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santé et médecine - Page 369

  • La PMA apporte davantage de problèmes que de bénéfices

    La science vient encore confirmer la position de l'Eglise sur la PMA (Dignitas personae n°12). C’est le constat qui émerge des différentes recherches scientifiques, la dernière ayant été publiée dans le British Medical Journal, l'une des revues médico-scientifiques les plus fiables du monde :

    "De 1978 à nos jours, on estime environ  à 5 millions le nombre d'enfants nés dans le monde par le biais de la procréation assistée. Mais ces dernières années – pouvait-on lire le 5 février dernier sur ​​Tempi.it - 30% de toutes les demandes de fécondation, présentées et acceptées, émanent de personnes ayant des problèmes d’ « infertilité inexpliquée » et la plupart de ces couples conçoivent naturellement «avant de débuter les cycles ». C'est pour cette raison que les auteurs de la recherche se demandent si dans certains cas, les coûts économiques et psychologiques des traitements ne dépassent pas les «bénéfices » et si la fécondation ne serait pas administrée « sans nécessité ».

    PIls mettent en cause un facteur précis : « La fécondation s’est développée dans de nombreuses régions du monde en tant qu'industrie qui génère du profit ( ... ), qui ne s’embête pas à faire des analyses à long terme sur la santé des mères et des enfants. Cela est vrai non seulement pour les cliniques privées, mais aussi pour les institutions académiques, qui ont obtenu des gains économiques substantiels ».

    La suite de cette étude ajoute que «les enfants sains conçus par voie de fécondation sont plus susceptibles que les enfants conçus naturellement de souffrir d'hypertension artérielle, d’obésité, de niveaux anormaux de glucose et de dysfonctionnements vasculaires ». Le « manque de volonté » d’aborder ces questions, selon les spécialistes, « est en train d’entraver le progrès de la fécondation ».

    Qu’en est-il de la naissance ? Lorsque l’on fait ce choix, il y a un risque de graves complications qui est deux fois supérieur à la conception normale. Parmi ces complications, l'accouchement prématuré, le faible poids à la naissance ou pire, la mort du fœtus ou le décès néonatal. Cette affirmation provient d'une autre recherche – commentée sur le journal La Stampa du 14 Janvier - émanant de chercheurs du University’s Robinson Institute qui ont comparé les résultats de plus de 300 000 naissances en Australie du Sud, pour une période de dix-sept ans environ. Parmi elles, plus de 4300 résultaient de la procréation médicalement assistée.

    Même dans la phase de croissance du bébé, la procréation assistée présente de grands risques. On constate en effet un risque accru de cancer chez les enfants nés grâce aux diverses techniques utilisées pour stimuler les grossesses. En témoigne une vaste étude systématique effectuée par des chercheurs du Danish Cancer Society Research Center de Copenhague, sous la direction du Dr Marie Hargreave et rapportée sur Italiasalute.it .
    L’analyse comporte l’étude de 25 cas, dont le rapport est publié sur ​​Fertility and Sterility. Les données montrent que les enfants nés après un traitement de fécondation assistée présentent un risque 33 % plus élevé de développer une tumeur pédiatrique, avec une nette tendance aux tumeurs hématologiques (59 % de plus) et du système nerveux central (88 % de plus)."

    Ceci sans parler du taux d'échec de la PMA (environ 75-80%), des embryons surnuméraires mis au congélateur, de l'eugénisme inhérent à cette méthode...

