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santé et médecine - Page 375

  • Taubira souhaite inciter l'usage des drogues

    Le garde des Sceaux, Christiane Taubira, envisage d'assouplir la législation sur le cannabis. De quoi encourager les vendeurs à étendre leur commerce. Il s'agirait de déclasser la consommation en simple contravention. L'infraction resterait alors dans le champ pénal mais ne serait plus un délit passible de prison. Christophe Régnard, président de l'Union syndicale des magistrats (USM), rappelle :

    « La pénalisation de la consommation de cannabis avait une vertu, celle de permettre de remonter les filières de la drogue grâce aux consommateurs qui étaient placés en garde à vue ».

    Demain, il sera plus grave de porter un sweat LMPT que de fumer de la drogue.

    Michel Janva

  • Vieillissement : 2 tendances que les démographes n’ont pas vu venir et leurs 4 conséquences sociales

    « Cela a commencé ici en Angleterre, il y a environ 250 ans. On appelle cela la transition démographique, et cela correspond au passage entre des sociétés majoritairement jeunes à des sociétés majoritairement vieilles. Il a fallu 150 ans à l’Europe pour effectuer cette transition, mais maintenant, dans le Sud, les pays connaitront la même transition dans environ 25 ans », a expliqué le Dr. Sarah Harper , une gérontologue britannique qui a fondé l’Institut du Vieillissement de la population d’Oxford, au cours d’un récent débat organisé par le New York Times.

    D’après Harper, les démographes n’ont pas vu venir deux phénomènes qui ont changé la donne en matière de prévisions démographiques :

    ✔ Personne n’avait anticipé une chute aussi rapide et aussi brutale du taux de natalité en Europe mais aussi en Asie. La Corée du Sud, Singapour, l’Inde urbaine et la Malaisie ont maintenant des taux de fécondité inférieurs au seuil de renouvellement des générations de deux enfants par femme. D’une part c’est une bonne chose, car cela signifie que les prédictions apocalyptiques telles qu’une population mondiale de 24 milliards d’individus sur la planète ne se réaliseront pas, et que la population mondiale va se stabiliser à 10 ou 11 milliards d’individus.

    Mais cela signifie aussi que cette baisse de la fécondité est si rapide qu’elle peut avoir un effet domino sur notre économie.

    ✔ Personne n’avait vu non plus l’augmentation spectaculaire de notre espérance de vie. En 1850, la moitié de la population anglaise était morte à l’âge de 45 ans. Maintenant, la moitié de la population est encore vivante à 85 ans et nous pouvons extrapoler que bientôt, la moitié de la population sera encore vivante à 100 ans. « Ma fille est née en 1996 : il y a une bonne chance qu’elle connaisse le 22ème siècle», dit Harper.

    Quelles seront les conséquences pour nos sociétés ? Il y en a 4 principales :

    ✔ Le concept de l’héritage est remis en question. Que se passe-t-il en effet si l’on n’hérite plus de ses parents avant l’âge de 80 ans ?

    ✔ Notre vie professionnelle est appelée à changer. Sera-t-il encore possible à l’avenir de ne passer que quelques années à se former, une courte période à travailler, et plusieurs décennies à la retraite? Nous devrons changer la manière dont nous menons nos existences. « Mon père a pris sa retraite à l’âge de 54 ans. Il a maintenant 84 ans. Désormais, il a touché sa pension pendant plus longtemps qu’il n’a touché un salaire, et il en est très fier.

    Mais il n’est pas question que moi, ou mes sœurs, ou quiconque dans ma famille, ou la plupart d’entre vous, puissiez connaître ce type de pension ou être capable de prendre sa retraite à 54 ans », commente Harper.

    ✔ Le contrat entre les générations est mis sous pression. Dans la plupart des sociétés, la norme veut que l’on s’occupe de ses enfants, et que lorsque l’on devient vieux, ils s’occupent de nous.

    Mais nous nous dirigeons vers un monde où les personnes âgées qui ont eu moins d’enfants et vivent plus longtemps devront davantage s’assumer seules.

    ✔ Le quatrième défi est celui de la santé publique. Nous repoussons les limites de la mortalité, mais nous demeurons des mortels, et nous connaitrons tous la fin de vie. Les initiatives en matière de santé publique pour nous permettre de rester en bonne santé tout au long de notre vie seront de plus en plus nécessaires.

