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santé et médecine - Page 373

  • Il a quitté la Sécurité Sociale et nous en parle !

    Avoir la possibilité de quitter la sécurité sociale est un de ces sujets qui subit une certaine omerta médiatique en France. Laurent C. est un de ces Français qui a fait le grand saut en janvier 2013 et qui raconte son aventure sur son blog : http://jequittelasecu.blogspot.fr/ . Médias-Presse-Info l’a contacté pour en savoir plus sur ses motivations qui l’ont amené à faire une telle démarche, les procédures et ce phénomène des Français qui quittent la Sécurité Sociale…

    La décision de Laurent C. ne date pas d’aujourd’hui : « J’avais déjà vu ça au début des années 2000 mais à l’époque j’étais salarié. C’était plus compliqué. » Après avoir monté sa propre société, sa réflexion fait son chemin avec la hausse des cotisations sur les professions libérales sans prestations supplémentaires voir moins. Il se dit que c’est peut-être l’occasion d’entamer la procédure. Il contacte alors le MLPS (mouvement pour la liberté de la protection sociale) qui lui renvoie le courrier-type. C’est parti. A la question sur la gravité d’une telle décision à prendre, Laurent C. répond que : « bien sûr, il faut être convaincu. L’idée de la démarche, c’est d’aller jusqu’au bout, jusque devant la Cour Européenne s’il le faut après avoir épuisé toutes les procédures. » Il souligne aussi l’importance du soutien de la famille. Sa femme et ses enfants sont toujours à la sécurité sociale car il ne prend pour l’instant le risque que pour lui. Subit-il des pressions ? « Non pas spécialement. Pour l’instant le RSSI, l’URSSAF et bientôt la CIPAV me considèrent comme un mauvais payeur. Ce n’est que la procédure habituelle pour le recouvrement de factures impayées. »

    Mais d’où vient donc cette possibilité ? « En 92, une directive européenne permet aux citoyens de choisir une assurance maladie au sein de l’UE sauf si l’Etat a un monopole légal. Au sens européen, cela veut dire que ça s’applique à tout le monde de la même manière. Si c’est différent, c’est alors concurrentiel. Or on a la sécu pour les salariés, les agriculteurs etc… Ce sont donc bien des régimes différents. » Mais bien sûr, il y a toujours l’obligation d’être assuré. Il faut donc s’assurer à l’étranger et présenter un certificat d’adhésion.  En 90, il y avait seulement trois sociétés d’assurance européenne qui prenaient en charge les Français : IHI, DKV et Amariz. En 95-96, elles vont subir de grosses pressions pour cesser leur activité envers les Français.

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  • Elle saute par la fenêtre pour fuir l'avortement

    L'avortement, un choix ? Pas vraiment. A l'entrée d'une clinique en Grande Bretagne, une mère est abordée par des personnes pro-vie qui dialoguent succinctement avec elle et lui donnent un prospectus. Elle leur confie qu'elle est forcée à avorter. Son entourage familial invective les pro-vie et la font entrer dans l'établissement.

    Les pro-vie décident de se mettre tous ensemble à prier. Quelques minutes plus tard, la mère les appelle par téléphone de l'intérieur de la clinique et les supplie de l'aider. Ils appellent donc la police qui en arrivant interroge sa famille. La mère profite de cette diversion pour se sauver par la fenêtre au rez-de-chaussée, et courir vers les Pro-vie qui l'amènent dans leur centre d'accueil à proximité et prennent soin d'elle.

    Il n'y a pas qu'en Chine qu'il y a des avortements forcés.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Importation de mœurs étrangères : la souffrance animale

    Alors que tous les porte-paroles de l’écologie officielle s’époumonent contre le racisme, l’antisémitisme et le réveil de la bête immonde dont le ventre est encore fécond, ils refusent de voir la conséquence de l’importation massive de populations étrangères à notre continent.

    Dernier exemple en date : la sordide affaire d’abattoir clandestin à La Courneuve.

     

    Il y a une semaine, une opération conjointe de la police et des services vétérinaires a démantelé cette filière de production de viande à destination des restaurants chinois de la région.

     

    Les pauvres bêtes «étaient entassés sans eau ni nourriture, dans la pénombre. Le poste d’abattage était couvert de sang, du sol au plafond», d’après Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigite Bardot qui a pris en charge les animaux.

