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santé et médecine - Page 206

  • Alain de Benoist : « Même au Moyen Âge, le confinement des bien-portants n’a jamais permis d’endiguer une épidémie ! »

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    Aujourd’hui que les choses paraissent en voie d’apaisement, peut-on dire que le gouvernement, même si manifestement pris de court, en a trop fait ou pas assez face à l’épidémie, ou juste fait comme il pouvait ?

    Il n’y a pas d’autre mot pour le dire : la réaction des pouvoirs publics face au Covid-19 a été proprement calamiteuse. Cinq mois après le début de l’épidémie, nous n’avons toujours pas atteint la capacité de dépistage que nous aurions dû avoir lorsque les premiers morts sont apparus. Le gouvernement s’est d’abord réfugié dans le déni (ça ne viendra pas chez nous, c’est une grippette), après quoi nous avons assisté à un incessant défilé de cafouillages, de consignes contradictoires et de mensonges d’État. Rien n’avait été prévu, alors que des voix nombreuses s’étaient élevées, ces dernières années, pour laisser prévoir une nouvelle pandémie venue d’Asie. La cause première réside dans l’incapacité des pouvoirs publics à raisonner au-delà du court terme. Mais la cause la plus fondamentale est que, pour se conformer aux règles de l’idéologie libérale, on a voulu soumettre le secteur de la santé publique à des principes de rentabilité, de concurrence et de gestion à flux tendu qui ont entraîné la fermeture de milliers de lits, la destruction de stocks de réserves, la précarisation croissante d’un personnel déjà sous-payé. En d’autres termes, nous avons intégré au système du marché un domaine qui est, par définition, hors marché. Le résultat a été un effondrement généralisé des capacités de l’hôpital public.

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  • Distanciation : la France championne du monde d’ouverture de parapluies

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    Bretagne Nord, 20 mai 2020. 16 h 00, parking du supermarché du coin. Un homme âgé est à terre ; un sac de provisions un peu plus lourd que les autres l’a entraîné au sol. Il est conscient, porte le masque « réglementaire » et tout ce qu’il souhaite, c’est un peu d’aide. Un petit cercle de passants s’est formé autour de lui, mais les gestes barrières aidant, personne ne cherche ni à l’approcher ni à lui tendre la main pour le relever.

    « Il est temps, maintenant, d’apprendre à nager », chantait Hugues Aufray…

    Quelqu’un a téléphoné aux pompiers ; une ambulance arrive une demi-heure plus tard (normal, elle vient de loin). L’homme est toujours au sol (par chance, il ne pleut pas). Il précise à nouveau que tout ce qu’il souhaite, c’est de l’aide pour se relever, mais c’est un cas qui ne semble pas prévu dans la procédure d’intervention. Il est donc mis sur brancard et embarqué dans le véhicule de secours, direction les urgences du CHU… Il en ressortira huit heures plus tard et ira récupérer le lendemain son véhicule resté sur place.

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  • « Pour ne pas engorger les services de réa il fallait tuer les vieux dans les EHPAD au rivotril »

     « Sous prétexte de ne pas engorger les services de réanimation il fallait tuer les vieux directement dans les EHPAD au rivotril »

    http://by-jipp.blogspot.com/2020/05/pour-ne-pas-engorger-les-services-de.html

  • Agnès Thill : « Nous voulons savoir la vérité sur la pénurie des masques »

    La députée Agnès Thill a interpellé le ministre de la Santé Olivier Véran au sujet de la pénurie des masques durant la pandémie, et sur les propos d’Emmanuel Macron affirmant le contraire.

    Elle s’explique au micro de Boulevard Voltaire et dénonce « ceux qui se lavent les mains ».

    Vous êtes une députée non inscrite de l’Oise, ex-membre du groupe parlementaire de La République en marche. À l’Assemblée nationale, vous avez interpellé Olivier Véran sur la gestion des masques par ce gouvernement, mais également par le gouvernement précédent. Pourquoi avez-vous posé cette question ?

    Le manque de masques me choque et choque bon nombre de Français. Les soignants eux-mêmes ont manqué de masques. Le premier médecin mort en service du Covid-19 est de Compiègne. Cinq autres médecins ont suivi dans l’est de la France. On nous dit qu’il n’y a pas eu de pénurie. C’est tout de même un tour de passe-passe facile. Pénurie veut dire zéro.
    Leur explication était qu’il y en avait peu ou pas assez. Donc, leur politique fut restrictive. Ils en ont donné très peu pour que tout le monde en ait et qu’on ne puisse jamais dire zéro. C’est exactement comme si j’avais un seul gâteau pour trente personnes. Il n’y en aurait évidemment pas assez. Si je donne une part à chacun, vingt personnes n’en auront pas. Je donne donc une miette à tous et personne ne pourra dire qu’il n’en a pas eu. Ils en ont évidemment tous manqué. La miette ne satisfera personne.

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  • I-Média n°299 – Covid-19 – 2ème vague : les médias surfent-ils sur les peurs ?

