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santé et médecine - Page 376
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La Marche pour la vie aujourd'hui à Lyon : on en parle !
Et si chez vous aussi, ce cri silencieux des enfants avortés trouve de l'écho, venez le dire aujourd'hui à 14h à Lyon ! -
Qui défend la vie défend l'avenir !
Communiqué de Bruno Gollnisch, Député français au Parlement européen, Membre du Bureau Politique du Front National
La traditionnelle « Marche pour la Vie » lyonnaise aura lieu ce samedi 30 novembre 2013 dans les rues de la capitale des Gaules. Au moment où les agressions de ce que le regretté Pape Jean-Paul II appelait « la culture de mort » se font plus vives, cette marche 2013 revêt un caractère particulier. Elle a lieu un an tout juste après le premier rassemblement -déjà lyonnais d’ailleurs !- des défenseurs de la famille naturelle, et après une année de mobilisation et d’ardeur face au régime liberticide.
Pris dans une autre région, je ne pourrai me joindre à cette mobilisation, mais je lui apporte mon soutien. Je suis sûr en particulier que les jeunes participants récolteront demain le fruit de ces combats qui ne sont jamais vains : qui défend la vie défend l’avenir !
http://www.frontnational.com/2013/11/qui-defend-la-vie-defend-lavenir/ -
L’avortement en question
Ce n’est pas nouveau : les gynécologues qui pratiquent les avortements ne sont guère appréciés de leurs collègues. Ceux-ci sont de facto le plus souvent hors des circuits amicaux des médecins. Comme de plus ce travail n’est guère exaltant, les « vocations » d’avorteurs patentés se font de plus en plus rares. D’où en France la volonté du gouvernement de demander aux sages-femmes de faire le « sale boulot » alors qu’elles sont formées à aider la vie à naître. Il est question aussi de supprimer la liberté de conscience des médecins comme il en a été des maires à propos du mariage. Celle-ci pourtant est inscrite dans la Déclaration des droits de l’Homme (sans Dieu) et du citoyen.
En Grande-Bretagne la présidente du Collège Royal des Gynécologues et Obstétriciens se plaint du mépris dont font l’objet les avorteurs. « We are split on » : on nous crache dessus. C’est en Italie que le refus de l’avortement est le plus affirmé : 80 % des médecins sont opposés à l’avortement. Des régions entières échappent à l’avortement. Au Luxembourg, un seul établissement s’y adonne et celui qui « pratique » va prendre sa retraite.
Mais ce sont peut-être les Etats-Unis qui reviennent de plus loin. Malgré les efforts colossaux de l’administration Obama pour étendre l’IVG, il est en train de se développer un sentiment de rejet concrétisé par l’affaire du « boucher de Philadelphie » évoquée par Médias-Presse-info. Dans ce pays les avortements sont réservés à des « cliniques » spécialisées.
Lire la suite http://medias-presse.info/lavortement-en-question/3048 -
Mort de Lucien Neuwirth : un concert de louanges unanimes
Alors que le vieux politicard Neuwirth – à l’origine de la loi autorisant la contraception orale en 67 – est allé rejoindre le maître qu’il a servi toute sa vie, c’est un concert de louanges de tous côtés pour ce triste sire… Journalistes, show-bizz, politiciens de gauche, de droite, etc.
Même le FN ne se distingue pas des autres partis. Interrogée sur le décès de Lucien Neuwirth, le député FN Marion Maréchal – Le Pen, que certains veulent voir comme le pendant catholique à sa tante Marine – estime que Lucien Neuwirth a « participé à l’avancement du droit des femmes« , avec la légalisation de la pilule. Elle estime même que la pilule est un acquis que personne ne remet en cause.
Pourtant, si, il y a encore un peu de monde pour remettre en cause ce poison !