    « Je pense que nos sociétés finiront par s’adapter. Je ne crois pas que les économies vont s’effondrer, mais il se pourrait que cela aboutisse à plus d’inégalité dans nos sociétés », conclut Harper.

    Express.be

    http://fortune.fdesouche.com/336565-vieillissement-2-tendances-que-les-demographes-nont-pas-vu-venir-et-leurs-4-consequences-sociales#more-336565

  • Mauvaise nouvelle pour le gender : les cerveaux sont différents

    Lu ici :

    "Le cerveau a t-il un sexe ? Voilà une question qui a taraudé pendant très longtemps les scientifiques. Mais grâce à des années de recherches, ces derniers ont finalement réussi à prouver que c'était bel et bien le cas. Hommes et femmes présentent des capacités et aptitudes différentes et ceci, notamment parce que leur cerveau ne fonctionne pas exactement de la même manière. Aujourd'hui, une étude américaine apporte un éclairage supplémentaire : d'après elle, le cerveau des hommes et celui des femmes ne serait tout simplement pas connecté de la même façon. Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont scanné le cerveau de 949 adolescents des deux sexes (428 hommes et 521 femmes) âgés de 8 à 22 ans en utilisant une forme particulière d'imagerie par résonance magnétique (IRM). [...]

    Les cerveaux masculins ont montré des connections plus fortes à l'intérieur des hémisphères alors que les cerveaux féminins ont présenté des connections plus fortes entre les hémisphères. [...] Cette observation suggère que le cerveau masculin est plus optimisé pour les aptitudes motrices alors que le cerveau féminin est plus doué pour des aptitudes mentales. [...]

    "C'est assez frappant de voir à quel point les cerveaux des hommes et des femmes sont complémentaires", a ajouté Rubern Gur, co-auteur de l'étude cité par le Guardian."

    Nous sommes complémentaires ?! Bigre, voilà qui ne va pas faire les affaires des LGBT.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/mauvaise-nouvelle-pour-le-gender-les-cerveaux-sont-diff%C3%A9rents.html

  • Jérôme Lejeune, un chercheur au service de la vérité et des sans-voix

    L’historienne et journaliste Anne Bernet s’est attelée à la lourde tâche de reconstituer fidèlement l’histoire et les aventures de ce grand médecin qui choisit de sacrifier sa carrière pour défendre la vie, dans une biographie intitulée Jérôme Lejeune (Anne Bernet, Editions Presses de la Renaissance, 2004).

    Généticien et chercheur insatiable, il est surtout connu pour avoir découvert que les petits enfants frappés de ce que l’on nommait sans aucun fondement « mongolisme », présentaient dans leur A.D.N. un chromosome surnuméraire responsable de leur maladie, dorénavant appelée « trisomie ». Cette découverte exceptionnelle ouvrit le champ à d’immenses espoirs de guérisons… mais aussi souleva le couvercle de la boîte de Pandore des partisans de l’eugénisme et des droits de la femme, dussent-ils s’opposer au serment d’Hippocrate. Ces derniers l’utilisèrent en effet – et continuent, hélas, aujourd’hui- pour justifier l’avortement improprement appelé « thérapeutique » lors de la découverte de la maladie chez l’enfant à naître, puis celui dit de « convenance ».

    L’historienne souligne aussi combien ce professeur et chercheur, voué aux honneurs les plus grands et maintes fois sollicité afin de poursuivre sa carrière à l’étranger, préféra embrasser la cause des plus petits et des plus faibles, en soutenant contre vents et marées la dignité de tout être humain. Et cela en dépit de dures conséquences, dont la non moins éprouvante privation des aides de l’État dès l’arrivée au pouvoir du Parti socialiste en 1981.

    Est également soulignée son expérience inoubliable lors d’un pèlerinage en Terre Sainte, dans une petite chapelle située près du lac de Tibériade. Expérience sonnant l’heure des véritables choix de vie, au sens large du terme.

    On apprend en outre que le médecin trouva le temps de se pencher sur l’origine du monde, vaste sujet s’il en est, en remettant scientifiquement en cause la théorie du darwinisme. L’intérêt qu’il porta au Linceul de Turin fut aussi tel qu’il n’hésita pas à s’envoler pour Prague sans prévenir personne afin de vérifier que la datation au carbone 14 était plus que sujette à caution !