     

    Ont été aussi relevées de nombreuses infractions à la « législation sur l’immigration » – en termes clairs, de nombreux clandestins étaient présents – ainsi que des « infractions au code du travail » – les employés étaient rémunérés sans être déclarés.

    Source

    http://www.contre-info.com/importation-de-moeurs-etrangeres-la-souffrance-animale#more-30552

  • Une méta-étude chinoise confirme le lien avortement-cancer du sein

    La publication d'une nouvelle étude chinoise sur le lien entre l'avortement provoqué et le cancer du sein va changer la donne dans un monde où l'on a préféré jusqu'ici le passer sous silence : méta-analyse d'autant plus intéressante qu'elle montre un accroissement du risque selon le nombre d'avortements subis.

     

    Le Dr Joel Brind, professeur d'endocrinologie au Baruch College de l'Université de New York, l'a déclaré à LifeSite en soulignant que les partisans de l'avortement devraient se montrer très inquiets des résultats de l'étude puisque des « millions et des millions de femmes en Asie » ont été ainsi affectées par une opération supposée « sans danger » pour elles, tout en notant que chaque constat des effets dangereux de l'avortement est systématiquement minimisée ou discréditée.

     

     

    Dans ce cas précis, ce sera difficile. C'est dans la revue scientifique Cancer Causes and Control que les résultats de la méta-étude ont été publiés d'après des recherches de Yubei Huang et autrres du département d'épidémiologie et de biostatistiques de l'hôpital universitaire d'oncologie de Tianjin. Les chercheurs se sont lancés dans leur enquête après avoir noté que le taux de cancers du sein, traditionnellement plus bas chez les femmes chinoises que chez les femmes occidentales, s'est accru « de manière alarmante » depuis deux décennies, au même rythme que le resserrement de la politique de l'enfant unique imposée par les autorités.

     

     

    Cette politique entraîne de nombreux avortements, y compris des avortements forcés : depuis les années 1980, plus de 336 millions d'enfants à naître ont été avortés en Chine.

     

     

    Les chercheurs ont analysé 36 études du lien entre avortement et cancer du sein. Chez les femmes ayant eu un avortement, le risque de développer une telle tumeur était 44 % plus important que chez celles n'ayant jamais avorté. Pour deux avortements, le risque s'accroissait de 76 %, pour trois avortements, il atteignait 89 %.

     

     

    Une étude réalisée en 1996 par Joel Brind avait évalué l'accroissement du risque lié à l'avortement à 30 %, avec certes moins de recul.
  • Instinct de mort : Hollande prépare la légalisation de l' euthanasie

    La « conférence citoyenne » sur la fin de vie fait polémique

    La « conférence citoyenne », organisée par le comité d’éthique, donnera lieu à un avis publié lundi prochain, sur fond de controverse quant à la méthode. Ces travaux doivent éclairer la réflexion avant la présentation d’un projet de loi, sans doute mi-2014.

    C’est une nouvelle étape dans le débat sur la fin de vie. Lundi 16 décembre, la « conférence citoyenne » organisée cet automne par le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) prendra fin, avec la publication d’un avis, ou plutôt d’une synthèse des travaux menés dans ce cadre. Durant quatre week-ends, 20 citoyens tirés au sort par l’Ifop selon des critères de diversité se sont réunis à huis clos pour réfléchir ensemble, avec l’aide d’experts, aux grands enjeux de la fin de vie. On connaîtra donc dans quelques jours le fruit de leur réflexion.

    CRITIQUE DE LA MÉTHODE

    Certains ont critiqué la méthode. Dans son blog régulier publié sur la-croix.com, Bertrand Galichon, président du CCMF (Centre catholique des médecins français), déplore « une conférence citoyenne limitée à quelques “happy few” », du « vite fait, bien fait  ! Et après quid  ? Quelle confiscation de la parole citoyenne a été prévue  ? », interroge-t-il, provocateur. De son côté, le député UMP Jean Leonetti considère que le temps imparti était trop limité et regrette qu’il n’y ait eu qu’un seul panel citoyen, et non plusieurs, comme lors des états généraux de 2009 sur la bioéthique. [...]

