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C’est un article du Parisien (source ici) qui revient sur l’explosion des licenciements des… apprentis !
« En post-bac, les ruptures de contrats ont augmenté passant de 10 % en 2017 à 18 % en 2022. Si certaines sont à l’initiative des étudiants, d’autres sont bien souvent subies et marquent durablement les parcours. »
Ce phénomène est assez logique et assez facile à comprendre également.
Pendant que la presse, aux ordres de la gauche, s’émoustille pour savoir si des « néo-nazis espagnols » auraient pris la pose en tribune Mordelles au Roazhon Park, à Rennes (en réalité la photo du scandale ne montre que trois jeunes faisant le salut de la victoire en Serbe), il se passe des choses bien plus graves, depuis des années, sans que ces mêmes journalistes ne s’en émeuvent, mais cette fois-ci avec des conséquences bien réelles pour la population.
Le 24 avril dernier, France Inter diffusait une chronique de Pierre Rigaux, militant pour la cause animale et l’écologie. D’une durée de trois minutes, cette dernière s’intéressait au cas du comté, ce fromage réputé, produit dans le Jura. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle était à charge.
Après avoir tagué le domicile du président de la métropole (EELV), Bruno Bernard, et menacé de squatter son domicile et de divulguer son adresse, le site d’ultragauche Rebellyon a de nouveau menacé un autre élu écologiste de l’agglomération lyonnaise en la personne de Grégory Doucet, maire de Lyon. «On a beaucoup d’infos personnelles sur toi aussi, donc c’est pareil en cas d’expulsions par la mairie de Lyon», ont-ils écrit. Grégory Doucet a annoncé dans un communiqué son intention de porter plainte. «Rien ne saurait justifier ces intimidations», a-t-il déclaré. […]
Un expert en lecture labiale a confirmé mot pour mot ce que Donald Trump a balancé à Macron quand il a tenté de s’incruster dans sa discussion avec Zelensky au Vatican.
David Jacquot sur Ecorama voulait que l’on parle de la taxe d’habitation le retour !
« Si un retour de la taxe d’habitation a été exclu par le ministre de l’Aménagement du territoire, François Rebsamen, ce dimanche il a ouvert la porte à une « contribution modeste » pour le « financement des services publics de la commune ». Est-ce le retour d’une taxe d’habitation déguisée ? »
Décidément, nos procureurs de la République et nos journalistes ne sont pas bien curieux, après des assassinats qui pourtant bouleversent le pays. Ainsi, lors de sa conférence de presse, à Nantes, si Antoine Leroy nous a révélé que l’assassin, dont il n’a jamais prononcé le nom, Justin Adar Polat, avait donné 57 coups de couteau à Lorène, avant d’agresser trois autre élèves, il n’a rien dit sur l’origine de ses parents, dont on sait seulement qu’ils étaient séparés. Pourtant, Jean Messiha avait tout de suite remarqué que le deuxième prénom était turc ou kurde. Il n’a rien dit sur la religion supposée de l’assassin, ni sur celle de ses parents. Cela a peut-être un rapport avec le passage à l’acte, et surtout le mode opératoire. Enfin, on n’a rien su non plus sur les circonstances qui ont permis à ce couple de s’installer en France, ni sur leurs moyens de subsistance.
« Y a pas de RN ici ! […] Tu colles pas dans mon quartier ! » Ce 26 avril, aux alentours de midi, cinq militants du Rassemblement national, dont deux assistants parlementaires, ont été agressés alors qu’ils collaient des affiches dans un quartier pavillonnaire de Meaux (Seine-et-Marne). « Il s’agissait d’affiches sans aucune revendication particulière, seulement avec les visages de Marine Le Pen et de Jordan Bardella. On les collait sur un panneau publicitaire autorisé. On ne s’est pas senti menacé, au départ… », raconte Tony, collaborateur de Julien Limongi, député RN de Seine-et-Marne, contacté par BV. Mais les militants déchantent rapidement. Un premier individu s’approche d’eux et se met à décoller les affiches. « Je lui rétorque qu’on a le droit de les coller, qu’on est en démocratie », rapporte le jeune assistant parlementaire de 24 ans. Le ton monte alors. Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, on entend l’homme en question crier : « Recolle, tu vas voir ce que je vais faire, wallah […] C’est des fachos, tu colles pas ça dans notre quartier ! » Tony raconte la suite : « Un autre individu arrive de nulle part. Ils se mettent à me frapper, à me tabasser. Avec moi, il y avait une jeune femme. Elle avait son téléphone à la main pour filmer, il lui ont arraché et volé. Puis, ils se sont rapprochés d’elle. Je me suis interposé en criant "Ne la touchez pas !" », explique Tony.
Vassindou Junior Méïté, l’homme qui l’a violée le 17 septembre 2023 dans un appartement à Lorient. Des voisins ont entendu, les colocataires ont entendu mais personne n’est intervenu. Il a fallu que des amis appelés à l’aide viennent la chercher. Elle ne quitte pas la main de sa mère, passe son audience en pleurs. (…)
La France doit sortir du piège dans lequel elle a sombré depuis des années et qui consiste à régler un problème selon deux axes : l’impôt et la subvention. Ce qui ne semblait qu’anodin au tout début est devenu pesant et insupportable, à présent que le taux d’imposition est l’un des plus élevés du monde avec en échange, des services rendus aux abonnés absents, ou à minima, très en deçà de ce que les prélèvements devraient pouvoir offrir. Avec en arrière plan, la seule question qui vaille ces dernières années : Où passe l’argent ? Cette forme de collectivisation de l’économie a touché toutes les sphères d’influence, du moins celles qui sont par nature stériles, c’est-à-dire nos décideurs politiques et ceux qui diffusent la pensée, les journalistes, subventionnés justement ! Souvenez-vous en 1976. La grande sécheresse de l’époque avait accouché d’un impôt de solidarité pour venir en aide aux agriculteurs qui avaient souffert de l’événement climatique. Ce qui devait être une exception est devenu une règle, et pour tout problème on considère que la taxe est la meilleure solution pour réguler ou modérer une consommation, une pratique.