santé et médecine - Page 252
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Après...
Voici revenu le temps sombre où sonne le glas sur la terre de France et le tocsin dans les villes européennes. Dies irae.Ce temps passera. Rien ne dit pourtant qu'il sera suivi de celui des Te Deum.Beaucoup pensent que, lorsque viendra le moment de l'après, rien ne sera plus comme avant et que du mal que nous subissons naîtra automatiquement le bien que nous espérons.Que l'impuissance, l'imprévision, l'incompétence, l'enfermement idéologique de nos gouvernants qui ont aggravé les conséquences d'une crise sanitaire dont chacun savait pourtant qu'elle surviendrait un jour, étant apparus en pleine lumière, nos peuples enfin décillés reprendront en mains leurs destins. -
Coronavirus : les leçons d’une pandémie (I)Coronavirus : les leçons d’une pandémie (I)
« L’homme est un apprenti, la douleur est son maître », disait Musset. Le Covid-19 risque d’être un bon professeur ! La pandémie s’est répandue. Elle a appris aux Français qui en doutaient encore qu’ils sont gouvernés par des incompétents qui, une fois de plus, ont fait preuve d’une imprévoyance coupable, que notre pays subit une oligarchie où s’entrelacent des réseaux parfois cupides. Mais, plus profondément que cette mousse malodorante, il y a une grande leçon de civilisation qui est donnée en ce moment. Il se peut que le virus soit dans un an un mauvais souvenir, et qu’après une crise économique mondiale, une destruction massive des valeurs boursières et monétaires, l’on refasse marcher la planche à billets et qu’on impute à la crise une insuffisance d’Europe et l’absence d’un gouvernement mondial… Mais il se peut, aussi, que la pédagogie du virus fonctionne et casse un certain nombre de processus mortifères.
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Quand L’Obs découvre que l’Islam peut être dangereux pour la santé
Ainsi que l’OJIM le montrait le 27 mars 2020 avec l’exemple du Point, les sujets et surtout la manière de les traiter changent un peu dans les médias convenus. Un nouvel exemple avec un article de L’Obs paru ce même 27 mars, qui s’appuie en grande partie sur une dépêche de l’AFP.
Le titre : « Au Pakistan, forte affluence dans les mosquées pour la prière du vendredi malgré le coronavirus ». Un titre et un centre d’intérêt qui ne se seraient pas trouvés dans l’hebdomadaire il y a peu
Les mots de l’article
L’Obs reconnaît, sans accuser le monde développé d’en être responsable, une fois n’est pas coutume, qu’un pays tel que le Pakistan, musulman, doté de la bombe atomique, n’est pas en mesure de mettre en place un système de santé acceptable pour ses 200 millions d’habitants. Pourtant, l’Arabie saoudite « a interrompu les pèlerinages et fermé les mosquées » et « en Égypte, une fatwa a permis l’interdiction des prières publiques ». Le Pakistan ne suit donc pas le mouvement. Pourquoi ? L’Obs écrit un argument, en forme d’interview, qu’il n’eut jamais mentionné il y a peu :
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COVID-19, JE DÉNONCE LE MANQUE D'INGÉRENCE DU GOUVERNEMENT
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Coronavirus – Pour le Professeur Raoult, il faudra une enquête parlementaire… “Et elle sera sanglante”
Le Professeur Didier Raoult a accordé un entretien au site Marcelle dont voici quelques morceaux choisis.
. Les critiques et les conversations de bar sur les plateaux télé, je m’en fous à un point que vous n’imaginez pas. Ce qui m’ennuie, en revanche, c’est que la France, mon pays, ne suive pas ce qui est raisonnable et prenne du retard parce que des gens qui se pensent importants ne veulent pas se dédire.
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Mise à l’écart des cliniques privées : incompréhension et colère chez les médecins libéraux
Scandale incompréhensible dans cette “guerre” contre la pandémie. Il faudrait d’abord faire guerre contre les lobbys, les stratégies de communication et les idéologies…
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Coronavirus. Et si les dirigeants redoutaient la fin du confinement ?
Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère - Et si nos dirigeants craignaient finalement plus l’après-crise et ses conséquences pour eux que la crise en elle-même ? C’est l’hypothèse de notre fidèle contributeur Pierre Boisguilbert.
