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religion - Page 210

  • [Vidéo] Aujourd’hui la Belgique, demain la France ?

    Pour l’instant en BELGIQUE...... Ne soyez pas jaloux, bientôt chez nous ! Municipales 2014 ?

      À VOUS DE JUGER !

    Visionnez la vidéo, diffusez-la... afin que votre entourage ne puisse pas dire qu’il ne savait pas...

     

    Après tout, le changement, c’est maintenant !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Video-Aujourd-hui-la-Belgique

  • Exclu: notre interview d’une des Sentinelles Belgique

     

    sentinelles belgique 2Depuis quelques semaines, nous voyons apparaître des Sentinelles en Belgique pour s’opposer au projet de loi sur l’extension de l’euthanasie, en discussion au Sénat. L’une d’elles a accepté de répondre à nos questions. Paul Forget est étudiant en droit à l’Université Saint-Louis à Bruxelles. Nous avons abordé  le projet de loi, la création du mouvement, la réceptivité du public…

    1) Tout d’abord, même si notre site a déjà abordé la question de l’euthanasie en Belgique, pourriez-vous succinctement parler du projet de loi relatif à son extension discuté au Sénat ?

    Actuellement, malgré de graves problèmes éthiques dénoncés par des professionnels du droit et de la santé ainsi que des dérives – fréquentes euthanasies sans consentement, de prisonniers, de mineurs et déments – dont aucune n’ont jamais été déposées devant la justice par la commission de contrôle, il est question d’étendre la loi de 2002 (dépénalisant l’euthanasie pour les adultes), aux enfants et aux déments. Sous réserve de l’accord de médecins, un enfant pourrait obtenir la mort, avec ou sans le consentement de ses parents, ainsi qu’on le voit dans l’une des propositions de loi : http://www.senate.be/www/webdriver?MItabObj=pdf&MIcolObj=pdf&MInamObj=pdfid&MItypeObj=application/pdf&MIvalObj=83890023#page=1&zoom=auto,0,591

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  • La FECJM veut fonder des écoles catholiques indépendantes

    L'abbé Régis Spinoza précise à L'Homme Nouveau les tenants de sa nouvelle fraternité religieuse enseignante, la Fraternité Enseignante des Cœurs de Jésus et de Marie (FECJM) :

    "[C]’est une association privée (canon 299 §1) qui bénéficie d’une vigilance morale dans son gouvernement exercée par le très révérend père abbé de Notre-Dame de Randol. À ce stade, elle ne peut pas incardiner les membres. La FECJM a donc une existence de facto. Les clercs qui souhaitent intégrer la FECJM devront solliciter une autorisation auprès de leur ordinaire. Pour les autres membres comme frères ou laïcs, l’intégration se fera selon les prescriptions de la FECJM. Les statuts d’une Association privée comme la Fraternité sont une première étape, statuts que l’Église, dans sa prudence, a établis afin de voir si la fondation répond à un besoin pour le salut des âmes. Si l’œuvre venait à se développer, signe de la Providence, nous ferons appel à une autorité légitime, d’abord pour demander une « laudatio » puis une « commendatio », selon les étapes établies par l’Église et fixées par le canon 299 §2, en attendant une éventuelle « recognitio » canonique.

    Aujourd’hui, la FECJM propose un projet d’évangélisation de la jeunesse par les écoles et les activités de jeunesse exclusivement au sein d’un établissement scolaire indépendant, L’Angélus, qui a ouvert ses portes en septembre 2010. Le reste, si je puis dire, appartient au bon Dieu… [...]

    Le but est de fonder des écoles indépendantes (hors contrat ayant un même projet éducatif et pédagogique, et, de préférence, des internats). Par conséquent, il s’agit de développer un réseau d’écoles indépendantes. Existe aussi la volonté de développer un centre de formation pédagogique pour les ecclésiastiques, religieux et laïcs enseignant dans les collèges et lycées. Nous allons vers une réelle carence de professeurs formés et qualifiés, malgré le travail extraordinaire de la Fondation pour l’École. L’Église a toujours eu un rôle essentiel dans l’éducation de la jeunesse et cela s’est concrétisé par le passé grâce aux grands ordres enseignants qui, actuellement, périclitent par manque de vocations. De plus, du moins en France, ces institutions ont-elles gardé comme objectif premier l’évangélisation de la jeunesse en tenant des écoles libres ? Je ne le crois pas. Je ne veux pas faire de conclusions trop hâtives et maladroites mais chacun peut constater que la présence sacerdotale et religieuse dans les établissements scolaires appartenant aux congrégations religieuses est très insuffisante. [...]