    Enfin, la force médiatique est mise en relief dans cet ouvrage qui dévoile combien elle modèle l’opinion publique et devient un outil politique des plus dangereux. C’est ainsi que les talents d’orateur de Lejeune furent éloignés des plateaux de télévision : la vérité resta sous le boisseau…

    Mais cette vérité, il est encore possible de la lire. Cédons la parole à Jérôme Lejeune lui-même, que cite abondamment notre historienne :

                « […] Ecoutez bien le discours moderne : chaque fois qu’un homme ose parler de morale, il se réfère à des valeurs supérieures auxquelles il voudrait que les mœurs se conformassent. Chaque fois qu’un autre parle d’éthique, il prétend que les lois devraient se conformer aux mœurs ! […] ».

             « […] Les promoteurs de l’avortement eugénique ou de l’exploitation des embryons humains ont cru pouvoir enfermer les médecins catholiques dans un cruel dilemme : ou bien vous prenez part avec nous à cette mission de recherche et de destruction, et vous participez au massacre des innocents ; ou bien vous refusez de soulager l’angoisse des familles redoutant la naissance d’un enfant incurable et vous vous en lavez les mains. Non, la médecine n’est pas forcée de choisir entre deux rôles affreux, celui d’Hérode ou celui de Pilate. La victoire sur la maladie est possible et bien que je ne possède nullement le don de prophétie, il est une chose dont je suis totalement assuré : les médecins respectueux de la vie n’abandonneront jamais, et Deo juvante, l’emporteront un jour. […] Eliminer les mal-portants, requérir contre l’innocent, ou exploiter le plus faible, tout cela pour s’arroger le pouvoir de manipuler l’être humain, est peut-être un danger moins bruyant et moins aveuglant que celui des engins atomiques, mais c’est peut-être une bombe encore plus puissante pour détruire les dernières défenses morales de notre société ; Faust, qui fut le premier, même en rêve, à fabriquer un homoncule dans une bouteille, et qui, par la magie de Méphistophélès construisit un monde sans amour et sans Dieu, et Prométhée, qui fut le premier à voler la foudre pour livrer à ses successeurs l’énergie qui fait étinceler les soleils, ces deux figures ne sont pas entièrement des fictions poétiques. Elles sont aujourd’hui les deux faces du pouvoir redoutable que peut nous conférer la science sans conscience, ultime tentation de l’orgueil absolu. […] Dans toutes les questions morales soulevées par les applications possibles de la science, la rhétorique passionnelle et la dialectique habile parviendront presque toujours à farder la vérité. Les comités d’éthique éructeront solennellement leurs oracles contradictoires sans écarter la vraie menace : la technique est cumulative, la sagesse ne l’est pas. Mais une phrase, une seule, dictera notre conduite. L’argument qui ne trompe pas et qui d’ailleurs juge tout, le mot même de Jésus : « Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les Miens, c’est à Moi que vous l’avez fait ». Si les théoriciens de la physique et les praticiens de la biologie n’oublient jamais cette phrase, les techniques les plus puissantes resteront au service de la famille des hommes. Mais s’ils l’oublient, tout pourrait être redouté d’une science dénaturée… » (Rome : extrait du discours de Jérôme Lejeune devant les Pères synodaux réunis de l’édition française de L’Osservatore romano, 20 octobre 1987).

    Source http://www.ndf.fr/article-2/02-12-2013/jerome-lejeune-chercheur-au-service-verite-voix

    http://www.altermedia.info/france-belgique/nouvelles-de-france/jerome-lejeune-un-chercheur-au-service-de-la-verite-et-des-sans-voix_91615.html#more-91615

  • « Journée mondiale de lutte contre le sida »… Mais pas contre les mensonges !

    10_mensonges_sida.jpgAujourd’hui, médias et politiciens nous serinent avec le sida et la « prévention ».
    Au comble du grotesque, et à cours d’idées de communication, le gouvernement annonce une baisse de la TVA sur les préservatifs de 7% à 5,5%…
    Alors qu’il est notoire que le préservatif protège mal contre le VIH… toutes considérations morales mises à part.

    Bref, l’occasion de rappeler l’existence d’un livre iconoclaste, qui met à mal le business du sida en dénonçant certaines théories médicales :

    Les 10 plus gros mensonges sur le sida, par Jean-Claude Roussez et le professeur Etienne de Haarven, éd. Dangles, 253p. 16€.
    Livre disponible ici.