    La suite sur La Croix

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Instinct-de-mort-Hollande-prepare

  • Radioactivité : la France n’a rien à envier au Japon…

    Depuis des années, sans qu’un mois soit épargné, des accidents à caractère radioactif se produisent sur le territoire français.

    Le 31 octobre dernier – et sans que la presse du Système ne s’en émeuve particulièrement – a eu lieu un des plus graves accidents « nucléaire » : une fuite de 30kg d’oxyde d’uranium radioactifs sur le site de Tricastin, géré par Areva.

    En effet, une rupture de confinement de tuyauterie qui entraîne la dispersion de près de 30 kilos d’oxyde d’uranium entre deux ateliers, provoquant la fermeture des installations, le confinement des employés, et à la tentative d’assainissement du périmètre.

    Évidemment, tout va bien dans le meilleur des mondes, et l’incident ne présente ni danger pour les employés, ni risque de contamination des environs…

    Il est de notoriété publique que les sites « nucléaires » français sont vétustes, sous-entretenus, hors de leur durée de vie définie lors de leur construction, mais maintenus en fonction car il est plus simple de réparer avec des moyens insuffisants que de les remplacer…

    Jusqu’à quand laisserons-nous les multinationales jouer avec l’environnement, notre santé et le futur de nos terres pour leurs profits ?

    Sources :
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  • En cas de légalisation de l’euthanasie, ne vous attendez pas à une liberté de conscience !

    Lors d’une réunion publique hier soir à Condom, Jean-Luc Romero, président de l’ADMD (aide à mourir dans la dignité), a été très clair en cas d’une éventuelle légalisation de l’euthanasie. Les médecins ou tout autre personnel médical, qui seraient réticents, sont avertis:


    Serment d'Hippocrate, code de déontologie... Rien n'est supérieur à la loi républicaine. Aucun texte ne doit la contraindre.
  • Qui peut encore croire au gender ?

    Toute la partie « scientifique » de la justification du gender repose sur l’idée de la plasticité du cerveau. Effectivement il y a cinquante ans, la pensée médicale voyait dans le cerveau un organe fixe qui ne se renouvelait pas. Or l’image par Résonnance Magnétique permet de se situer au plus profond des arcanes du système nerveux. Il existe des appareils qui plongent au 100.000ème par rapport à ceux qui sont utilisés par exemple dans une atteinte de la hanche. Ces appareils détectent les mouvements intercellulaires d’où le nom d’IRM fonctionnelle. Ainsi, il est possible de quantifier la douleur qui passe d’une cellule nerveuse à une autre, de doser les médicaments qui sont prescrits, de prévoir une crise d’épilepsie, de « lire » la dépression. Ce sont les neurosciences. Elles permettent de suivre et d’interpréter le câblage des neurones. Il s’agit d’une véritable cartographie dynamique.

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  • Le fléchage des dons du Téléthon : mission impossible?

    Chaque année, la polémique au sujet de l'utilisation des dons du Téléthon repart de plus belle.  Investissements immobiliers hasardeux, notes de frais étonnantes, salaires exhorbitants et achat d'une maison pour la direction ont été pointés en 2004 par la Cour des comptes ; des chercheurs ont accusé l'association de donner de faux espoirs aux patients en misant excessivement sur la thérapie génique, en dépit de ses résultats décevants, quand des évêques rappellent, eux, chaque année, qu'une partie des dons finance la recherche sur l'embryon. Famille chrétienne pose donc la question : pourquoi ne pas flécher les dons ?

    "L’Association française contre les myopathies (AFM) pourrait pourtant mettre fin à cette polémique en prenant exemple sur la Fondation maladies rares. Que ce soit pour les dons ou les legs, cette structure créée en 2012 accepte le ciblage des contributions financières de ses donateurs. « Vous pouvez faire une donation, un legs, donner le bénéfice d’une assurance vie, en l’adressant particulièrement à la cause qui vous touche. Dans ce cas, sur le formulaire de don en ligne, indiquez là simplement dans la case « commentaires ». En cas de legs ou d’assurance vie sans indication particulière sur la cause choisie, votre patrimoine pourra financer un programme d’intervention ou le fonctionnement de la Fondation maladies rares », peut-on lire sur le site Internet de ladite fondation. L’AFM pourrait d’autant plus s’en inspirer qu’elle fait partie des membres fondateurs de la Fondation maladies rares Pourquoi le fléchage serait-il possible chez l’une et pas chez l’autre ?"