    Je suis encore prêtre de l’Institut du Bon Pasteur puisqu’incardiné au sein de celui-ci. La FECJM a été fondée en août 2013 alors que l’IBP était gouverné par dom Forgeot qui était informé de ce projet. J’ai sollicité, tout en assumant la responsabilité de la Fraternité enseignante, auprès du Supérieur Général de l’IBP un temps de réflexion. [...]

    J’ai toujours souhaité servir Dieu et l’Église dans le cadre scolaire puisque j’ai enseigné au sein de l’Éducation nationale puis dans une école catholique sous contrat et enfin dans des écoles indépendantes. [...] Lorsque je suis entré à l’IBP, j’ai clairement annoncé au Supérieur général mes intentions."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Demain la chrétienté

     

    Le père Michel Viot organise le 24 novembre prochain avec l'abbé de Tanoüarn un colloque en l'église St François-Xavier à Paris sur le thème :  « Fête du Christ-Roi, faut-il faire son deuil de la notion de chrétienté ». Il répond à l'Homme Nouveau :

     

    "[J]e me refuse à être syndic de faillite et que je crois non seulement au retour à la chrétienté mais aussi à cette nécessité. Je ne donnerai que deux exemples mais pourrais en fournir d’autres. La doctrine sociale de l’Église n’est envisageable qu’entre pays chrétiens et dans un monde à majorité chrétienne. Et deuxième exemple, seule la chrétienté peut s’opposer à l’islam radical dans l’intérêt des chrétiens, des juifs et des musulmans modérés qui sont encore en majorité dans notre pays, mais pour combien de temps ? [...]

    Un chrétien se doit de travailler au règne du Christ dès ce monde. S’il peut accepter aujourd’hui un État laïc, ce ne peut être que dans le sens de neutre sur le plan religieux, ne privilégiant pas de religion mais ne se mêlant pas de ce qui les regarde. Je reprendrai une partie de citation de Benoît XVI dans son allocution au Président de la République italienne en 2005. Après avoir reconnu la légitimité d’une saine laïcité de l’État (ce qui suppose qu’il peut en exister une malsaine comme actuellement en France) et accepté des réalités temporelles avec les normes qui leur sont propres, le pape précise « sans exclure toutefois les références éthiques qui trouvent leur fondement ultime dans la religion ».

    Un État incapable d’accepter cette mise au point de notre pape émérite prouverait son incapacité à être laïc et justifierait la revendication chrétienne d’avoir un État plus respectueux de sa religion sans pour autant en faire la religion officielle. Pour être encore plus précis à souhaiter le modèle de Constantin avec l’édit de Milan de 313 et non celui de Théodose avec l’édit de Thessalonique en 380. [...] Le Concile ne prône pas la liberté religieuse au sein de l’Église catholique. Chaque catholique est tenu d’obéir au magistère. Et en rappelant le combat de Pie XI pour la liberté des consciences et non pas la liberté de la conscience comme il aimait à le rappeler, Dignitatis humanæ peut et doit être lue dans la continuité de l’enseignement de ce grand pape. [...]

    Le deuxième chapitre concernant la liberté religieuse à la lumière de la révélation ne signifie pas non plus que l’Église admet le droit à l’erreur. Enseignant la vérité qui est en Jésus-Christ seul elle ne peut bien évidemment reconnaître aucun droit à l’erreur. Elle réprouve simplement la contrainte en demandant de prendre pour modèle Jésus et ses apôtres. La coercition qu’elle ne s’autorise pas, elle ne la demande pas non plus à l’État afin d’éviter tout abus. Le texte conciliaire exprime avec d’autres mots ce que voulait le cardinal Pie que l’on peut considérer comme un père spirituel de Quas Primas. Pour lui, dans les années 1870, le rétablissement du règne du Christ en rendant sa primauté à la religion catholique en France ne voulait pas dire qu’il fallait interdire les autres cultes. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La fin des frères musulmans ? Les islamistes financés par le Qatar dans le mur des réalités

    Au congrès international des Frères musulmans, les dirigeants islamistes se sont récemment inquiétés de l’avenir de la confrérie, parrainée en grande partie par le Qatar. La situation des islamistes sunnites s’est dégradée dans de nombreux pays. Leurs échecs ruinent les espérances de la politique internationale qatari de prendre en main, par l’islamisme des frères, le monde arabo-sunnite.