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  • La Russie met en place des centres d’accueil pour mères en détresse

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    Depuis cinq ans, la Russie prend régulièrement des nouvelles dispositions contre l’avortement. Exactement le contraire de la France. Toute campagne publicitaire en faveur de l’avortement est interdite dans ce pays. La motivation majeure est simple : de 143 millions en 2008, la population passera à 115 millions en 2050. La Russie deviendra un pays marginal. La Douma (Assemblée nationale russe) vient de voter une loi refusant la gratuité de l’avortement dans les établissements gérés par le gouvernement. Le consentement parental est exigé pour la pilule du lendemain. L’aide aux femmes enceintes a été augmentée de 2000 roubles (50 €) par mois. La prime à la naissance est passée à 9.000 $ (7.000 €) à partir du deuxième enfant. Cette assemblée parlementaire a renouvelé son opposition à la PMA. Conjointement, le Patriarcat de toutes les Russies a admonesté le gouvernement : « la préservation de la grossesse est une tâche prioritaire pour le médecin». Il rappelle que la grossesse pour autrui est « une mutinerie contre Dieu ». Il a rappelé qu’il était partisan de la mise en place de centres de grossesse pour « les mères seules dans des situations difficiles de la vie. »

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  • Mises à mort de personnes souffrant de maladie psychiatrique

    Voilà qui nous rappelle les heures les plus sombres (c'est l'Allemagne nazie qui exterminait les malades mentaux) :

    "42 personnes souffrant de maladies psychiatriques ont été euthanasiées l’an dernier aux Pays-Bas, selon un chiffre officiel révélé aujourd’hui par le ministre de la Santé néerlandais, Edith Schippers, en réponse à une question écrite du parlementaire travailliste Khadija Arib.

    Sur les 42 signalements d’euthanasie en cause, 31 ont déjà été passés au crible par les commissions régionales d’évaluation de l’euthanasie : ils ont tous été jugés conformes aux critères de la loi.

    C’est un chiffre en très nette augmentation puisqu’en 2011, 13 patients psychiatriques ont été euthanasiées, en en 2012, 14. Si le chiffre a ainsi triplé d’une année sur l’autre, c’est sans doute, selon le ministre, que les médecins sont davantage disposés à pratiquer l’euthanasie dans ce contexte d’absence de maladie mais de souffrances jugées « insurmontables ». Elle ajoute penser que l’approbation des 27 cas signalés en 2011 et 2012 par les commissions d’évaluation est connue des médecins ce qui a permis à leurs opinions à propos des normes légales à propos de l’euthanasie ont pu évoluer. [...]"

    Michel Janva

  • Cette pilule qui tue

    L’affaire des pilules de troisième et quatrième génération est déjà oubliée des Français. Rappelons que l’on a « découvert » ce que tous les médecins savaient, à savoir que ces produits entraînaient des phlébites et des embolies mortelles notamment sous la forme d’accidents vasculaires cérébraux. Combien les labos ont-ils payés les fonctionnaires de l’Europe pour donner l’absolution à ces produits qui en France sont de nouveau en vente libre ? Le bon peuple cependant se méfie et la chute des ventes est impressionnante. 65 % des utilisatrices ont renoncé à ce « médicament ». Une étude américaine vient leur donner raison.

    Il existe aux Etats Unis un organisme indépendant du nom d’American Heart Association (AHA). Il est la référence en toute matière concernant les maladies cardiaques, leurs origines et leurs conséquences. Il collecte toutes les données connues sur ces sujets. Ses avis sont suivis et il a organisé un symposium sur la vaste question des accidents vasculaires cérébraux et de leur prévention. La question de la pilule n’est qu’un élément parmi de multiples autres comme l’alimentation ou le mode de vie. Des conclusions sont données dans le domaine préventif.

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  • Les 2/3 des femmes qui avortent utilisent une contraception

    Alors dire que la contraception permet de réduire le nombre d'avortements, c'est se moquer du monde.

    Michel Janva

  • Un foetus reconnu comme victime d'homicide, c'est donc bien un enfant ?

    Elle apparaît au grand jour, l'injustice de notre jurisprudence. A tel point qu'un tribunal et toutes les parties concernées ont choisi délibérément aujourd'hui de ne pas la suivre. Oui, un enfant, dans le ventre de sa mère, est bien vivant, même s'il n'est pas né. Et donc oui, il peut être victime d'homicide involontaire, n'en déplaise à la Cour de cassation, qui a considéré l'inverse dans un arrêt de juin 2002.

