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religion - Page 209

  • Alexandre Latsa: « la Russie connait un renouveau religieux sans précédent »

    Alexandre Latsa est un Français qui travaille en Russie et réside à Moscou depuis 2008. Il est blogueur et analyste politique et géopolitique pour les agences russes RIA-Novosti et Voix de la Russie. Il tient aussi un site d’information intitulé la Dissonance: un autre regard sur la Russie. Nous lui avons posé des questions sur la France et la Russie, le dossier syrien…

    1) Comment qualifierez-vous les relations entre nos deux pays qui défendent des valeurs totalement différentes (loi Taubira et loi interdisant la propagande homosexuel)?

    Du point de vue économique elles sont encore plutôt bonnes puisque les indicateurs économiques sont positifs et les échanges entre les deux pays sont croissants. On constate depuis 2009 une hausse des investissements français en Russie et surtout plus récemment une hausse des investissements russes en France. On a d’ailleurs récemment parlé de diplomatie économique pour qualifier la relation de la Russie avec nombre de pays européens, dont la France.

     Sur le plan politique, la relation semble s’essouffler, ce qui était assez prévisible avec l’arrivée de la gauche au pouvoir en France. La France affirme son statut de terre d’asile pour de nombreux agitateurs politiques, qu’ils s’agissent d’opposants libéraux soupçonnés de corruption ou d’agents provocateurs comme les Femen qui bénéficient des grâces de la république.

    L’affaire Syrienne a en outre porté un coup très dur aux relations entre les deux pays car la Russie et la France ont clairement sur ce dossier des approches différentes et surtout des objectifs opposés.

    Sur le plan des mœurs enfin une rupture Russie/Europe de l’ouest semble clairement s’établir. Cette rupture semble due aux choix des modèles de société diamétralement opposés que l’Europe de l’Ouest (donc la France) et la Russie développent. Et sur ce plan la nous sommes clairement face à un nouveau rideau de fer moral et sociétal. Il y a aussi le facteur religieux qui est important, la Russie connaît en effet un renouveau religieux sans précédent et dont on ne peut que difficilement mesurer l’ampleur vu de France. A contrario la France semble être entrée dans une période d’athéisme totalitaire qui vise en premier lieu la religion catholique.

    2) Poutine a porté un sérieux coup à la diplomatie française sur le dossier syrien mais Fabius a déclaré que la position française avait obligé les Russes à négocier. Êtes-vous d’accord avec lui ?

    Malheureusement il semble que la diplomatie Française se soit un peu trop rapidement avancée dans cette affaire. La France a joué les Va-t-en guerre de façon irrationnelle et injustifiée et au final l’accord Russo-américain qui émerge de la crise nous laisse totalement à l’écart du centre de prises de décision et nous affaiblit considérablement sur la scène internationale.

    Lire la suite :

  • 5 mois, jour pour jour

    ... que les Sentinelles se relaient devant le ministère de l'Injustice. Un pied de nez à Christiane Taubira, dont une proche a avoué : "On ne pensait pas qu'ils passeraient l'été".

    24 11

    Deux sentinelles sont sur place en ce moment.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Fenêtre ouverte sur "Diffusion de la pensée française - Editions de Chiré"

    EdcLa majorité de nos lecteurs connaissent certainement ce nom qui fut pendant plusieurs décennies LA référence en matière de diffusion de livres catholiques et français et/ou d'essence contrerévolutionnaire. Puis à partir de la fin des années 80 se mirent à ouvrir d'autres maisons d'édition, bien souvent grâce aux graines de contre-(in)culture semées par Chiré.

    Chiré, ce sont aussi deux revues mensuelles:
    •  "Lectures Françaises", à caractère politique, créée par Henry Coston en 1957, dont le site est ici;
    • "Lecture et Tradition", à caractère littéraire, créée en 1966, dont le site est ici.
     Physiquement, DPF, c'est :
    • d'abord le camp de base, à Chiré en Montreuil près de Poitiers;
    • mais aussi une librairie, déjà ancienne, à Paris, avec des dédicaces régulières,
    • et, nouvelle acquisition, la reprise d'une librairie à Nantes depuis le 2 novembre.
    Pour ceux qui découvriraient cette "institution" avec cette brève, vous en saurez davantage ici.
    À bon lecteur, salut !
  • Quand l'Islam nous aide...