     

    Ecartés du pouvoir et violemment réprimés en Égypte, ils sont dans une spirale négative. Les Frères musulmans égyptiens ont connu, en deux ans seulement, une ascension aussi fulgurante que leur chute. Encore interdits au moment de la révolution, en janvier 2011, ils sont apparus comme les grands vainqueurs de l’ère ouverte par la chute d’Hosni Moubarak, raflant coup sur coup l’Assemblée nationale, l’équivalent égyptien du Sénat (Majlis Al-Choura) et la présidence de la République. Jusqu’au 3 juillet, lorsque l’armée, encouragée par la mobilisation de millions d’Egyptiens, a déposé le président Mohamed Morsi, élu un an auparavant.

    Marginalisés au sein de l’opposition syrienne ou sur la défensive, ils le sont également en Tunisie et malmenés à Gaza. Les frères redoutent maintenant d’être lâchés financièrement par leur parrain du Qatar comme une équipe de football qui perdrait tous ses matchs. Au point qu’ils mettent toute leur énergie à conserver leur bastion tunisien conquis à l’issue du « printemps arabe ». Depuis l’élection de la Constituante tunisienne en octobre 2011, nanti de 37% des voix, le parti Ennahda de Rached Ghannouchi a repris les rênes du pouvoir laissé vacant par Ben Ali. Avec la bénédiction de l’émir du Qatar, les hommes du parti à la colombe – leur emblème- ont constitué un gouvernement d’union nationale au sein duquel ils contrôlent les postes-clés.

    Pendant que l’Assemblée constituante dissertait sur l’égalité hommes/femmes, la place de la religion dans la société et l’organisation des prochaines élections, Ennahda plaçait ses hommes au sommet du pouvoir, de la Banque centrale au ministère des Affaires étrangères. Plus que son islamisme, le népotisme d’Ennahda et son impéritie lui ont aliéné une bonne partie de la population tunisienne. Ennahda, le parti islamiste au pouvoir et l’opposition sont à couteaux tirés. Deux prétendants au titre de leader sont au cœur de cette situation. D’un côté Ahmed Mestiri, 88 ans candidat du parti islamiste Ennahda et son allié Ettakatol. De l’autre, Mohamed Ennaceur, 79 ans, qui jouit d’un soutien fort des principaux partis de l’opposition. L’une des solutions probables pour désamorcer la tension est que ces deux hommes candidats se retirent de la course au poste principal. Le bloc de l’opposition a adhéré mais à condition que le parti islamiste s’engage à faire de même. Chose que refuse de faire Ennahda et Ettakatol d’après Mourad Amdouni, un membre de l’opposition.

    Cela profite finalement à des islamistes encore plus extrémistes. Les salafistes-djihadistes recrutent dans les milieux populaires. Leur idéologie est perçue comme antisystème. Dans les milieux très défavorisés, Ennahda ne fait plus rêver, et la gauche ou l’extrême gauche sont perçues comme des marginaux.

    Mais cela remet en selle également des nostalgiques de Moubarak et Ben Ali. L’armée en Tunisie n’a certes pas le poids de celle en Egypte mais une reprise en main sécuritaire est possible. La crise actuelle favorise un imaginaire qui dépeint Bourguiba l’autocrate en despote éclairé, artisan de la sortie de la Tunisie du sous-développement, de la libération de la femme. Une partie de l’intelligentsia qui, au moment du soulèvement de 2011, imaginait vivre dans un pays moderne et éduqué, découvre avec dépit que le peuple tunisien ne ” suit pas “. L’alliance de circonstance qui unit depuis quelques mois une partie de la gauche, les libéraux et nostalgiques de l’ancien régime, n’est pas sans évoquer les débuts du règne de Ben Ali.

    L’échec des frères musulmans provoque ainsi de véritables chocs en retour, fortifiés par l’anarchie en Libye et l’instabilité du Sahel.

    Jean Bonnevey

    Source : Metamag.

    http://fr.novopress.info/144584/la-fin-des-freres-musulmans-les-islamistes-finances-par-le-qatar-dans-le-mur-des-realites/

  • Le mouvement des veilleurs s'étend en Espagne

    L’organisation pro-famille espagnole Hazte Oir demande de suivre cette initiative pour lutter contre la loi sur l’avortement en Espagne :

    "Peut –être connais-tu le mouvement des « veilleurs » en France. Ils sont en train de défendre les valeurs à force de se concentrer en silence devant les édifices qui abritent les principales institutions de l’Etat. Ils obtiennent ainsi une répercussion  politique et médiatique extraordinaire. Vous pouvez le voir sur la photo. Ils se concentrent d’une manière totalement pacifique, en disposition espacée, occupant l’espace public devant des édifices officiels pour marquer leur opposition aux lois gouvernementales. Nous allons faire la même chose à Madrid pour demander l’avortement zéro et pour préparer la prochaine Marche pour la vie.

