Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé et médecine - Page 292

  • Directives anticipées : la vraie fausse solution ? – Journal du mercredi 22 mai 2019

    Directives anticipées : la vraie fausse solution ?

    Alors que le débat sur l’euthanasie revient sur le devant de la scène politique, de nombreuses personnalités proposent le recours de chacun à la rédaction de “directives anticipées”. Une idée d’apparence séduisante mais qui n’est pas sans poser de multiples problèmes juridiques et éthiques.

    L’homéopathie dans le collimateur d’Agnès Buzyn

    Inefficace, trop chère, l’homéopathie fait débat depuis plusieurs mois. Un rapport de la Haute autorité de Santé prévu pour juin laisse entendre que les médicaments de cette médecine alternative ne seront bientôt plus remboursés… L’objectif : une prétendue réduction des coûts pour la Sécurité Sociale.

    Syrie : Donald Trump s’impose au proche-Orient

    Une semaine après le regain de tension avec l’Iran, Donald Trump menace, cette fois-ci, la Syrie après des accusations d’attaques chimiques au nord du pays. Des menaces aux airs de guerre de communication pour assurer les intérêts étasuniens dans la région.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/directives-anticipees-la-vraie-fausse-solution-journal-du-22-mai-2019

  • La durée de vie dans un service de soins palliatifs est de 15 jours, Vincent Lambert y est depuis sept ans

    La durée de vie dans un service de soins palliatifs est de 15 jours, Vincent Lambert y est depuis sept ans

    Vincent Brun, médecin-chef de la clinique Fontfroide, à Montpellier, établissement qui dispose d’une unité de 12 places pour des patients en état végétatif chronique, a signé lundi 20 mai, avec un collectif de médecins spécialisés dans le handicap, une tribune parue dans le journal “Le Monde” estimant que l’arrêt des soins prodigués à Vincent Lambert n’est pas justifié. Il explique au Midi Libre :

    Vincent Lambert n’est pas en fin de vie. Il est dans une situation qui relève du handicap lourd. Mais telle que la loi est rédigée, elle peut s’appliquer à des situations qui ne relèvent pas de la fin de vie.

    Quand on n’est pas dans une situation de fin de vie, ce n’est pas aux médecins de se prononcer. Je n’ai jamais entendu un médecin dire qu’une personne “mériterait” de vivre et une autre non, en fonction de son handicap. Le débat est philosophique, sociétal, éthique, religieux, mais pas médical.

    Pourquoi Vincent Lambert est-il dans une unité de soins palliatifs ?

    Le CHU de Reims présente son unité comme relevant des soins palliatifs et de la prise en charge des personnes cérébro-lésées. Mais la description de l’unité correspond à une activité de soins palliatifs. C’est très différent : on ne s’improvise pas médecins de soins palliatifs, pas plus que médecin de rééducation. Les deux prises en charge sont très différentes.

    Un patient cérébro-lésé doit avoir des soins de kinésithérapie, d’ergothérapie, de réeducation, d’orthophonie, éventuellement une prise en charge psychologique… On reçoit des demandes de prise en charge très régulièrement, sans pouvoir les satisfaire.

    Je rappelle que la durée de vie dans un service de soins palliatifs est de 15 jours, Vincent Lambert y est depuis sept ans. Peut-être que ça vaut le coup de tenter de le mettre dans un service adapté à sa situation. Certains de mes patients, à certains moments, sont capables de donner leur accord ou pas à des soins, des toilettes… Quand on s’occupe d’eux, on est en situation d’abus de pouvoir, et on essaie, chaque fois, de recueillir leur consentement.

    Avez-vous déjà été saisie d’une demande d’arrêt des soins pour les patients en état végétatif hospitalisés dans votre établissement ?

    En dix ans, jamais. Le docteur Chevallier, responsable de l’unité, a posé la question à tous nos patients. Aucun n’a dit “J’arrête”. C’est très rare, si j’en crois mes collègues. Moi, à titre personnel, je ne suis pas opposé à l’euthanasie, mais elle est interdite en France. Interrompre les soins prodigués à Vincent Lambert, c’est ouvrir la porte à des abus pour toutes les situations difficiles. On est déjà dans des situations délicates, dans un dialogue constant avec les familles, les personnes de confiance, qui changent, avec des avis différents sur la limitation des soins par exemple. Certains sont favorables à faire le maximum pour leur proche qui souffre d’une pneumopathie ou d’un cancer du poumon, d’autres non. On discute, on s’adapte en permanence.

    Est-ce que la situation de Vincent Lambert peut-être comparée à celle des patients accueillis à la clinique Fontfroide ?

