Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

religion - Page 207

  • Entretien avec M. l’Abbé de Tanoüarn

    Sur Boulevard Voltaire

    Le 9 décembre, vous participiez à un colloque organisé par Fils de France sur le thème « Catholique, musulmans : partenaires ou adversaires ? », à l’occasion duquel vous avez longuement débattu avec l’imam Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux. Quelle peut être l’utilité de ce type de rencontres ?

    Abbé de Tanoüarn - La rencontre publique entre un imam et un prêtre catholique manifeste une volonté de se connaître, de ne pas rester, dans la même société, les uns à côté des autres, en s’ignorant, en entretenant toutes sortes de préjugés sur des personnes que l’on jugerait de manière purement abstraite, uniquement à travers leur doctrine. Toute rencontre signifie un respect. Pour moi le respect, c’est, au-delà de toutes les communautés, la forme laïcisée de la charité. Le respect et la charité ont le même caractère d’universalité. On ne respecte pas seulement son conjoint, ses proches, ses coreligionnaires, mais tout homme, dans la mesure où il ne triche pas avec sa propre vie. Et ce respect, que l’on doit à autrui, c’est la forme la plus élémentaire, la plus nécessaire de l’amour du prochain. Dans ce cadre d’ailleurs, j’accepterais n’importe quelle invitation.

    Si, à l’évidence, les dogmes diffèrent entre ces deux religions, existe-t-il néanmoins un socle de valeurs communes ? Et si oui, ce dernier peut-il être utile à l’apaisement de la société française, tenaillée par divers communautarismes ? [...]

    La suite ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Entretien-avec-M-l-Abbe-de

  • 50 veilleurs interpellés à Paris cette nuit

    Ces dangereux réactionnaires menaçaient cette nuit la République. La réaction de Manuel Valls ne s'est pas fait attendre :

    Ces dangereux réactionnaires menaçaient cette nuit la République. La réaction de Manuel Valls ne s'est pas fait attendre :

    4

    V

    0

    3

    Michel Janva

  • Délinquance et religion : le couple infernal…

    Les mafieux italiens semblent empreints de religiosité, comme leurs homologues de l’Est, d’Amérique latine ou d’Israël. Quels rapports entre foi et crime ?

    Sauf dans les délires des « sociologues critiques », le malfaiteur de métier – non l’occasionnel chapardeur, mais le criminel endurci – est tout sauf un révolutionnaire. Les mafieux (aristocrates de l’illicite) sont même fort conservateurs ; ils ont un sens consommé de la tradition. En atteste l’incroyable rigueur du protocole d’entrée dans la mafia sicilienne – bien plus inaccessible que le Jockey Club ! Il faut au départ être Sicilien de père et de mère, tous deux catholiques ; marié et réputé fidèle. On a vu des postulants rejetés car, jadis au village, maman avait eu la cuisse légère… Bien sûr, si vous fréquentez la Gay Pride, buvez ou vous droguez, c’est exclu. Ajoutons-y des cérémonies d’initiation genre première communion, avec invocation d’un saint, etc.

    Un cran plus bas, les bandits sont eux aussi plutôt réacs – ils rêvent de voir la petite aller chez les sœurs et se marier à l’église : le voyou révolté type Jacques Mesrine est rare. Idem chez les bandits de Russie, du Mexique ou d’Israël, d’usage patriotes et affichant une dévotion ostentatoire, même s’il est difficile d’y démêler foi et superstition. Les narcos du Mexique ont même suscité des cultes pseudo-catholiques et de faux saints. Si le lecteur cherche « Jesús Malverde » ou « Santa Muerte » sur un moteur de recherche, il subira un vrai choc…

    De même, l’islam est la première religion carcérale de France. Quels peuvent être les rapports de cause à effet ?

    Lire la suite...

  • La famille a une priorité naturelle sur l'Etat qui doit rester à la porte de ce sanctuaire

    C'est bien à la nature de l'homme et de la femme et au coeur de la famille que le Gouvernement s'en prend en proposant l'individualisation de l'impôt. Il s'agit bien désormais d'achever de dénaturer les personnes et les familles après avoir porté un coup législatif fatal au lien fondateur de la "société domestique".

    En effet, cette proposition n'a de fin que de pousser la femme hors de son foyer sur le marché du travail, agora moderne de la déesse Economie - qui paradoxalement se refère etymologiquement à la gestion de la maison. Et ce combat sans pitié est mené au nom du refus  d'un "schéma familial daté, pour ne pas dire séculaire, où le chef de famille apporte des revenus au ménage et la femme s'épanouit dans les tâches domestiques" (sic). 