Sans même s’attarder sur la question morale (selon la morale catholique de base, l’utilisation de la pilule n’est jamais justifiable), il faut rappeler que ce produit (basé sur le bouleversement de l’équilibre hormonal) a des effets dramatiques :
- sur la santé des femmes chez qui il multiplie les maladies, voire provoque la mort, entraîne la stérilité, etc.
- sur la santé des hommes qui, en consommant l’eau courante où aboutissent les hormones contenues dans la pilule, ont à leur tour leur équilibre hormonal perturbé et se retrouvent « féminisés ».
- sur l’image et le rôle de la femme réduite encore davantage à un objet sexuel, de consommation.
- sur la banalisation d’un acte qui est tout sauf anodin et la déresponsabilisation des gens à son endroit.
Enfin, rappelons que la « pilule du lendemain », selon la date de son ingurgitation, empêche l’embryon de s’implanter dans l’utérus et entraîne son expulsion. Ce qui s’appelle un avortement.
Évidemment, Lucien Neuwirth n’a pas été seul à porter le projet, et si ce n’avait été lui sur le devant de la scène, c’eut été un autre.
Mais les louanges dont il est l’objet sont bien sûr d’abord une célébration de l’avènement de l’ère de la « pilule ».
46 ans après cette loi, il serait temps que tous les Français sincères s’accordent sur son bilan effroyable !
http://www.contre-info.com/ -
Les chiffres et autres... de la marche pour la Vie du 30 novembre à Lyon
Reçu par mail :
"Vous voulez en savoir un peu plus sur notre marche lyonnaise, en chiffres ?25000 tracts imprimés et distribués200 affiches petit format dans les lieux publics1000 affiches grand format collées dans la ville2000 vues de notre teaser1300 courriels d'adhérentsprès de 100 bénévoles pour la réalisation de la marchePlus de 20 associations nous soutiennent.3 camions sonos pour le jour J2000 ballons personnalisés, rouge et blancs vous seront distribués.500 tee-shirts seront vendus (5 €uros pièce)Vous allez parcourir 2 kms 600 dans les grandes rues de Lyon, jusque devant la préfecture.5 intervenants prendront la parole.Vous traverserez la plus grande place d'Europe.Flashmob - chorégraphie géante sur cette place...Et 3 Charlies à trouver au milieu des manifestants...Prix pour les dix meilleures photos de la marche (envoyer à photos@jaimelavie.fr).Venez nombreux : les enfants à naître, les mamans, les papas, tous les vulnérables ont besoin de votre présence et de votre aide !"J'aime la vie ! -
Médicaments génériques : l’Etat a berné les Français
PARIS (NOVOpress) – Entre les Français et les médicaments génériques, la pilule ne passe plus vraiment : 57 % d’entre eux seulement (contre 62 % il y a un an) acceptent systématiquement la substitution d’un médicament d’origine par un générique. Cette défiance a augmenté de cinq points en un an, selon un sondage IFOP publié lundi. Par ailleurs, les Français sont plus réservés quant à l’efficacité des génériques, 72% la jugeant similaire à celle des médicaments d’origine contre 77 % en 2011. Quant à la perception de la sécurité des génériques, elle baisse de dix points, avec 61 % se déclarant convaincus que ces médicaments sont « aussi sûrs » que les médicaments d’origine, contre 71 % en 2011.
Il y a quelques mois, l’Académie de médecine a reconnu en effet que les génériques pouvaient être moins efficaces que les médicaments originaux. La propagande orchestrée par l’Assurance maladie depuis des années a du plomb dans l’aile, bien qu’elle assure encore sur son site internet que « le médicament générique est tout aussi efficace » que le produit original. Ce défaut est lié à la qualité aléatoire des génériques, dont 80% des principes actifs sont maintenant fabriqués en Chine et en Inde, sur des sites de production douteux, peu contrôlés. Quand la mondialisation nuit gravement à la santé…
http://fr.novopress.info/127956/medicaments-generiques-letat-a-berne-les-francais/
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La violente cruauté de la mort par avortement
Caméra cachée (1) dans un avortoir du Nouveau-Mexique :
"L’employée d’une clinique d'avortements tardifs à Albuquerque a expliqué à une journaliste infiltrée que de percer le crâne d'un enfant à naître [vivant] avec une aiguille est le moyen « le plus humain » d'assurer la mort du bébé.
