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santé et médecine - Page 371

  • Euthanasie : les paranos de Dieu font le ménage !

    Tout médecin rencontre au moins une fois dans sa carrière confrères ou infirmières qui se prennent « pour Dieu le père »...

    Ludivine Chambet, aide-soignante d’une maison de retraite de Chambéry, est mise en examen et écrouée pour avoir empoisonné neuf pensionnaires. Trois seulement en ont réchappé. Six autres, non !

    Tout médecin rencontre au moins une fois dans sa carrière confrères ou infirmières – plus rarement aide-soignantes – qui se prennent ainsi « pour Dieu le père » et décident souverainement qui est « au bout du rouleau » ou qui doit continuer encore son existence, recevoir des soins palliatifs… ou non !

    Le plus troublant est que ceux-ci estiment « en leur âme et conscience » que « les autres » font de l’acharnement thérapeutique et qu’ils s’arrogent le droit de s’élever contre. En quelque sorte, ils s’estiment investis du devoir d’exécuter une mission, persuadés qu’elle est d’ordre divin, ou fondée en éthique, même ceux et celles qui ne croient pas plus que cela en dieu ou en diable. « Il s’agit, en fait, d’un conflit de conscience éthique où un individu paranoïaque s’estime meilleur juge que le médecin ou le confrère qui, jusqu’à présent, a dirigé les soins du malade », témoigne le Dr Bernard Plouvier, ancien chef de service hospitalier, spécialisé en médecine interne. « Ces individus de structure mentale paranoïaque s’estiment investis de la mission de “faire le ménage” : c’est-à-dire de mettre fin, par une décision unilatérale, à des soins qu’ils jugent inutiles et donc d’interrompre une vie qu’ils estiment “invivable”. Parmi eux, beaucoup d’hospitaliers qui estiment que les médecins généralistes ont trop fait durer la survie du patient. »

    Depuis l’arrestation de l’aide-soignante de Chambéry, les médias cherchent pourtant à comprendre ce qui a motivé cette jeune femme de trente ans à commettre ses actes irréparables. Est-ce la longue agonie de sa mère leucémique ? Sa fille en aurait été traumatisée. Ceci expliquerait cela.

    Seul hic, le vice-procureur chargé de l’affaire décrit Ludivine Chambet comme une jeune femme « sereine », aux propos cohérents. De son côté, son oncle explique que « c’était pas quelqu’un de méchant. Je ne pense pas qu’elle aurait fait ça pour leur faire du mal. »

    Du mal ? À l’exception de quelques rares et autoproclamés « possédés », est-ce qu’un seul dictateur, un seul tortionnaire, un seul serial killer a jamais reconnu avoir agi pour « faire le mal » ? Tous affirment toujours avoir fait œuvre de salubrité publique parce que tel était leur devoir…

    Si le débat sur l’euthanasie reste d’actualité et déclenche toujours les passions, il n’en est pas de même de ceux qui décident seuls de la vie et de la mort de leur semblable et passent à l’acte au nom d’une morale qui n’appartient qu’à eux.
    Une morale qui n’est ni celle des partisans ni celle des opposants de l’euthanasie : elle est celle de tout criminel, conscient de ses actes, mais faisant fi des repères communs à ses semblables.

    Et ils deviennent, de fait, les pires ennemis des partisans d’une « fin de vie dans la dignité » qui, eux, ne conçoivent celle-ci qu’entourée de toutes les garanties possibles, non seulement familiales, mais plus encore médicales et judiciaires. Voire religieuses.

  • Sida : de la France aux Etats-Unis

    L’histoire du sida commence avec un dénommé Gaëtan Dugas, homosexuel, steward à bord de paquebots. Parmi les 200 premiers cas décrits de la maladie, il était responsable de la contamination pour 40 d’entre eux. Les bonnes habitudes homosexuelles se pérennisent dans le temps. En France, il y a deux ans était réalisée « L’enquête presse gay et lesbienne » avec le concours de 15.000 homosexuels volontaires. 17 % d’entre eux qui se savaient séropositifs avaient eu en un an un grand nombre de partenaires dans l’année ; vingt et plus pour la moitié d’entre eux. Un quart d’entre eux ne prenaient aucune précaution. Nous arrivons à la situation actuelle. Selon l’Institut de veille sanitaire dans son dernier bulletin : « le nombre de découvertes de séropositivité VIH augmente uniquement chez les hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes ». Il y aurait en France entre 150.000 et 200.000 personnes atteintes du sida. 30.000 d’entre elles l’ignorant totalement.

