Les faits sont là, insultants. La France, 6e puissance mondiale, ne produit plus rien de ce qui pourrait la sortir de son confinement sanitaire : ni masques, ni tests, ni respirateurs, ni rien. Pas même du doliprane. La nation, qui s’enorgueillissait de son coûteux système de Santé, est semblable à un pays du tiers-monde dans ses pénuries d’outils essentiels. La voici en effet contrainte, terrassée par le Covid-19, d’appeler à l’aide des pays qui, légitimement, servent en priorité leurs propres intérêts. Le gouvernement s’achemine, faute de solutions alternatives rapides, vers l’imposition d’une quarantaine effective, comme aux pires moments des grandes épidémies de jadis. Le confinement de quinze jours a déjà prolongé de deux semaines, ce week-end, par le premier ministre. Cet immobilisme forcé s’annonce économiquement et socialement explosif. Ce lundi, les premiers masques ont été livrés par la Chine. Mais il en faudrait au moins un milliard pour que la population en bénéficie. Or la France ne peut en fabriquer que 6 à 8 millions par semaine.
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La France, malade de ne plus rien produire, par Ivan Rioufol
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L’incroyable débat entre un membre de l’équipe du professeur Raoult et les instances médicales officielles
Sur le plateau de LCI, l’échange est à peine croyable. D’un côté, le professeur Éric Chabrière, membre de l’équipe du désormais célèbre Didier Raoult. De l’autre, le docteur Roland Tubiana, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière.
« À Marseille, sur 701 malades traités, nous n’avons eu qu’un seul décès », affirme Éric Chabrière. Le personnage n’est pas en train de raconter qu’une sardine a bouché le port de Marseille, et pourtant…
Contre toute attente, et à la stupéfaction du journaliste Damien Givelet, le docteur Tubiana ne l’entend pas de cette oreille : « Par honnêteté scientifique, il est hors de question, cher collègue, qu’on commente des chiffres qu’on n’a pas vus. Personne ne les a vus. Merci d’avoir mis vos données brutes (sur Internet), ça nous permettra de voir si nous sommes en accord avec vous ou pas. » En accord avec quoi ? Le soignant ne défend pas une opinion. Mais après tout, les patients guéris font peut-être semblant d’aller mieux. Il y a des truqueurs, dans la bande ! Didier Raoult a des complices qui viennent se faire soigner alors qu’ils pètent la forme. Voilà qui expliquerait peut-être ces résultats encourageants…
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Pandémie : A quand le retour du politique ?, par Olivier Perceval.
En cette période funeste de confinement, les chaînes d’information continues nous abreuvent de messages statistiques concoctés par Jérôme Salomon, désormais célèbre porte-parole médical du gouvernement, lequel augmente chaque jour, graduellement, sur un ton compassé, le nombre des mauvaises nouvelles.
La grande peur des bien-pensants, aujourd‘hui, est constituée par ce qui pourrait pourtant être une heureuse nouvelle : Une embellie dans la morosité, un peu d’espoir qui nous vient de Marseille. La fameuse « hydroxychloroquine » dont on nous expliquait qu’elle ne pouvait être prescrite que dans les cas graves dans les conditions inverses de celles qui sont préconisées par son principal promoteur. Cette restriction fut levée le lendemain ( !) mais encore sous contrôle à l’hôpital ; la médecine de ville est hors jeu
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Fermeture des frontières – François Lenglet donne 100% raison à Marine Le Pen sur le Coronavirus
Sur LCI, le journaliste François Lenglet donne 100% raison à Marine Le Pen sur le Coronavirus.
Alors que la présidente du Rassemblement National réclamait d’urgence la fermeture des frontières, le gouvernement a tardé à agir car cela remettait en cause son idéologie mondialiste.
François Lenglet manifeste ainsi son agacement :
Pourquoi la frontière serait-elle bonne autour d’un foyer familial et mauvaise dans un pays ? Alors là, ça m’échappe…
Par définition, on nous dit que le virus se moque des frontières. Pardon, le virus, il ne traverse pas à pied. Il traverse sur des gens. Si vous bloquez les gens, le virus ne passe pas. -
Marseille : 70% des lits occupés en réanimation le sont par des Comoriens
Soit les Comoriens sont plus sensibles au Covid 19, soit ils sont très très nombreux à Marseille… Il faudra un jour également faire le bilan du poids de l’immigration sur la ruine du système de santé français. Source :
Le docteur Slim Hadiji, généraliste à la maison régionale de santé à Marseille, a publié une vidéo dans laquelle il appelle la communauté comorienne de Marseille à la plus grande prudence. Il constate, ainsi que d’autres confrères dans les hôpitaux, une surreprésentation, de cette communauté chez les malades du Covid-19 à Marseille.
« Sur 55 dépistages que j’ai faits chez mes patients d’origine comorienne, 34 étaient positifs au Covid-19. Mon associé comorien a fait exactement le même constat, ainsi que mes confrères de l’hôpital Nord, de l’hôpital Européen et de Laveran. Environ 70 % des lits occupés en réanimation dans ces hôpitaux sont d’origine comorienne », avance-t-il. […]
https://www.lesalonbeige.fr/marseille-70-des-lits-occupes-en-reanimation-le-sont-par-des-comoriens/
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Sur le blog de Michel Onfray, Coronavirus : En janvier, le gouvernement jouait "à la roulette russe".
Verbatim* de l'émission du 28 janvier "Audrey & C°" sur LCI
Avec: Jean-Michel Aphatie (journaliste), Audrey Crespo Mara (journaliste), Gérald Kiersiek (médecin), Thierry Moreaux (journaliste) et Michel Onfray
Audrey Crespo Mara: Michel Onfray, il vous inquiète ce coronavirus?