Cette conseillère anonyme travaille à la clinique Southwestern Women's Options d’Albuquerque, l'une des seules du pays à pratiquer des avortements au cours du troisième trimestre de la grossesse (...)
L'injection « va droit dans le sac, tout droit dans la » - elle fait visiblement une pause - « grossesse ». Selon la façon dont le bébé est placé, l'aiguille perce « le derrière du bébé » ou, plus vraisemblablement, « sa tête, son crâne. »
Lorsque la mère a demandé si l'enfant pouvait ressentir de la douleur, la conseillère a hésité. « Je ne sais pas s’il est assez développé pour la sentir, » a-t-elle dit. « Je ne pense pas », a-t-elle suggéré. « Peut-être. »
Lorsque la journaliste lui a demandé comment elle se sentait elle-même à l’idée que ses victimes ressentent peut-être une douleur intense, la femme a répondu que ce schéma est « nécessaire pour que la procédure se produise et finalement, euh, c’est la façon la plus sûre, et en quelque sorte, la plus humaine, de le faire. »
Le résultat de ce processus est « un bébé mort », a-t-elle admis".
http://www.lesalonbeige.blogs.com/
1) http://www.cqv.qc.ca/fr/camera-cachee-dans-une-clinique-d%E2%80%99avortements-tardifs-l%E2%80%99employee-explique-que-les-bebes-sont-piques- -
GPA : la circulaire Taubira attaquée en justice
Il se pourrait bien que le Conseil d'Etat l'invalide :
"Il a refusé au nom du Code civil de transcrire en droit français un certificat de naissance pour un nourrisson arrivant d'Inde et a diligenté une enquête auprès des services diplomatiques afin de savoir si cette requête ne masquait pas un cas déguisé de gestation pour autrui (GPA). Mal en a pris à ce greffier en chef de Toulouse de ne pas avoir appliqué strictement la circulaire de Christiane Taubira. En janvier dernier, celle-ci affirmait que le «seul soupçon» - de gestation pour autrui - «ne peut suffire à opposer un refus aux demandes de certificat de nationalité française dès lors que les actes de l'état civil local attestant du lien de filiation avec un Français sont probants». Un texte qui avait soulevé une très vive polémique en pleine discussion législative sur le mariage pour tous et avait d'ailleurs coûté son poste à Laurent Vallée, directeur des affaires civiles et du Sceau.
En l'espèce, un citoyen français bénéficiant d'un sauf-conduit pour faire entrer sur le territoire un bébé de 4 mois demandait l'obtention d'un certificat de nationalité en sachant que la mère - indienne - avait renoncé à ses droits parentaux. De quoi faire redouter à ce fonctionnaire de justice «un trafic d'enfant». Sa démarche a fait réagir les chefs de cour de Toulouse, qui lui ont vertement reproché d'avoir manqué à son devoir de réserve, et la Place Vendôme lui a demandé sur instruction d'établir le certificat en arguant d'une filiation établie. Petite particularité, ce dernier serait provisoire et revu à la majorité de l'enfant.
Ébranlé, et redoutant des poursuites disciplinaires, l'homme a préféré faire valoir ses droits à la retraite plutôt que de poursuivre le bras de fer. Mais, dans le même temps, une association, Juristes pour l'enfance, proche de la mouvance de la Manif pour tous, et un syndicat de magistrats, FO-magistrats, ont décidé de porter la question de la légalité de cette circulaire devant le Conseil d'État. Cette action suit celle qu'ont menée en février dernier plusieurs députés de l'UMP, arguant, eux, d'un «excès de pouvoir». Un excès de pouvoir qui obligerait les fonctionnaires de justice à ne pas respecter la loi qui interdit la GPA, en délivrant des certificats de naissance malgré leurs doutes, et empêcherait les parquets de faire leur travail de veille. (...)