    Le tribunal de Tarbes a donc condamné aujourd'hui à trois ans de prison avec sursis, un automobiliste qui avait renversé une femme enceinte de six mois et demi, provoquant la mort de l'enfant qu'elle attendait :

    "Le parquet ne fera pas appel de la décision du tribunal, pas plus que la défense de l'automobiliste. Celle-ci refuse délibérément d'invoquer la jurisprudence de la Cour de cassation dans un souci d'apaisement et d'humanité vis-à-vis de la mère et de son client. "Le droit, c'est aussi traiter les humains, ce n'est pas que l'application des textes", a déclaré sa défense, expliquant avoir fait un "choix philosophique", afin que l'automobiliste qui éprouve depuis un fort sentiment de culpabilité puisse tourner la page et que la victime puisse "faire son deuil". La mère a donné un nom à son enfant et l'a enterré, a souligné cette avocate qui se dit "féministe" et qui n'a pas souhaité que son nom soit publié."

    Un coup porté à la culture de mort, qui permet l'homicide volontaire des enfants handicapés jusqu'à la naissance. Raison pour laquelle le statut de victime et a fortiori d'être humain, est refusé au foetus. L'avocate féministe semble le pressentir...

    Louise Tudy

  • L’embryon et le fœtus sont bien des êtres humains, au stade embryonnaire et fœtal

    Extrait d'une tribune de Gregor Puppinck dans Famille chrétienne :

    "Avec 1,2 million d’avortements chaque année dans l’Union européenne et 220 000 en France, il faut effectivement changer les mentalités, cependant non pas dans le sens d’une impossible banalisation de l’avortement, mais dans celui d’un plus grand respect de tout être humain, dès sa conception, et d’une plus grande solidarité avec les femmes enceintes.

    Ce changement de mentalité souhaité est un progrès en humanité qui se réalise par un progrès des consciences. Il nécessite de prendre conscience qu’un être humain bien réel existe dès avant la naissance et depuis la conception : il est une personne en gestation. En tant qu’être humain, il est lui aussi détenteur de droits naturels et inaliénables, et il mérite une protection renforcée de la société en raison de sa vulnérabilité.

    Ceux qui refusent cette réalité sont incapables de dire à partir de quand l’être deviendrait humain, simplement parce qu’ils séparent l’être de l’humain ; comme si l'homme pouvait exister sans être humain. En réalité, les personnes qui refusent à l’homme toute humanité avant la naissance ne voient en nous que des animaux évolués, rien de plus. C’est vrai, lorsque l’on se fait une idée philosophique, a priori, de ce que serait l’Homme, il est difficile de le reconnaître en un embryon humain. L’embryon ne correspond pas au type d’homme parfait, au kalos kagathos. C’est aussi parce que « le trisomique » n’y correspond pas qu’on se permet de le supprimer.

    Et pourtant, l’embryon et le fœtus sont bien des êtres humains, au stade embryonnaire et fœtal. L’erreur est de vouloir identifier l’homme à partir d’une idée, et non pas de reconnaître l’homme, physiquement, là où il est, et tel qu’il est à chaque moment de son existence, de sa conception à sa mort. Ce sont aussi les idées préconçues sur ce que devrait être « l’Homme » qui causent le racisme et ont prétendument justifiées l’exploitation et l’extermination de certains groupes ethniques. [Lire la suite]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L'avortement est redevenu un sujet dont on parle et c’est une bonne nouvelle

    De Jean-Pierre Maugendre :

    "Qu’il s’agisse d’une manœuvre politicienne pour faire oublier la progression continue du chômage et de l’insécurité, les galipettes du locataire de l’Élysée, la détérioration régulière de nos finances publiques ou la montée des « grognes » sectorielles, cela ne change rien à l’affaire : l’avortement est redevenu un sujet dont on parle et c’est une bonne nouvelle.