    Aux Etats-Unis, la situation est pire. Selon le Centers for Diseases Controle (Centre de contrôle des maladies infectieuses) 62 % des gays ne prennent aucune précaution. Conduite idéale pour répandre l’infection. Atterrant : Les teens (entre 13 et 19 ans) ayant eu des rapports homosexuels étaient contaminés à 94,9 %. Dans la tranche 20/24 ans la contagion était de 94,1 %. Le rapport du 3 décembre 2013 établit que le taux des contaminés est en augmentation constante depuis 2005. Soit 20 % en 2012. Ainsi quatre pour cent de la population – celle des homosexuels- a 44 fois plus de risques de contracter la maladie que le reste de la population. 62 % des nouveaux cas est imputable uniquement aux pratiques sexuelles des gays. Plus d’un tiers des porteurs du sida ne sait pas qu’il est séropositif. Le rapport demande de réduire les risques de contamination par le préservatif considéré comme un moindre mal vis-à-vis de la nécessité qu’il y a de réduire le nombre de partenaires. Ils recommandent aux porteurs du virus de déclarer leur séropositivité à leurs éventuels partenaires. 300.000 Américains sont morts de cette maladie depuis 1980.

    Source  http://medias-presse.info/sida-de-la-france-aux-etats-unis/3695

    via http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • 2013 : une année noire pour la médecine prénatale

    Le docteur Patrick Leblanc, coordinateur du Comité pour sauver la médecine prénatale (CSMP) qui regroupe plus d'un millier de professionnel de la grossesse, publie une tribune dans le Quotidien du Médecin "2013 : une année noire pour la médecine prénatale". Extrait :

    T"À l’occasion des journées du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), réunies du 11 au 13 décembre au CNIT-la Défense, le Comité pour sauver la médecine prénatale affirme que 2013 est à marquer d’une pierre noire. Cette année a vu le développement du dispositif qui conduit à l’élimination de masse des enfants trisomiques avant leur naissance. Aucun professionnels, institutionnels, responsables politiques n’a eu le courage de dénoncer la commercialisation d’une nouvelle technique et l’instauration d’un fichage de données personnelles relatives à ce dépistage. Ces évolutions, qui comme les précédentes sont présentées, bien entendu, comme des progrès, vont contribuer à la fuite en avant des dérives eugénistes touchant les bébés trisomiques avant leur naissance. Pour rappel, en France 96 % des enfants détectés trisomiques pendant la grossesse sont éliminés. [...]

    Grâce à ces soutiens institutionnels, un industriel français vient de lancer en novembre la commercialisation de ce test. Et depuis plusieurs mois les médecins spécialistes de la grossesse font l’objet de sollicitations électroniques et téléphoniques répétitives de la part de prestataires de service vantant la technique de DPNI. On les sollicite pour les faire entrer dans des enquêtes d’opinion (contre rémunération !) utiles pour déterminer le coût de ces tests acceptable par leurs patientes. Plus de 820 000 femmes enceintes par an, un système de santé structuré autour de la notion d’égal accès, et une mentalité eugéniste ancrée depuis 20 ans : le marché français s’annonce particulièrement juteux pour les firmes de génie génétique.

    Le 3ème acte déterminant de l’année émane du ministère de la Santé. Il n’est pas anodin car il témoigne de la future administration comptable du diagnostic prénatal. Par arrêté ministériel du 27 mai 2013, un fichier national a été mis en place pour recueillir l’ensemble des données du dispositif de détection prénatale de la trisomie 21. Ce fichage a pour objectif d’évaluer annuellement le système. Ainsi chaque foetus diagnostiqué trisomique sera fiché au niveau national. Un tel recensement renforce l’idée que la naissance des enfants atteints de cette pathologie est due à une erreur de la technique ou à la volonté des parents. On ne peut pas faire plus inhumain et culpabilisant.

    [...] Le Comité pour sauver la médecine prénatale espère que 2014 sera l’année de l’acceptation de la trisomie comme pathologie médicale et non comme malédiction sociétale. Il ne ménagera pas sa peine pour le faire savoir. C’est une question d’humanité."