Le 4 octobre dernier, la Chancellerie a plaidé «l'harmonisation de la pratique entre greffiers en chef». Cette réponse intervient après que la Cour de cassation a rendu un arrêt sans équivoque sur la question, le 13 septembre dernier, et dont la Place Vendôme ne semble pas vraiment tenir compte dans son mémoire. Dans cet arrêt, la plus haute juridiction martèle que «lorsque la naissance est l'aboutissement, en fraude à la loi française, d'un processus d'ensemble comportant une convention de gestation pour le compte d'autrui», la convention, «fût-elle licite à l'étranger», est nulle «d'une nullité d'ordre public». C'est-à-dire qu'aucune exception ne permet de «couvrir» une gestation pour autrui. Dans ce cadre extrêmement contraint par la Cour de cassation, le Conseil d'État risque d'avoir du mal à valider une circulaire aussi fortement contestée. Et il est fort possible que l'ex-greffier en chef de Toulouse ait eu raison trop tôt…"
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Va-t-on laisser euthanasier les enfants ?
Communiqué de Civitas :
"En Belgique comme en France, les parlementaires préparent de nouveaux textes de loi à propos de l’euthanasie. Comparer la situation de ces deux pays n’est pas sans intérêt car la Belgique a le triste privilège d’avoir toujours sur la France une « longueur d’avance » en matière d’effondrement moral et éthique.
La Belgique a déjà légalisé l’euthanasie des adultes. Elle envisage maintenant d’autoriser l’euthanasie des mineurs. Il est probable qu’un vote en commission du Sénat se déroule la semaine prochaine, validant ainsi la présentation d’un texte de loi aux deux assemblées parlementaires belges.
Depuis quelques mois, les principaux médias ont participé au conditionnement des esprits. Télévisions, radios et presse écrite ont abondamment diffusé les témoignages de quelques mamans, toujours les mêmes, affirmant que le regard de leur enfant gravement malade traduisait leur souhait d’en finir avec la vie. Il n’est bien sûr pas question de stigmatiser le désarroi de mamans devant la souffrance prolongée de leur enfant. Mais entendre une maman prétendre qu’un enfant de cinq ans a la maturité suffisante pour comprendre ce que signifie l’euthanasie et décider seul de son sort laisse pantois. Il n’est pas besoin d’être un grand spécialiste de l’enfance pour savoir qu’un enfant de cet âge n’a pas conscience des conséquences de la plupart de ses actes, notamment en ce qui concerne le danger. Mettre en garde un enfant en lui disant « Attention, c’est chaud, ça brûle ! » ne sera souvent suivi d’effet qu’après que l’enfant ce sera confronté à cette source de chaleur dont il ne comprend pas encore la conséquence douloureuse. Autant dire que la mort est pour l’enfant une notion encore bien plus mystérieuse. Et ce d’autant plus que l’enfant est de plus en plus confronté à des jeux où la mort d’un personnage signifie simplement la fin de la partie et le fait de pouvoir en recommencer aussitôt une autre.
Le débat qui agite les parlementaires belges ne se situe déjà plus, sauf très rare exception, entre partisans et opposants de l’euthanasie des mineurs. Les différends essentiels parmi les députés et sénateurs se limitent à deux. Le premier porte sur le fait que le texte de loi ne prendrait en compte que la souffrance physique pour permettre l’euthanasie des mineurs alors que certains voudraient étendre les motifs à la souffrance psychologique. Le second concerne l’accord ou non des parents alors que le projet initial prévoit l’accord nécessaire des parents pour euthanasier les enfants et non pour les adolescents sans que la limite entre l’enfance et l’adolescence ne soit clairement établie. [...]"
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L’eau : La médiatrice 2009