    La bataille sémantique n’a pas été gagnée par les désinformateurs. Si les élus socialistes, bien formatés, ne parlent que d’« IVG », beaucoup de journalistes et d’intervenants emploient le terme d’avortement qui correspond, lui, aux faits. En effet, le terme IVG est une manipulation de la réalité car une interruption (« nous vous prions de nous excuser pour cette interruption momentanée du son… ») n’est que momentanée alors que l’avortement est, lui, définitif.

    Le discours idéologique martèle que l’avortement est un droit des femmes, remis en cause par une minorité obscurantiste. Face à cela, le défenseur de la vie le plus sollicité par les médias, Jean-Marie Le Méné (président de la Fondation Jérôme-Lejeune) revient en permanence à la réalité de l’enfant qui existe déjà et il parvient généralement à faire admettre à son interlocuteur, ou le plus souvent interlocutrice, qu’il s’agit en fait pour la femme d’avoir la liberté de « garder ou non son enfant » (Axelle Lemaire, député socialiste sur BFM-TV le 20 janvier). Face à ce fait – l’existence de l’enfant – l’argument est alors souvent qu’il faut « s’adapter aux réalités de la société ». Dans ces conditions, il serait logique de légaliser les règlements de compte entre truands à Marseille ou les tournantes en banlieue. Quand le fait crée le droit c’est qu’il n’y a plus de droit.

    Un sujet demeure cependant très largement occulté dans ces débats : c’est la responsabilité du père dans la conception de l’enfant et, partant, son rôle ou plutôt son absence de rôle dans la prise de décision d’avorter ou non. Il a été abondamment glosé sur les femmes poussées à l’avortement par le conjoint, la famille, les amis… C’est une réalité qui en cache une autre, occultée celle-là : celle des pères qui auraient voulu garder leur enfant, car il s’agit aussi de leur enfant, et qui en ont été empêchés par la mère qui souhaitait avorter. Juridiquement, les pères n’ont aucun droit sur la vie ou la mort de leur enfant déjà conçu ! Peut-être un amendement sur ce sujet, au nom de l’égalité homme-femme, eut-il été opportun ?

    Le poids de la pensée unique s’avère terrifiant. Lorsque Jean-Marie Le Méné ose affirmer qu’il est pour l’avortement zéro dans tous les cas et toutes les circonstances, ses interlocuteurs affirment en rester sans voix, avant de se remettre à débiter leur discours idéologique. En effet, qui peut s’arroger le droit de décider de la vie ou de la mort d’un autre être humain, innocent, déjà existant ? Personne ! On doit cependant observer qu’aucun député, hormis Jacques Bompard, n’imagine de revenir sur la loi Veil qui semble intouchable. Nous ne sommes pas en Espagne où le gouvernement prévoit de faire voter une loi de progrès au service de la défense de la vie.

    Alors que toutes les campagnes de prévention routière usent et abusent d’une stratégie compassionnelle multipliant les témoignages de vies brisées par un accident de voiture, en ce qui concerne l’avortement il est interdit de mentionner le cœur de l’enfant qui bat à partir de quatre semaines, soit bien avant le terme du délai légal d’IVG, ou le sort des embryons détruits. C’est la diffusion de ce type d’informations que souhaite supprimer, par la loi, Najat Vallaud-Belkacem dans un déni de réalité typiquement orwellien. [...]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Vous avez dit légume à gommer ?

    Pendant que certains s'acharnent à vouloir tuer Vincent Lambert, un lecteur attire notre attention sur un témoignage entendu ce matin sur RTL dans l'émission de Yves Calvi à 8h30.

    Le témoignage de cette rescapée des soins intensifs est bouleversant... Elle raconte que bien qu'étant dans le coma, elle était consciente et entendait toutes les conversations et ressentait toutes les vibrations autour d'elle. Elle était comme prisonnière de son corps, encéphalogramme plat et les médecins la disaient condamnée à mourir !

    C'est l'amour de ses proches et la présence de sa fille à ses côtés qui a vu une larme couler sur sa joue qui l'ont sauvée. Son témoignage a fait l'objet d'un ouvrage : Une larme m'a sauvée.

    Michel Janva