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religion - Page 32

  • Iran : Descendant de Mahomet, il embrasse la croix

    Iran : Descendant de Mahomet, il embrasse la croix

    En Iran, de nombreux musulmans se convertissent au christianisme malgré les risques encourus. Comme les premiers chrétiens, ils vivent leur catéchuménat dans la plus stricte clandestinité. L’AED a rencontré l’un d’entre eux.

    Heman est un jeune homme discret, très poli, qui nous remercie chaleureusement pour le repas et la tasse de thé. Il parle avec douceur, sans la moindre trace de colère envers ceux qui ont fait de sa vie un enfer. Il a grandi dans une famille de Seyed, des descendants du prophète en langue persane. L’un de leurs ancêtres est considéré comme le fondateur de Mahabad, la ville où ils résident. Pénétré de l’importance que lui donne sa lignée, le père se comporte en potentat oriental. Colérique, il bat femmes et enfants, enfermant les récalcitrants dans une cave. Tous souffrent de claustrophobie, à la suite de ce traitement. Heman confesse : « Moi aussi, j’étais comme lui, plein de colère, y compris envers ma femme ». Difficile à imaginer quand on voit l’homme qui se tient en face de nous.

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  • Il ne faut pas jeter le petit jésus avec l’eau du bénitier.

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    Charles-Henri d'Elloy

    Bien des chrétiens n’ont plus la foi. Je dis qu’ils ne l’ont plus à supposer qu’ils l’aient eu un jour. Non seulement ils ne croient plus en Dieu mais ils ne croient plus au diable, sauf le jour de cette satanée, pour ne pas dire satanique, Halloween. (The eve of All Hallows' Day la veille de tous les saints).

    Pourtant, avec toutes les injustices, les atrocités et les laideurs du monde, on voit bien l’œuvre du démon tous les jours. En réalité, ils doutent, ils sont davantage agnostiques qu’athées. Vous me direz que le doute est le début de la foi mais la progression est dans le mauvais sens, on passe de la foi au doute et du doute à l’athéisme. Le plus regrettable, sont ces catholiques qui croient en Dieu en fonction des opinions de ses représentants, comme si  l’Église était une multinationale dont les commerciaux devaient avoir à tous les coups la tête de l’emploi ! Par exemple, de bons catholiques baptisés perdent la foi parce que le Pape François ne leur plait pas. J’observe ce phénomène chez les catholiques traditionnalistes plutôt « droitards ». Comme beaucoup de monde, ils confondent l’Église, les dogmes et la foi. L’Église est une institution, formée d’Hommes, le peuple de Dieu et ses pasteurs, alors que la foi est toute intérieure, c’est un don de Dieu en la croyance intime de son existence. Les dogmes, eux, sont des vérités révélées, c’est très différent.

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  • Étendard de la délivrance, par Jacques Trémolet de Villers.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    Comment, en ce mois de Mai, ne pas parler de Jeanne d'Arc ?

    Ma chronique judiciaire va vers cette accusée, condamnée, victime de juges iniques vendus à l’ennemi, abusant de leur pouvoir spirituel pour tenter de faire triompher un pouvoir temporel illégitime. Elle a vaincu dans le temps et dans l’éternité, pour les siècles des siècles.

    L’étendard de Jeanne qu’elle « aimait quarante fois plus que son épée » et sur lequel les juges l’ont beaucoup interrogée, a été appelé, dans un hymne célèbre, « Étendard de la Délivrance ». C’est vrai que sous cette bannière confectionnée selon l’ordre de ses Voix, c’est-à-dire selon la volonté de Dieu – « je vous l’ai assez dit que je n’ai rien fait que du commandement de Dieu » –, Jeanne a délivré Orléans, la Vallée de la Loire, puis le royaume.

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  • Ascension : les « fake news » du Monde

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    Pour l’édification de ses lecteurs, le grand quotidien de référence du soir, premier arbitre de la presse, Le Monde lui-même, a commis, sous la plume d’un certain Ilham Mraizika, un article expliquant la fête de l’Ascension. Ou, plutôt, a très mal synthétisé la fiche Wikipédia consacrée à cette fête chrétienne en commettant de nombreuses erreurs. Sans oser prétendre les avoir toutes identifiées, voici les bourdes les plus énormes infligées au lectorat de ce respectable journal.