    Oui. Avec Vincent Lambert, on n’est pas dans une problématique de droit à mourir dans la dignité. On discute de sa vie, pas de sa mort. Alors, elle est où, la dignité ? Quand on donne la mort à quelqu’un, il faut le dire. Pour moi, c’est de l’euthanasie. Ce qu’on a fait subir à Vincent Lambert, l’interruption des soins, je ne le ferai pas à mon chien.

    C’est une affaire très complexe…

    Oui, et elle est très difficile à appréhender de l’extérieur, parce que la majorité des personnes ne savent pas ce qu’est un état végétatif chronique. Qu’est-ce qu’on sait de la vie de ces personnes ? On est parfois surpris. 40 % des personnes dites en état végétatif ne le sont pas, l’état de conscience n’est peut-être pas observable. Ils sont peut-être moins “légumes” qu’on ne le dit. Ce terme de végétatif est abominable…

  • Vincent Lambert : l’affaire qui divise la France – Journal du mardi 21 mai 2019

     

    Vincent Lambert : l’affaire qui divise la France

    Alors que le médecin en charge de Vincent Lambert avait débuté l’arrêt des traitements et la sédation profonde, la cour d’appel de Paris a ordonné la reprise des soins. Un nouveau sursis pour le devenir d’un homme qui divise le pays.

    Macron, la vraie tête de liste

    A 5 jours des élections européennes, Emmanuel Macron a définitivement pris les rênes de la campagne. Multipliant les rencontres et les déclarations, le chef de l’état apparaît comme le véritable candidat de la République en marche et fait passer Nathalie Loiseau au second plan.

    Taxe Gafa : le Sénat sceptique ?

    C’est un des cheval de bataille du ministre de l’Economie Bruno Le Maire : taxer les géants d’internet ! Alors qu’une position européenne commune sur la question n’a pas été trouvée, les équipes Macron avancent seuls dans ce dossier… au risque, selon l’opposition, de devoir rembourser les sommes versées dans quelques années…

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/vincent-lambert-laffaire-qui-divise-la-france-journal-du-mardi-21-mai-2019

  • Agnès Buzyn doit démissionner

    Agnès Buzyn doit démissionner

    Le 5 mai 2019, Agnès Buzyn affirmait que la France n’est «pas tenue» par l’avis du comité de l’ONU.

    Le 20 mai 2019, on apprend que la cour d’appel

    “ordonne à l’État français (…) de prendre toutes mesures aux fins de faire respecter les mesures provisoires demandées par le Comité international des droits des personnes handicapées le 3 mai 2019 tendant au maintien de l’alimentation et l’hydratation”.

    https://www.lesalonbeige.fr/agnes-buzyn-doit-demissionner/

  • C’est la république qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert !

    Capture d’écran 2019-05-20 à 10.24.25.png

    Alain Escada, président de Civitas

    La mise à mort de Vincent Lambert a débuté ce matin : il s’agit là ni plus ni moins d’un assassinat aggravé par le fait qu’il s’agit d’une personne vulnérable.

    Assassinat car cette mise à mort ne passe pas par un arrêt des soins, mais par une privation de son alimentation et de son hydratation, chose nécessaire à chaque être vivant. La mauvaise foi du docteur Sanchez et du gouvernement se démontre un peu plus dans leur refus d’accepter le transfert vers l’un des sept centres spécialisés qui avaient dit leur volonté d’accueillir Vincent Lambert.

    Que l’on se cache ou pas derrière la loi Léonetti, cette mise à mort constitue un crime.

    C’est cette république maçonnique qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert.

    C’est la franc-maçonnerie, à l’origine de cette république et de quantité de ses lois scélérates, qui promeut la culture de mort pour les innocents et sauve la vie des criminels !

    Civitas rappelle son opposition farouche à cette culture de mort, de l’avortement à l’euthanasie.

    Un jour viendra, tôt ou tard, où Emmanuel Macron et le Dr Sanchez devront rendre des comptes.

    Emmanuel Macron, en tant que Chef de l’Etat, avait le devoir de protéger les plus vulnérables. Il porte désormais le poids de la condamnation à mort imposée à Vincent Lambert, au seul motif d’être une personne handicapée.

    Le Dr Sanchez, en tant que médecin, avait le devoir de protéger la Vie. Il vient de parjurer son serment d’Hippocrate et se rend l’exécutant d’un crime d’Etat.

    Désormais, les personnes handicapées sont à la merci de tous les abus de cette république maçonnique.

    Mais un jour viendra où justice sera rendue et où ceux qui sont coupables d’avoir prémédité la mise à mort d’innocents devront être punis sans pitié.

    2017 12 01 PUB SITE 2.jpg

  • La Cour d’appel de Paris appelle à faire vivre Vincent Lambert !

    La Cour d’appel de Paris appelle à faire vivre Vincent Lambert !

