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  • L’homme qui rend le régime fébrile…

    Il faut redonner les facultés de coercition aux seuls juges, le spécifier constitutionnellement pour éviter toutes les dérives que la Macronie s’est autorisées et continue de le faire à un rythme à présent accéléré. Faire cesser les sanctions qui sont données par des organismes privés, ou semi-privés est une obligation dans un État dit de droit. Ces prérogatives ne doivent appartenir qu’au pouvoir judiciaire. Il est choquant de constater que l’ARCOM s’attribue le privilège de déterminer qui intervient à titre politique et qui n’est qu’un consultant lambda. Ainsi Philippe De Villiers est considéré comme un parti politique, alors qu’il n’est ni élu ni encarté. Peu importe, son temps de parole sera décompté. Pour le compte de qui ? Eh bien De Villiers à lui tout seul voyons. C’est un moyen illégal, mais légalisé pour la circonstance, pour l’écarter de l’antenne et réduire la portée de sa parole. C’est une censure grossière lancée, sous couvert d’équité. On lui impose un quota au motif qu’il disserte de politique, qu’il explique les rouages et devrait-on dire les roueries de notre société, bref qu’il pense, donc il gêne !

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