L’éditorial de François Marcilhac
Un discours indigent pour un moment historique : voilà résumée la prestation à laquelle s’est livré ce mardi 1er octobre le Premier ministre.
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L’éditorial de François Marcilhac
Un discours indigent pour un moment historique : voilà résumée la prestation à laquelle s’est livré ce mardi 1er octobre le Premier ministre.
Dans le viseur du ministre de l’Intérieur : la place des associations dans les centres de rétention administratives. Bruno Retailleau considère que leurs missions en centres de rétention administrative relèvent de l’État et entend ainsi restreindre leur rôle auprès des étrangers en attente d’expulsion.
La guerre civile est dans l’air, comme une odeur de poudre qui traîne. Son champ sémantique envahit peu à peu l’espace public. « Guerre civile larvée » (Gilles Kepel), « guérilla » (Laurent Obertone) et dix autres avertissements du même tonneau : Elon Musk, Boualem Sansal, Kamel Daoud… Dès lors, un grand dossier dans « Éléments » s’imposait. En commençant par le commencement (chronologiquement du moins) : les émeutes, cet été, au Royaume-Uni, qui ont fourni le prétexte à ce vaste tour d’horizon des périls : en Angleterre bien sûr, mais aussi aux États-Unis et en France (banlieues, islamisme, extrême gauche et Nouvelle-Calédonie)… Sommes-nous, ou pas, dans une configuration d’avant-guerre civile ? Telle est la question. Nous y répondons dans un dossier exceptionnel de 23 pages.
Le 2 octobre 2024, un scandale d’une extrême gravité éclate dans la région d’Ancenis-Saint-Géréon (Loire-Atlantique), impliquant Pierre-Alain Cottineau, ancien candidat de la France Insoumise (LFI) et cadre local, impliqué par ailleurs dans une association LGBT. Accusé de viols avec actes de torture sur une fillette handicapée de quatre ans placée sous sa garde au titre de l’Aide sociale à l’enfance (ASE), Cottineau a été mis en examen, soulevant une vague d’indignation et de questions sur la responsabilité des institutions.
Le 21 septembre, le corps de Philippine Le Noir de Carlan, 19 ans, était retrouvé enterré dans bois de Boulogne, non par la police — qui ne peut intervenir avant 48 heures lors de la disparition d’une personne majeure — mais par ses parents et ses amis, qui avaient réussi à localiser son téléphone portable. Son violeur et meurtrier présumé, le clandestin marocain Taha Oualidat, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF) et dont l’ADN a été identifié sur les restes de la victime, a été quant à lui retrouvé et interpellé à Genève ; son extradition ne devrait pas tarder.
Le sujet préoccupant de la protection et de la sécurité des Français écarté par un faux débat…
Par Elisabeth Lévy.
Cet article – brillant, comme, en général, ceux d’Elisabeth Lévy – est paru dans Causeur hier 2 octobre. Il n’y a à proprement parler rien à y ajouter. Sa lecture – trame et fond – nous renvoie cependant à deux souvenirs : 1. Le gros livre où Maurras analyse comment notre Démocratie (Majuscule) se veut religieuse, en substitution à l’ancienne religion du peuple français (C’est l’idée de Vincent Peillon ou Luc Ferry) ; 2. La formule latine que De Gaulle opposait souverainement à ceux qui tentaient de lui rappeler les règles du Droit : « Prius omnium salus patriae« . C’est sans doute ce que veut dire Elisabeth Lévy en la circonstance…J&f
Qui connaissait ce Pierre-Alain Cottineau, un assistant familial de 32 ans qui avait en charge, en responsabilité, une gamine de 4 ans en difficulté, avec des retard en termes de développement.
Elle avait été placée et médicalisée au domicile de ce sale type, à son domicile. Une affaire devenue banale de la part de certains gauchistes qui ne savent plus faire la différence entre la normalité, et leurs folies sociétales, sociales et idéologiques.