    L’Islam sur notre sol est un sujet fondamental sur lequel on entend comme souvent tout et n’importe quoi. L’Europe n’est pas compatible avec l’Islam, c’est un fait indéniable, évident, indiscutable mais, dans la configuration actuelle, il serait bon de ne pas regarder que les questions médiatiques (ne couvrant, en général, que des aspects bien secondaires de la question). L’Islam dérange de plus en plus les « Français moyens » car, à force, il se fait trop voyant et trop prégnant sur trop d’aspects de la vie quotidienne de ceux-ci. C’est tout à fait normal et il est de plus en plus difficile pour le système de masquer la réalité. Pour autant le problème religieux posé par l’Islam n’est pas le fait sur lequel on doit se focaliser en priorité.

    En effet, nous voyons que les médias tapent en continu, de manière plus ou moins voilée, sur l’Islam, ce qui devrait déjà amener quelques suspicions : l’intérêt du système n’est pas le nôtre. Dans ce cas précis, il n’utilise pas le ras-le-bol légitime des gens contre la vraie cause de l’Islam : l’immigration massive et incontrôlée, mais contre une simple –mais très visible- conséquence de cette catastrophe: la foi religieuse d’une bonne partie des allogènes présents sur notre sol. L’oligarchie mondialisto-apatride souhaite un monde métissé et uniformisé de consommateurs lobotomisés. Cela explique que le combat bête et irréfléchi contre les croyances de l’Islam, religion qui peut, selon les cas, être un frein évident à ce projet mondialiste, va, quelque part, dans le sens du système. En effet, l’Islam ne prend de la place en France qu’à cause de l’immigration que nous connaissons. Il est bien normal qu’avec pas loin de 15 millions d’immigrés non européens qui, dans une bonne partie, viennent de pays musulmans, l’Islam ne peut que progresser…

    Eh bien, que les immigrés restent et/ou deviennent musulmans me va très bien à moi. Cela fait partie de leur identité et il est bon qu’ils la conservent (ou puissent la retrouver quelle qu’en soit la raison). Nous sommes pour la préservation des cultures et des identités et non pour leur extinction. Cela permet tout simplement de nous différencier d’eux et eux de nous. Chez les jeunes allogènes, l’Islam est souvent dévoyé et n’est utilisé que comme marqueur identitaire assez flou, certes, mais tout ce qui va à l’encontre du monde voulu par l’oligarchie peut nous aider dans la situation catastrophique que nous vivons aujourd’hui...  La dernière chose que nous voulons est effectivement de voir les immigrés s'intégrer ou s'assimiler dans le projet de société mondialiste pondu par nos élites, comme le veulent en réalité tant de ceux qui critiquent l'Islam de manière monomaniaque... L'islam est un frein réel à l'intégration de ces populations et c'est très bien ! On ne répétera jamais que le vrai problème est celui de l'immigration. Pas d’immigration est égal à pas d’Islam. Simple, non ?

    Comme le disait un vieux slogan: "intégration des immigrés: jamais!". Donc, oui, je préfère savoir leurs filles voilées qu’ « intégrées », c'est-à-dire en se comportant comme des pétasses.  Je ne veux pas que ces populations nous ressemblent dans ce que nous avons de pire mais qu’elles restent (autant que faire se peut dans ce monde de déracinement et de perte des valeurs) elles-mêmes au maximum.

    Rüdiger pour Le Cercle Non Conforme

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2013/11/20/islam-5225745.html

  • Libye : explication et conséquences d’un massacre

    Vendredi 15 novembre, à Tripoli, les miliciens originaires de la ville de Misrata ont ouvert le feu sur une foule réclamant leur départ, faisant plusieurs dizaines de morts et des centaines de blessés. A la suite de ce massacre, les tireurs furent encerclés par les milices rivales qui s’emparèrent de leur quartier général.