    Or ce qui est combattu ici est exactement ce que la nature ordonne, comme le rappelle la sainte Eglise, Mater et Magistra : 

    "Ce droit de propriété que Nous avons, au nom même de la nature, revendiqué pour l'individu, doit être maintenant transféré à l'homme, chef de famille. Bien plus, en passant dans la société domestique, il y acquiert d'autant plus de force que la personne humaine y reçoit plus d'extension.La nature impose au père de famille le devoir sacré de nourrir et d'entretenir ses enfants. De plus, comme les enfants reflètent la physionomie de leur père et sont une sorte de prolongement de sa personne, la nature lui inspire de se préoccuper de leur avenir et de leur créer un patrimoine qui les aide à se défendre honnêtement dans les vicissitudes de la vie, contre les surprises de la mauvaise fortune. Or, il ne pourra leur créer ce patrimoine sans posséder des biens productifs qu'il puisse leur transmettre par voie d'héritage. 

    Aussi bien que la société civile, la famille, comme Nous l'avons dit plus haut, est une société proprement dite, avec son autorité propre qui est l'autorité paternelle. C'est pourquoi, toujours sans doute dans la sphère que lui détermine sa fin immédiate, elle jouit, pour le choix et l'usage de tout ce qu'exigent sa conservation et l'exercice d'une juste indépendance, de droits au moins égaux à ceux de la société civile. Au moins égaux, disons-Nous, car la société domestique a sur la société civile une priorité logique et une priorité réelle, auxquelles participent nécessairement ses droits et ses devoirs. Si les citoyens, si les familles entrant dans la société humaine y trouvaient, au lieu d'un soutien, un obstacle, au lieu d'une protection, une diminution de leurs droits, la société serait plutôt à rejeter qu'à rechercher.

    C'est une erreur grave et funeste de vouloir que le pouvoir civil pénètre à sa guise jusque dans le sanctuaire de la famille. Assurément, s'il arrive qu'une famille se trouve dans une situation matérielle critique et que, privée de ressources, elle ne puisse d'aucune manière en sortir par elle-même, il est juste que, dans de telles extrémités, le pouvoir public vienne à son secours, car chaque famille est un membre de la société. De même, si un foyer domestique est quelque part le théâtre de graves violations des droits mutuels, il faut que le pouvoir public y rétablisse le droit de chacun. Ce n'est point là empiéter sur les droits des citoyens, mais leur assurer une défense et une protection réclamées par la justice. Là toutefois doivent s'arrêter ceux qui détiennent les pouvoirs publics' la nature leur interdit de dépasser ces limites.

    L'autorité paternelle ne saurait être abolie ni absorbée par l'Etat, car elle a sa source là où la vie humaine prend la sienne. " Les fils sont quelque chose de leur père. " Ils sont en quelque sorte une extension de sa personne. Pour parler exactement, ce n'est pas immédiatement par eux-mêmes qu'ils s'agrègent et s'incorporent à la société civile, mais par l'intermédiaire de la société familiale dans laquelle ils sont nés. De ce que " les fils sont naturellement quelque chose de leur père, ils doivent rester sous la tutelle des parents jusqu'à ce qu'ils aient acquis l'usage du libre arbitre. " (7) Ainsi, en substituant à la providence paternelle la providence de l'Etat, les socialistes vont contre la justice naturelle et brisent les liens de la famille" (Léon XIII, Rerum Novarum).

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La famille a une priorité naturelle sur l'Etat qui doit rester à la porte de ce sanctuaire

     

    C'est bien à la nature de l'homme et de la femme et au coeur de la famille que le Gouvernement s'en prend en proposant l'individualisation de l'impôt. Il s'agit bien désormais d'achever de dénaturer les personnes et les familles après avoir porté un coup législatif fatal au lien fondateur de la "société domestique".

     

    En effet, cette proposition n'a de fin que de pousser la femme hors de son foyer sur le marché du travail, agora moderne de la déesse Economie - qui paradoxalement se refère etymologiquement à la gestion de la maison. Et ce combat sans pitié est mené au nom du refus  d'un "schéma familial daté, pour ne pas dire séculaire, où le chef de famille apporte des revenus au ménage et la femme s'épanouit dans les tâches domestiques" (sic). 

