Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé et médecine - Page 274

  • Ecoles fermées en France, inquiétude au G7 : le point sur l’épidémie de coronavirus

    Le nombre de cas de nouveau coronavirus approchait les 91 000 mardi matin, dont 193 en France, où Emmanuel Macron devait se rendre au centre de crise.

    Ralentissement en Chine, mobilisation en Corée, vigilance en France… Le nombre de cas de nouveau coronavirus dans le monde s’élevait, mardi 3 mars au matin, à 90 914, dont 3 116 morts, dans 76 pays et territoires, selon un bilan établi par l’Agence France-Presse (AFP) à partir de sources officielles, soit une augmentation de 763 contaminations et 38 décès par rapport à la veille à 18 heures.

    Le Monde

    https://www.tvlibertes.com/actus/ecoles-fermees-en-france-inquietude-au-g7-le-point-sur-lepidemie-de-coronavirus

  • Coronavirus à Marseille : Un premier cas détecté

    Un premier cas de coronavirus a été détecté à Marseille. Il s’agit d’une femme, actuellement hospitalisée.

    Une femme a été testée positive au coronavirus Covid-19 à Marseille dans les Bouches-du-Rhône, annonce l’Agence régionale de santé de la région Paca dans un communiqué de presse. « Cette patiente est actuellement prise en charge à l’Institut Hospitalo Universitaire à Marseille. Une cellule de crise est activée par l’ARS Paca. » Il s’agit du premier cas de coronavirus à Marseille.

    20 minutes

    https://www.tvlibertes.com/actus/coronavirus-a-marseille-un-premier-cas-detecte

  • Coronavirus : L’épidémie s’installe en France – Journal du lundi 2 mars 2020

     

     

    Coronavirus : L’épidémie s’installe en France

    Avec 130 cas, la France est le deuxième pays le plus touché d’Europe par le coronavirus. Malgré une accélération particulièrement rapide des contaminations en fin de semaine dernière, les mesures prises par le gouvernement semblent timides et parfois même contradictoires.

    Immigration : La Grèce en alerte maximale

    Alors que la Turquie a ouvert les vannes de l’immigration, la Grèce fait face à une arrivée massive de clandestins. Une situation explosive aux portes de l’Europe face à laquelle la république hellénique est pour le moment la seule à faire face.

    Réforme des retraites : le passage en force du gouvernement

    C’était une question de jours, c’est à présent fait, le gouvernement passe sa réforme des retraites en force avec le fameux 49/3. Une façon de s’éviter un pénible débat parlementaire mais qui débouche inévitablement sur une crispation de l’opposition notamment à gauche.

    L’actualité en Bref

    https://www.tvlibertes.com/coronavirus-lepidemie-sinstalle-en-france-journal-du-lundi-2-mars-2020

  • Coronavirus : l'Etat roi est nu.

    coronavirus-la-france-compte-19-nouveaux-cas.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    Désormais deuxième foyer européen après l'Italie de contamination par le coronavirus— le COVID-19 puisque tel est son nom de code — la France s'enferme dans une gestion minimaliste de la crise, oscillant entre alarmisme et relativisation du risque épidémique.
    Le devoir des gouvernants est pourtant de prévoir et d'anticiper. Depuis plus de dix ans, l'apparition de maladies nouvelles, en Asie ou en Afrique, faisaient peser une menace lourde sur les populations du monde entier. Accuser ici la globalisation planétaire n'aurait pourtant que peu de sens, dans la mesure où les ravages pandémiques de la peste ou, plus récemment, de la grippe espagnole qui fit, rappelons le, bien plus de victimes que la guerre de 14/18 à la fin de laquelle elle se déclencha, se produisirent dans des contextes géopolitiques totalement différents.

