En cette période de confinement, le sort des clandestins semble être la priorité d’une partie des élus de gauche. Suite à un appel de l’ancien LREM François-Michel Lambert, une quinzaine de députés ont cosigné une tribune pour demander la régularisation des sans-papiers. Parmi eux notamment, Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste, ou encore certains élus de l’aile gauche du parti présidentiel. Dans cette tribune, ils réclament que les clandestins puissent avoir les mêmes droits pour l’accès aux soins et pour les aides financières afin d’assurer leur protection pendant la crise sanitaire.
santé et médecine - Page 251
-
Vers une régularisation des clandestins? – Thibault Bastide
-
« Nous sommes en guerre »… Mais pas trop ! (2)
4) Atteinte à la forme républicaine des institutions
La souveraineté de la nation et la séparation des pouvoirs sont les piliers de notre République. L’autorité émane exclusivement de la collectivité des citoyens qui s’exprime par la loi votée par ses représentants. La loi sur l’état d’urgence sanitaire promulguée le 23 mars, dans des conditions de représentativité plus que contestables, donne ainsi les pleins pouvoirs à l’exécutif qui peut, dans ces conditions, restreindre les libertés individuelles par décrets ou par ordonnances. Autant dire qu’à ce stade, le Parlement ne contrôle plus rien. Ainsi, les confinés de droit que sont les personnes en détention provisoire peuvent voir ce temps de privation de liberté prolongé de six mois sans débat contradictoire…
5) Atteinte aux moyens de la défense de la nation
-
« Coronavirus : les chiffres sont faux » :
-
« Nous sommes en guerre »… Mais pas trop ! (1)
Le petit thaumaturge n’en rate pas une pour se pousser du col, perdu qu’il est dans ce costume présidentiel trop grand pour lui. En cette période de pandémie, le banquier d’affaires aux costumes taillés sur mesure se retrouve en slip, réalisant un peu tard que la gestion d’une crise sanitaire ne se mène pas comme une opération de fusion-acquisition. D’où la tentation d’endosser le treillis. Dans son allocution du 16 mars, il a répété à six reprises « Nous sommes en guerre », d’un ton martial visant à sonner « la mobilisation générale » contre « un ennemi […] invisible, insaisissable ».
-
Antonio Guterres présente le rapport de l’ONU qui réclame des solutions « globales » contre le coronavirus en vue du « rebirthing » de la société
De Jeanne Smits :« On entend et on lit ces jours-ci de bons chrétiens qui espèrent voir surgir, à la faveur de la sortie de la crise du coronavirus, une organisation plus juste d’une société qui, excédée par le mondialisme dont on constaterait les limites, reviendrait à un modèle plus humain, voire plus respectueux de la loi naturelle. Dieu les entende… Cela signifierait l’échec inespéré d’une poussée on ne peut plus visible vers davantage de globalisme. Et même vers ce « nouveau paradigme » mondial fait d’» empathie » et de « solidarité » par lequel le monde s’unifierait dans la lutte contre l’ennemi commun. Ces objectifs sont parfaitement manifestes dans le dernier rapport de l’ONU, présenté au monde le 31 mars par Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations unies. Il y appelle le monde à consacrer 10 % de son PIB à la crise et à ses conséquences, à travers « une réponse massive, coordonnée, englobante et multilatérale ».
-
La Troisième Guerre mondiale a commencé : c’est la guerre des masques !
Osant un vilain jeu de mots, je dirais bien qu’avec la pénurie, les masques tombent enfin… Si les Bourses du monde entier n’en finissent plus de dégringoler, le business n’est pas mort pour autant.
Et à ce jeu-là, les vainqueurs sont évidemment ceux qui peuvent faire monter les enchères.
Je rappelais hier cette phrase de Donald Trump : « Nous mettons en place l’effort le plus agressif et le plus complet de l’histoire moderne face à un virus étranger. »
Je sais que bien des gens, ici, applaudissent : « Cet homme-là, au moins, s’occupe de son peuple ! » Je le redis pourtant : vu de l’intérieur, il est évident que le peuple dont Trump s’occupe, quand bien même il monte des murs à la frontière du Mexique, n’est certes pas le petit peuple.