    Voici l’alléchant sommaire et quelques extraits :

    1er mensonge : Le sida est une nouvelle maladie.

    Aussi bien le grand public que la majorité des professionnels de la santé sont persuadés que le sida est un phénomène épidémique apparu soudainement au début des année 80, causé par l’émergence d’un nouveau virus. Le syndrome d’immunodéficience acquise, ou sida, n’est pas à proprement parler une maladie. Un syndrome n’est qu’un ensemble de signes et de symptômes survenant simultanément chez le patient, qui se caractérise par une forte diminution, voire un effondrement, des défenses immunitaires. Depuis longtemps les deux principales causes d’immunodéficience acquise étaient parfaitement connues et documentées : – la malnutrition; – l’usage de substances dangereuses pour le système immunitaire (drogue, certains médicaments, sang transfusé).

    2e mensonge : Il existe un virus du sida : le VIH

    Lorsque l’on prend le temps (et il en faut beaucoup) de consulter la littérature scientifique relative au virus proprement dit, on est frappé par le fait qu’aucune de ces investigations n’a jamais réussi à mettre directement en évidence la présence de la moindre particule virale, et en particulier pas la moindre particule rétrovirus, chez un malade du sida. […] C’est une équipe de l’Institut Pasteur dirigée par Luc Montagnier qui a la première annoncée la découverte d’une activité virale, en 1983, à partir de prélèvements effectués sur un malade du sida. L’année suivante, l’équipe de Robert Gallo, aux États-Unis, fit une annonce similaire. On s’apercevra par la suite que Gallo avait quelque peu fraudé en utilisant pour sa « découverte » un échantillon que Luc Montagnier lui avait généreusement offerte quelques mois auparavant.

    3e mensonge : Le VIH est la cause du sida

     

    4e mensonge : Les médicaments antiviraux sont bénéfiques

    5e mensonge : La séropositivité est un signe d’infection par le VIH

    6e mensonge : Le sida est contagieux

    7e mensonge : Le VIH est la source de nombreuses maladies

    8e mensonge : Il vaut mieux savoir que l’on est séropositif

    9e mensonge : L’épidémie du sida est dévastatrice

    10e mensonge : Les scientifiques sont tous d’accord

     
     

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  • Une méta-étude chinoise confirme le lien avortement-cancer du sein

    La publication d’une nouvelle étude chinoise sur le lien entre l’avortement provoqué et le cancer du sein va changer la donne dans un monde où l’on a préféré jusqu’ici le passer sous silence : méta-analyse d’autant plus intéressante qu’elle montre un accroissement du risque selon le nombre d’avortements subis.
    Le Dr Joel Brind, professeur d’endocrinologie au Baruch College de l’Université de New York, l’a déclaré à LifeSite en soulignant que les partisans de l’avortement devraient se montrer très inquiets des résultats de l’étude puisque des « millions et des millions de femmes en Asie » ont été ainsi affectées par une opération supposée « sans danger » pour elles, tout en notant que chaque constat des effets dangereux de l’avortement est systématiquement minimisée ou discréditée.
    Dans ce cas précis, ce sera difficile. C’est dans la revue scientifique Cancer Causes and Control que les résultats de la méta-étude ont été publiés d’après des recherches de Yubei Huang et autrres du département d’épidémiologie et de biostatistiques de l’hôpital universitaire d’oncologie de Tianjin. Les chercheurs se sont lancés dans leur enquête après avoir noté que le taux de cancers du sein, traditionnellement plus bas chez les femmes chinoises que chez les femmes occidentales, s’est accru « de manière alarmante » depuis deux décennies, au même rythme que le resserrement de la politique de l’enfant unique imposée par les autorités.
    Cette politique entraîne de nombreux avortements, y compris des avortements forcés : depuis les années 1980, plus de 336 millions d’enfants à naître ont été avortés en Chine.
    Les chercheurs ont analysé 36 études du lien entre avortement et cancer du sein. Chez les femmes ayant eu un avortement, le risque de développer une telle tumeur était 44 % plus important que chez celles n’ayant jamais avorté. Pour deux avortements, le risque s’accroissait de 76 %, pour trois avortements, il atteignait 89 %.
    Une étude réalisée en 1996 par Joel Brind avait évalué l’accroissement du risque lié à l’avortement à 30 %, avec certes moins de recul.
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  • Le VIH est homophobe !