    Lire la suite

  • Les Coronaviroses... ou quand la médecine sert d’alibi à l’économie politique

    19998064lpw-19998141-article-pekin-sante-coronavirus-jpg_6869513_660x281.jpg

    Bernard Plouvier

    En l’année 1968 (celle de tous les périls pour l’Occident !), une équipe des USA isole une nouvelle classe de virus lors d’une épidémie de diarrhée murine (souris) et porcine. Les recherches sont lentes, car a priori ce virus « exotique » (semblant alors n’exercer de ravages que sur le bétail chinois... tant pis pour Mao !) semble bien bénin pour l’espèce humaine.

    On apprend petit-à-petit qu’il s’agit d’un gros virus à ARN (l’Acide Ribonucléique), avec une enveloppe lipidique... exactement comme pour les paramyxovirus, réputés responsables de banales laryngites chez l’homme - parfois très sévères chez le nouveau-né et le nourrisson. Mais c’est aussi le groupe du virus respiratoire syncytial (VRS pour les initiés), l’agent des bronchiolites et des broncho-pneumonies sévères du petit enfant, dont les premiers cas furent diagnostiqués dans les années 1950 et qui devint, dans les années 1970-80, la terreur des services de réanimation infantile.

    Toutefois les coronavirus n’inquiètent pas trop : ils sont censés donner des syndromes d’allure grippale, un peu particuliers par la fréquence des gastroentérites et des laryngites ou des laryngo-trachéites : le sujet contaminé tousse 3 à 4 semaines, mais s’en sort sans trop de problèmes sauf cas de surinfection bactérienne trop tard diagnostiquée et traitée.

    Lire la suite

  • Le coronavirus, peste noire pour le mondialisme

    coronavirus-frontieres-mondialisme-588x330.jpg

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère : Nul ne peut dire si l’épidémie de coronavirus sera endiguée ou se transformera en pandémie mondiale. Sur le plan humain, c’est l’incertitude. Mais sur le plan de l’idéologie, il y a une victime en état de mort clinique : le mondialisme.

    Les frontières, espoirs suprêmes

    Pour endiguer le virus, c’est un peu partout le recours aux frontières. La frontière, espoir suprême et suprême pensée pour limiter et contrôler tant que faire se peut la libre circulation des biens et des personnes. Mais rétablir, c’est avoir un coup fatal de retard sur le virus.

    Frontières fermées, c’est vrai pour la Chine, mais ce l’est aussi pour tous les pays touchés, et notamment l’Iran et demain l’Italie. La Chine a pris des mesures qui sont possibles dans des pays autoritaires. Cela pourrait porter ses fruits et le régime, aujourd’hui critiqué pour ses erreurs et ses lacunes évidentes, pourrait s’en tirer mieux que d’autres plus récemment contaminés.

    La Chine a toussé et le monde a tremblé et tremble encore. Ce virus a souligné la dépendance de l’économie mondiale à la croissance chinoise, eldorado d’un capitalisme condamné à s’étendre pour survivre. Ce mondialisme mercantile vient de trouver sa limite. Le protectionnisme si décrié devient presque un principe de précaution humain et économique. Les pays se ferment au tourisme chinois et rapatrient leurs ressortissants, c’est le cas du Maroc plus que de la France d’ailleurs.

    Lire la suite

  • Coronavirus : simple correction boursière ou de nouveau 1929 ?

    22f6a362e3e86999107149eca9d3-1586461-jpgd-845x475.jpeg

    La vitesse de la dégringolade du CAC 40 et de Wall Street n’a été aussi rapide que pendant de graves crises. La baisse de 12-13 % des actions européennes en cinq jours et de plus de 10 % à Wall Street en quatre jours du S&P 500 se rapproche des records historiques.

    L’OMS a décrété le niveau de menace maximum. De nouveaux pays-sources apparaissent un peu partout dans le monde. Le ministre Véran recommande d’éviter désormais la poignée de main ; les rassemblements, en France, de plus de 5.000 personnes sont désormais interdits. Cette pandémie présente un effet de levier extrêmement élevé entre le nombre faible de morts, le nombre des personnes infectées et les conséquences économiques.

