Crise du coronavirus ou pas, crise économique, sanitaire, sociale, ou pas, rien ne change sous les voûtes d’acier et de verre des palais européens.
Alors que le 24 mars dernier, les 27 ministres des Affaires européennes des pays membres de l’Union européenne (UE) ont décidé d’ouvrir les négociations pour l’entrée de l’Albanie et de la Macédoine du Nord comme nouveaux États membres et de ce fait d’élargir une Union Européenne pourtant en panne sèche, dans un arrêté rendu hier jeudi 2 avril, la Cour de justice de l’UE a ouvert la voie à d’éventuelles sanctions pécuniaires contre la Pologne, la Hongrie et la République Tchèque à cause de leur refus d’accueillir un quota de réfugiés en 2015.
Par ces deux décisions, l’impuissante Union Européenne montre son vrai visage : immigrationniste avant tout au détriment des peuples des pays membres.