    Samedi 16 novembre, ayant reçu des renforts ils tentaient de maintenir leurs positions.

    Ces sanglants événements traduisent la lutte pour le pouvoir qui se déroule en Libye depuis le renversement du colonel Kadhafi. Comme les Berbères (berbérophones ou arabophones) disposent d’une milice solide, si les miliciens de Misrata étaient chassés de Tripoli, ils constitueraient alors la principale force de la capitale. Clés d’explication d’une redistribution des cartes en cours :

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Libye-explication-et-consequences

  • A propos de la petite fille caillassée à Nancy

    Suite à mon post, Gabrielle Cluzel a mené son enquête :

    "L’histoire se déroule samedi après-midi, à Nancy. À l’appel de l’association anti-IVG « SOS Tout-Petits », une vingtaine de Lorrains se sont rassemblés place de l’Alliance afin d’y réciter un « rosaire pour la vie ». Une famille de Metz est spécialement venue pour l’occasion avec ses quatre enfants. Sur place, un cordon impressionnant de CRS et, surtout, tout autour, une soixantaine d’antifas. Trois fois plus nombreux, donc, que ceux contre lesquels ils sont venus protester.

    Comme le reste du petit groupe, la famille messine égrène pacifiquement son chapelet. Leur voix est rapidement couverte par les insultes et les cris qui fusent. Lorsqu’ils se mettent à chanter, l’agressivité des antifas monte d’un cran et les injures s’amplifient. Et puis d’un coup, vers 15 h, des jets de projectiles. Qui s’interrompent quelques instants pour reprendre de plus belle. Des objets divers, et des cailloux. Les CRS, impassibles, continuent de faire les Casques bleus. Mais soudain, le troisième enfant de la famille venue de Metz, une petite fille de quatre ans, fond en larmes. Une pierre l’a touchée à la tête. Elle cache son front dans le manteau de sa maman, un front qui saigne, orné d’un gros œuf de pigeon.

    Les parents, quoique bien secoués, n’ont pas porté plainte. Pas plus qu’ils n’ont accepté l’offre d’un représentant des Renseignements généraux sur place de les escorter jusqu’à la voiture familiale. Pourquoi ? Parce que, selon le père de famille, cela n’aurait servi à rien sinon, dit-il, à « les ficher ». Il faut dire – car il ne s’en cache pas –, qu’il n’a plus confiance dans la police, ayant été lui-même, il y a quelques mois, à Metz, plaqué au sol par les CRS lors de l’inauguration du tramway « Mettis » pour un petit drapeau de la Manif pour tous, puis parqué durant deux heures avec d’autres grands délinquants dans son genre. Une réaction instinctive qui en dit long sur le climat de confiance dans lequel vivent actuellement certaines familles françaises dans leur propre pays.

    Dernier détail : la mère de famille est d’origine gabonaise. Pour des antifas, réputés attachés à la lutte contre le racisme, on peut dire qu’ils ont bien visé. C’est sans doute, voyez-vous, qu’il en va de la diversité comme du reste, il y a la bonne diversité et il y a la mauvaise. Et celle qui récite des chapelets ne mérite sans doute rien d’autre qu’être lapidée, même si elle n’a que quatre ans… Un peu de mesure, chers amis ! Les antifas ne sont que de grands maladroits. De gentils anarchistes qui n’ont pas le compas dans l’œil et n’auraient jamais pensé blesser une petite fille. Allez, n’y pensons plus, un peu d’arnica, et la bosse va se résorber. Et ne tentez pas d’imaginer le tollé si d’autres que les antifas avaient commis pareille « maladresse », c’est très mauvais pour votre ulcère d’estomac !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/a-propos-de-la-petite-fille-caillass%C3%A9e-%C3%A0-nancy.html