    Rendez-vous : Le mercredi 13 novembre, à 18 :30 heures face au Palais des Congrès des Députés."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/le-mouvement-des-veilleurs-s%C3%A9tend-en-espagne.html

  • Les sentinelles sont partout

     

    Dans la nuit de vendredi à samedi :

     

    Place Vendôme :

     

    9 Vendôme

     

    Au pied de l'Arc de Triomphe, devant la tombe du soldat inconnu :

     

    9 tombe soldat inconnu

     

    Place Beauvau, où elles ont su très vite qu'elles n'étaient pas les bienvenues :

     

    Beauvau

     

    Beauvau 2

     

    Même scénario devant l'Assemblée nationale :

     

    9 Assemblée

     

    Aujourd'hui, devant la Préfecture des Yvelines, à Versailles :

     

    9 Versailles 3

     

    9 Versailles préfecture

     

    Et devant le Palais de justice de Chambéry :

     

    9 Chambery palais justice

    Louise Tudy

  • La Marche pour la vie sur KTO

    Cécile Edel, présidente de Choisir la vie, a participé à l'émission Un cœur qui écoute sur KTO :

    "Mariée et mère de quatre enfants, Cécile Edel est le fer de lance du combat en faveur de la vie humaine à travers l'association qu'elle préside : Choisir la vie. Fille de Michel Raoult, conseiller municipal tué au cours de la tuerie de Nanterre en 2002, cette femme de conviction témoigne de son engagement en faveur de la vie naissante et des valeurs héritées de son père. Diplômée en psychologie et en bioéthique, Cécile Edel raconte dans cette émission ce qui l'a conduit à aider les femmes en détresse (confrontées à une grossesse non-désirée) et à coordonner diverses actions pour défendre l'embryon comme la Marche pour la Vie.

    L'émission sera diffusée du 11 au 18 novembre sur KTO :

    • 11.11 : 21h45
    • 12.11 : 12h00 et 19h40
    • 13.11 : 18h10
    • 14.11 : 17h10
    • 15.11 : 23h20
    • 18.11 : 09h45

    Michel Janva

  • Face au traumatisme de l'avortement, accompagner les mères et éduquer les jeunes

     

    Président du groupe de travail mis en place par les évêques sur l’avortement, l’évêque de Grenoble déclare dans La Croix :

     

    K"Pour les évêques, l’avortement constitue un sujet douloureux, car ce phénomène révèle une blessure sociale, qui recouvre de nombreuses souffrances. Nous ne savions pas trop comment aborder le sujet sans délivrer uniquement un discours de condamnation. S’il est clair que l’Église catholique est opposée à l’avortement, il s’agit de porter un regard objectif sur la situation, tout en donnant une parole d’espérance et d’encouragement aux personnes en détresse. [...]

    Quel est l’objectif de votre groupe de travail ?

    Il s’agit de prendre, entre évêques, les moyens d’une vraie réflexion qui puisse éclairer nos actions pastorales [...] nous devons réfléchir à la manière dont nous accompagnons les femmes vivant le traumatisme de l’avortement, comment nous éduquons aussi les jeunes à la beauté de l’amour humain et à son respect.

    Dans le rapport qu’il a remis hier à la ministre des droits des femmes, le Haut Conseil à l’égalité insiste sur le fait que l’avortement est un droit, dont l’État doit assurer le respect. Comment réagissez-vous ?

    En quelques années, nous sommes passés de la dépénalisation à l’affirmation d’un droit. Or, je ne suis pas sûr que les femmes qui avortent et le vivent toujours dans la douleur le perçoivent d’abord comme un droit. Proclamer le droit à l’avortement, c’est défendre une vision erronée de l’amour humain, une conception schizophrénique du corps qui dissocie sexualité et fécondité.

    [...] La seule condamnation ne suffit pas, nous devons être présents aux personnes en souffrance et porter un message d’espérance. D’autant que l’Église ne juge pas les femmes qui avortent. Pour être fidèle à une démarche chrétienne, elle doit être attentive à la détresse de celles qui sont poussées à ce choix, réfléchir à l’aide et à l’écoute qu’elle leur propose."

     

    Le combat pour la vie est en effet un combat total : il faut condamner l'avortement, aider les mères, éduquer les jeunes... Cela passe nécessairement par le soutien aux structures pro-vie, souvent animées par des bénévoles, des mères aux foyer. A ce titre, la participation à la marche pour la vie, chaque année, est importante, car, au-delà de la dénonciation du crime de l'avortement, cette manifestation permet de remobiliser les associations pro-vie qui se sentent parfois trop seules.

     

    La prochaine manifestation aura lieu le 19 janvier 2014.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/