    Lire la suite

  • Des enfants sont noyés dans du formol sans anesthésie quand ils naissent vivants après un avortement raté

    Des enfants sont noyés dans du formol sans anesthésie quand ils naissent vivants après un avortement raté

    D’Olivier Bault dans Présent :

    Connue mondialement depuis la sortie du film Unplanned, basé sur son histoire telle qu’elle l’a racontée dans le livre du même nom, la militante pro-vie américaine Abby Johnson était en Pologne du 11 au 15 février. Cette ancienne directrice de clinique-avortoir de Planned Parenthood (nommée « employée de l’année en 2008 ») s’est convertie à la défense de la vie en 2009 après avoir assisté à un avortement réalisé avec échographie sur un enfant à la 13e semaine de grossesse, puis s’est convertie à la foi catholique en quittant l’Eglise épiscopale (qui est ouvertement pro-avortement et pro-LGBT) en 2012. Elle est aujourd’hui mère de huit enfants et dirige l’organisation And Then There Were None spécialisée dans l’aide aux employés et personnels médicaux souhaitant quitter l’industrie de l’avortement (près de 560 personnes aidées à ce jour), mais elle est aussi très engagée dans l’aide aux femmes enceintes en difficulté. Elle milite en outre aux Etats-Unis et dans le monde en faveur de l’interdiction de l’avortement.

    Lire la suite

  • Coronavirus : fermer une frontière ne la rend pas étanche

    coromacin.jpg

    Entretien avec Alain de Benoist

    Breizh-info.com : De prime abord, que vous inspire ce coronavirus qui a touché la Chine d’abord, avant d’être détecté dans d’autres pays, et notamment en Europe ?

    Alain de Benoist : D’abord, un sentiment de déjà-vu. Des villes entièrement désertées, des avenues où ne circule plus aucune voiture, des populations confinées dans leurs logements, des régions entières mises en quarantaine, on a tous déjà vu ça. Mais c’était dans des films-catastrophes ou des films de science-fiction. Là, ce n’est pas du cinéma. On pouvait se faire une réflexion du même ordre en voyant s’écrouler les tours du World Trade Center. Cette fois, on est dans le réel. Le réel a rattrapé la fiction. Curieux sentiment.

    Ce qui frappe aussi, c’est la façon dont ressurgit immédiatement la logique du bouc émissaire. Au Moyen Age, quand il y avait une épidémie, on accusait les Juifs d’avoir empoisonné les puits. Aujourd’hui, des crétins s’en prennent aux restaurants japonais ou aux cars de touristes chinois. Permanence de l’irrationalité des foules.

    Lire la suite

  • Voici revenues les grandes peurs…

    image-42-845x456.png

    Évidemment, ce ne sont plus celles du Moyen Âge : ni le diable, ni les sorcières, ni les loups ne rôdent plus dans l’imaginaire collectif en faisant trembler d’effroi les enfants. Mais quand même, la grande peste, celle de 1346, semble de retour. Certes, le Covid-19 est de son temps, un virus plus sournois que la bactérie de la peste, qui s’attaque à une humanité beaucoup mieux armée pour lutter contre les maladies et retarder la mort. La propagation est rapide et assez surprenante, mais les cas mortels demeurent très minoritaires.

    Toutefois, on ne peut éviter deux réflexions. La première s’appuie sur le point commun entre la grande peste et le coronavirus : tous deux sont liés aux échanges, à la circulation des marchandises et des personnes. En l’absence de vaccin et de traitement sûr, la réponse à l’épidémie actuelle consiste, avant tout, à mettre en marche arrière le processus d’ouverture qui anime l’idéologie dominante de la planète. Faute de fermer les frontières nationales pour refouler l’immigration irrégulière, l’Italie a mis en place le confinement de certaines villes pour isoler les personnes éventuellement contaminées. Le tourisme et les pèlerinages sont davantage endigués. Les manifestations qui rassemblent les foules sont annulées.

    Lire la suite