    02:34 L’image de la semaine

    Au sommet du pic Saint-Loup dans l’Hérault, la croix coupée par des militants d’extrême gauche il y a quelques jours est de retour !

    03:23 Covid-19. 2e vague : les médias surfent-ils sur les peurs ?

    Les journalistes ont multiplié les articles et les reportages sur la 2e vague, sur le retour des foyers de contamination ou encore sur le décès d’un enfant dû à la maladie de Kawasaki. Une focalisation qui interroge.

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  • François Hollande admet une « part de responsabilité dans la situation de l’hôpital »

    « J’ai présidé la France pendant cinq ans, donc j’ai ma part de responsabilité aussi dans la situation de l’hôpital« , reconnaît lundi 25 mai sur France Inter l’ancien président de la République François Hollande, alors que le gouvernement lance aujourd’hui des négociations sur l’hôpital public, nommées « Ségur de la Santé ».

    France Info

    Fin et video

  • Philippe Douste-Blazy dénonce l’étude anti-chloroquine et lance un (énorme) pavé dans la mare !

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    Olivier Piacentini Boulevard Voltaire cliquez là

    Récemment, une étude publiée par la revue scientifique The lancet a conclu à l’inefficacité du traitement à la chloroquine du professeur Raoult, voire à sa nocivité. Outre la réputation de la revue, le test porte sur 96.000 patients, ce qui apporte une crédibilité à ses résultats. Immédiatement, les médias ont répercuté ces résultats à grand renfort de publicité. Olivier Véran a saisi le Haut Conseil de la santé publique afin de revoir les conditions de prescription de ce médicament, assouplies il y a quelques semaines.

    Interrogé sur BFM TV, Douste-Blazy a violemment critiqué cette étude, dont les résultats seraient biaisés. En effet, sur le groupe testé à la chloroquine, 20 % des personnes seraient atteintes de graves affections respiratoires, explique-t-il, contre seulement 7 % dans le groupe de contrôle… Un déséquilibre qui, évidemment, gonfle artificiellement la mortalité du groupe chloroquine. Et Douste-Blazy affirme avoir lu en détail les conditions de l’étude. « Si vous donnez de la chloroquine à des mourants, c’est sûr qu’ils vont mourir », a ajouté l’ancien ministre.

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  • Le progressisme est l’ennemi du peuple !

    Quand une nation affronte une guerre, un ennemi, la solidarité « mécanique », selon Durkheim, s’affirme, et le nombre des suicides diminue. La crise économique qui disloque une société entre ceux qui bénéficient d’un emploi garanti et les autres n’a pas le même effet. L’expérience d’une crise sanitaire doublée d’une crise économique ne peut évidemment être identifiée à une guerre. Le danger vital d’abord, social ensuite, conduira les membres d’une nation à juger leurs dirigeants selon l’efficacité des moyens employés pour les surmonter l’un et l’autre. Il y aura donc un soutien plus ferme de ceux dont l’action sera jugée positive. Il n’y aura pas d’union nationale.

    C’est ainsi que Mme Merkel a bénéficié des bons résultats allemands face au Covid-19, qui font oublier son aveuglement sur le risque migratoire. La situation est très différente en France, car l’épreuve, mal « gérée », loin de favoriser l’unanimité a renforcé un clivage mondial vécu avec plus d’intensité dans notre pays.

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  • Déconfinement: les règles pour les vacances d’été devraient être dévoilées par le gouvernement « dans la semaine »

    Le gouvernement devrait donner des précisions sur la seconde phase du déconfinement qui débutera le 2 juin, et notamment sur l’organisation des vacances, la semaine prochaine, a annoncé ce dimanche le ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne, indiquant notamment que « Chacun peut commencer à réserver ses vacances. On annoncera les nouvelles règles dans le courant de la semaine ».

    « Dès maintenant, on peut réserver ses vacances pour le mois de juillet, pour le mois d’août. Pour le mois de juin, on précisera des choses dans le courant de la semaine », a poursuivi Elisabeth Borne. « On n’invite absolument pas les Français à réserver leurs vacances à l’étranger. Cette année l’idée est plutôt de passer ses vacances en France », a ajouté le ministre, alors que l’Italie et l’Espagne ont annoncé la réouverture prochaine de leurs frontières.

    20 Minutes

    https://www.tvlibertes.com/actus/deconfinement-les-regles-pour-les-vacances-dete-devraient-etre-devoilees-par-le-gouvernement-dans-la-semaine

  • Dépôts de bilan : l’hécatombe ne fait que commencer

    de l’essayiste Olivier Piacentini (ses livres ici) :

    « En quelques jours, les annonces des dépôts de bilan, licenciements et fermetures d’usines ont plu dans les médias. Naf Naf et Alinea ont d’ores et déjà déposé le bilan, Conforama devrait suivre dans les jours qui viennent. Comme André, la Halle, 5 à sec et hélas, bien d’autres. Redressements judiciaires, plans de sauvegarde, ces dernières essaieront de survivre, mais ne pourront résister qu’en réduisant le nombre de magasins et les effectifs…

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