     

    Or ce qui est combattu ici est exactement ce que la nature ordonne, comme le rappelle la sainte Eglise, Mater et Magistra : 

     

    "Ce droit de propriété que Nous avons, au nom même de la nature, revendiqué pour l'individu, doit être maintenant transféré à l'homme, chef de famille. Bien plus, en passant dans la société domestique, il y acquiert d'autant plus de force que la personne humaine y reçoit plus d'extension.La nature impose au père de famille le devoir sacré de nourrir et d'entretenir ses enfants. De plus, comme les enfants reflètent la physionomie de leur père et sont une sorte de prolongement de sa personne, la nature lui inspire de se préoccuper de leur avenir et de leur créer un patrimoine qui les aide à se défendre honnêtement dans les vicissitudes de la vie, contre les surprises de la mauvaise fortune. Or, il ne pourra leur créer ce patrimoine sans posséder des biens productifs qu'il puisse leur transmettre par voie d'héritage. 

    Aussi bien que la société civile, la famille, comme Nous l'avons dit plus haut, est une société proprement dite, avec son autorité propre qui est l'autorité paternelle. C'est pourquoi, toujours sans doute dans la sphère que lui détermine sa fin immédiate, elle jouit, pour le choix et l'usage de tout ce qu'exigent sa conservation et l'exercice d'une juste indépendance, de droits au moins égaux à ceux de la société civile. Au moins égaux, disons-Nous, car la société domestique a sur la société civile une priorité logique et une priorité réelle, auxquelles participent nécessairement ses droits et ses devoirs. Si les citoyens, si les familles entrant dans la société humaine y trouvaient, au lieu d'un soutien, un obstacle, au lieu d'une protection, une diminution de leurs droits, la société serait plutôt à rejeter qu'à rechercher.

    C'est une erreur grave et funeste de vouloir que le pouvoir civil pénètre à sa guise jusque dans le sanctuaire de la famille. Assurément, s'il arrive qu'une famille se trouve dans une situation matérielle critique et que, privée de ressources, elle ne puisse d'aucune manière en sortir par elle-même, il est juste que, dans de telles extrémités, le pouvoir public vienne à son secours, car chaque famille est un membre de la société. De même, si un foyer domestique est quelque part le théâtre de graves violations des droits mutuels, il faut que le pouvoir public y rétablisse le droit de chacun. Ce n'est point là empiéter sur les droits des citoyens, mais leur assurer une défense et une protection réclamées par la justice. Là toutefois doivent s'arrêter ceux qui détiennent les pouvoirs publics' la nature leur interdit de dépasser ces limites.

    L'autorité paternelle ne saurait être abolie ni absorbée par l'Etat, car elle a sa source là où la vie humaine prend la sienne. " Les fils sont quelque chose de leur père. " Ils sont en quelque sorte une extension de sa personne. Pour parler exactement, ce n'est pas immédiatement par eux-mêmes qu'ils s'agrègent et s'incorporent à la société civile, mais par l'intermédiaire de la société familiale dans laquelle ils sont nés. De ce que " les fils sont naturellement quelque chose de leur père, ils doivent rester sous la tutelle des parents jusqu'à ce qu'ils aient acquis l'usage du libre arbitre. " (7) Ainsi, en substituant à la providence paternelle la providence de l'Etat, les socialistes vont contre la justice naturelle et brisent les liens de la famille" (Léon XIII, Rerum Novarum).

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Violente charge policière contre les catholiques en Inde. Archevêque arrêté et religieuses matraquées !

    300 leaders chrétiens embarqués au commissariat. La police arrête l’archevêque de Delhi et charge avec bâtons et canon à eau des religieuses et des prêtres !

    inde-manif-catho-3-MPI

    A quand remonte la dernière fois qu’un archevêque catholique, accompagné d’autres évêques catholiques et  membres du clergé, ont été incarcérés et frappés à coups de bâtons par la police d’un pays dit démocratique ?

    C’est pourtant ce qui s’est passé ce mercredi  11 décembre à Delhi, en Inde où la police a attaqué avec des bâtons –ce qui ici s’appelle une « lathi-charge » – une manifestation pacifique en faveur des droits des minorités chrétiennes, soutenue par la Conférence Episcopale d’Inde et en présence de l’archevêque de Delhi, Mgr Anil Couto, et d’autres évêques catholiques indiens, de nombreux curés, et religieuses.

    inde-manif-cath-évêque-MPI

    (photo : le rassemblement était pacifique)

    Commencent à circuler des photos montrant des agents de police armés de bâtons retenant des religieuses et des prêtres vêtus de la soutane blanche et portant une croix sous des jets d’eau. La police a emmené dans des fourgons et des autobus les leaders de la manifestation. Ils ont arrêtés l’archevêque de Delhi, Mgr Anil Couto.