    Réponse de l'AFM :

    « Cela risquerait de remettre en cause la stratégie de l’association »

    ... qui compte bien continuer à choisir elle-même la façon dont elle dépense les dons.

  • Parlement européen : Appel au rejet du Projet de Résolution Estrela

    Communiqué de Grégor Puppinck, président du Comité européen de l’Initiative citoyenne « Un de Nous » :

    "Mardi le 10 décembre, le Parlement européen pourrait voter une nouvelle fois sur le projet de Résolution Estrela. Ce texte avait été rejeté une première fois le 22 octobre dernier et renvoyé en Commission pour un nouvel examen.  La tenue d’un vote le 10 décembre prochain reste incertaine car la régularité de la procédure au sein de la Commission est mise en cause, notamment par le service juridique du Parlement européen. En effet, afin d’accélérer la procédure, les députés ont été privés du droit de soumettre des amendements au texte lors de son réexamen en Commission.

    Ce texte radicaldemeure absolument inacceptable ; il porte atteinte notamment :

    • au droit à la vie et à la dignité de tout être humain, car il recommande à l’Union européenne de financer l’avortement à travers le monde ainsi que la recherche destructrice sur les embryons humains en Europe ;
    • à la liberté de conscience des personnels de santé, dont il veut réduire le droit fondamental à l’objection de conscience ;
    • aux droits éducatifs des parents et des enfants, car il veut imposer l’enseignement obligatoire de l’idéologie du genre à tous les enfants ;
    • aux compétences nationales, car l’avortement ne relève pas de la compétence européenne (voir ici) ;
    • et au droit européen, qui d’une part reconnaît que l’embryon humain mérite protection au titre du respect dû à la dignité humaine (arrêt Brustle c Greenpeace), et d’autre part énonce clairement qu’il n’existe pas de « droit de l’homme » à l’avortement (voir ici, ici et ici).

    En outre, ce projet de Résolution vise à faire barrage à l'Initiative Citoyenne « Un de Nous » portée par près de deux millions d’européens. La procédure d'Initiative Citoyenne européenne a été instituée pour démocratiser les institutions européennes en permettant à la population de partager l’initiative législative. L’initiative « Un de Nous » est celle qui à ce jour a obtenu à travers l’Europe le plus grand succès ; elle demande l’arrêt du financement public européen de l’avortement et de la destruction d’embryons humains.

    Les promoteurs de la Résolution Estrela, en essayant de faire obstruction à une Initiative Citoyenne Européenne, manifestent ainsi leur mépris de la démocratie participative et des citoyens européens qui y participent. Si la résolution Estrela devait être adoptée, elle porterait également pour cette raison un discrédit au Parlement européen et à la procédure même d’Initiative Citoyenne Européenne.

    Grégor Puppinck, Président du Comité européen de l’Initiative « Un de Nous », demande en conséquence au Président et aux membres du Parlement européen de rejeter ce projet de Résolution, tant pour ces motifs de fond que de procédure. Il leur demande de respecter le mécanisme d’Initiative Citoyenne Européenne qu’ils ont eux-mêmes adopté en réservant le débat parlementaire sur le financement public de l’avortement et de la recherche destructrice sur l’embryon pour l’examen prochain de l’initiative « Un de Nous ».

    Quelle que soit l’issue de ce vote, la proposition législative de l’Initiative Citoyenne « Un de Nous » sera soumise à la Commission européenne puis au Parlement européen, et ce après les prochaines élections européennes. Contrairement à la Résolution Estrela qui a une portée politique et non pas directement juridique, la proposition législative « Un de Nous » a une portée juridique contraignante.

    Grégor Puppinck invite les signataires de l’Initiative « Un de Nous » à contacter par téléphone et courriel leurs députés (coordonnées ici)  pour leur demander de rejeter le projet de Résolution Estrela, et éventuellement, d’adopter l’une ou l’autre des deux résolutions alternatives proposées par les groupes EFD et PPE."

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