    Les professionnels de la grossesse, qui vivent au quotidien la détection prénatale de la trisomie 21, s’inquiètent de son développement et de la mentalité eugéniste qui en résulte. Ils dénoncent le silence des autorités professionnelles et politiques sur la recherche scientifique visant à améliorer la vie des personnes trisomiques. Ils espèrent que l’année 2014 sera l’année de l’acceptation médicale de la trisomie 21 et non plus le déni d’une malédiction sociétale. Le ministre, Najat Vallaud-Belkacem, qui devrait être présente vendredi 13 décembre aux journées du CNGOF, entendra-t-elle cette voix ?

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Il a quitté la Sécurité Sociale et nous en parle !

    Avoir la possibilité de quitter la sécurité sociale est un de ces sujets qui subit une certaine omerta médiatique en France. Laurent C. est un de ces Français qui a fait le grand saut en janvier 2013 et qui raconte son aventure sur son blog : http://jequittelasecu.blogspot.fr/ . Médias-Presse-Info l’a contacté pour en savoir plus sur ses motivations qui l’ont amené à faire une telle démarche, les procédures et ce phénomène des Français qui quittent la Sécurité Sociale…

    La décision de Laurent C. ne date pas d’aujourd’hui : « J’avais déjà vu ça au début des années 2000 mais à l’époque j’étais salarié. C’était plus compliqué. » Après avoir monté sa propre société, sa réflexion fait son chemin avec la hausse des cotisations sur les professions libérales sans prestations supplémentaires voir moins. Il se dit que c’est peut-être l’occasion d’entamer la procédure. Il contacte alors le MLPS (mouvement pour la liberté de la protection sociale) qui lui renvoie le courrier-type. C’est parti. A la question sur la gravité d’une telle décision à prendre, Laurent C. répond que : « bien sûr, il faut être convaincu. L’idée de la démarche, c’est d’aller jusqu’au bout, jusque devant la Cour Européenne s’il le faut après avoir épuisé toutes les procédures. » Il souligne aussi l’importance du soutien de la famille. Sa femme et ses enfants sont toujours à la sécurité sociale car il ne prend pour l’instant le risque que pour lui. Subit-il des pressions ? « Non pas spécialement. Pour l’instant le RSSI, l’URSSAF et bientôt la CIPAV me considèrent comme un mauvais payeur. Ce n’est que la procédure habituelle pour le recouvrement de factures impayées. »

    Mais d’où vient donc cette possibilité ? « En 92, une directive européenne permet aux citoyens de choisir une assurance maladie au sein de l’UE sauf si l’Etat a un monopole légal. Au sens européen, cela veut dire que ça s’applique à tout le monde de la même manière. Si c’est différent, c’est alors concurrentiel. Or on a la sécu pour les salariés, les agriculteurs etc… Ce sont donc bien des régimes différents. » Mais bien sûr, il y a toujours l’obligation d’être assuré. Il faut donc s’assurer à l’étranger et présenter un certificat d’adhésion.  En 90, il y avait seulement trois sociétés d’assurance européenne qui prenaient en charge les Français : IHI, DKV et Amariz. En 95-96, elles vont subir de grosses pressions pour cesser leur activité envers les Français.

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  • Elle saute par la fenêtre pour fuir l'avortement

    L'avortement, un choix ? Pas vraiment. A l'entrée d'une clinique en Grande Bretagne, une mère est abordée par des personnes pro-vie qui dialoguent succinctement avec elle et lui donnent un prospectus. Elle leur confie qu'elle est forcée à avorter. Son entourage familial invective les pro-vie et la font entrer dans l'établissement.

    Les pro-vie décident de se mettre tous ensemble à prier. Quelques minutes plus tard, la mère les appelle par téléphone de l'intérieur de la clinique et les supplie de l'aider. Ils appellent donc la police qui en arrivant interroge sa famille. La mère profite de cette diversion pour se sauver par la fenêtre au rez-de-chaussée, et courir vers les Pro-vie qui l'amènent dans leur centre d'accueil à proximité et prennent soin d'elle.

    Il n'y a pas qu'en Chine qu'il y a des avortements forcés.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Importation de mœurs étrangères : la souffrance animale

    Alors que tous les porte-paroles de l’écologie officielle s’époumonent contre le racisme, l’antisémitisme et le réveil de la bête immonde dont le ventre est encore fécond, ils refusent de voir la conséquence de l’importation massive de populations étrangères à notre continent.

    Dernier exemple en date : la sordide affaire d’abattoir clandestin à La Courneuve.

     

    Il y a une semaine, une opération conjointe de la police et des services vétérinaires a démantelé cette filière de production de viande à destination des restaurants chinois de la région.