    Une récente étude sur la population atteinte du « virus » du SIDA prouve ce que le bon sens populaire sait depuis plus de trente ans : les malades du syndrome sont et restent avant tout les hommes aux pratiques homosexuelles.

    Car oui, les chiffres le prouvent, et même Libération est obligé de s’incliner.

    La maladie est marginale chez les hétérosexuels, même chez ceux se vautrant dans la luxure.

    Elle est « jugulée chez les migrants » (sic).

    Mais elle progresse chez les homosexuels.

    Pourquoi ?

    Tout simplement parce que « les pratiques à risque continuent, voire augmentent chez les gays. Elles ont lieu aussi bien à Paris qu’en province, chez les jeunes que chez les vieux », selon Annie Velter, de l’Institut de Veille Sanitaire.

    Le problème n’est donc pas la prévention, ou le soin, mais les mœurs mêmes de la dite communauté homosexuelle.

    Tout ne se vaut donc pas, et il n’y en a qu’une seule conclusion bien terrible à en tirer :

    La réalité elle-même est « homophobe ».

    http://www.contre-info.com/le-vih-est-homophobe

  • La marche pour la Vie à Lyon

     

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    Lyon dit "Oui à la Vie!"

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    Clotilde et Joseph, membres du collectif, expliquent pourquoi on marche pour la Vie aujourd'hui en France :

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    Il fait beau et froid à Lyon et les Lyonnais ont répondu "présent!".

    En ce moment même, magnifique témoignage de Jean-Baptiste Hibon, handicapé qui dit "Oui à la vie!" : 

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    "Moi je prends mon handicap dans la joie!...

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    ...Le handicap n'est pas un problème, il nous interroge sur le rapport à l'erreur, qui fait partie de la vie!"

    Thierry de la Villejégu, directeur général de la fondation Lejeune :

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    «Les trisomiques sont traqués et éliminés»

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     http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Euthanasie des mineurs : toujours la même technique

    De Jeanne Smits dans Présent :

    "Une proposition de loi visant à étendre l’accès à l’euthanasie aux mineurs vient d’être adoptée en Belgique par les commissions des Affaires sociales et de la Justice du Sénat par 13 voix contre 4 (les chrétiens démocrates et le Vlaams Belang ont voté contre). Il n’est pas certain que le texte puisse être débattu assez rapidement devant les deux chambres du Parlement belge avant d’être frappé de caducité et donc soumis à une procédure de « relevée » par la survenue des élections générales en mai prochain. Mais quoi qu’il en soit, un pas important vient d’être franchi – de degré et non de nature !

    Aux termes de la proposition, un mineur âgé d’au moins douze ans en phase terminale de maladie – le plus souvent, un cancer – pourrait recevoir une piqûre létale en cas de souffrances « insupportables et inapaisables », moyennant le conseil de l’équipe médicale et l’accord des parents.

    Le principe de la légalité de l’euthanasie une fois acquis il n’y a aucune raison, en effet, de ne pas poursuivre dans sa logique. Et les « progressistes » belges se préoccupent déjà de savoir quand on passera à l’étape suivante : l’euthanasie des déments.

    Une lettre ouverte de seize pédiatres avait préparé le terrain – à la manière du « manifeste des 343 salopes » avouant avoir avorté – en publiant le 6 novembre une lettre ouverte où ils indiquaient que certains d’entre eux avaient déjà euthanasié des mineurs « exceptionnellement » et « en dehors du champ de la loi ». Ils se plaignaient de ne pas pouvoir parler « ouvertement » et en toute confiance de la « fin de vie ». Et soulignaient que les jeunes qui souffrent de maladies graves ont souvent une maturité bien plus grande que celle des adultes bien portants.

    C’est sans doute vrai. Mais cela ne change rien au fait que la mise à mort du patient, pour quelque raison que ce soit, est une transgression… majeure, et qu’elle paraît d’autant plus choquante, subjectivement, que le patient est encore un enfant ou un adolescent. Y associer les parents de l’enfant qui souffre ajoute à l’horreur : on en arrive à leur imposer un choix impossible, inconcevable. « Tuez-le donc, M. le docteur… » [...]"