Michel Onfray: Oui, car je trouve qu’on joue un peu à la roulette russe! Enfin: le gouvernement joue un peu à la roulette russe... On a une vingtaine d’avions, je crois, qui arrivent tous les jours de Chine et puis les gens descendent et on leur pose une question: "Vous avez mal à la tête? Vous avez un peu de fièvre? Non? Allez-y." Et puis un sur dix, ai-je lu, se fait questionner et on distribue des petits bouts de papiers à chacun en leur disant: "si vous avez un problème, appelez le 15", et puis tout le monde s’en va dans la nature! Je ne sais pas combien ça fait, 5000 ou 6000 personnes par jour qui arrivent de Chine et qui s’en vont dans la nature et qui peuvent contaminer donc! -
Secrétaire au Ministère de l’Intérieur français : « La quarantaine ne devrait pas être appliquée dans les zones de migration pour éviter les émeutes »
«Ce n’est pas une priorité d’imposer le confinement dans certains quartiers.»
Un haut responsable du gouvernement français a reconnu que des mesures de confinement draconiens imposés au reste de la population ne devraient pas être mises en œuvre dans les ghettos du pays afin d’empêcher les émeutes.
Dans une lettre divulguée au Canard Enchainé, le secrétaire d’État français au ministère de l’Intérieur, Laurent Nunez, a déclaré : « Ce n’est pas une priorité de forcer le confinement dans certains quartiers et d’empêcher les rassemblements. »
Dans une autre visioconférence, Nunez a ajouté que de restreindre les mouvements et fermer les magasins dans les réputées banlieues françaises risquaient d’engendrer des troubles sociaux violents s’ils étaient appliqués trop rigoureusement.
Un préfet régional qui participait à l’appel a convenu que les entreprises qui avaient été fermées dans d’autres régions de la France devraient rester ouvertes dans les quartiers pauvres afin d’aider à la « médiation sociale ».
« Cette atteinte aux lois essentielles, ce mépris manifeste pour la population dans son ensemble, survient à un moment où la police, les ambulances et les pompiers font face à des niveaux d’hostilité records lorsqu’ils s’aventurent dans la banlieue où des gangs mettent le feu à des voitures, puis les attaquent lorsqu’ils arrivent pour les aider », écrit Damian Wilson sur RT.
Comme illustré dans la vidéo ci-dessous, chaque fois que la police tente d’appliquer des mesures de quarantaine, voire tout autre acte d’application de la loi dans les zones à forte densité de migrants, elle est immédiatement encerclée et intimidée par des bandes de migrants. Il n’est pas rare que des camions de pompiers et des ambulances soient attaqués dans ces zones «sensibles».
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Respirateurs, masques… Ce qu’il faut retenir des annonces de Macron
Le chef de l’État s’est exprimé ce mardi à l’issue de sa visite d’une usine de masques dans la périphérie d’Angers. Voici ce qu’il faut retenir de son discours.
Masque sur le visage et charlotte sur la tête, Emmanuel Macron s’est rendu ce mardi de l’usine de masques de la PME Kolmi-Hopen en périphérie d’Angers dans le Maine-et-Loire. À l’issue de cette visite, le chef de l’État a pris la parole, en pleine polémique sur le manque de matériel médical face au coronavirus. Voici ce qu’il faut retenir de ses annonces.
Lire la suite sur L’Express
https://www.tvlibertes.com/actus/respirateurs-masques-ce-quil-faut-retenir-des-annonces-de-macron
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L’histoire n’en a pas fini avec nous, par Jean-David Cattin (Les Identitaires)
La crise sanitaire engendrée par le Coronavirus frappe une Europe qui pensait être sortie de l’histoire. Face à une situation grave, l’état d’impréparation de nos élites politiques saute aux yeux. Comme si le pire n’était plus possible. Comme si la vie des sociétés européennes n’était plus qu’un long fleuve tranquille.
Plus de stocks, que du flux tendu. Délocalisation, même pour les entreprises stratégiques. Insuffisance de moyens hospitaliers, policiers, militaires. Si gouverner c’est prévoir, nous pouvons considérer que nous ne sommes plus gouvernés. Aucune vision à long terme, que de la gestion comptable. Et à ce jeu-là, nos élites nationales n’ont rien à envier à celles de Bruxelles. Le problème n’est pas institutionnel mais bien idéologique.
Tout sauf le courage
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La peste à Lyon décrite par Ambroise Paré, ou le rappel d’un autre monde que le nôtre
Par Jean-Michel Delacomptée*
Le mardi 13 juin 1564, le jeune roi Charles IX accompagné de sa mère Catherine de Médicis fit son entrée à Lyon que la peste ravageait. On mourait partout, dans les rues comme chez soi. Les cimetières étaient pleins de morts et d’agonisants entassés ensemble. Les fossoyeurs, habillés en jaune, jetaient les cadavres dans le Rhône. D’après l’historien Claude de Rubys (1533-1613), la peste à Lyon causa 60 000 morts. Chiffre certainement excessif, mais éloquent. Ambroise Paré, le père de la chirurgie moderne, figurait dans le cortège royal. C’était le chirurgien de Charles IX comme il l’avait été de son père Henri II et de son frère aîné François II.
Âgé d’une cinquantaine d’années, il avait une vaste expérience des épidémies et autres malheurs du temps. Après le retour à Paris, Catherine de Médicis lui demanda de rédiger un traité de la peste, et, dans ce cadre, de faire le récit du voyage à Lyon. Le traité décrit une réalité terrifiante.