    D’après Le Monde, l’Ascension aurait eu lieu, selon la Bible, 40 jours après la résurrection de Jésus. Pas de chance : dans aucun des quatre Évangiles, ni dans aucun écrit néotestamentaire, ne figure l’indication d’une durée. Quant aux livres de l’Ancien Testament, ils sont antérieurs à ces événements. Que l’Église fête l’Ascension à cette date est sans rapport avec la chronologie exacte de cet événement dont nous ne savons rien, sinon qu’il est situé entre la résurrection (après le sabbat de la fête juive de Pâques) et la Pentecôte, une autre fête juive.

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  • Une victoire pour Civitas : la liberté religieuse rétablie

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    Un communiqué de Civitas :

    Saisi sur requête déposée en premier lieu par CIVITAS, puis par plusieurs associations de catholiques, le juge des référés du Conseil d’État vient de condamner l’État français en lui rappelant que la liberté religieuse est une liberté constitutionnelle et qu’elle ne saurait être limitée par des mesures manifestement attentatoires à l’exercice des libertés publiques. Le juge administratif confirme ainsi une jurisprudence constante dont la solennité avait déjà été soulignée en 2005.

    Le gouvernement se voit donc contraint, dans un délai de 8 jours, de réformer le dispositif prévu par le décret du 11 mai 2020, en vue de faciliter l’exercice du culte et de permettre, par conséquent, la restauration des célébrations religieuses.

    Alors que les évêques français demeurent confinés dans leurs évêchés, Civitas se réjouit, aux côtés d’autres associations de catholiques qui lui ont emboîté le pas , d’avoir contribué à la libération du culte catholique.

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  • Après la destruction de la croix du pic Saint-Loup, des jeunes érigent une croix provisoire

    Après la destruction de la croix du pic Saint-Loup, des jeunes érigent une croix provisoire

    Communiqué de ces jeunes :

    Ce dimanche 17 mai, les militants de Tenesoun ont participé à l’installation d’une croix provisoire au sommet du pic Saint-Loup dans l’Héraut. La croix historique a récemment été sciée et vandalisée. A proximité, des tags “Pic laïque” ont été inscrits.

    La croix, symbole de Foi et d’espérance, est un symbole pour tous, que l’on soit catholique ou non. Elle guide les pèlerins, les randonneurs et plus largement les Français. Nous appelons donc à ne pas rester spectateurs mais à agir, poser des actes concrets quand notre héritage et nos traditions sont attaqués.

    Notre mot d’ordre: Bâtir quand tout s’écroule !

    https://www.lesalonbeige.fr/apres-la-destruction-de-la-croix-du-pic-saint-loup-des-jeunes-erigent-une-croix-provisoire/

  • Un déconfinement à géométrie variable

    Un déconfinement à géométrie variable

    De Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique :

    Le couperet est tombé. Raide comme l’injustice ! L’article 8 § III du décret 2020-45 du 11 mai prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid 19 est parfaitement clair : « Les établissements de culte sont autorisés à rester ouverts. Tout rassemblement ou réunion en leur sein est interdit ». Cet article est repris, in extenso, dans le décret 2020-548 art 10 § III du même jour avec cependant un article 27 qui prévoit que : « Le préfet peut interdire tout rassemblement ou réunion au sein des établissements de culte à l’exception des cérémonies funéraires ». S’il « peut interdire » c’est que l’interdiction n’est pas systématique. L’intention de réprimer perdure, avec cependant deux décrets différents le même jour sur le même sujet et en prime une contradiction entre deux articles du même décret. Tout cela n’est pas très sérieux. 