     

    Les pauvres bêtes «étaient entassés sans eau ni nourriture, dans la pénombre. Le poste d’abattage était couvert de sang, du sol au plafond», d’après Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigite Bardot qui a pris en charge les animaux.

     

    Ont été aussi relevées de nombreuses infractions à la « législation sur l’immigration » – en termes clairs, de nombreux clandestins étaient présents – ainsi que des « infractions au code du travail » – les employés étaient rémunérés sans être déclarés.

    Source

    http://www.contre-info.com/importation-de-moeurs-etrangeres-la-souffrance-animale#more-30552

  • Une méta-étude chinoise confirme le lien avortement-cancer du sein

    La publication d'une nouvelle étude chinoise sur le lien entre l'avortement provoqué et le cancer du sein va changer la donne dans un monde où l'on a préféré jusqu'ici le passer sous silence : méta-analyse d'autant plus intéressante qu'elle montre un accroissement du risque selon le nombre d'avortements subis.

     

    Le Dr Joel Brind, professeur d'endocrinologie au Baruch College de l'Université de New York, l'a déclaré à LifeSite en soulignant que les partisans de l'avortement devraient se montrer très inquiets des résultats de l'étude puisque des « millions et des millions de femmes en Asie » ont été ainsi affectées par une opération supposée « sans danger » pour elles, tout en notant que chaque constat des effets dangereux de l'avortement est systématiquement minimisée ou discréditée.

     

     

    Dans ce cas précis, ce sera difficile. C'est dans la revue scientifique Cancer Causes and Control que les résultats de la méta-étude ont été publiés d'après des recherches de Yubei Huang et autrres du département d'épidémiologie et de biostatistiques de l'hôpital universitaire d'oncologie de Tianjin. Les chercheurs se sont lancés dans leur enquête après avoir noté que le taux de cancers du sein, traditionnellement plus bas chez les femmes chinoises que chez les femmes occidentales, s'est accru « de manière alarmante » depuis deux décennies, au même rythme que le resserrement de la politique de l'enfant unique imposée par les autorités.

     

     

    Cette politique entraîne de nombreux avortements, y compris des avortements forcés : depuis les années 1980, plus de 336 millions d'enfants à naître ont été avortés en Chine.

     

     

    Les chercheurs ont analysé 36 études du lien entre avortement et cancer du sein. Chez les femmes ayant eu un avortement, le risque de développer une telle tumeur était 44 % plus important que chez celles n'ayant jamais avorté. Pour deux avortements, le risque s'accroissait de 76 %, pour trois avortements, il atteignait 89 %.

     

     

    Une étude réalisée en 1996 par Joel Brind avait évalué l'accroissement du risque lié à l'avortement à 30 %, avec certes moins de recul.
  • Instinct de mort : Hollande prépare la légalisation de l' euthanasie

    La « conférence citoyenne » sur la fin de vie fait polémique

    La « conférence citoyenne », organisée par le comité d’éthique, donnera lieu à un avis publié lundi prochain, sur fond de controverse quant à la méthode. Ces travaux doivent éclairer la réflexion avant la présentation d’un projet de loi, sans doute mi-2014.

    C’est une nouvelle étape dans le débat sur la fin de vie. Lundi 16 décembre, la « conférence citoyenne » organisée cet automne par le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) prendra fin, avec la publication d’un avis, ou plutôt d’une synthèse des travaux menés dans ce cadre. Durant quatre week-ends, 20 citoyens tirés au sort par l’Ifop selon des critères de diversité se sont réunis à huis clos pour réfléchir ensemble, avec l’aide d’experts, aux grands enjeux de la fin de vie. On connaîtra donc dans quelques jours le fruit de leur réflexion.

    CRITIQUE DE LA MÉTHODE

    Certains ont critiqué la méthode. Dans son blog régulier publié sur la-croix.com, Bertrand Galichon, président du CCMF (Centre catholique des médecins français), déplore « une conférence citoyenne limitée à quelques “happy few” », du « vite fait, bien fait  ! Et après quid  ? Quelle confiscation de la parole citoyenne a été prévue  ? », interroge-t-il, provocateur. De son côté, le député UMP Jean Leonetti considère que le temps imparti était trop limité et regrette qu’il n’y ait eu qu’un seul panel citoyen, et non plusieurs, comme lors des états généraux de 2009 sur la bioéthique. [...]

    La suite sur La Croix

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Instinct-de-mort-Hollande-prepare