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France et politique française - Page 413

  • « Si les hommes avaient leurs règles » : François Ruffin (LFI) aborde les vrais sujets

    On n’arrête pas de se plaindre de notre gouvernement de stagiaires, mais on n’a pas fini de rigoler de notre Assemblée de guignols. Dans cet Hémicycle foutraque, on remarque sans peine les bancs des Insoumis. La cravate s’y fait rare et la parole tonitruante. C’est la manière, pour tous ces petits-bourgeois, de faire peuple. À quelques exceptions près, comme le commissaire du peuple Aurélien Saintoul, ce mélange de Saint-Just et d’agent immobilier, l’Insoumis est généralement inculte et débraillé. Il y a cependant des députés d’extrême gauche qui ont un certain bon sens, chez qui on perçoit une certaine honnêteté dans l’engagement, et pas simplement du ressentiment ou du marketing électoral. François Ruffin est de ceux-là - ou, plutôt, était.

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  • 5,5% de déficit public, 3200 milliards de dette = une question politique avant d’être technique

    Avec 5,5% de déficit public en 2023, la France fait pire que tous les pays de l’UE à l’exception de l’Italie. Les 7 dernières années se sont traduites par une augmentation de la dette publique de 1000 milliards d’€ passant à 3200 milliards, un autre record. Cette situation est dramatique car le poids des remboursements de la dette devient le premier poste de dépense de l’Etat devant l’Education nationale. Un pays lourdement endetté perd son indépendance au regard de ses créanciers extérieurs. La France est mal gérée, mal gouvernée, mal dirigée. Derrière cette catastrophe, il y a toute une conception du pouvoir politique.

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  • Porte-parole du gouvernement et ministre… la diagonale du vide !

    L’ascension de Madame Prisca Thévenot, sans doute charmante telle n’est pas la question,  est à l’image des troupes de la Macronie où les têtes d’affiche n’étaient sans doute pas des grosses têtes à l’école.

    Plus grave.

    A leurs postes, l’incompétence est manifeste.

    Si vous prenez le temps d’écouter Prisca Thévenot dans cet échange avec un journaliste qui connaît un peu les mécanismes de la dette, les niveaux des taux, ou encore pose la question de qui prête à la France, Prisca Thévenot sera incapable de fournir une seule réponse.

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  • Troupes en Ukraine : Giorgia Meloni réitère son opposition à toute forme d'implication militaire directe en Ukraine et appelle Macron à faire attention au "ton" employé dans les déclarations

    Troupes en Ukraine : Giorgia Meloni réitère son opposition à toute forme d'implication militaire directe en Ukraine et appelle Macron à faire attention au "ton" employé dans les déclarations

    Le Premier ministre italien, Giorgia Meloni, a déclaré avoir exprimé son désaccord avec les récents propos du président français Emmanuel Macron sur la possibilité d'envoyer des troupes en Ukraine. Lors de l'émission de télévision Rete4 mercredi soir, Meloni a réitéré son opposition à toute forme d'implication militaire directe. « Je n'étais pas d'accord avec les paroles d'Emmanuel Macron sur le conflit en Ukraine et je lui ai dit », a-t-elle déclaré. « Je suis convaincue que nous devons faire attention aux tons que nous utilisons. »

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  • Hayer, les illusions et le vide

    Vide et illusions emplissent le nouveau discours politique macroniste, pour s’éviter de regarder le réel. 

    Sont-ils foncièrement idiots, ou affreusement déconnectés, pour avoir remplacé le bon sens par l’aveuglement lié à la croyance d’une supériorité évidente de leurs idées. 

    Ils croient ce qu’ils disent, c’est la caractéristique des fanatiques. Valérie Hayer pédale pour rattraper son retard. Sa voix monocorde et soporifique s’associe à l’absence de programme et surtout de bilan, qu’elle tente malhabilement de masquer par une rhétorique apprise par cœur. Ainsi elle va répéter en boucle qu’il faut voter pour sa liste parce que… l’Europe c’est bien et que nous en avons besoin. Mais encore ?

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  • Voitures polluantes mises à la casse contre une prime récupérée par l’Etat pour les faire… rouler à nouveau !

    Que j’aime cette escrologie au quotidien et ce foutage de visage régulier quand on parle d’écologie dans notre pays.

    C’est d’une hypocrisie exquise.

    Les grands prêtres de l’icoulogie font n’importe quoi mais les croyants béats pensent quand même, à chaque fois qu’ils font pipi sous la douche, qu’ils vont sauver la planète.

    Effrayant de bêtise collective.

    Le « réemploi des voitures vouées à la casse ». 

    Le texte prévoit que les collectivités territoriales, à travers les autorités organisatrices de la mobilité, puissent récupérer certains véhicules éligibles à la prime à la conversion, au bénéfice des personnes « socialement défavorisées ».

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  • Énorme charge et GRAVES ACCUSATIONS contre Macron, portées par Jean-Philippe Tanguy.

    Un député qui ose dire qui sont les vrais maîtres de nos gouvernants.

    On peut ne pas être d’accord avec ce député RN – Jean-Philippe Tanguy – venu de chez DUPONT-AIGNANT, mais ce qu’il balance là à la face de ses collègues députés vaut le détour !

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  • Énorme charge et GRAVES ACCUSATIONS contre Macron, portées par Jean-Philippe Tanguy.

    Un député qui ose dire qui sont les vrais maîtres de nos gouvernants.

    On peut ne pas être d’accord avec ce député RN – Jean-Philippe Tanguy – venu de chez DUPONT-AIGNANT, mais ce qu’il balance là à la face de ses collègues députés vaut le détour !

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  • Et si l’on osait (enfin) parler du coût de l’immigration ?

    Gabriel Decroix 28 mars 2024 

    L’immigration française est peu qualifiée. C’est ce que pointe Nicolas Pouvreau-Monti, fondateur et directeur de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, lors d’un entretien, mardi 27 mars, sur CNews.

    Le coût annuel de l'immigration en question

    Entre 35 et 40 milliards d’euros. C’est le coût annuel de l’immigration en France, première génération des descendants d’immigrés compris, après avoir ajouté leur contribution. C’est ce que rapportait l’OID, mardi 26 mars, d’après l’OCDE en 2021, repris par l’État et par le CEPII en 2018 (service rattaché au Premier ministre). Ce montant représente entre 1,4 et 1,6 % du PIB, un tiers des recettes annuelles des impôts sur le revenu, et dépasse le montant des dépenses de l’Intérieur. Pourtant Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, se garde bien d’interroger le coût de l’immigration dans sa démarche de chasse aux économies pour 2024.

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