  • Cent mille chrétiens sont éliminés chaque année à travers le monde

     

    Cent mille chrétiens sont éliminés chaque année à travers le monde
    Le Professeur Todd Johnson est le successeur de son collègue David Barrett (1927-2011), "Monsieur Statistiques" pour les chercheurs de sciences religieuses à travers le monde entier, à la tête du Center for the Study of Global Christianity de South Hamilton (Massachusetts), un centre qui est à l'origine des statistiques sur le nombre des fidèles des diverses religions utilisés par un grand nombre d'universités - et aussi d'Eglises et de communautés religieuses - à l'échelle internationale. Johnson sera en Italie en décembre pour un certain nombre d'engagements, et débutera un séminaire par un rapport sur la méthodologie de la statistique religieuse organisé par l'Université Roma Tre, en collaboration avec le CESNUR et avec l'Académie des Sciences humaines et sociales, le 16 Décembre.
    Barrett et Johnson sont également à l'origine de ce qu'ils appellent la «martyrologie» , c'est-à-dire la compilation de statistiques sur le nombre de chrétiens tués « dans des situations de témoignage» ce qui signifie tués parce que chrétiens. Ces chrétiens qui ont été tués, selon Barrett et Johnson, sont au nombre de soixante-dix millions de la mort de Jésus-Christ à l'an 2000, dont 45.000.000 se concentrent durant le XXe siècle. Dans la première décennie du XXIe, de 2000 à 2010, selon Barrett il y en a encore eu un million, soit 100.000 par an. Cette estimation d'une moyenne calculée sur dix ans était de 105.000 en 2011 - l'année où, en commentant ces chiffres lors d'une réunion de l'Union européenne, il la traduisait dans la formule, arithmétiquement logique par rapport au chiffre de 105.000, "d'un chrétien tué toutes les cinq minutes" - alors que l'estimation de Johnson pour 2013, publié dans le numéro 37/1 de sa publication "Bulletin international de recherche missionnaire" était de 100.000.
    Périodiquement, ces chiffres sont attaqués; et récemment une information parue sur le site de la BBC donnait l'impression que Johnson lui-même les avait en quelque sorte redimensionnés ou retirés. Afin de clarifier la façon dont les choses se présentent, j'ai interviewé le professeur Johnson lui-même.

    Professeur, est-il vrai que vous avez démenti la fameuse statistique des 100.000 chrétiens tués chaque année ?
    Mais pas du tout. Il se peut que le journaliste de la BBC ne m'ait pas bien compris, mais j'ai simplement expliqué que la statistique se réfère à une moyenne des dix dernières années, non à une année donnée. Par conséquent, la statistique que nous avons publiée en 2013 correspond à la somme des morts des années 2003 à 2012 divisée par dix. Et la somme divisée par dix donne précisément 100.000. Si nous nous livrons au même exercice l'an prochain, nous ferons le total des morts de 2004 à 2013 et nous le diviserons par dix. Ce chiffre est significatif d'une tendance bien plus que s'il se concentrait sur une seule année où les données peuvent être modifiées par des variables éphémères, et où l'on risque d'annoncer des retournements décisifs causés par des événements positifs ou négatifs qui ne se répéteront pas les années suivantes.