PolémiaAprès le confinement, la fuite ? Après le « tous aux abris », le « sauve qui peut » ? Certains des dirigeants français ont peur d’être rattrapés par leurs mensonges, mais surtout par la foule. C’est la grande crainte de la Macronie que les comptes ne se règlent pas uniquement sur le plan judiciaire. Il y a eu des émeutes, des révolutions et des débordements pour moins que ça.
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Ce lundi soir, un "18H/19H" bombe sur BFMTV...
Nous critiquons assez souvent, ici même, les journalistes de BFM/TV pour leur soumission au politiquement correct pour ne pas bouder notre plaisir lorsque, comme hier soir avec Alain Marschall, ils font exception à la règle...
D'abord pour avoir dit qu'il fallait "confiner" et "débrancher" la porte parole du gouvernement : enfin une parole sensée !
Ce propos a été suivi de 2 accusations gravissimes, mais justes.
1. La première concerne Agnès Buzyn, formellement accusée d'avoir été au courant de tout ce qui allait arriver dès le 20 décembre dernier; et donc coupable d'abstention volontaire d'assistance à population(s) en danger...
2. La seconde concerne Emmanuel Macron : contrairement à ses dires et à ce qu'il fait dire, le conseil scientifique ne l'a pas encouragé ni autorisé à maintenir le 1er tour des élections municipales; il n'a pas non plus approuvé le décision. Cette décision a été "politique" et le conseil s'est borné à lui prescrire les recommandations qui s'imposaient s'il voulait absolument maintenir ce 1er tour...
Ce n'est pas la première fois que tout ceci est dit, ni dans la presse écrite, ni dans la presse parlée.
Mais d'une façon aussi percutante et aussi accusatrice, sur BFM/TV, c'est une première; à signaler...
lafautearousseau
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La France, malade de ne plus rien produire, par Ivan Rioufol
Les faits sont là, insultants. La France, 6e puissance mondiale, ne produit plus rien de ce qui pourrait la sortir de son confinement sanitaire : ni masques, ni tests, ni respirateurs, ni rien. Pas même du doliprane. La nation, qui s’enorgueillissait de son coûteux système de Santé, est semblable à un pays du tiers-monde dans ses pénuries d’outils essentiels. La voici en effet contrainte, terrassée par le Covid-19, d’appeler à l’aide des pays qui, légitimement, servent en priorité leurs propres intérêts. Le gouvernement s’achemine, faute de solutions alternatives rapides, vers l’imposition d’une quarantaine effective, comme aux pires moments des grandes épidémies de jadis. Le confinement de quinze jours a déjà prolongé de deux semaines, ce week-end, par le premier ministre. Cet immobilisme forcé s’annonce économiquement et socialement explosif. Ce lundi, les premiers masques ont été livrés par la Chine. Mais il en faudrait au moins un milliard pour que la population en bénéficie. Or la France ne peut en fabriquer que 6 à 8 millions par semaine.
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L’incroyable débat entre un membre de l’équipe du professeur Raoult et les instances médicales officielles
Sur le plateau de LCI, l’échange est à peine croyable. D’un côté, le professeur Éric Chabrière, membre de l’équipe du désormais célèbre Didier Raoult. De l’autre, le docteur Roland Tubiana, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière.
« À Marseille, sur 701 malades traités, nous n’avons eu qu’un seul décès », affirme Éric Chabrière. Le personnage n’est pas en train de raconter qu’une sardine a bouché le port de Marseille, et pourtant…
Contre toute attente, et à la stupéfaction du journaliste Damien Givelet, le docteur Tubiana ne l’entend pas de cette oreille : « Par honnêteté scientifique, il est hors de question, cher collègue, qu’on commente des chiffres qu’on n’a pas vus. Personne ne les a vus. Merci d’avoir mis vos données brutes (sur Internet), ça nous permettra de voir si nous sommes en accord avec vous ou pas. » En accord avec quoi ? Le soignant ne défend pas une opinion. Mais après tout, les patients guéris font peut-être semblant d’aller mieux. Il y a des truqueurs, dans la bande ! Didier Raoult a des complices qui viennent se faire soigner alors qu’ils pètent la forme. Voilà qui expliquerait peut-être ces résultats encourageants…