Dois-je le souligner : le prétendu débat sur la prétendue réforme des droits à pensions de vieillesse se présente comme un cafouillage inaudible. D'une telle cacophonie n'émergent que quelques rares propos sensés. Ils sont immédiatement couverts par les considérations les plus désordonnées. Ce n'est pas un débat c'est une assemblée générale gauchiste.
Dans cette folle confrontation, cerise sur le gâteau, nos chères bureaucraties syndicales menacent de bloquer le pays. Elles peuvent en effet y prétendre, compte tenu des incertitudes et reculades gouvernementales. Les paris sont ouverts.