Ne pouvant se stocker, l’électricité implique un exercice d’équilibrisme : l’offre doit s’aligner en permanence sur une demande instantanée variant fortement avec l’heure de la journée, la saison et la latitude. Par ailleurs, le confort de notre société moderne exige de disposer d’électricité 100% du temps.
France et politique française - Page 696
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Peut-on sortir du système électrique européen ? Le temps des mauvaises décisions (1/2)
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Paris : Un homme fait six blessés à l'arme blanche gare du Nord avant d'être neutralisé par balle
Par actu17Le mercredi 11 janvier 2023Un homme a blessé plusieurs personnes à l'arme blanche ce mercredi matin gare du Nord à Paris (Xe) à 06h42.
Il a utilisé un objet pointu de type poinçon. Deux policiers, qui rentraient chez eux à la fin de leur service, ont ouvert le feu à trois reprises au total pour le neutraliser.
L'agresseur a été grièvement blessé, il a été évacué à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (XIIIe) avec un pronostic vital engagé selon nos informations. Il serait âgé de 31 ans.
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Dominique Reynie (Fondapol) : « Le Danemark a beaucoup communiqué sur sa politique migratoire et ça a eu l’effet dissuasif escompté, tandis que la France se fait connaître comme étant un pays accueillant, généreux, dont on ne repart pas. Pour les migrants
Dominique Reynie, Directeur général de Fondapol*, sur Figaro live : « Le Danemark a beaucoup communiqué sur sa politique migratoire et ça a eu l’effet dissuasif escompté, tandis que la France se fait connaître comme étant un pays accueillant, généreux, dont on ne repart pas. Pour les migrants, ça vaut le coup de tenter. » (vidéo)
* Fondapol : La Fondation pour l'innovation politique est un laboratoire d'idées français créé en 2004.
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Age de départ à la retraite :… le vrai problème c’est la Loi Touraine, votée par la gauche !
Bernard Germain
63 ans, 64 ans, 65 ans… voire plus, comme âge de départ à la retraite ?
C’est la question qui fait le «buzz» en ce moment, auprès des partis politiques, syndicats et associations, suite à l’annonce faite par Macron de mettre en œuvre la réforme des retraites dès l’été prochain.
La «Gauche» (partis, syndicats, …) est vent debout contre la modification voulue par Macron.
Une manifestation est appelée le 10 janvier à Paris (et ailleurs) sur le thème.
On notera d’abord que ceux qui appellent à cette manifestation sont pour le moins… gonflés.
En Avril 2022, ils ont tous appelé à voter Macron «pour empêcher la France de sombrer dans le fascisme».
Peut-être n’avaient-ils pas imaginé que Macron, une fois élu, allait reprendre la mise en œuvre de ses mesures anti-sociales ?
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JO 2024. Un nouveau rapport de la Cour des comptes souligne les “défis à relever” et les “risques à circonscrire” : “probables carences” pour la sécurité, “risques majeurs” dans les transports, “incertitudes substantielles” sur le budget… (MàJ) perubu10/0
10/01/2023
Le document de la Cour des comptes sur la préparation des Jeux Olympiques à Paris en 2024, dont l’AFP a obtenu copie lundi et commandé de longue date, balaie tous les sujets. “Les enjeux relatifs à la sécurité et aux transports restent des défis à relever et doivent faire l’objet d’une vigilance particulière des pouvoirs publics et du comité d’organisation“, relève l’instance. Le rapport doit être présenté mardi 10 janvier au Parlement. La Cour pointe du doigt les “risques à circonscrire“.
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Allonnes : la mairie prête à brader un bâtiment communal pour en faire une mosquée ?
À peine plus d’un an après sa fermeture, la mosquée d’Allonnes (Sarthe), fermée en octobre 2021 pour une durée de six mois au motif d’une « pratique radicale de l’islam », rouvre ses portes courant janvier. Implanté depuis 2010 dans cette commune de 11.000 habitants, le lieu de culte a beaucoup fait parler de lui, ces dernières années, tant pour la pratique religieuse radicale qui s’y se tenait que pour le traitement de faveur dont il bénéficiait grâce aux largesses de la mairie. -
« Sommes-nous dans un état de droit en France ? » : à Nantes, la “Maison du peuple” (extrême-gauche) squatte la maison d’un couple d’octogénaires pour y loger des migrants
La Maison du peuple a investi un pavillon le samedi 7 janvier 2023 afin d’y héberger des familles à la rue. Les enfants des propriétaires de la maison disent leur désarroi et leur colère. Ils expliquent avoir porté plainte.
Une situation inacceptable, illégale
, réagit une famille nantaise. La Maison du peuple a investi, samedi 7 janvier 2023, un pavillon dans un quartier tranquille, non loin du parc du Grand-Blottereau. Les militants ont expliqué vouloir assurer un toit pour des familles à la rue.Ils se sont introduits chez nos parents. Ils ont 89 et 87 ans et sont tous deux sous tutelle. Ils sont placés dans des établissements de santé
, souligne un fils des propriétaires, qui a contacté Presse Océan. -
Callac : Le projet d’accueil de migrants abandonné par la municipalité
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Retraites : pourquoi s’acharner sur l’âge de départ ?
De Jean Rouxel dans Les 4 Vérités :
[…] Mais, surtout, pourquoi s’acharner sur l’âge de départ à la retraite ? Il serait si facile de laisser les actuaires définir l’âge moyen de départ nécessaire pour l’équilibre financier et de donner des malus à ceux qui voudraient partir avant et des bonus à ceux qui voudraient partir après (ou auraient exercédes métiers plus difficiles). En un mot, laisser une place à la liberté et à la subsidiarité. Ajoutons que, quand 44 % des actifs de 55 à 64 ans n’ont pas d’emploi, il n’est pas certain que cette réforme des retraites suffise à remettre l’économie française sur les rails.
Mais peut-être est-ce là que le bât blesse: comment des technocrates pourraient-ils comprendre quoi que ce soit aux réalités économiques?
https://www.lesalonbeige.fr/retraites-pourquoi-sacharner-sur-lage-de-depart/
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Emmanuel Macron sur une possible élection de Marine Le Pen : « En 2027, je ne serai pas candidat, je ne serai donc pas comptable de ce qui arrivera »
Salle des fêtes de l’Elysée, 16 décembre 2022. Emmanuel Macron cherche une bouffée d’air frais. Il lui faut des idées neuves pour affronter un pays éruptif à même de verser dans le populisme. Le chef de l’Etat a réclamé une réunion de cabinet très spéciale : 80 conseillers sont assis autour d’une table en fer à cheval, où pintade et vin sont servis. Tous, y compris les petites mains qui n’approchent jamais le président de la République, ont été sommés de plancher sur le thème : quelle France laisser en 2027 ? Une première. Très vite, le conciliabule se mue en réflexion pour contrer l’ascension de Marine Le Pen. « N’ayez pas peur du Rassemblement national [RN], enjoint Emmanuel Macron. C’est quand on a peur que ça arrive ! » Les idées fusent : abaisser la majorité à 16 ans ? Légaliser le cannabis ? Créer une carte Vitale écologique ? Le chef de l’Etat écoute, ravi, valorise l’audace en dépit des ricanements échangés sous cape. « D’autres avis ? Une opinion dissidente ? », mitraille-t-il en réclamant à ses collaborateurs de la « radicalité ».