La « bonne santé » tant vantée de l’économie américaine – mais résistera-t-elle au Covid-19 ? – ne profite toujours pas aux petites gens mais aux grosses fortunes bien établies.
S’il y a donc une vérité dans la phrase citée plus haut, c’est à coup sûr le mot agressif.
On apprend, en effet, que, du fait de cet « effort agressif », nos commandes de masques à la Chine ont déjà en partie rejoint une autre destination que la France. -
Coronavirus – L’Italie autorise et rembourse le traitement à l’hydroxychloroquine
Italie – L’Autorité nationale de santé italienne (AIFA) a donné son feu vert à l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour les personnes atteintes du coronavirus (covid 19) et promet que des dispositions seront très prochainement prises pour permettre à chaque médecin de famille de pouvoir en prescrire.
Cette décision de l’Autorité nationale de santé italienne a été publiée au Journal officiel et concerne les antipaludiques chloroquine et hydroxychloroquine mais aussi les antiviraux utilisés contre le SIDA lopinavir / ritonavir, danuravir / cobicistat , darunavir, ritonavir “pour le traitement, même à domicile, des patients infectés par le SRAS-CoV“.
“Les médicaments à base de chloroquine, d’hydroxychloroquine, de lopinavir / ritonavir, de danuravir / cobicistat, de darunavir, de ritonavir sont entièrement à la charge du Service national de santé pour le traitement des patients souffrant d’une infection par le SRAS-CoV2 (COVID -19), dans le respect des conditions qui lui sont indiquées “, indique la publication au Journal officiel italien.
Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, lobby, santé et médecine 0 commentaire -
Les nouvelles du front...
-
Sur Le Média pour tous, ils sont en première ligne face au coronavirus – LA PAROLE AU PEUPLE.
La nouvelle émission du Média pour Tous est la vôtre : La parole au peuple. Pour ce premier épisode, nous ouvrons nos colonnes numériques à ceux qui, tous les jours, travaillent en pleine pandémie pour soigner les malades, assurer la sécurité dans les magasins, dans les rues, distribuer notre courrier... Face au Coronavirus, ils sont en première ligne et témoignent. N'hésitez pas à nous contacter pour témoigner vous aussi : contact@lemediapourtous.fr Vous êtes l'information.
http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html -
Comment la France se prive de 150 000 à 300 000 tests par semaine
Depuis le 13 mars, le gouvernement dispose d’une solution pour augmenter considérablement les capacités de tests de la France. Mais rien n’a bougé.
Les biologistes médicaux sont des gens polis. Lorsque Le Point les a contactés il y a 10 jours, ils ont hésité à parler. « Nous sommes en contact avec le gouvernement, la situation va forcément se débloquer… » Et puis ? Et puis rien. Silence radio. Un silence « incompréhensible », pour plusieurs des directeurs de laboratoires départementaux que Le Point a entendus. Les Français les connaissent mal, mais ils sont un rouage essentiel de notre système de santé. Implantés sur tout le territoire, 75 laboratoires publics (et leurs 4 500 employés) dépendent des départements, et assument la lourde tâche d’effectuer les analyses de contrôle des eaux, d’hygiène alimentaire ou de santé animale. Contrairement aux laboratoires de santé humaine, qui ne traitent ordinairement qu’un faible nombre d’analyses, ils sont dimensionnés pour travailler « par troupeaux », à la chaîne : pendant les crises de la vache folle ou de la peste aviaire, ils ont réalisé des dizaines de milliers de tests… par jour ! Et justement : c’est cette spécificité qu’ils pensaient que le gouvernement prendrait en compte.
https://www.tvlibertes.com/actus/comment-la-france-se-prive-de-150-000-a-300-000-tests-par-semaine