    Lire la suite...

  • La marche des musulmans : africanisation de la France et Sahelistan

    Peut-on assimiler un islam par essence sectaire et dominateur, si différent des traditions européennes ?

    Le programme pour la France de Léonora Miano, lauréate camerounaise du prix Femina, se veut limpide. Le temps est venu de payer la facture et de laisser la place aux anciens colonisés comme un juste retour de balancier. Du reste, si les Africains sont malheureux, c’est toujours de notre faute. La preuve ? Ils nous haïssent au point de s’empresser de débarquer chez nous.

    Tout va bien, n’ayez pas peur de la mutation, vous ne mourrez pas de la disparition du monde connu, dit la donzelle dont la candeur n’a d’équivalent que la machination de ceux moins francs qui mettent en œuvre l’agenda de la rétro-colonisation.

    Jusqu’à quel point peut-on accepter d’être minoritaire en France ? À partir de quel seuil une population submergée, humiliée, traitée de raciste et d’infâme prend les armes contre ses envahisseurs ?

    L’islam est la première religion de France par le nombre de pratiquants. Les 15 % de musulmans forment l’avant-garde d’une Reconquista qui ne dit pas son nom, dans les esprits autant que dans les salles de prière, voulue et entretenue par des élites acceptantes et repentantes.

    Lire la suite...

  • Centrafrique : si les chrétiens ne s'étaient pas défendus, la France serait-elle intervenue ?

    De Bernard Antony :

    "La vérité sur la nature du conflit, c’est que depuis des mois la population très majoritairement chrétienne (80 %) de la république centrafricaine est terrorisée par le mouvement au pouvoir, la Séléka, issu de la minorité musulmane et très renforcé par des jihadistes venus du Tchad, du Cameroun et du Soudan et aussi par toute une piétaille de bandits, ce qui n’est pas contradictoire.

    La soldatesque Séléka, bénéficiant de surcroît de l’évidente complaisance et même de la complicité des troupes africaines de l’OUA censées avoir été envoyée à des fins de pacification n’a cessé de piller, de violer, de massacrer. Il est donc triste que l’on ait attendu pour intervenir que les chrétiens désespérés et exaspérés, constituant des groupes de résistance dans la brousse et s’organisant dans leurs quartiers, sous le vocable « d’Anti-Balaka », se rebiffent. Leur sursaut, avec des armes dérisoires, a évidemment pris, çà ou là, la tournure d’une contre-terreur, aux excès sans doute regrettables. Mais fallait-il qu’ils attendent tous d’être génocidés comme jadis au Rwanda, mais d'une manière inverse, la minorité Tutsi par la majorité Hutu ?

    N’est-il pas curieux qu’une décision d’intervention n’ait été prise par nos dirigeants socialistes que lorsque les périls pour la minorité musulmane au pouvoir ont été semblables à ceux ayant jusque-là frappé la majorité chrétienne ? [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/centrafrique-si-les-chr%C3%A9tiens-ne-s%C3%A9taient-pas-d%C3%A9fendus-la-france-serait-elle-intervenue-.html

  • CENTRAFRIQUE. Deux soldats français tués à Bangui

    Deux soldats français ont trouvé la mort lundi lors d’un accrochage à Bangui, a déclaré l’armée auprès de BFMTV mardi 10 décembre.

    Un peu plus tôt, l’état major des armées avait indiqué que la "population n’était plus menacée" dans la capitale centrafricaine.

    Les groupes armés qui tenaient les rues de Bangui ont pour la plupart quitté leurs positions pour se regrouper dans un camp de la capitale centrafricaine, a en effet indiqué lundi soir à Paris l’état-major des armées, alors que l’opération se poursuivait dans la capitale centrafricaine.

    "Il n’y a plus de groupes armés qui patrouillent dans la ville", a déclaré le porte-parole de l’état-major, le colonel Gilles Jaron : "Très rapidement, nous nous sommes rendus compte que ces groupes avaient quitté leurs positions dans leur très grande majorité".

    François Hollande se rendra par ailleurs sur place mardi soir, en compagnie de Laurent Fabius. [...]

    La suite sur Nouvel Obs

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?CENTRAFRIQUE-Deux-soldats-francais