    On a gagné ! Hurle Me Jérôme Triomphe. La justice a tranché. Vincent doit être réanimé !

    Lire la suite sur Lesalonbeige

  • Marion Maréchal : “Le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies”

    Marion Maréchal : “Le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies”

    Marion Maréchal a pris position aujourd’hui pour la survie de Vincent Lambert, dans un texte publié par Valeurs actuelles :

    “Ce lundi 20 mai, pour la première fois, l’Etat français autorise l’euthanasie d’un être humain. Le terme, trop violent, n’est pas employé et pourtant il ne s’agit pas d’autre chose. Vincent dont le corps est paralysé et non inanimé, qui ne peut pas communiquer mais n’est pas en état végétatif, va être volontairement privé d’eau et de nourriture jusqu’à ce que mort s’en suive. Il n’y aura rien à débrancher, Vincent vit par lui-même. Et pour se donner bonne conscience, car l’agonie sera longue, le corps médical l’endormira. Comme on endort un chien qui va se faire piquer chez le vétérinaire.

    1700 personnes sont dans son cas. À partir d’aujourd’hui, le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies. La famille se déchire, le corps médical s’oppose et beaucoup voient dans les dix dernières années de vie de Vincent un calvaire à abréger.

    Seulement voilà, ce n’est pas à nous de décider qui est digne de vivre ou de mourir, quelle vie est acceptable ou ne l’est pas. C’est à nous, en revanche, de prendre soin des plus faibles et des plus dépendants d’entre nous. Sauf à tuer notre honneur, en même temps que Vincent Lambert.

    Selon moi, le cas Vincent Lambert est instrumentalisé pour permettre une application plus large de la loi sur l’euthanasie, voire pour préparer les esprits à une nouvelle loi plus laxiste.  C’est pourquoi je prends position aujourd’hui.”

    https://www.lesalonbeige.fr/marion-marechal-ce-nest-pas-a-nous-de-decider-qui-est-digne-de-vivre-ou-de-mourir-mais-cest-a-nous-en-revanche-de-prendre-soin-des-plus-faibles-et-dependants-dentre-n/

  • PMA : La Manif Pour Tous se dit prête à organiser des manifestations

    PMA : La Manif Pour Tous se dit prête à organiser des manifestations

    C’est ce que répond Ludovine de La Rochère à Boulevard Voltaire :

    On a du mal à cerner le rôle de la Manif pour tous dans le processus parlementaire de l’extension de la PMA. Dans le mot Manif pour tous, le mot manifestation apparaît. Qu’en est-il, aujourd’hui ?

    La Manif pour tous a organisé de très grandes manifestations et nous en organiserons d’autres si nécessaire. Nous sommes prêts. La Manif pour tous agit aussi de beaucoup d’autres manières à travers des actions de communication, un travail de fond, d’analyse et d’argumentation. Ce travail est présenté à beaucoup de politiques, d’institutionnels, de médecins et de scientifiques. Il est extrêmement important pour faire prendre conscience des difficultés.

    Ce matin, Édouard Philippe a parlé des difficultés sur un plan juridique, éthique et anthropologique.

    Ne serait-ce que sur un plan juridique, ce texte poserait des problèmes immenses.

    Quand lui a été posée la question du remboursement de la PMA pour les femmes seules et les couples de femmes, Édouard Philippe n’a pas voulu y répondre. Ils sont confrontés à la question d’une filiation bidon. Les militantes pro-PMA réclament que soient inscrites à l’état civil deux mères pour l’enfant. C’est évidemment une aberration !

    Cela va à l’encontre de notre droit à la filiation et de la famille.

    https://www.lesalonbeige.fr/pma-la-manif-pour-tous-se-dit-prete-a-organiser-des-manifestations/

  • Européennes : à la découverte de l’Union des démocrates musulmans – Journal du mardi 14 mai 2019

     

    Européennes : à la découverte de l’Union des démocrates musulmans

    Refusée puis finalement acceptée, la liste issue de l’Union des démocrates musulmans français sera bien sur la ligne de départ des élections européennes. Avec un programme pro-islam, la présence de ce parti fait craindre une dérive communautariste.

    Glyphosate : un rapport parlementaire dévoyé

    Alors qu’un rapport parlementaire sur le rôle des agences sanitaires doit être dévoilé jeudi, le sénateur UDI Pierre Médevielle, vice président de l’Office parlementaire, a estimé que le glyphosate, composant du pesticide de Monsanto, Round Up, était moins dangereux que la charcuterie. Une déclaration au mépris de l’embargo sur le rapport qui n’a rien à voir avec les conclusions…

    Vincent Lambert : l’acharnement mortifère

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/europeennes-decouverte-ludmf-journal-du-mardi-14-mai-2019