
Voulant expliquer, au micro de Sonia Mabrouk sur Europe 1, pourquoi il avait eu des difficultés à contacter la famille, Bruno Retailleau l’a révélé : Aboubakar Cissé, la victime de la mosquée de La Grand-Combe, était en situation irrégulière.
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Dans le désastre permanent qui n’en finit pas de se banaliser, nous apprenons terrifiés, du moins devrions nous l’être, que la France fait face à une situation qualifiée pudiquement d’alarmante, car des seniors se retrouvent à fouiller les poubelles pour vivre. Le terme a quelque chose déjà d’indécent, comme une insulte feutrée à l’humanité, à ce qui nous y rattachait : ce lien que l’on croyait éternel et imprescriptible avec nos anciens et leurs conditions de vie. Ceci alors que nombre de faux migrants sont logés dans des hôtels avec piscine réquisitionnés. Mais c’était sans compter avec ces nouvelles générations rompues à la haine et la hargne, au renversement des valeurs, l’oubli et l’aversion et de l’empathie érigés en progressisme, qui déversent leur acrimonie en conclusion d’un dogme qui se veut politique et économique. On se souvient des propos de madame Astride Panosyan Bouvet, fustigeant les retraités qui gagnent plus de 2000 euros comme d’infâmes profiteurs, et leur devoir de contribution pour combler un déficit construit et accumulé par l’impéritie des politiques eux-mêmes. Mais c’est désormais un fait avéré, ils creusent le déficit et nous devons le boucher.
Selon La Voix du Nord, plusieurs personnes ont récemment été victimes de vols traumatisants à Valenciennes : elles ont été contraintes de remettre leurs effets personnels sous la menace d’un couteau. Ce mardi, une nouvelle victime s’est rendue au commissariat de la ville. « Elle a dû remettre à ses agresseurs ses écouteurs connectés, ses bijoux, son téléphone… », précise une source au quotidien régional du nord.
(Chronique à lire dans Causeur de mai)
Parions : rien n’arrêtera la révolution des œillères. Le réel aura raison des croyances mondialistes. Telles les œillères, ces récitations erronées rétrécissent la vue. Timidement, François Hollande a concédé le renversement des consciences (RTL, 10 avril) : « Le politiquement correct avait sans doute ses défauts ». L’ancien président socialiste s’est gardé cependant de creuser sa clairvoyance. L’exercice l’aurait contraint à reconnaître ses bévues. Le confort du moralisme n’a cessé, en effet, de « donner à manger du mensonge » (Simone Weil). Jamais les informations tendancieuses ne se sont si bien portées. C’est pourquoi le besoin de vérité s’annonce plus fort que les rappels à l’ordre des clercs.
En transportant des pilules abortives en Pologne, où l’aide à l’avortement est passible de prison, deux élues LFI défient ouvertement un État souverain, posant la question d’un trafic international de médicaments et d’une forme d’ingérence politique.
Une soixantaine d’élèves et trois enseignants d’EPS ont été menacés de mort par des guetteurs d’un point de deal alors qu’ils étaient en séance de sport sur le stade du quartier des Escanaux à Bagnols-sur-Cèze.
On la sentait venir de loin, celle-là ! Depuis que Yaël Braun-Pivet a déshonoré – une fois de plus – l’Assemblée nationale, en faisant respecter une minute de silence en la mémoire de la racaille Nahel Merzouk, on sait que tout est possible dans cet hémicycle constitué de plus de 400 islamo-collabos. Nous comptons parmi eux les 211 députés macronistes (élus grâce à la gauche) et les 192 députés du Nouveau Front Populaire (élus grâce aux macronistes).
J’adore ce pays et ses politiciens. C’est exquis.
Il n’y a pas un problème qu’un nouvel impôt ne puisse résoudre.
C’est incroyable !
Ils sont affligeants de prévisibilité.
Si demain on confiait le Sahara à des politiciens français, ils taxeraient les grains de sable pour faire reculer le désert… ce qui évidemment n’arriverait pas.
Voici le raisonnement du mamamouchi Attal qui se croit malin le lynx.
Selon Valeurs actuelles, Denis, habitant des Yvelines, découvre le 20 avril 2025 que le pavillon délabré de son défunt père à Conflans-Sainte-Honorine a été illégalement occupé par deux hommes. Ces derniers, se disant Algériens sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), auraient pénétré dans les lieux en forçant une entrée, causant divers dégâts : vitre brisée, porte de cave forcée, outils volés, bouteilles d’alcool, couvertures laissées sur place. La police intervient et place les deux squatteurs en garde à vue.