    La BBC objecte que 90% des morts au cours des dernières années ont été tués dans la République démocratique du Congo, où il y a une guerre civile en cours. Quelle est votre réponse?
    Pour certaines des dix années prises en compte par l'évaluation sur dix ans, il est vrai que les données du Congo pèsent jusqu'à 70% - 90% est exagéré, mais nous avons toujours dit que le Congo pesait beaucoup - ce n'est pas une découverte de la BBC - tandis que sur l'échelle de la décennie, si l'on regarde les autres années, nous prenons en considération une donnée non moins importante, celle du Sud-Soudan, où les choses se sont améliorées ensuite. Beaucoup de mes dernières interventions lors de conférences internationales examinent la situation au Congo, et l'affaire est intéressante pour expliquer notre méthode. Il y a certainement des cas où il est difficile de déterminer si des personnes sont tuées en raison du fait qu'elles sont chrétiennes ou pour des raisons ethniques ou politiques. Dans ce cas, nous évaluons le poids du facteur religieux et sur la base de ce facteur nous attribuons un pourcentage du total des personnes tuées à des raisons religieuses. Pour le Congo, nous avons estimé - de façon très prudente et à titre de précaution - que le facteur religieux intervient pour vingt pour cent dans les raisons qui provoquent les assassinats. Je dis prudente et à titre de précaution parce que nous avons recueilli sur le terrain, des centaines de témoignages qui parlent de personnes tuées dans les églises et tuées parce que, pour des raisons religieuses, elles refusent de se battre dans les milices ou a fortiori de s'impliquer dans des guerres qu'ils estiment injustes. Par conséquent, pour chaque année, nous ne comptabilisons pas cent pour cent de chrétiens assassinés au Congo dans nos statistiques, mais seulement vingt pour cent. Nous adoptons des critères similaires pour les autres pays. Les critères, on peut toujours les discuter, mais je dois avouer que je ne comprends pas bien les objections qui vous invitent à soustraire les chrétiens tués au Congo, comme s'ils étaient des victimes de seconde zone par rapport à ceux d'autres pays.

    Mais la BBC affirme que ce ne sont pas des «martyrs». Est-ce vrai?
    La notion de «martyr» n'est pas univoque. Par exemple, la tradition juive - qui considère «martyrs» les victimes de l'Holocauste - ou celle de l'islam qui ont un concept plus extensif du "martyre" que celui du christianisme. Je suis protestant, mais je sais que l'Église catholique a en revanche un concept plus restrictif: seul est "martyr" celui qui offre volontairement sa vie pour sa foi. Si quelqu'un est victime d'une bombe qui fait exploser une église ou un local fréquenté par les chrétiens, pour l'Église catholique, il n'est pas nécessairement un «martyr», alors que pour de nombreux protestants il l'est. Nous sommes conscients de ces différences de terminologie, et c'est pourquoi aujourd'hui nous avons tendance à moins parler de «martyrs» mais plutôt de «personnes tuées dans des situations de témoignage».

    Si la situation au Congo devait s'améliorer, votre moyenne calculée sur la dernière décennie va baisser?
    Il y a des chances, et nous espérons qu'il en sera ainsi. Mais je voudrais ajouter un mot d'avertissement. Lorsque la situation s'est améliorée au Sud-Soudan, nous avons pensé que nous pourrions arriver à des estimations beaucoup plus faibles, et c'est alors qu'a explosé la situation dramatique au Congo. L'histoire du christianisme dans les deux derniers siècles ne conduit pas à l'optimisme: quand la violence s'atténue dans un pays particulier, elle explose souvent ailleurs. Le fait que les chrétiens soient victimes de campagnes de haine, soient discriminés, soient tués en nombre encore élevé dans de nombreuses régions du monde fait craindre que de nouvelles flambées de violence se produisent dans d'autres zones géographiques.
  • Observatoire de l’intolérance et de la discrimination : la France mauvaise élève

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "L’Observatoire de l’intolérance et de la discrimination contre les chrétiens revient sur le rapport de l’OSCE concernant les crimes antireligieux. Il remarque que seuls 15 pays membres de l’OSCE distinguent dans leurs données entre les diverses religions, et que seuls 6 pays ont fourni leurs données à l’OSCE. (La France ne fait partie ni des 6 ni des 15 : chez nous on distingue bien, mais seulement entre crimes antisémites et crimes anti-musulmans…)"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Des sentinelles à Bordeaux

    Hier soir, 15 Sentinelles étaient présentent, accompagnées en pensées par de nombreuses autres, sur la place Pey Berland entre la Cathédrale Saint André et l'Hôtel de ville pour rendre un hommage sincère à tous nos soldats et leurs familles de la guerre de 14 -18.

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