En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Vers 19 h 25, une quinzaine de pompiers ont été dépêchés sur les lieux avec une équipe du Smur. Deux jeunes ont été blessés par balles. Le premier, en urgence absolue, âgé de 17 ans, a été touché à une jambe, le second, âgé de 16 ans, atteint au niveau d’un genou, est en urgence relative.
Pour comprendre la minute de silence des députés, inclinés devant Aboubakar, parfaitement inconnu, il faut se pencher sur le concept de dhimmitude, un mot encore inconnu du grand public et qui est développé chez les musulmans. Il consiste, dans une société régie par la charia, d’un statut de sous-citoyen réservé aux non-musulmans et qui prévoit que les musulmans aient droit de vie et de mort sur eux, mais également, par exemple que leurs femmes soient soumises, ou que toute forme de contrat commercial ou moral soit exclusivement à l’avantage du musulman. Nos députés et ministres ont observé depuis 1958, une centaine de minutes de silence à l’Assemblée, soit soixante-huit pour la mort de députés, vingt-cinq pour la mort de ministres, anciens ministres et présidents de la République, neuf pour la mort de militaires décédés en opération et d’agents de l’Etat morts en opération et dix pour de simples civils, simples mais ayant tout de même une forme de notoriété. L’hommage à Aboubakar Cissé, tué dans une mosquée par un autre « Français », lui aussi d’origine étrangère, tout aussi anonyme qui lui, on ne voit pas en quoi il a pu avoir lieu, hormis le fait que l’intéressé soit musulman et que cela lui confère le rang d’appartenance à la caste « dirigeante » devant laquelle, les députés devraient faire preuve de « dhimmitude ».
On en était certain ! Connaissant la propagande musulmane et la capacité des gauchistes de monter en épingle le moindre fait divers, il allait forcément se passer quelque chose, quelques jours après l’assassinat du clandestin malien dans une mosquée, pour alimenter la thèse que l’islamophobie progresserait, mettant en danger les paisibles musulmans.
Selon les informations d’Europe 1, Ismaël Boudjekada, élu d’opposition à Grand-Charmont dans le Doubs, a été interpellé dans la matinée à l’aéroport international de Bâle-Mulhouse. Il est reproché au conseiller municipal de gauche des faits d’apologie du terrorisme après avoir tenu des propos pro-Hamas ces derniers mois.
À l’occasion de la parution de son enquête-choc, François Bousquet est l’invité de Christine Kelly dans « Face à l’info » sur CNews. Pour la première fois, une enquête documentée donne la parole aux victimes du racisme antiblanc. Un travail journalistique à hauteur d’homme, porté par un impératif de vérité.
En 1799, Joachim Murat, fidèle général de Napoléon, entra avec ses cavaliers dans la salle du Conseil des Cinq-Cents lors du coup d’État du 18 Brumaire. Face à des députés hostiles, perçus comme des obstacles à la survie de la République, il brandit son sabre et, par sa détermination, dispersa ces « aboyeurs de foire », les forçant à fuir pour laisser place à un pouvoir décidé à restaurer l’ordre et la grandeur de la France. Cette image, invoquée ici, traduit une colère face à une Assemblée qui, par les agissements de certains, trahit le peuple qu’elle prétend servir.
Ils ont franchi un cap. Ce 1er mai, les délicieux Black Blocs se sont jetés, non pas comme d’habitude sur des sympathisants du Rassemblement national, sur des gendarmes ou sur des policiers, mais sur… un responsable et un stand du PS. Bienvenue au club ! Le stand fixe du PS a été consciencieusement saccagé, ce 1er mai, par ces professionnels de la destruction qui sont à la démocratie ce que le feu est à l’eau, c’est-à-dire l’exact contraire.
C’est en pleine joie pascale que les catholiques du monde entier ont appris le décès du pape François, au lendemain de ce qui aura été sa dernière bénédiction Urbi et Orbi — qu’il n’a pas eu la force de prononcer lui-même. L’Action française est un mouvement politique et non confessionnel : son l’objectif est d’instaurer un « compromis laïc » (Maurras) entre les Français, dont notre pays a d’autant plus besoin aujourd’hui que les facteurs de division s’accroissent et s’aggravent.
Imagine-t-on une Française issue d’une famille de délinquants notoires ayant sévi au Mali haranguer les foules lors d’une manifestation à Bamako en affirmant à qui veut l’entendre que le Mali est à eux ? C’est pourtant ce qu’a fait, en miroir inversé, Assa Traoré, ce 1er mai, place de la République à Paris. Sans que personne ne moufte : « Ce pays nous appartient et continuera de nous appartenir. » Qui, nous ? « La communauté malienne, et toutes les autres communautés venues en France » qui « sont l’espoir de ce pays ».