d’un pays en voie de développement : intimidation et meurtre de dockers, pression sur des témoins à charge en plein tribunal. Et la cadre de la lutte, quand on lui demande le profil des contrevenants, se perd en paraphrases : « Le profil habituel », « des profils importants pour les services de police et de justice »… mais encore. On n’a pas le droit. Et Piolle, le maire de Grenoble, l’un des premiers concernés, enchaîne sur le même sujet, alors que sa ville est devenue un genre de Chicago, où il ne maîtrise plus trop la situation. Il paraphrase lui-aussi : il peut encore aller partout, mais le dialogue est devenu difficiles dans certains endroits, où justement, sévissent les dealers. Mais selon Piolle, il n’y a pas de coupable, il n’y a que des jeunes « fracassés », des familles « éplorées », des services sociaux qui n’ont pas fait leur travail, ou qui peinent, faute de subsides… ben voyons. Des coupables ? Oui, les grands cartels de la drogue, en fait personne donc, c’est loin, c’est impalpable, un cartel international. Que propose-t-il ? La légalisation. Ben voyons, encore une fois. Pendant qu’il y est il peut aussi proposer la légalisation du viol et du meurtre, ça évitera que les services de maintien de l’ordre se cassent la tête. Lui non plus ne nomme pas, parce que c’est impossible légalement, même si tout le monde a compris de qui on parlait. On mesure à quel point l’État s’est donné tout seul des contraintes destinées à éviter que l’on nomme les gens, les coupables… et cela profite largement aux voyous, qui savent qu’on ne les nommera pas et que leur faute sera répartie sur l’ensemble de la population, par correction politique.

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  • Nancy (54) : une fonctionnaire soupçonnée de régulariser des dossiers de séjour d’étrangers contre 25 000 euros par dossier

    Une fonctionnaire du service de l’admission des étrangers de Nancy (Meurthe-et-Moselle) est soupçonnée d’avoir régularisé des dossiers de séjours d’étrangers contre de l’argent, rapporte ce jeudi “ici Sud Lorraine(Nouvelle fenêtre)” (ex-France Bleu). Elle a été déferrée devant le parquet de Nancy ce jeudi. Au total, une quinzaine de dossiers sont concernés par cette fraude.

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  • Crise de République... (1)

    Répu 2

    La Cinquième République est en crise : ce constat est d’une terrible banalité, mais il n’enlève rien à sa réalité et à ses dangers pour notre pays. Non que la République soit défendable, loin de là et bien au contraire, mais cette situation du cadre institutionnel actuel de notre nation française (cadre qui régit les services publics, décide des politiques économiques et sociales, indique des directions et se doit d’assurer la tranquillité des populations et des territoires) fragilise notre rapport au monde et notre crédit aux yeux d’autrui, et démontre à l’envi la justesse des analyses royalistes d’une faiblesse structurelle de l’État central (quand beaucoup pensaient et pensent encore qu’elle n’est que conjoncturelle) et de ses vices qui, malgré la parenthèse gaullienne (elle-même loin d’être totalement satisfaisante…), sont inhérents à tout régime qui laisse la démocratie s’emparer de la magistrature suprême de l’État, dans une erreur de positionnement que l’histoire juge souvent sévèrement et, parfois, cruellement (1).

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  • Electricité… ils polluent tous, sauf nous !

    Le climat, vous en conviendrez, est un système complexe. Très complexe. Contrairement à ce que certains semblent croire, nos connaissances à ce sujet ne sont ni complètes ni figées. La science va progresser, comprendre toujours mieux et toujours plus de phénomènes et leurs interactions. Volcans, activité sous-marines, rôle du plancton, fonte du permafrost, ou ralentissement des courants marins en raison de la fonte des glaces et de l’apport en eau douce, sans oublier les cycles solaires et l’activité de votre étoile autour de laquelle nous tournons, oui, le système terre est complexe.

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  • Stop au mythe des immigrés dévoués et des Français fainéants !