    Le dispositif antérieur interdisait les rassemblements de plus de 5 personnes. Le dispositif nouveau interdit les rassemblements de plus de 10 personnes dans les lieux publics ou ouverts au public, y compris par conséquent dans les lieux de culte : on passe de 5 à 10 personnes ! Dans bien des diocèses le culte public avait été tout simplement suspendu. Assez paradoxalement, le dispositif législatif reste confus et une forme de discrimination se poursuit vis-à-vis des cultes alors que l’heure est au déconfinement avec la réouverture des commerces, transports, etc. L’épiscopat français est sous le choc. Depuis des lustres il pensait que sa culture du compromis sur les questions morales lui permettrait au moins de préserver la liberté du culte. Il n’en est rien. Immédiatement l’AGRIF de Bernard Antony et quatre instituts religieux de droit pontifical (Fraternité Saint Pierre, Institut du Bon Pasteur, Institut du Christ-Roi et Fraternité saint Vincent ferrier) ont déposé un référé-liberté devant le Conseil d’État pour atteinte à la liberté de culte. Avant eux Civitas et le PCD de Jean-Frédéric Poisson avaient également déposé un référé-liberté. A ce jour la Conférence des Evêques de France ne semble pas avoir entamé de démarche juridique. Et surtout, elle s’est bien gardée de faire valoir, tant auprès des pouvoirs publics qu’auprès des fidèles, le principe sacré de la liberté de l’Église.

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  • Agnès Thill accuse le gouvernement de mépriser les croyants, par Arthur de Watrigant.

    © Benjamin de Diesbach pour L’Incorrect

    Source : https://lincorrect.org/

    Dans une lettre ouverte offensive adressée au président de la République, l’ex-député Agnès Thill affirme que la décision d’interdire l’exercice des cultes jusqu’au 2 juin « fait preuve de mépris et blesse les croyants ».

    « C’est méconnaissance totale de ce qu’Est et vit un croyant », affirme la députée ajoutant que « cette démarche en dit long sur la manière de penser notre temps et de considérer ce qu’est une religion. ». De même que les évêques au lendemain de cette annonce, Agnès Thill ne comprend pas que le gouvernement autorise la réouverture des supermarchés, des écoles et des médiathèques et pas des lieux de cultes.

    « Il est bien étrange que notre pays priorise les temples de la consommation au détriment de nos églises » 

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  • A Sète, les obsèques en grande pompe d’un dealer musulman

    HLM dealers

    9611-20200508.jpgCeux qui refusent encore de croire que la crise du Covid-19 aura été l’occasion pour le gouvernement d’officialiser la bipartition de notre pays, entre des Français de souche soumis à un confinement strict et mis à l’amende et des banlieues ethniques bénéficiant d’un régime allégé et de nombreuses exemptions, devraient méditer sur l’affaire scandaleuse mais ô combien révélatrice des obsèques du dealer musulman Ayoub à Sète. En effet, alors que les restrictions imposées par le confinement interdisent quasiment aujourd’hui à des milliers de familles françaises d’enterrer dignement leurs morts et de leur rendre un dernier hommage, ce multirécidiviste, lui, aura eu droit à une cérémonie funéraire musulmane en bonne et due forme, rassemblant au moins une centaine de personnes équipées de masques par la mairie et sous protection policière !

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  • Elisabeth Lévy : “Pourquoi il faut rouvrir les églises”

    Le Premier ministre a parlé d’une éventuelle réouverture des églises pour la Pentecôte, tandis que le ministre de l’Intérieur estimait – en grand théologien – qu’il n’y avait pas besoin de lieu de culte pour prier. Pendant ce temps, la communauté catho s’impatiente, obéissante mais pas soumise, sans brûler de voitures.
    Découvrez un extrait de cette tribune d’Elisabeth Lévy sur les ondes de Sud Radio.

    Encore une éventualité. Les cathos se rebiffent. En ont marre d’être traités « comme la dernière roue du carrosse de la nation française », dixit Monseigneur Lebrun, évêque de Rouen.

    Déjà, ils étaient furax quand la police est entrée dans une église parisienne le 19 avril. «Il faut arrêter ce cirque, sinon on va aboyer très fort !», a prévenu Monseigneur Michel Aupetit, archevêque de Paris. L’annonce d’Édouard Philippe le 28 avril, selon laquelle il n’y aura pas d’ouverture des lieux de culte avant le 2 juin a fait monter la tension. La Conférence des évêques de France a tenu des visioconférences de crise avec 73 parlementaires. Il en ressort que les pratiquants ne sont pas des citoyens de seconde zone, qui vaudraient moins que des consommateurs.

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