    Capture d'écran X
    Capture d'écran X
    L’anti-trumpisme est à la mode. Après avoir été moqué sur son look, attaqué sur sa vie privée et culpabilisé sur ses soutiens, le président américain réélu est maintenant critiqué sur son programme. Il fallait s’y attendre, c’est de bonne guerre. Sa politique migratoire, notamment, lui vaut de sévères sermons, aux États-Unis comme en France.

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  • Le souffle glacé d’une terreur sans nom…

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    Ce billet d’Henry Montaigu nous semble une judicieuse lecture en ces temps de souvenir royal… qui donne matière à réflexion.

    Par Henry Montaigu

    Place de la Révolution. 21 janvier 1793. Le souffle glacé d’une terreur sans nom et presque sans visage a figé le peuple le plus gai du monde, le plus policé de l’Europe – le plus civilisé, croyait-il encore il y a quatre ans – mais surtout le moins propre à se laisser dominer par la peur, l’illusion, le mensonge préludant aux vastes infamies collectives de notre XXe siècle. Avec les principes inversés, les croyances foulées, les conditions abolies, les biens spoliés, les symboles détruits jusqu’aux propres idéaux qui avaient été à la genèse du phénomène (dont l’abolition de la peine de mort), ce peuple avait lui-même abdiqué son état d’être le plus constant depuis plus de mille ans d’histoire, et qui était, qui demeure encore, on veut le croire, saugrenu, frivole ou salvateur mais toujours nécessaire, l’esprit de contradiction. Hébété par un événement qui le dépasse et qu’il ne pouvait souhaiter, Paris assiste sans broncher, sans même pousser d’atroces clameurs nocturnes de délivrance, à cette grand-messe de la terreur qui va partager en deux l’histoire du monde.

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  • Travailler 7h gratuitement par an ou l’art de prendre les Français pour des cons

    Alors que les Français voient leur pouvoir d’achat s’éroder sous le poids des charges, des taxes et des impôts, le gouvernement revient à la charge avec une mesure révoltante  : faire travailler les Français sept heures de plus par an sans rémunération. 

    Une proposition qui ressemble fort à une nouvelle atteinte à la dignité des travailleurs au profit d’administrations et de collectivités publiques défaillantes.

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  • Et si en France on commençait par faire des économies à la Trump ?

    Depuis son entrée fracassante en politique, et particulièrement son retour à la Maison-Blanche, les avis sur Donald Trump se partagent entre idolâtrie et anathème, en France. Cependant, sans en faire un messie ou un démon, il faut reconnaître au Président américain son sens du tranchant. Or, dans nos sociétés gangrenées par le droit quasi absolu pour les uns et l’interdit, tout aussi quasi absolu, pour les autres – comprendre tous ceux qui ne prient pas à la grand-messe progressiste –, il est bon de trancher précisément.

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  • Où es notre Trump ?

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    Thomas Joly

    Président du Parti de la France

    Aux États-Unis, ils ont Donald Trump. Un chef qui a compris que la politique, c’est d’abord une question de volonté et de puissance. Trump est en train de secouer l’Amérique (et même le monde entier), il a réveillé les oubliés, les humbles, ceux qu’on appelle là-bas la « Rust Belt ». Il a dit non à la fatalité du déclin, non à la soumission aux modes du temps. Il a osé parler de frontières, d’immigration, de grandeur nationale, là où nos dirigeants balbutient des slogans creux et démissionnaires.

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  • Blocage à Rennes 2 : les assos de gauche sèment (encore) le chaos

    Capture d'écran - Instagram
    Capture d'écran - Instagram
    Feux d’artifice, amas de tables, de chaises et de poubelles, obstruction des portes d’entrée... Ce mardi 21 janvier, l’université de Rennes 2, et plus particulièrement son campus de Villejean, était à nouveau le théâtre de blocages de la part des associations étudiantes d’extrême gauche. Après la réforme des retraites ou encore le conflit israélo-palestinien, les « coupes budgétaires » étaient, cette fois, mises en cause par le syndicat de l’université, Union Pirate.

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